Imaginez la civilisation qui a produit ce qui suit.......................................
A. Vivaldi: Dresden concerto for violin, strings & b.c. in G minor (RV 323)
L'ignorance engendre l'indifférence et même l'ennui. Si l'on ne sait rien, comment s'intéresser ?Jean de Viguerie.
Imaginez la civilisation qui a produit ce qui suit.......................................
A. Vivaldi: Dresden concerto for violin, strings & b.c. in G minor (RV 323)
prix:22,00 euros -5%
Longtemps, Jonathan Safran Foer, 33 ans, écrivain mondialement célébré pour ses romans Tout est illuminé et Extrêmement fort et incroyablement près, n'a pas aimé les animaux et a mangé de la viande. Sans penser à ce que cela signifiait et à la façon dont un animal était réduit à un quantum de calories. Puis il a découvert que cela n'allait pas de soi, sous le coup de deux révélations personnelles : une grand-mère qui, mourant de faim, refusa de manger du porc ; un fils qu'il découvrit, ébahi, se jeter sur le sein maternel... Il s'est alors demandé : quel sens cela a-t-il aujourd'hui de manger des animaux ? Pour en tirer, aujourd'hui, non un pamphlet ou une polémique, mais un essai, au sens de Montaigne.
La nourriture lie entre eux les membres d'une famille et les générations, ce qu'on appelle une culture. Mais la viande ? Plus que toute autre nourriture, un aliment chargé de sens, "un mélange de terreur, de dignité, de gratitude, de vengeance, de joie, d'humiliation, de religion, d'histoire et, bien entendu, d'amour".
Différence symbolique
La réflexion de Foer n'est pas radicale. Il ne considère pas que les animaux aient des droits sur les hommes, mais que l'homme a des devoirs envers eux. Non pas le devoir de ne pas les manger (il reconnaît le poids ancestral qui fait que, dans toutes les cultures, l'homme est un loup pour l'animal), mais de les traiter de façon digne à tous les stades qui précèdent l'ingestion de leur chair : reproduction, élevage, abattage. Il maintient la différence symbolique instaurée par toutes les religions : "Même si nous sommes comme eux, ils ne sont pas nous." Cela nous autorise-t-il à les tuer, à les faire souffrir, puis à les manger ? Depuis des millénaires, l'homme tue pour manger la chair des bêtes et considère qu'elles sont là pour ça. Vivre, c'est tuer, mais ne peut-on vraiment pas faire autrement ?
Ajoutant à l'interrogation d'un penseur du quotidien le style d'un grand écrivain, Foer livre ici le récit des invraisemblables horreurs observées en trois ans d'enquête dans les élevages industriels et les abattoirs. Après avoir lu son réquisitoire, mangeurs de viande, vous n'êtes pas obligés de plaider coupable. Mais, en mangeant du fried chicken au fast-food du coin, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas.
Huit cents invités au dîner annuel du Conseil Représentatif des Institutions juives de France. Toute la classe politique présente en rangs serrés afin ’entendre les remontrances, récriminations et requêtes de cette officine. Comment une telle influence, un tel pouvoir même, sont-ils possibles dans une démocratie laïque ne reconnaissant officiellement que des citoyens tous pareillement égaux ? Pourquoi la classe politique française fait-elle preuve d’une telle complaisance à l’égard du CRIF et de ses dirigeants ? Fantasmes ou mensonges que cette puissance ? Une plongée dans l’histoire de cette institution et l’examen attentif des actions et réactions du CRIF tout au long de l’année 2009 et de la première partie de 2010, permettront au lecteur d'en juger.
prix : 18€
Martin Meissonnier, Roger Trilling, Frédéric Loore
C’est au cours d’un voyage à Bagdad que Martin Messonnier entend parler pour la première fois de l’uranium appauvri. Nous sommes en 1991, en pleine guerre du
Golfe. L’attachée au ministère de l’Information de Saddam Hussein parle de milliers d’enfants contaminés par les radiations d’uranium, des enfants malades, « victimes de déformations et de
toutes sortes de cancer ». À l’époque, personne n’accrédite la thèse de possibles contaminations par toxicité et radioactivité. L’uranium appauvri reste une simple composante chimique
d’armes d’intervention employée dans le conflit irakien, plus tard, en ex-Yougoslavie et peut-être aussi dans le conflit israélo-palestinien. Mais qu’on se rassure, scientifiques et militaires
sont là pour nous rappeler que les dangers à craindre sont insignifiants. Risque zéro, circulez, y’a rien n’à voir. Avec l’aide de ses confrères belges et américains, Frédéric Loore et Roger
Trilling, Martin Meissonnier s’est lancé dans une grande enquête d’investigation afin d’en savoir plus. Recoupant un grand nombre de témoignages de vétérans de la guerre du Golfe, de spécialistes
en physiopathologie, de civils présents sur le terrain et d’hommes du Pentagone, ce livre-document alerte l’opinion sur les conséquences dramatiques de ce nouveau type de guerre, une guerre
soi-disant « propre », c’est-à-dire, dans les faits, une guerre chimique, insidieuse et invisible, mais tout aussi mortelle.
Prix : 21,20€
410 pages
À retirer ou à commander :
LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE
15, AVENUE FOCH
Poutine, c’est l’homme que les Américains n’attendaient pas et qui a non seulement redressé la Russie, mais l’a sauvée du dépeçage en trois tronçons envisagé par Zbignew Brzezinski, de l’exploitation de ses ressources naturelles par les groupes étrangers, de l’encerclement par l’OTAN ! Intronisé par Eltsine, il a su très habilement s’imposer progressivement en changeant l’orientation politique du pays, après quelques hésitations vis-à-vis des Etats-Unis, tout en se débarrassant des encombrants oligarques. Par son action Poutine a d’ores et déjà sauvé la Russie, mais il va aussi probablement sauver l’Europe occidentale en lui proposant une aide et un autre modèle que le droit de l’hommisme décadent de façon à ce qu’elle puisse se libérer du protectorat militaire américain !
Dans un livre sur « la piratisation » de la Russie (1), Marshall I. Goldman, titulaire de la chaire d’études russes à l’université Harvard, raconte qu’à son arrivée à la tête de la Fédération de Russie, le nouveau président Poutine s’était indigné de l’écart entre les prix à l’export des hydrocarbures russes et les prix payés par les acheteurs. Où allait la différence ? Les accords de partage de production passés dans les années Eltsine, lorsque la Russie avait les genoux à terre, ont été renégociés avec une pression très musclée. Poutine a tenu à reprendre la main sur le pétrole russe en s’inspirant du modèle de l’Aramco en Arabie saoudite qui confère à la famille royale une puissance géopolitique considérable. Pour Vladimir Poutine, comme pour le général De Gaulle, le politique doit primer sur l’économique : « La superpuissance militaire est devenue superpuissance pétrolière sous Poutine, dont la mission est de porter la Russie comme une puissance respectée à défaut d’être crainte » assure M.Yu Bin de l’International Relations Center. (2)
Le 25 Octobre 2003, Mikhaïl Khodorkovski, patron de Youkos, était interpellé par les forces spéciales russes sur un aéroport de Sibérie. Il venait de participer quelques jours plus tôt à un forum d’affaires à Moscou en compagnie de Lee Raymond, l’un des directeurs d’Exxon, une « major » prête à participer pour 25 milliards de dollars à la fusion Youkos-Sibneft. Pour le Kremlin, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. L’idée que les capitaux américains d’Exxon-Mobil et de Chevron-Texaco s’infiltrent avec une participation de 40% dans le sanctuaire sibérien des hydrocarbures nationaux était inacceptable. Les Américains qui pensaient faire main basse sur le pétrole russe ont vu leurs efforts annihilés.(3) Par ailleurs, cette arrestation a marqué un « tournant décisif » dans les relations entre la Russie et les Etats-Unis. Khodorkovski finançait les partis d’opposition, entretenait les meilleures relations avec l’administration Bush et aurait été de surcroît candidat à l’élection présidentielle en mars 2008. Le destin de la Russie aurait été modifié si le président Poutine n’avait pas « brisé les rêves » de Khodorkovski et des Etats-Unis. De plus, sur le plan interne, l’Etat s’était vu contester le contrôle qu’il exerçait sur sa principale source de revenus : le bénéfice de la rente sur les matières premières. Divers mécanismes légaux ou illégaux avaient permis aux grandes sociétés russes créées dans le cadre des privatisations opaques de l’ère eltsinienne, qu’elles soient privées comme Ioukos ou semi-publiques comme Gazprom, d’échapper largement à l’impôt et aux taxes, privant l’Etat de toute manœuvre financière. Pour nombre d’observateurs, c’était le fonctionnement même de la Fédération qui se trouvait ainsi en péril. Bien des Russes considéraient que leur pays risquait véritablement, sinon d’éclater, en tout cas de perdre définitivement ses dernières chances de rebondir.
Par ailleurs Poutine a su briser l’encerclement de l’OTAN, l’Ukraine et la Géorgie n’étant plus candidats. On ne parle plus d’un bouclier anti -missiles en Pologne ! Il a rétabli l’autorité de la Russie dans le Caucase et en Asie centrale , les Américains n’étant présents , à prix d’or, aujourd’hui que sur une seule base militaire au Kirghizstan. Que n’aurait-on pas dit et peut on imaginer ce qui se serait passé si la Russsie, le chien de garde des Européens à l’Est, ne l’oublions jamais, avait perdu la guerre de Tchétchénie, avec le risque de se retrouver à Stravopol, point de départ de la colonisation russe au XIX ème siècle face à une déferlante islamiste, la Russie perdant par là même son prestige et son autorité en Asie centrale ! Une catastrophe semblable serait équivalente pour les Européens de l’Ouest à la prise de Byzance par les turcs en 1453 !
Vladimir Poutine a réussi aussi à stopper le mal pernicieux des révolutions orange, tout cela ayant été préparé sans aucun doute possible par la CIA avec les innombrables ONG du style de celles de Monsieur George Soros comme maitres d’œuvre ! Il a vu le danger démographique en redressant la barre de la natalité, la Russie risquant de se retrouver avec seulement 100 millions d’habitants en 2050, soit moins que la Turquie dans un territoire deux fois plus grands que les Etats-Unis ! Prenant l’exemple de Pierre le Grand, il a rétabli partiellement la puissance militaire russe, comme on a pu le voir en Géorgie et a compris, avec le Président Medvedev qu’il fallait favoriser les investissements étrangers tout en modernisant une économie trop tournée vers les matières premières.
Et enfin, et surtout, il a compris que le redressement, le rétablissement de la Russie passait par les valeurs traditionnelles, le patriotisme, l’Eglise orthodoxe, constituant un magnifique contre-exemple pour les démocraties européennes décadentes et aveugles ! L’autoritarisme excessif en Russie pour un Européen de l’Ouest correspond en fait à la dimension asiatique du pays et est seul à même d’éviter l’éclatement ; n’oublions pas aussi que la Russie a vécu pendant plus de deux siècles sous le joug mongol de la « Horde d’Or » Alors que les droitsdel’hommistes souhaitent que la Russie s’adapte au modèle occidental, c’est bien au contraire aux Européens de l’Ouest de retrouver leurs valeurs traditionnelles, de se sauver de la décadence actuelle tout à fait semblable à celle de la fin de l’Empire romain, en constituant un pôle franco-allemand carolingien centré sur le Rhin à Strasbourg qui se rapprocherait de la Russie en la prenant comme modèle, et tout cela grâce à Poutine, sauveur effectif de la Russie, sauveur potentiel de l’Europe de l’Ouest !
Marc Rousset
auteur de La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou, éditions Godefroy de Bouillon-538p-2009
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Pierre Lance |
Voir aussi :
Savants Maudits, Chercheurs exclus, Vol. 1
Pierre Lance
12 portraits de savants maudits:
_ Paul Kammerer - Biologiste autrichien, prouva l’hérédité des caractères acquis, encore niée aujourd’hui par les généticiens : «suicidé» par les
nazis en 1926
_ Antoine Béchamp - Professeur de chimie médicale, démontra contre Pasteur que bactéries et virus peuvent provenir de nos cellules et que l’asepsie
des êtres vivants est inexistante
_ Jules Tissot - Professeur de physiologie, confirma les thèses de Béchamp par des photographies de cellules d’une étonnante précision
_ René Quinton - Découvrit l’identité chimique de notre sang et de l’eau de mer. Il fut mondialement célèbre en 1906 pour avoir sauvé du choléra
des milliers d’enfants
_ Marcel Ferru - Professeur de clinique médicale infantile, démontra l’inefficacité et la nocivité du vaccin BCG que la France est le seul pays
européen à avoir rendu obligatoire
_ Edgard Nazare - Ingénieur en aéronautique, inventa la « centrale aérothermique «, productrice d’électricité solaire, qu’il ne put faire
accepter.
_ Marcel Macaire - Docteur ès sciences, expliqua la distribution ordonnée de tous les corps célestes et nia les dogmes de l’expansion de
l’univers
_ René Jacquier - Ingénieur chimiste, inventa un procédé d’oxygénation efficace contre de graves maladies, notamment cardiovasculaires. Invention
méconnue
_ Antoine Priore - Ingénieur électronicien, inventa une «machine à guérir le cancer» par un rayonnement de champs magnétiques. Invention
méconnue
_ Jean Solomidès - Médecin, inventa des substances capables de détruire les cellules cancéreuses. Découverte ignorée malgré les preuves de son
efficacité
_ Mirko Beljanski - Docteur ès sciences, créa des médicaments efficace contre le cancer mais ne put les faire agréer. Persécuté jusqu’à en mourir,
pour avoir guéri «illégalement»
_ Loïc Le Ribault - Docteur ès sciences, rénovateur de la police scientifique française, prouva l’efficacité thérapeutique du silicium organique,
agréé à l’étranger, mais non en France. Poursuivi pour «exercice illégal de la médecine»
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