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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 07:49

D'espoir et de promesse

 

Prix conseillé : EUR 20,00
Prix : EUR 19,00

 

  • La présentation de l'éditeur

Entre le Canada et la France, la reconstruction d'une femme trahie.

Anaba Rivière, une Française d'origine amérindienne, s'apprête à épouser Lawrence Kendall, un brillant avocat canadien. Le jour du mariage, devant le Palais de Justice de Montréal, Anaba et sa soeur Stéphanie attendent en vain le marié. C'est son témoin et ami Augustin, auteur de romans policiers, qui annonce à la jeune femme la mauvaise nouvelle : Lawrence a eu peur de s'engager et a subitement quitté la ville. Anéantie, Anaba rentre en France et s'installe chez sa soeur, antiquaire en Normandie. Peu à peu, la jeune femme se bâtit une nouvelle vie...

À Montréal, Lawrence est aux abois. Il perd son poste dans le prestigieux cabinet d'avocats où il travaillait, puis doit se résoudre à vendre son duplex pour payer ses créanciers. Mais, surtout, pas un jour ne se passe sans qu'il pense à Anaba. Il l'aime toujours, mais comment revenir à elle ? Pourra-t-elle un jour lui pardonner et accepter de le revoir ? Commence alors pour lui une longue descente aux enfers...

Également scénariste pour la télévision, Françoise Bourdin a écrit une trentaine de romans dont quatre ont été portés à l'écran. Son univers s'enracine dans les histoires de famille, les secrets et les passions qui les traversent. Depuis le succès de L'Inconnue de Peyrolles, en passant par Sans Regrets, Une nouvelle vie et Mano a mano, ses livres, publiés chez Belfond depuis 1994, séduisent toujours davantage de lecteurs.

Née à Paris de parents chanteurs lyriques, Françoise Bourdin baigne dès son jeune âge dans un univers artistique et féerique. Passionnée d'équitation depuis l'adolescence, elle passe plus de temps à cheval que sur les bancs du lycée Victor-Duruy. Son autre passion est la littérature, et elle dévore les classiques des étés durant. À l'âge de quinze ans, elle commence à écrire des nouvelles, puis un premier roman naît, Les soleils mouillés (1972), qu'elle publie chez Julliard alors qu'elle n'a que vingt ans. Depuis le succès des Vendanges de juillet jusqu'à celui du Secret de Clara, ses romans, pour la plupart publiés aux éditions Belfond, ont conquis de plus en plus de lecteurs et beaucoup ont été adaptés à la télévision. Parallèlement à son activité de romancière, Françoise Bourdin est également scénariste pour le petit écran.

 

LIBRAIRIE PRESSE:

Neuilly-Plaisance

15,avenue Foch

93360

tel:01.43.00.09.11

 

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:52
Histoire de la messe interdite - Fascicule 2

Jean Madiran

Histoire de la messe interdite - Fascicule 2

Format : 20.5 x 13.5 cm

Pages : 160

Prix : 17 €

 

   Les Éditions Via Romana ont entrepris de publier en fascicules successifs une Histoire de la messe interdite.

   La messe interdite, c’est LA MESSE CATHOLIQUE TRADITIONNELLE, LATINE ET GRÉGORIENNE, SELON LE MISSEL ROMAIN DE SAINT PIE V, également nommée « messe tridentine », dont la dernière édition a été faite par Jean XXIII en 1962.

   Interdite en 1969 par la hiérarchie ecclésiastique, libérée en 2007 par le pape Benoît XVI et néanmoins toujours disqualifiée par la majorité des épiscopats, cette messe n’est cependant pas tombée en désuétude, elle n’a pas cessé d’être célébrée par un nombre croissant de prêtres et de communautés, avec un nombre également croissant de pratiquants.

   Les fascicules paraissent à des intervalles plus ou moins réguliers, selon l’avancement de leur rédaction.

Sommaire du fascicule 2 :

— La succession (1976-1978)
— Marcel Lefebvre (1905-1991)
— L'affrontement interminable (1979-1988)
— L'autre année climatérique (été 1988 - été 1989)

Dans la presse
Renaissance catholique, n° 107, mai-juillet 2009 

   À un moment où la « paix liturgique » est loin d'être acquise [...], on comprendra l'importance de cette Histoire de la messe interdite, écrite par un contemporain des faits qui ne fut pas seulement un témoin mais aussi un acteur de ce drame sans précédent. On ne peut qu'espérer une parution prochaine du troisième fascicule [...]
Alain Rostand

Le Bulletin des lettres, n°684, octobre 2009

   Le deuxième fascicule du récit de cette incroyable histoire couvre, en gros, les dix années qui suivirent la mort du pape Paul VI, en 1978. Elles furent marquées, en ce qui touche le sujet, par la rupture éclatante d’Écône, et par les petits pas avancés par Jean-Paul II pour libérer la messe traditionnelle de l’interdiction imposée en fait, non en droit, par un épiscopat obstinément engoncé, de façon inexplicable, dans ce qu’on est bien obligé d’appeler une opposition larvée au pape. Il va de soi que la rupture ne favorisa guère le succès des petits pas.
   Comme dans le premier fascicule, le récit des faits est accompagné d’une chronologie détaillée et appuyée sur une masse de citations éclairantes. Le tout, dans un esprit, non de polémique, mais de critique impitoyable, attaché à établir la réalité des faits.
Henri Hours

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:51
Histoire de la messe interdite - Fascicule 1

Jean Madiran

Histoire de la messe interdite - Fascicule 1

Format : 20.5 x 13.5 cm

Pages : 121

Prix : 17 €

 

   Les Editions Via Romana ont entrepris de publier en fascicules successifs une Histoire de la messe interdite.

   La messe interdite, c'est la messe catholique, traditionnelle, latine et grégorienne, selon le Missel romain de saint Pie V, également nommée "messe tridentine", dont la dernière édition a été faite par Jean XXIII en 1962.

   Interdite en 1969 par la hiérarchie ecclésiastique, cette messe n'est cependant pas tombée en désuétude, elle n'a pas cessé d'être célébrée par un nombre croissant de prêtres et de communautés, avec un nombre également croissant de pratiquants.

   Les fascicules paraîtront à des intervalles plus ou moins réguliers, selon l'avancement de leur rédaction.

Sommaire du fascicule 1 (~ 1964-1976) :

— L'année climatérique (1969)
— Cristina Campo (1923-1977)
— L'interdiction refusée (1970)
— Le cheminement de l'interdiction (1971-1976)

Du même auteur :

Histoire de la messe interdite - Fasc. 2

L'accord de Metz ou pourquoi notre Mère fut muette
Les vingt-cinq ans de "Présent"
La trahison des commissaires
Enquête sur la maladie de la presse écrite
Chroniques sous Benoît XVI

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:49
La vocation chrétienne de la France

Jean-François Chemain

La vocation chrétienne de la France

Format : 20.5 x 13.5 cm

Pages : 145

Prix : 17 €

 

   Le débat actuel sur l’identité nationale relance la réflexion sur les fondements historiques et religieux de notre Pays. L’auteur a donc choisi d’aborder ici le rôle méconnu joué par le christianisme dans la formation et l’épanouissement de la communauté française.
   Du baptême de Clovis à l’héroïsme de sainte Geneviève ou de sainte Jeanne d’Arc, de l’Occident de Charlemagne au doux royaume de saint Louis, du vœu de Louis XIII au martyre de Louis XVI, du concordat de Bonaparte aux lois de séparation des Églises et de l’État, Jean-François Chemain ressuscite dans un style vivant et coloré les principaux rendez-vous de notre Histoire avec le sacré. Royaume de Marie, la France est appelée à l’être du Sacré-Cœur en dépit des déchaînements successifs du laïcisme révolutionnaire et des assauts de l’islamisme.
   C’est la mise en évidence de cette vocation spirituelle et temporelle de la France « éducatrice des sociétés » dont parlait Jean-Paul II que réussit ce petit livre, sans esquiver la question de sa fidélité de première baptisée en Europe.

L'auteur

   Lyonnais, né en 1961, Jean-François Chemain est diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris, diplômé d'Études approfondies de droit international et agrégé d'Histoire. Il termine actuellement une thèse d'Histoire du droit. Il a exercé pendant une dizaine d'années le métier de consultant international dans plusieurs cabinets anglo-saxons, avant de devenir cadre dirigeant dans un grand groupe industriel français. Depuis 2006, il a choisi d'enseigner l'Histoire, la Géographie et l'Éducation Civique à Vénissieux-Les Minguettes dans un collège de Zone d'Éducation Prioritaire de la banlieue lyonnaise.

Dans la presse
France catholique, 5 avril 2010 

   Professeur d’Histoire au parcours singulier — à 45 ans, il a laissé sa carrière de juriste pour passer l’agrégation et aller dès lors enseigner dans une banlieue sensible —, Jean-François Chemain vient d’écrire un livre dont le titre pourrait paraître réducteur. Disserter sur La vocation chrétienne de la France semble en effet relever d’une approche purement religieuse de la civilisation qui s’est développée sur notre sol. Il n’en est rien : l’œuvre est historique au meilleur sens du terme, même si elle se nourrit du christianisme autour duquel s’est développée la nation franque accrochée au substrat gallo-romain.
   En forçant à peine le trait, on peut écrire que le lecteur aura l’impression de se retrouver dans une saga à la Max Gallo. Comme lui, l’auteur excelle à prendre en compte l’ensemble des composantes du passé national et, contrairement à des penseurs plus traditionalistes — pour ne pas dire intégristes —, il cite aussi bien Napoléon et le général de Gaulle que saint Louis et Jeanne d’Arc. Il intègre même les Lumières — où il décèle une « inspiration toute chrétienne » — et la laïcité à la française — « la France est […] un pays laïque parce que pétrie de tradition chrétienne ». Il n’hésite d’ailleurs pas à regretter ouvertement que la séparation de l’Église et de l’État n’ait pas été prononcée plus tôt.
   Cette position originale est due à sa hantise du césaropapisme, autrement dit la vieille tendance de l’État à décider à la place de l’Église, dont il décèle l’origine chez Constantin et dont il montre que le Saint Empire romain germanique a été le propagateur très intéressé. Cela lui permet, au passage, de montrer que, malgré les tentatives gallicanes de contrôle de l’Église par le souverain régnant à Paris, la papauté a généralement trouvé avantage à s’appuyer sur une France lui garantissant sa liberté d’action. Il convient enfin de relever la jubilation avec laquelle Jean-François Chemain refuse le « sport national » de la repentance. Donnant maints exemples de ce qui est diffusé notamment dans le cadre de l’Éducation nationale, il s’interroge d’une manière faussement benoîte : « De quels crimes […] ne sommes-nous pas coupables, nous qui vivons entourés d’innocents ? » Cela lui permet d’opposer à notre caractère celui des Britanniques, non seulement parce qu’ils ont célébré Trafalgar alors que nos responsables politiques craignaient d’évoquer Austerlitz, mais aussi parce qu’ils mettent en avant sans mauvaise conscience tout leur « passé impérial et colonial ». Plus généralement, il ne craint aucune comparaison avec d’autres pays, constatant simplement que le christianisme a apporté, particulièrement en France, « la possibilité d’éclosion et d’expansion d’une société de liberté et de progrès ».
Jean Etevenaux

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:47
Ces ministres qui servirent la France

Marie-Magdeleine del Perugia

Ces ministres qui servirent la France

Format : 23 x 17 cm

Pages : 72

Prix : 15 €

 

   Marie-Magdeleine del Perugia raconte ici aux jeunes la formation politique et sociale de notre Pays.
   La France a été dirigée par des rois et chefs d’État secondés par des ministres. Quel fut l’apport de ces ministres en politique intérieure et extérieure depuis les Capétiens, les Valois, les Bourbons, l’Empire, jusqu’à Napoléon III ?
   Comment la France a-t-elle été gouvernée jusqu’en 1860, date où elle atteint sa plénitude territoriale par l’acquisition de la Savoie et du comté de Nice ?
   Dans un charmant dialogue entre « Grand-mère » et petit Paul, l’auteur fait découvrir l’histoire de France aux enfants en exposant le dévouement de beaucoup de ces ministres au service de l’État.


   Docteur ès lettres de l’Université de Paris, l’auteur a déjà publié Madame Louise de France, carmélite et vénérable, fille de Louis XV (prix Renaissance), Madame de Pompadour, Montcalm et Comment se fit la France.

Du même auteur :

Ces marins qui défendirent la France
Ces saints qui protégèrent la France

 
Dans la presse
L’Homme Nouveau magazine, n° 1418, samedi 29 mars 2008

Tout le monde connaît, bien sûr, La Bible d’une grand-mère, de la comtesse de Ségur, ce dialogue entre une grand-mère et ses petits-enfants. Marie-Magdeleine del Perugia a repris cette merveilleuse idée pour faire connaître à nos enfants les grands ministres qui servirent la France. Suger, Jacques Cœur, Sully, Richelieu, Mazarin, Colbert, etc. jusqu’aux ministres de Napoléon III. Ce charmant dialogue entre grand-mère et Paul fait suite à Comment se fit la France, qui racontait la formation de notre pays. Mais il peut aussi se lire indépendamment. Les chapitres sont courts et joliment illustrés. Dommage que les images soient en noir et blanc ! Accessible à des garçons ou des filles à partir de 9 ans, déjà lecteurs, ce livre peut aussi se lire à plusieurs et à haute voix. De bons moments en perspective à partager avec nos enfants à la découverte de notre histoire de France et de ces hommes dévoués à un pays, le nôtre !

 

Samedi 15 mars 2008 

   Marie-Magdeleine del Perugia propose pour les enfants (jusqu’en classe de 6e ou 5e) [un ouvrage assez proche, même s’il a été conçu avec un autre plan et un tout autre esprit]. Elle présente Ces ministres qui servirent la France, en une vingtaine de chapitres qui vont des premiers Capétiens jusqu’à la Restauration. Le choix est résolument didactique. Chaque chapitre présente un personnage, sous une forme dialoguée entre un enfant et sa grand-mère qui lui apprend l’histoire de France. L’anecdote n’empêche pas de dire pour chacun des grands ministres évoqués ce qu’ils ont apporté à la France et quelle fut leur œuvre. Des illustrations viennent agrémenter l’ouvrage qu’on ne peut que souhaiter voir prendre place dans toutes les bibliothèques familiales.

Yves Chiron

 

Monde et vie, n°791, 23 février 2008

   Vous souhaitez transmettre à vos enfants l’amour de la France, et, partant, de son histoire ? Pour éveiller leur curiosité et susciter leur intérêt, un seul moyen efficace : les amuser ! Par chance, certains ont ce don précieux de savoir joindre fantaisie enfantine et rigueur historique :

   Il y a d’abord Marie-Magdeleine del Perugia, avec son livre Ces ministres qui servirent la France. Façon La Bible de la comtesse de Ségur, on y trouve un dialogue vif et plein de sel entre un petit garçon et sa grand-mère. Après son désormais célèbre Comment se fit la France, Madame del Perugia a choisi de faire découvrir aux enfants ces grands oubliés de l’histoire scolaire que sont Suger, Turgot, Maupeou, Machaut d’Arnouville et bien d’autres encore. À la fois très synthétique et fourmillant d’anecdotes pittoresques, chaque petit chapitre fait surgir de l’ombre l’une de ses grandes figures sans l’appui desquelles nos rois n’auraient pu mener à bien leur mission. Il faut saluer le talent remarquable de Marie-Magdeleine del Perugia : d’un thème sérieux s’il en est, elle a su faire un livre plein d’humour, de joie et de fraîcheur.

   Gabrielle Cluzel

 

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:45
Ces saints qui protégèrent la France

Marie-Magdeleine del Perugia

Ces saints qui protégèrent la France 

Pages : 138

Prix : 15 €

 

   Beaucoup d’entre nous connaissent Vercingétorix, Clovis, Louis XIV ou Napoléon Bonaparte… Mais que savons-nous du rayonnement politique, spirituel et humain de Martin de Tours, Geneviève de Paris, Jeanne d’Arc, Vincent de Paul ou Thérèse de Lisieux ?
   Que savons-nous de leur influence sur la formation de notre pays, sur sa protection sociale, ses écoles, ses hôpitaux, ses missions, ses corps de métiers, ses fêtes et ses coutumes ?
   C’est à la découverte des hauts faits des saints et saintes qui protègent la France que nous invite ici Marie-Magdeleine del Perugia, retraçant pas à pas et pour tout public quinze siècles d’histoire sainte de la France.

L'auteur

   Docteur ès lettres de l’Université de Paris, Marie-Magdeleine del Perugia a déjà publié chez Via Romana Ces ministres qui servirent la France (2007), et Ces marins qui défendirent la France illustré par Guy Sajer (2008).

Dans la presse

L’Homme Nouveau
, n°1461, 16 janvier 2010

Ce troisième volet de la série de dialogues consacrés à la France invite les jeunes lecteurs à lever les yeux vers le Ciel. On retrouve avec plaisir Grand-mère et Paul pour parler des saints qui sont nés en France : Rémi, Denis, Geneviève, Jeanne d’Arc, le Curé d’Ars ou Charles de Foucauld. Impossible de tous les citer ! D’ailleurs, l’auteur lui-même a bien dû choisir. La terre de France fut fertile en sainteté. Un bel album dans la lignée des précédents, pour tous dès 10 ans ou à lire avec les plus jeunes.
Marie Lacroix

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:43
Petit dictionnaire des idées mal reçues

Ghislain de Diesbach

Petit dictionnaire des idées mal reçues

Genre : Essai

Format : 24 x 16.5 cm

Pages : 180

Prix : 20 €

 

Prix Renaissance 2009 

   Avec le sens aigu de la formule chic et choc, et le beau style qui le caractérise, Ghislain de Diesbach, en héritier de Voltaire, nous invite à cueillir les fruits acidulés de son jardin des lettres. De A comme... Abrutissement, Amour ou Aide Humanitaire à Z comme... Zidane, Zen, ZAC...

   Historien renommé, biographe et essayiste, l'auteur a publié une vingtaine d'ouvrages dont une biographie de Marcel Proust qui lui valut le Grand Prix de la Biographie de l'Académie française. Voici son premier dictionnaire de gentilhomme excentrique.

Du même auteur :
Une éducation manquée : souvenirs 1931-1948 
Gare Saint-Charles : souvenirs 1949-1957

Dans la presse

 

Ghislain de Diesbach interrogé par Christopher Gérard en janvier 2008

Nouvelle Revue d’Histoire, n° 33, novembre – décembre 2007

   Sur le mode caustique, ce Petit Dictionnaire est un miroir inversé de notre temps. Il en pointe les ridicules et les manies. Reportez-vous par exemple au mot « Psychanalyse ». De la réponse, on peut extraire cette conclusion : « En prétendant explorer les zones inconnues de l’esprit, les psychanalystes ont détruit l’homme, ainsi que des exploiteurs forcenés détruisent les forêts en Amazonie. Il faut laisser les consciences en friche. » Passons maintenant à la définition du couple « Gauche et droite » : « Il existe en France actuellement deux grands partis de gauche, dont l’un s’appelle la droite. » Accrochez vos ceintures pour la définition du syndrome Louis XVI : « Perversion de l’esprit chrétien consistant à aimer son ennemi plus que soi et à lui céder pour la raison qu’étant contre vous, il est forcément supérieur à vous moralement. » Agréablement provocateur Diesbach ajoute : « À défaut d’avoir un grand caractère et de la volonté, il faut du moins de la frivolité. Louis XVI en a manqué, ce qui l’a mené à l’échafaud. » Diesbach venge tous ceux que submerge la marée douceâtre des conventions.

Pauline Lecomte

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:41
Pâques 1916 : renaissance de l'Irlande

Philippe Maxence

Pâques 1916 : renaissance de l'Irlande

 

Pages : 400

Prix : 29 €

 

  • Une présentation pédagogique sous forme de manuel illustré, accessible à tous
  • Un moment clef de l’histoire irlandaise revécue heure par heure aux côtés d’hommes et de femmes de caractère (Michaël Collins, Eamon De Valera, Patrick Pearse…)
  • Une Cause nationale défendue Évangile à la main

   Nation catholique, l’Irlande a connu pendant plusieurs siècles une occupation étrangère et la soumission à une autre foi. En 1916, malgré l’échec apparent, est lancé le mouvement définitif de sa libération.

   Lundi 24 avril 1916, le soleil illumine Dublin. Vers 10 h, les hommes des Irish volunteers et de l’Irish Citizen Army font leur jonction avant d’investir la Grande Poste, symbole du pouvoir britannique. À midi, le jeune poète Patrick Pearse déclare solennellement l’indépendance de l’Irlande : « Au nom de Dieu et des générations, l’Irlande appelle ses enfants à se rallier à son étendard et à frapper pour sa libération. »

   La riposte anglaise est sanglante et pourtant, moins de six ans plus tard, tout bascule, le drapeau vert, blanc, orange flotte haut sur la Grande Poste.

   Voici pour le comprendre le dictionnaire complet de cette insurrection dont Philippe Maxence, en fin connaisseur de l’âme gaélique, dresse le portrait humain, géographique, politique et littéraire, avec le souci des motivations de chaque camp. Une rétrospective alerte et colorée qui donne le goût des libertés qui s’enracinent.

   Trois parties : L’histoire – Les dictionnaires – Les annexes.

L'auteur

   Philippe Maxence est directeur de la rédaction du bimensuel catholique L’Homme Nouveau. Il a publié une biographie de Baden-Powell chez Perrin en 2003.

Philippe Maxence est également l'auteur de L'univers de G.K. Chesterton, petit dictionnaire raisonné ; il a aussi collaboré à Paroles de croyants.

Dans la presse
Le Figaro magazine, 19 avril 2008

   Le combat des Irlandais pour se libérer du joug britannique dura des siècles. Même en Ulster, la mèche n’est pas complètement éteinte. La révolte de Pâques, déclenchée à Dublin le lundi 24 avril 1916, s’attira une féroce répression de la part des Britanniques. Et pourtant, cette défaite sur le plan militaire se transforma en victoire psychologique pour les Républicains irlandais. La cause de l’indépendance avait trouvé ses martyrs. C’est le récit de cette rébellion, de ses causes et conséquences, que nous narre Philippe Maxence, rédacteur en chef de L’Homme Nouveau et auteur d’une biographie de Baden-Powell. Cette rétrospective est accompagnée d’un épais dossier qui permet de prendre la mesure des événements : annexes, dictionnaires des protagonistes, des institutions, mouvements… À la lecture de cette épopée sanglante, on ne peut s’empêcher de méditer ce paradoxe, relevé par l’auteur : que l’Irlande contemporaine, aujourd’hui si prospère, née d’une révolte culturelle, utilise l’anglais, langue de l’envahisseur, et non le gaélique, dans la vie courante…

Jean-Marc Bastière

 

Les 4 Vérités hebdo, n° 634, 28 mars 2008

   L’histoire récente de l’Irlande est évidemment fort tourmentée. Depuis sept siècles, cette nation celtique est occupée par l’Angleterre et se révolte périodiquement – notamment lorsque l’Angleterre a prétendu lui imposer, non seulement sa loi politique, mais encore sa doctrine religieuse.

   Chacun sait, en particulier, que la nation irlandaise s’est toujours opposée à sa « protestantisation » forcée par les troupes anglaises. Ce fut, tout au long du XXe siècle, le long et douloureux combat de l’Irlande, d’abord dans le Sud, puis dans le Nord, toujours sous domination anglaise, que de défendre l’autonomie culturelle et religieuse de la petite « Erin ».

   En revanche, le détail de ce combat n’est pas toujours bien connu. Il faut donc être reconnaissant à Philippe Maxence, rédacteur en chef de notre confrère « L’Homme nouveau », de nous offrir une magistrale synthèse – sans fioriture inutile – de l’histoire de l’Irlande (du Sud) au XXe siècle.

   De l’Easter Rising et de la proclamation de la République d’Irlande en 1916 au Bloody sunday de 1920, de la guerre civile entre les deux héros de l’indépendance irlandaise Eamon De Valera et Michael Collins à la proclamation (cette fois acceptée par le Royaume Uni et les nations occidentales) de la République d’Irlande en 1949, le journaliste nous conduit à travers une histoire émouvante et trépidante…

   Cette histoire trouve enfin son achèvement sous nos yeux : le Sinn Fein, né de l’insurrection de 1916, a tendu la main à Belfast même aux ennemis irréductibles orangistes. La paix apparaît enfin à portée de la main.

   Pour la prospérité de ce petit pays qui nous est si proche, souhaitons que cette occasion historique ne soit pas une occasion manquée et que vienne enfin la paix des braves, dans le respect mutuel de ces deux grandes cultures que représentent l’Irlande de saint Patrick et l’Angleterre de Shakespeare, de Shaw et de Chesterton…

Pierre Baudouin

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:35
La pensée catholique de Jean-Sébastien Bach : la messe en si

Maxence Caron

 

Pages : 273

Prix : 27 €

 

Date de parution : 2010

La pensée catholique de Jean-Sébastien Bach : la messe en si

 

   Jean-Sébastien Bach (1685-1750) est, avec Mozart et Beethoven, l’un des plus grands compositeurs de l’histoire de la musique. La littérature abonde sur l’homme qui, parmi tant d’autres chefs-d’œuvre, entendit et écrivit les Concertos Brandebourgeois, les trois centaines de Cantates, les Variations Goldberg, le Clavier bien tempéré, la Passion selon saint Matthieu, L’Art de la fugue, ou le continent des Œuvres pour orgue. Pourtant, aucun de ces nombreux ouvrages n’a jamais estimé nécessaire de se pencher sur la pensée de Bach, son inspiration d’artiste, et son approche des questions cruciales de l’existence humaine.
   Le premier pas qui permet de parler d’un homme qui n’a jamais fait secret de son inspiration profondément chrétienne est celui qui ouvre l’accès à sa pensée, celui qui accepte de traverser l’œuvre que Bach a en toute conscience présentée comme sommet et testament : la Messe en si. Car c’est bien dans cette messe que s’exprime l’insoupçonnée pensée théologique et catholique de Jean-Sébastien Bach, dont la musique témoigne au plus profond de la foi en l’Eucharistie.

L'auteur

   Lauréat de l'Académie française, agrégé de Philosophie, docteur ès Lettres, musicien, pianiste, musicologue, diplômé et médaillé en de nombreux domaines du Conservatoire National de Musique Maxence Caron est l’auteur de plusieurs livres parmi lesquels le roman Microcéphalopolis (Via Romana), le recueil Pages – Le Sens, la musique et les mots (Éd. Séguier), et l’important ouvrage La Vérité captive – De la philosophie (Ed. du Cerf), système nouveau de la philosophie et de son histoire. Directeur de collection aux Éditions du Cerf, il y a fondé les « Cahiers d'Histoire de la Philosophie » dont il a notamment dirigé les volumes sur Hegel, Heidegger et saint Augustin.

 

 

 

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:29
L'histoire oubliée des guerres d'Italie

Jacques Heers

L'histoire oubliée des guerres d'Italie

Format : 24 x 16 cm

Pages : 208

Prix : 24 € 22,80euros..

    Marignan, 1515, tout le monde connaît la victoire de François Ier mais que sait-on des trois cents ans de guerres de 1250 à 1550 entre la France et l’Italie ?
   Médiéviste éminent, spécialiste de l’histoire italienne, Jacques Heers lève le voile de ces querelles à travers la saga endiablée des alliances et déchirements successifs entre les sœurs latines du continent européen.
   De Charles d’Anjou à Naples au rêve de royaume méditerranéen, de la Sicile à la croisade contre le roi d’Aragon, de Jeanne Ière et ses quatre maris aux campagnes du fameux roi René, ce sont les fortunes et infortunes des rois de France Charles VIII, Louis XII et François Ier que révèle ici l’historien pour les décrypter. Avec la guerre, le nerf de la guerre, les hommes de guerre, les arts de la guerre. Après la géopolitique, la stratégie et la tactique cèdent le pas aux enjeux humains de ces conflits meurtriers. De la levée féodale à l’armée royale, le manque d’hommes va de pair avec l’avènement des condottieres, fiers capitaines d’aventures dont Jacques Heers s’éprend tant leur histoire recèle d’anecdotes savoureuses et de comportements chevaleresques ou barbares. De même, ne reste-t-il indifférent à cette furia française dont la quête d’honneur et de gloire aura tant divisé l’Occident chrétien.

L'auteur

   Agrégé d’histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d’Aix-en-Provence, d’Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d’études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié récemment Le clan des Médicis (Perrin, 2008).

Dans la presse
L’Homme nouveau, n°1447, 6 juin 2009

   Les guerres menées par les rois de France en Italie, de Charles VIII à François Ier, ont leurs heures de gloire (Marignan, 1515) et leurs désastres (Pavie, 1525, où le roi est fait prisonnier). Le sac de Rome par les troupes de Charles Quint, en 1527, est une honte, dont on ne peut faire porter la responsabilité à l’empereur. Jacques Heers, un des meilleurs spécialistes de l’histoire italienne médiévale et moderne, raconte à nouveau cette histoire, mais il le fait en la replaçant dans la suite des temps.
   En effet, on ne peut réduire ces guerres d’Italie au XVIe siècle. Il faut se souvenir que le royaume de Naples fut français pendant plus d’un siècle, de 1226 à 1380, et que « par la suite, pendant encore cent ans, quatre princes d’Anjou, de la dynastie capétienne, de Louis Ier à René, ont engagé des sommes considérables et mené plusieurs campagnes en Italie ».
   Les campagnes de Charles VIII, Louis XII et François Ier n’apparaissent plus alors comme des expéditions militaires, réussies ou malheureuses, mais comme le prolongement d’une politique ancienne. Les motivations ont certes varié au fil du temps. À l’origine, en 1226, Charles d’Anjou, frère de saint Louis, entre dans Naples avec ses troupes parce qu’il a répondu à l’appel du pape Clément IV qui avait appelé à la croisade pour chasser les Impériaux d’Italie.
   Jacques Heers raconte la suite des guerres en expliquant clairement les enjeux et les rivalités. Il est sévère pour François Ier et son « alliance impie » avec les Turcs. Mais il conclut avec pertinence qu’une des causes principales des guerres d’Italie a été « la rivalité entre rois et empereur pour mettre la main sur la papauté ».
Yves Chiron

Nouvelle Revue d’Histoire, n°43, juillet-août 2009

   Le grand public cultivé a retenu des guerres d'Italie l'épisode de Marignan, la venue en France de Léonard de Vinci, le désastre de Pavie, les exploits héroïques de Bayard et, peut-être, la furia francese qui décida de la victoire de Fornoue. La lecture traditionnelle de cet épisode le place sur une séquence d'une soixantaine d'années, du règne de Charles VIII à celui d'Henri II. Dans ce nouvel ouvrage, Jacques Heers révèle à quel point la réalité fut plus complexe. Grand pourfendeur d'idées reçues, attaché à « déconstruire » les lectures par trop conventionnelles de notre histoire nationale, il rappelle tout d'abord que la France fut présente à Naples dès le XIIIe siècle, quand la papauté mobilisa la maison d'Anjou contre les héritiers de son adversaire défunt, Frédéric II de Hohenstaufen. Il montre aussi comment cette présence au sud de l'Italie s'inscrit dans la grande politique méditerranéenne qui voit notamment Philippe III le Hardi déclencher la croisade d'Aragon contre un souverain qui va finalement s'imposer à Naples, en Sicile et en Sardaigne. Les initiatives des souverains français de la fin du XVe et du début du XVIe siècle sont ainsi revisitées dans la perspective de la récupération d'un héritage, celui du trône angevin de Naples ou celui des Viconti de Milan, davantage que dans une logique territoriale alors anachronique. C'est en effet après s'être épuisés dans une lutte sans espoir au-delà des Alpes que les rois de France comprirent, avec Henri II, qu'il fallait se tourner de préférence en direction du Rhin, en faisant le choix de la continuité territoriale chère à Richelieu. Outre cette dimension « géopolitique » qui, faute d'être perçue à l'époque, explique dans une large mesure l'échec des tentatives françaises en Italie, Jacques Heers présente, dans une lumineuse quatrième et dernière partie de son ouvrage, les caractéristiques structurelles de ces conflits. Au moment où s'épuise le modèle des armées féodales, le condottiere devient la nouvelle figure du guerrier. Après ses travaux sur l'interprétation globale du « Moyen Âge », les Croisades ou Louis XI, l'auteur de Gênes au XVe siècle revient ainsi vers ses premiers centres d'intérêt, pour le plus grand bonheur de ses lecteurs.

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