Football : Le comportement de racailles de Ben Arfa et Nasri met le souk dans l’équipe de France.Vive la Suède!!!!!!!!!!
L’équipe de France de football de Laurent Blanc n’en finit pas, malgré une qualification des plus médiocres pour les quarts de finale de l’euro, de défrayer la chronique. Lors du premier match,
ponctué par un match nul peu glorieux contre l’Angleterre, Samir Nasri se distingue, après avoir égalisé – ce qu’il a fait de mieux pour le moment – en mettant son doigt sur la bouche, et en
disant aux journalistes français, principalement ceux de l’Equipe « Ferme ta
gueule, ferme ta gueule ! ». Leur crime : avoir osé critiquer ses performances en équipe de France, blasphème jugé insupportable pour ce jeune joueur qui ne cache pas son
appartenance musulmane, et possède ce que le jargon footballistique appelle un solide « melon », comprenez la grosse tête.
Le deuxième match, contre l’Ukraine, fut sans doute le plus réussi, puisque, gagné par deux buts à zéro, il qualifiait presque d’office notre pays pour les quarts de finale. Signalons tout de
même que les trois joueurs nés musulmans, ou convertis, Nasri, Benzema et Ribery, jouèrent encore une fois beaucoup ensemble, et que les auteurs des deux buts s’appellent Jérémy Menez et Johann
Cabaye.
On attendait donc avec impatience le troisième match, contre la Suède qui, jusqu’à ce jour, n’avait gagné aucun match. Ce fut une catastrophe, à tous les points de vue, sportifs et
comportementaux. Laurent Blanc, curieusement, choisit d’aligner, outre son équipe classique ; le né musulman, par ailleurs adepte des prières sur le ban de touche, Hatem Ben Arfa dans
cette équipe. Les Suédois humilièrent les Français, les battant deux buts à zéro. Notre pays ne sera qualifié que grâce à la victoire de l’Angleterre contre l’Ukraine, qualification d’autant
plus miraculeuse qu’un but valable sera refusé à l’Ukraine.
Mais c’est surtout ce qui se passera après la prestation lamentable de l’équipe de France qui mérité d’être décortiqué. Soulignons
d’abord que la Marseillaise ne parait guère concerner le quatuor Benzema-Ribery-Nasri-Ben Arfa. Pour arranger son cas, Samir Nasri, qui, outre ses injures aux journalistes français, s’était
déjà fait remarquer par son rire durant les hymnes nationaux, se distinguera, cette fois, durant l’hommage à Thierry Roland, par un nouveau rire des plus indécents. Ajoutons que sur le terrain,
sa nonchalance et l’individualisme de Ben Arfa exaspérèrent nombre de téléspectateurs, et de co-équipiers.
Dès les interviews de fin de match, Olivier Giroud, avant-centre remplaçant de l’équipe de France, fit savoir que des propos musclés avaient été échangés dans les vestiaires. Manifestement, les
journalistes de l’Equipe, visés par Nasri, qui s’étaient déjà distingués, en 2010 en révélant la nature des propos tenus par le musulman Anelka à l’encontre du sélectionneur : « Va te
faire enculer, fils de pute » ont eu à nouveau des informations des plus intéressantes.
Ainsi, on apprend qu’Alou Diarra, milieu de terrain défensif, homme possédant des valeurs et un esprit collectif, a reproché à Samir Nasri son attitude nonchalante, et lui a dit qu’au lieu de
dire aux journalistes de fermer leur gueule, il ferait mieux de faire son boulot. Offusqué, celui qui incarne le branleur à la grosse tête dans toute sa splendeur, a demandé à son interlocuteur
de rester poli… Le comble quand on dit aux journalistes de « fermer leur gueule ». Rappelons que Nasri s’était permis de critiquer le sélectionneur, Laurent Blanc, coupable, comme les
journaliste, d’avoir affirmé que son joueur ne lui donnait pas satisfaction sous le maillot bleu. Crime de lèse-Nasri, et réaction typique de petite racaille qui n’a rien à faire sous le
maillot tricolore.
Deuxième épisode, le match à peine terminé, dans le vestiaire, voilà Hatem Ben Arfa qui se permet de prendre son portable, et de téléphoner ! Même le stoïque Laurent Blanc se permet de lui
dire qu’il n’a qu’à appeler sa famille, pendant qu’il y est. Crime de lèse Ben Arfa ! On ne parle pas comme cela à Hatem ! Le voilà donc qui critique, devant un vestiaire éberlué, les
choix du sélectionneur, qui lui reproche de l’avoir sorti à la 59e minute, alors qu’il y en avait de plus mauvais que lui ! Et Nasri de se sentir visé, qui demande si c’est à
lui qu’il pense ! Et Ribery, pas plus décisif que Benzema, qui cherche, vainement, à calmer le jeu.
Il n’est pas inutile, à ce niveau, de revenir sur le passé comportemental d’Hatem Ben Arfa. Joueur brillant, doté de qualités individuelles exceptionnelles, il s’isolera rapidement, à
l’Olympique lyonnais, par un comportement très personnel qui lui vaudra d’être mis en quarantaine par ses co-équipiers, et même, à l’issue d’un entrainement, de prendre une patate dans la
truffe de la part de son équipier, l’international Sébastien Squillachi, pourtant peu habitué aux embrouilles. Transféré à Marseille, il se distinguera par une attitude qui lui vaudra le ban de
touche plus souvent qu’à son tour, et se permettra de dire à son entraîneur, Didier Deschamps, capitaine de l’équipe de France championne du monde, qui avait osé lui faire une remarque (avec sa
carte de visite, il le peut, non ?) qu’il lui « cassait les couilles ». Indésirable en France, il sera transféré à Newcastle, et se fera casser la jambe dans les premiers
matches, ce qui est certes malheureux, mais n’attristera pas grand monde dans le football français…
Voilà donc l’attitude de deux joueurs, nés musulmans, à qui Laurent Blanc, pour de mystérieuses raisons, a continué à faire confiance. Une équipe de football ne peut fonctionner que si les
joueurs acceptent l’autorité de l’entraîneur, tout comme une société ne peut fonctionner qu’avec des repères acceptant d’obéir à une hiérarchie. Chose que des Nasri-Ben Arfa au comportement de
racailles sont incapables d’admettre. Faut-il ajouter que les deux stars, Benzema (qui affirme que le pays de son cœur est l’Algérie) et Ribery (sélectionné parce qu’atout numéro un de Nike)
n’ont absolument rien montré, lors des deux premiers matches, si ce n’est qu’ils jouent systématiquement entre eux. Comment des sélectionneurs peuvent-ils appeler en équipe nationale des
joueurs n’acceptant pas une simple remarque, plutôt que des footballeurs sains. Certes, il y a bientôt vingt ans, Cantona, qui n’est pas musulman à notre connaissance, s’était
distingué en traitant le sélectionneur de l’époque, Henri Michel, de « sac à merde ». Mais il n’avait pas été sélectionné par Aimé Jacquet lors de la coupe du Monde 1998, celui-ci
estimant qu’être international nécessitait des qualités footballistiques et humaines que ne possédait pas celui qui était pourtant à l’époque l’idole de Manchester United.
Quel est ce masochisme de Laurent Blanc, en dehors des intérêts mercantiles (le poids de Nike et le fait qu’il ait le même agent que nombre d’internationaux) qui le conduisent à sélectionner
des Benzema, Ribery, Ben Arfa ou Nasri. N’y a-t-il pas dans cette équipe des joueurs comme Johann Cabaye, Marvin Martin, Laurent Koscielny, Olivier Giroud, Mathieu Valbuena, voire d’autres
restés à la maison, qui ont au moins autant de qualités footballistiques que les islamo-racailles Ben Arfa, Nasri ou Ribery, et qui, surtout, se montrent davantage au maillot et à ses
valeurs ?
Le sommet de l’hypocrisie sera atteint par l’ineffable « Grande Gueule » de RMC Karim Zeribi, celui qui a bouffé à tous les rateliers de la gauche, et a même failli se vendre à
Gaudin, qui, voulant, comme à son habitude, défendre les siens, essaiera de démontrer que les mauvaises attitudes n’ont rien à voir avec l’origine sociale ou ethnique. Belle histoire, Karim
Zeribi, mais c’est quand même Anelka-Ribery qui ont mis le souk en 2010, et Nasri-Ben Arfa qui continuent la brillante œuvre de leurs co-religionnaires ! Mais quand on s’est fait épingler
par les « Bobards de l’info » pour avoir affirmé, toujours aux grandes gueules, que les
musulmans sont les moins communautaristes de France, on peut sans doute tout se permettre !
YouTube
http://www.youtube.com/watch?v=VVdvEJAwDqI&feature=player_embedded
Ceci dit, l’équipe de France est qualifiée pour les quarts de finale de l’euro, et sera opposée à l’Espagne, championne du monde. Tout oppose ces deux équipes. Tous les Espagnols montrent leur
attachement à leur patrie, peu de Français le font. Ce qui anime l’équipe ibérique, ce sont des grands joueurs qui mettent leurs qualités au service du collectif, alors que nombre de joueurs
français, moins bons individuellement, jouent de manière très personnelles, se croyant plus beaux qu’ils ne sont. La meilleure illustration consiste à comparer la réaction de Fabregas, joueur
vedette espagnol, et de Nasri, quand ils marquent un but. Fabregas, un des meilleurs joueurs mondiaux, ancien capitaine d’Arsenal, pourrait pourtant se sentir frustré de ne pas être titulaire
au coup d’envoi, à cause de la qualité du milieu de terrain espagnol, avec Xavi, Iniesta, Busquets et Alonso. Mais quand il marque un but, par ailleurs superbe, grâce à une frappe
exceptionnelle, il ne met pas son doigt sur la bouche, et ne dit pas aux journalistes de son pays de fermer leur gueule. Il ne se tourne pas avec un air revanchard vers le ban de touche
et le sélectionneur, avec une mimique vengeuse. Il se contente de respecter les choix de son coach, même s’ils le frustrent, de serrer les poings et d’être content d’avoir participé, avec le
rôle que le coach lui attribue, à la victoire de son pays. Et pourtant, Nasri n’arrive pas à la cheville de Fabregas !
Tout ce qui sépare l’Espagne de Del Bosque de la France de Laurent Blanc, pourrie par quelques attitudes de racailles que le sélectionneur a eu la faiblesse de prendre dans son équipe, est
résumé par ces deux attitudes. Bien évidemment, sur un match, la France peut battre l’Espagne. Parce que patriote, je ne le souhaite pas, car ce serait une catastrophe pour l’amour du maillot
et les valeurs du football, au niveau technique et comportemental.
Allez l’Espagne !Allez l'Allemagne!
Pierre Cassen