L'ignorance engendre l'indifférence et même l'ennui. Si l'on ne sait rien, comment s'intéresser ?Jean de Viguerie.
Hier, dimanche, la milice antichrétienne Femen avait envoyé trois de ses furies en Italie. Pas à Rome pour perturber l'Angelus prononcé par Benoît XVI, cela avait déjà été fait le 13 janvier dernier. Cette fois, elles intervenaient à Milan, au moment où Silvio Berlusconi se présentait à son bureau de vote.
Ci-dessous, les cartes de presse qui leur ont permis d'attendre Berlusconi au milieu des journalistes. Voilà qui pose une fois de plus la question de la collusion entre les FEMEN et certains journalistes aux accents très militants.
Quand le ministre de l'Intérieur
va-t-il enfin sévir contre ce mouvement FEMEN connu pour une longue liste de délits et une pathologie antireligieuse inquiétante ?
Journal hebdomadaire de Voix de la Russie – 25 février 2013
Adoption d'enfants marocains en Espagne : ils devront rester musulman
L'Espagne vient de signer un accord avec le Maroc en vue de faciliter l'adoption
d'enfants marocains par des parents espagnols non musulmans en se pliant aux conditions posées par le gouvernement islamiste : elle s'oblige ainsi à établir ou accepter un mécanisme de
contrôle par les autorités religieuses marocaines pour vérifier que ces enfants sont élevés dans
l'islam et ne se convertissent pas au christianisme. Un contrôle qui vise à assurer le respect de la kafala : l'enfant doit conserver son nom de famille, sa nationalité et bien
sûr sa religion, chose qui pourra être régulièrement vérifiée jusqu'à la majorité de l'enfant.
L'accord a été accepté pour des raisons « humanitaires » par le ministre de la
Justice espagnol, Alberto Ruiz-Galardon, vu le blocage de plusieurs dossiers en cours. Il permet, explique-t-on, d'éviter que les candidats espagnols à l'adoption soient obligés de se
convertir à l'islam voire d'aller habiter plusieurs années au Maroc, sans d'ailleurs être assurés de la réussite de leur demande.
L'annonce de cet accord a été faite le 17 février dernier par le ministre, et elle a
été bien accueillie à Rabat, mais aussi, nous apprend le site anti-islamiqueminutodigital.com, par
une association d'Amis du Maroc qui a régulièrement protesté contre le baptême d'enfants marocains accueillis dans des familles espagnoles.
Que se passera-t-il donc si les parents adoptants ne respectent pas leur engagement ?
L'histoire ne le dit pas : punition pour eux, peut-être, séparation des infidèles et de l'enfant sans doute.
Soyons clairs : il me semble parfaitement acceptable de demander, si l'on confie un
enfant à l'adoption, qu'il soit élevé dans la foi de ses parents ou de sa mère. Ou qu'il ne soit pas confié à un couple d'homosexuels par exemple, ce qui par les temps qui courent sera
de plus en plus difficile à obtenir.
Le vrai problème est triple :
1. Que des parents non-musulmans soient prêts à élever un enfant dans l'islam, et,
s'ils sont chrétiens, qu'ils prétendent l'éduquer en dehors de la lumière de la Foi et sans la grâce du baptême ;
2. Qu'un contrôle puisse être exercé par des autorités religieuses étrangères,
mettant en cause une relation entre adoptants et adopté ;
3. Qu'une loi de l'islam, un élément de la sharia soit pleinement reconnu sur le
territoire espagnol, à travers la kafala qui par ailleurs est une réalité qui permet de combiner l'insécurité juridique pour l'enfant et un puissant moyen d'introduction de nouveaux
musulmans dans une terre « infidèle ».
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Par France Presse Infos - Le Gaulois
L
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Bonjour Madame, qu’a pensé la spécialiste de la psychologie des foules que vous êtes des manifestations contre le « mariage pour tous » ?
Le déroulement de la manifestation ; la nature même des mots d’ordre et des chants ; la couleur rose apaisante et inoffensive des panneaux, des tee-shirts, des écharpes ; la scission des cortèges, venus de trois endroits différents, ce qui diluait l’effet de masse ; le caractère très lent de la marche, souvent stoppée par de longues minutes passées dans le froid, ce qui minimisait l’échauffement des corps mais aussi des esprits ; tout était fait pour que ne se produise pas de phénomène de foule, c’est-à-dire la fusion des individualités en un « moi collectif » animé d’une pensée commune, et parcouru de sentiments contagieux comme la colère ou l’enthousiasme. Or, seule la puissance invincible d’une véritable "foule" au sens psychosociologique du terme peut faire peur à un gouvernement jusqu’à le faire plier, comme ce fut le cas en 1984.
Que faudrait-il, le 24 mars, pour que les gentils manifestants se changent en foule ?
En priorité, il faut deux choses : des mots d’ordres et un chef. [...] Le message, pour générer l’action, doit être simple, clair, univoque. On ne peut pas faire dire à une foule qu’on souhaite mobiliser vraiment deux choses à la fois, surtout si elles sont presque exclusives l’une de l’autre. Sinon le message est brouillé, donc inefficace. Ainsi, en l’espèce, on ne pouvait pas, d’un côté, refuser d’appeler « mariage » la légalisation de la vie commune de deux hommes ou de deux femmes et refuser que cette union ait les mêmes conséquences que celle d’un homme et d’une femme ; et, d’un autre coté, reprendre à son compte le terme même qui justifie ces revendications : la lutte contre l’homophobie. Donc mettre sur les tracts appelant à manifester, sous le mot d’ordre principal, « manif’ pour tous » (qui était déjà un clin d’œil amical à l’appellation fallacieuse de « mariage pour tous » des adversaires - ce qui n’est pas très bon), un second mot d’ordre : « lutter contre l’homophobie », lequel brouillait le message.
[...] Virginie Telenne, alias Frigide Barjot, s’est attirée (...) la sympathie et la reconnaissance des catholiques en soutenant le pape Benoît XVI dans les médias à une époque où ceux-ci ne faisaient que relayer les critiques de toutes sortes et les attaques les plus violentes contre le « pape allemand ». Mais elle l’a fait en utilisant le personnage de parodiste, forgé pour elle par son mari Basile de Koch alias Bruno Telenne (qui, lui, reste dans la dérision dans sa manifestation « le mariage pour personne » en marge de la manifestation officielle). Or, ce surnom a une connotation positive, puisqu’il évoque Brigitte Bardot, gloire nationale, très belle actrice, femme attachante, passionnée de la cause animale. Mais dans le même temps, il a la connotation péjorative à cause de deux adjectifs peu valorisants : « frigide » et « barjot ». Or le sujet est grave et comme le notait déjà La Bruyère : « Le caractère des Français demande du sérieux dans le souverain ». Un chef doit être « auréolé de prestige » , ce que la dérision exclut de facto. Il n’est pas là pour plaire, et il ne doit pas craindre d’être accusé de ne pas être « gentil ».
[...] Jean-François Copé a manifesté, mais interviewé par les journalistes pendant la manifestation, il a dit que ce qui le gênait surtout, c’était la GPA et la PMA, plus que le texte lui-même : message non clair, là encore. Monsieur Guaino a fait un beau témoignage, émouvant, sur sa propre difficulté à avoir vécu une enfance sans père. Mais il a atténué considérablement l’effet produit en protestant lui aussi longuement contre l’« homophobie » comme s’il était accusé et non accusant. François Fillon a été le plus clair, parlant lui aussi d’abrogation, mais brièvement, dans une intervention liminaire au vote à l’Assemblée, non médiatisée. Quand aux centristes, entre ceux qui « se sont trompés de bouton » et « ceux qui étaient sortis au moment du vote » (zut, pas de chance, c’est déjà voté !), on ne les voit pas en leaders sur ce sujet !
Quelles sont les autres conditions du succès ?
Changer de style. Le souci de satisfaire une mode « festive » et son métier, le spectacle, ont conduit Frigide à organiser une sorte de parodie de gay pride avec chars, chants, musique disco et techno, « tubes » de l’été… La scène dressée sur le Champ-de-Mars évoquait un theâtre, une émission de télé-divertissement, pas un meeting politique. Seul le jeune Xavier Bongibault a eu un mot politique. Il a comparé Hollande à Hitler parce qu’il veut « enfermer les homos dans une définition dictée par leurs choix sexuels ». Mais pour cette remarque, à l’efficacité médiatique immédiate, il s’est fait tancer par Frigide, et s’est tout de suite excusé. Ce choix du festif et du non-politique n’est pas mobilisateur, car il maintient les manifestants dans le bien-être des retrouvailles de ceux-qui-pensent-comme-eux, et les bercent de la certitude fallacieuse d’une opinion largement répandue. Se réunir devient alors le but de la réunion. Par ailleurs, à cette foule qui attendait des mots d’ordre parce qu’elle avait reçu un choc - celui d’un projet de loi ouvrant le mariage à deux hommes entre eux ou à deux femmes entre elles - la réponse apportée par Frigide Barjot a été de dire que c’était pas vrai, qu’à un enfant il faut un papa et une maman, que les enfants naissent d’un homme et d’une femme. Et la foule a récité ou chanté cela un peu comme une litanie ou une comptine apaisante et auto-convaincante. Mais on ne lui a pas demandé (et on le lui a même interdit - les mots d’ordre et chants étant limités et imposés) de dire que ce n’est pas bien. Pour obtenir un résultat politique, il faut mener la foule vers une action politique.
[...] Alors oui, on peut en effet imaginer qu’une foule immense réunie à nouveau le 24 Mars, sans flons flons, en un immense ruban compact comme en 1984 - et non divisée en trois cortèges, avec des slogans, banderoles et chants non pas imposés par le rose bonbon mais décidés par des chefs d’établissements scolaires, des religieux, des paroissiens, des chefs de syndicats et de partis, qui défileront suivis de leurs adhérents ou ouailles, dans une gravité et une colère véritable contre la dénaturation de notre modèle sociétal. Ceux qui l’imposent pourraient faire changer le cours des choses.
[...] Autre modification nécessaire : il ne faudra pas isoler par un « cordon sanitaire » les manifestants du reste de la rue comme çela a été fait le 13 janvier. Pour que la foule agisse, qu’elle remporte le combat qu’elle livre, il faut que la rue puisse la rejoindre, la suivre, s’y agréger, il faut que la rue réagisse. Pour et contre, pourquoi pas ? La manifestation de Civitas du 18 novembre a été portée à la connaissance du monde entier en moins de 2 heures par les médias à cause de l’attaque des Femen. Il ne s’agit pas de provoquer les incidents, mais il faut laisser les adversaires montrer ce qu’ils sont et ce qu’ils veulent. La présence de la police doit suffire à éviter les débordements.
[...] Dans le cas présent, des milliers d’officiers municipaux sont opposés à ce projet. Devront-ils se démettre de leurs fonctions, renoncer à leur mandat parce qu’ils se seront mis en infraction en refusant d’appliquer cette loi et donc de « marier » des hommes entre eux ou des femmes entre elles ? Un joli but politique serait alors atteint pour l’actuelle majorité : démission garantie de tous les maires catholiques de droite, et des élus « réfractaires » de gauche ! Ne vaudrait-il pas mieux prendre les devants, et que les maires disent comme Mirabeau qu’ils sont dans leur mairie « par la volonté du peuple et qu’ils n’en sortiront que par la force des baïonnettes », mais qu’on ne les forcera pas à faire cet acte contraire à leur conscience ? [...]"
Des milliers de prêtres et de religieuses devront-ils tomber sous le coup de la loi, astreints à des amendes conséquentes pour avoir simplement dit ce que la religion qui est leur vocation et leur vie leur enjoint de dire sur ce sujet ? L’Eglise va-t-elle demain être mise hors-la-loi ? (...)
(source : Le rouge et le noir / Le salon beige)Le conducteur de la voiture Malamine Traoré qui, selon une source proche de l'enquête n'aurait pas freiné avant de percuter la voiture de police.Son passager Medhi Bensassout et lui étaient ivres et roulaient sans permis....Arrêtons de rendre les effets supérieurs à la cause!Un accident?Non un meutre!S'il n'y avait pas eu infractions et course-poursuite,les policiers seraient vivants.S'il n'y avait pas un laxisme généralisé des gouvernants,les policiers seraient vivants.Laissez les policiers faire leur travail et la délinquance reculera.
AFP.Deux policiers ont été tués et un troisième blessé jeudi matin dans un accident survenu dans le nord de Paris sur le
périphérique quand leur véhicule a été "percuté par l'arrière", a annoncé le porte-parole du ministère de
l'Intérieur. L'accident s'est produit sur le périphérique intérieur entre la porte de Clignancourt et la porte de la Chapelle, selon le ministère.
Selon les premiers éléments, le véhicule des policiers, qui étaient en mission, a été percuté par l'arrière par un 4 x 4. Cette voiture, occupée par deux hommes, avait été prise en chasse au niveau de la porte Maillot en raison de multiples infractions au Code de la route. Roulant à vive allure sur le périphérique, elle a semé cette première équipe avant de percuter, dans des circonstances qui restent à déterminer, une autre voiture de la BAC qui avait été avertie, a-t-on précisé.