Va t-il bientôt "pisser" dans son froc... de peur?
Il semble que commence à émerger à gauche une prise de conscience du danger que représente pour la Ripoublique française le mouvement d’opposition au mariage des invertis. Le Nouvel Obs s’inquiète désormais du « Moloch difficilement contrôlable » que la résistance au « changement de civilisation » voulu par le gouvernement Hollande lui semble accoucher.
Les médias aux ordres reprennent en boucle que le Printemps français serait articulé aux groupuscules d’extrême droite, croyant encore pouvoir manipuler le peuple en agitant sous ses yeux les vieux épouvantails. Il faudrait que le monde de la bienpensance commence à s’inquiéter de l’épuisement de sa sémantique stigmatisante. Il existe désormais en France une force capable de faire descendre dans les rues des millions de personnes sur lesquelles la rhétorique bâtie par les communistes après la seconde guerre mondiale n’a plus prise.
Mais il faut la comprendre, la Ripoublique n’a pas d’autre partition à jouer, elle ne peut compter que sur le mensonge, la manipulation et la violence physique. Et Soyons certains que si les deux premières ne parviennent pas à rétablir son ordre, elle n’hésitera pas à user de la troisième. Il est à craindre d’ailleurs que nous entrions désormais dans cette ultime phase, car la Ripoublique commence à être attaquée dans sa substance même. Le Printemps français n’a-t-il pas appelé à manifester aujourd’hui devant le Grand Orient de France ? L’opposition au mariage des invertis se rapproche donc toujours plus du centre névralgique du pouvoir au point que le crime de lèse-majesté semble avoir été commis par le Printemps français, ce qui explique la volonté de Valls de le dissoudre. C’est que le mensonge des mensonges risque désormais d’éclater au grand jour : la Ripoublique laïque est la projection dans le temps du projet religieux maçonnique satanique. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, et à ce titre chargé de formater la jeunesse de France pour lui faire prendre le virage de la « nouvelle civilisation », n’a pas fait mystère dans ses livres etinterview que la Ripoublique a pour fondement une religion ennemie du catholicisme, expliquant qu’elle est historiquement le produit de la maçonnerie.
Dans son livre La Révolution n’est pas terminée, il parle directement de l’inspiration religieuse de la ripoublique, il en indique le plan de marche, les buts poursuivis :
« C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi. »…
« La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi.»…
« En voulant éliminer et le déterminisme religieux et le déterminisme scientifique, la synthèse républicaine se trouve obligée d’inventer une métaphysique nouvelle et une religion nouvelle, où c’est l’homme, …, qui va apparaître comme un infini qui sans cesse « s’échappe à lui-même » (J. Lagneau) Cette religion n’est pas une religion du Dieu qui se fait homme. Elle n’est pas davantage d’ailleurs une religion de l’homme qui se fait Dieu. Elle est une religion de l’homme qui a à se faire dans un mouvement sans repos. »…
« Ce qui manque au socialisme pour s’accomplir comme la pensée des temps nouveaux, c’est une religion nouvelle : « Donc un nouveau dogme, un nouveau régime, un nouveau culte doivent surgir, afin qu’une nouvelle société prenne la place de l’ancienne. » (Littré) » …
« C’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin, en étant à la fois une révolution morale et une révolution matérielle, et en mettant la seconde au service de la première. » ( La Révolution n’est pas terminée, Vincent Peillon)