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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 17:54
                                       
Nos positions fondamentales sur l’islam et les musulmans.
1) Chrétiens, souvent entourés d’amis très chers, musulmans convertis au christianisme, nous ne pouvons à priori qu’aimer les musulmans, souhaitant qu’ils quittent, pour trouver la liberté et la charité du Christ, l’enfermement dans la théocratie totalitaire de l’islam. Refuser cette théocratie, ce n’est donc pas être « musulmanophobe » selon la pitoyable confusion intellectuelle de Caroline Fourest ne saisissant pas la distinction entre ce qui relève des considérations pour les personnes et le refus de l’idéologie.
2) L’islam n’est pas seulement une religion mais principalement une totalité sociale, religieuse, morale, politique, culturelle qui n’accepte pas la distinction chrétienne fondamentale tirée de l’évangile entre la politique et le social et la religion (« Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu »).
3) Tous les musulmans ne sont pas ce que l’on désigne aujourd’hui sous le vocable « d’islamistes », c’est à dire des adeptes d’une stricte application des commandements et principes de l’islam tels que dictés dans le coran, exemplarisés dans les hadiths, les anecdotes modèles de la vie du prophète Mahomet. Mais une très grande partie d’entre eux, qu’ils soient des sunnites dits « salafistes » (c’est à dire agissant selon la tradition des « prédécesseurs ») et notamment les « wahabites » (sur le modèle d’Ibn Wahab, le modèle de l’Arabie saoudite) ou qu’ils soient des chiites suivant l’idéologie de l’ayatollah Khomeyni, relèvent de cette dénomination. Les islamistes sont aujourd’hui au pouvoir ou en passe de l’être dans la plupart des pays islamiques (Iran, Turquie, Irak, Egypte, Pakistan, Afghanistan, Soudan, Nigeria, Tunisie, Libye…).
4) Relayée en France par d’obtus et indécents démagogues liberticides comme François Bayrou, l’organisation de la conférence islamique (OCI), qui regroupe plus de cinquante pays, veut imposer mondialement une loi de répression de « l’islamophobie » c’est à dire une loi interdisant partout la moindre critique de l’islam, tout droit à la liberté de recherche et de critique, tout droit à la moindre expression de refus voire de réticence, punie de mort comme au Pakistan condamnant à mort l’héroïque Asia Bibi martyre de la persécution islamique, comme en Iran où l’on condamne à la pendaison les musulmans convertis au Christ.
5) Dans aucun pays d’islam ne règne l’égalité en dignité et en droit des musulmans  et des non-musulmans. Parmi ces derniers seuls les « gens du livre », c’est à dire les juifs et les chrétiens sont tolérés mais selon le principe de sujétion de la dhimmitude appliquée d’une manière plus ou moins stricte, voire féroce et à terme éradicatrice de toute présence de population non-musulmane.
Quant au principe fondamental d’égalité en droit de l’homme et de la femme, il s’amenuise ou disparaît dans les rares pays d’islam où on le reconnaissait (Tunisie-Turquie).
6) Tous les islamistes ne sont pas des terroristes mais c’est dans l’islamisme que recrute puissamment le terrorisme qui, pour beaucoup, est une arme légitime de combat contre la mécréance.
L’islam en France n’est pas toujours un  islam de France. Il est constitué majoritairement de communautés toujours très liées à leurs peuples d’origine, maghrébins, arabes, turcs, africains divers, comoriens, pakistanais…
Ces communautés sont donc traversées des mêmes courants idéologiques, encadrées par les mêmes partis, souvent islamistes, que leurs peuples d’origine.
7) L’État français doit assurer pour les musulmans comme pour les autres la garantie du respect de la dignité humaine et des droits qui en dérivent. Il ne saurait pour autant favoriser la construction des mosquées qui constituent autant d’espaces de l’implantation de territoires islamiques en France tels que préfigurés par l’exemple du Kosovo. Il doit assurer dans les communautés musulmanes le respect de l’égale dignité de l’homme et de la femme et leur égalité en droit. Il doit sanctionner la polygamie.
Il doit faire respecter en France le principe de la liberté religieuse individuelle dont celui de la conversion et protéger les personnes d’origine musulmane converties au christianisme trop souvent menacées.
Dans sa politique étrangère et de défense des droits de l’homme, il se doit d’agir pour la protection des minorités chrétiennes menacées et persécutées dans les pays d’Islam. Il doit inciter les organisations islamiques de France, qui affirment leur appartenance à « l’oumma », c’est à dire la communauté mondiale des musulmans, à agir pour que soient garantis dans tous les pays d’islam aux non-musulmans les mêmes droits que ceux garantis en France aux musulmans.
8) Les chrétiens soucieux de l’avenir et de la paix doivent s’efforcer à la connaissance sans édulcoration de l’islam réel. Ils doivent aider et assister leurs frères musulmans convertis et poursuivrent comme eux et avec eux l’effort d’évangélisation des musulmans qui aspirent à la loi d’amour et de liberté de l’évangile.
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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 15:42

                                                                  L'affaire Guy Môquet : Enquête sur une mystification officielle

                                                                                                PRIX:12,00 euros

Présentation de l'éditeur
Histoire et idéologie n'ont jamais fait bon ménage : la résurgence et l'usage de la figure de Guy Môquet en 2007 l'ont une nouvelle fois démontré. Devenu l'incarnation de la résistance aux nazis, le jeune homme fait l'objet d'une commémoration sans précédent. Pour autant, peut-on ériger Guy Môquet en symbole de la lutte contre l'occupation allemande ? Fut-il ce patriote, ce militant de la liberté et de la démocratie que le Parti communiste a depuis 1945 érigé en héros officiel ? S'appuyant sur les archives et des faits délibérément laissés de côté par une historiographie partisane, deux chercheurs, sans parti pris et avec rigueur, reviennent sur " l'affaire " Guy Môquet... et mettent au jour les ressorts d'une mystification politique.
Biographie de l'auteur
Jean-Marc Berlière est professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Bourgogne et spécialiste de la police. Franck Liaigre, professeur en Loire-Atlantique, termine une thèse sur les francs-tireurs et partisans et la lutte armée.
Le livre L'affaire Guy Môquet, enquête sur une mystification officielle est publié aux éditions Larousse (12 €). Les deux auteurs, Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre, sont tous les deux professeurs d'histoire. Le premier à l'université de Bourgogne, le second en Loire-Atlantique.

Qui se souvenait encore de Guy Môquet lorsque Nicolas Sarkozy s'est approprié le souvenir de cet adolescent de 17 ans fusillé en octobre 1941 à Châteaubriant par les nazis ? Le nom de ce jeune militant n'apparaissait plus guère que dans les commémorations du Parti communiste ou les chansons oubliées de Jean Ferrat. Tout du moins jusqu'au 16 mai 2007, date de l'investiture du président de la République. Ce jour-là, devant une stèle du bois de Boulogne où 34 jeunes résistants ont été eux aussi exécutés en 1944, Nicolas Sarkozy, tout heureux de brouiller les clivages, élève le supplicié au rang de héros national.

La vérité des archives


« Un jeune homme qui donne sa vie à la France, c'est un exemple non pas du passé mais pour l'avenir », lance le chef de l'État. Dans la foulée, il annonce que la dernière lettre de Guy Môquet à ses parents sera lue chaque année dans tous les lycées. À gauche, beaucoup salueront le geste. Marie-George Buffet, la secrétaire générale du Parti communiste, parlera même d'un « message fort ». Quelques mois plus tard, le comble du ridicule sera atteint lorsque le sélectionneur Bernard Laporte convaincra Clément Poitrenaud, l'arrière du Stade Toulousain, de lire les derniers mots de Guy Môquet dans les vestiaires du XV de France avant le match d'ouverture de la Coupe du monde.

« La compassion que l'on peut légitimement ressentir devant l'exécution d'un adolescent ne justifie pas de raconter n'importe quoi », s'indignent Jean-Marc Berliaire et Franck Liaigre dans leur dernier ouvrage (lire ci-dessus). Les deux chercheurs, auteurs d'études documentées sur certaines pages méconnues de l'histoire du Parti communiste français pendant l'Occupation, opposent aux buzz du Net et aux plans com des conseillers de l'Élysée la vérité des archives. Elles ne portent trace d'aucune action résistante susceptible d'être attribuée à Guy Môquet. « On a honoré un homme qui, loin de combattre l'occupant, a distribué des journaux qui véhiculaient des propos et des valeurs aux antipodes de la liberté, de la démocratie et du patriotisme qu'on veut célébrer. »

Le destin tragique de l'adolescent est intimement lié à celui de son père, Prosper, député communiste de la Seine. Au mois d'octobre 1939, il fait partie des 30 parlementaires emprisonnés pour reconstitution de ligue dissoute. Sur ordre de Moscou, les élus communistes ont adressé une lettre au président de la Chambre des députés, Édouard Herriot. Les parlementaires appellent à la paix avec le régime hitlérien sous les auspices de l'URSS. Pour les communistes, pas question de s'engager dans une « guerre impérialiste » qui renforcera le système capitaliste.

Le Parti a été interdit après le pacte de non-agression germano-soviétique qui a scellé l'alliance entre les deux totalitarismes. Hitler et Staline se sont entendus pour se partager l'Europe de l'Est. L'Allemagne, délivrée du péril rouge, peut alors concentrer ses forces aux frontières de l'Hexagone. Après la débâcle du printemps 40, les dirigeants communistes engagent pendant l'été à Paris de brefs pourparlers avec les Allemands pour obtenir la reparution de leur journal,L'Humanité. « Lénine nous a appris qu'il ne faut pas hésiter, lorsque la situation le commande et lorsqu'il y va de l'intérêt du peuple, à s'allier occasionnellement même au diable », rappelle alors une directive interne du Parti.

« Fauteurs de guerre »

Les négociations ne passeront pas l'été 40. Pendant cette période, les tracts et les journaux que Guy Môquet et ses camarades distribuent dans le 17e arrondissement de Paris ne prônent en aucune façon la résistance à l'occupant. S'ils dénoncent parfois les « politiciens pourris et corrompus de Vichy », ils glorifient Staline et les Soviets et se déchaînent contre les fauteurs de guerre franco-britanniques. « Un papillon apposé dans les rues par les jeunesses communistes demande même de "châtier les responsables français ayant déclaré la guerre à l'Allemagne" », relèvent Franck Liaigre et Jean-Marc Berlière.

Le 13 octobre 1940, Guy Môquet est arrêté par les renseignements généraux pour diffusion des mots d'ordre d'une organisation illégale. Ce jour, L'Avant-Garde, l'une des publications du parti, s'en prend au général De Gaulle. Déjà traité de « valet de la City », l'homme du 18 Juin est accusé cette fois-ci de vouloir « faire recommencer la guerre au profit de l'une des nations belligérantes ».

Victime de l'intensification de la répression anticommuniste sur le sol français, Guy Môquet a été interné pour avoir suivi la ligne du Parti et milité pour que la classe ouvrière ne se mêle pas à « un odieux conflit capitaliste ». Un an plus tard, il paiera de sa vie le changement de stratégie de l'internationale communiste après l'invasion de l'URSS par les panzers du Reich. Sur ordre de Moscou, le PCF se lance alors dans la lutte armée. Et des volontaires commencent à abattre des officiers allemands dans les rues. Les nazis répliquent en fusillant les communistes détenus dans les prisons de Vichy.

L'annonce de l'exécution des otages de Châteaubriant suscite en 1941 une réprobation internationale. Roosevelt et Churchill, le Président américain et le Premier ministre britannique, protestent officiellement contre cette barbarie. À la Libération, les dirigeants communistes magnifieront le sacrifice de Guy Môquet et de ses camarades. Devenu une icône de la Résistance, l'adolescent est érigé en exemple. « Il s'agit de faire oublier l'époque où pour un communiste, le patriotisme ne pouvait être que chauvin et cocardier, un leurre idéologique au service de la classe dominante », rappellent Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre.

Le martyre des otages de Châteaubriant permet aussi au Parti communiste, après la capitulation de l'Allemagne, de minimiser l'action plus précoce du général De Gaulle et de ses premiers compagnons. « Il est notoire que l'engagement patriotique fut d'abord essentiellement le fait d'hommes de droite, à commencer par le premier d'entre eux », soulignent les deux historiens. Ce qui n'enlève rien, bien sûr, au sacrifice des dizaines de milliers de communistes qui ont payé après juin 1941 le prix du sang pour la libération de la France, et rien non plus à l'héroïsme des soldats de l'Armée rouge qui, sur le front de l'Est, ont fait basculer le sort de la guerre.

Croiser les archives

Pour réaliser cette enquête, les deux historiens ont croisé et recoupé les archives venues de plusieurs fonds : police, justice, direction du camp de Châteaubriant, administration militaire allemande en France, Parti communiste et Internationale communiste.

Dominique Richard 
Sud Ouest.com
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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 15:03

Une professeur de lycée a demandé à ses élèves d'observer une minute de silence pour le tueur au scooter Mohamed Merah, tombé sous les balles du Raid jeudi à Toulouse.

Le ministre de l'Education nationale Luc Chatel a demandé au recteur de l'académie de Rouen de suspendre immédiatement une professeur d'un lycée de Rouen de ses fonctions et d'engager une procédure disciplinaire à son encontre. 

"Une initiative inqualifiable". Luc Chatel demande de suspendre une professeur de Rouen après une minute de silence pour Mohamed Merah, le tueur de Toulouse

Dans un communiqué, le ministère de l'Education dit son "indignation" après l'initiative d'un professeur de lycée qui a demandé à ses élèves de respecter une minute de silence en la mémoire du terroriste Mohamed Merah. 

Cette professeur d'anglais du lycée Gustave-Flaubert de Rouen a demandé une minute de silence aux élèves d'une de ses classes en début de journée, peu après 08h00. Une quinzaine de lycéens sur vingt ont quitté la classe en signe de mécontentement, selon le site Internet du journal Paris Normandie. L'enseignante aurait notamment déclaré à ses élèves que le lien entre Mohamed Merah et Al-Qaïda avait été "inventé par les médias et Sarko", comme l'explique une lettre des délégués de classe envoyée au chef d'établissement

Luc Chatel "condamne sans réserve ce comportement inqualifiable et précise qu'il a demandé au recteur de l'académie de Rouen de suspendre immédiatement le professeur de ses fonctions et d'engager une procédure disciplinaire à son encontre", annonce un communiqué du ministère de l'Education. "Le ministre tient à rappeler que cet acte isolé ne saurait occulter la dignité dont a fait preuve l'institution scolaire dans son ensemble tout au long de la semaine: en honorant la mémoire des victimes du tueur de Toulouse, elle a su réaffirmer les valeurs qui fondent notre République et que les professeurs ont pour mission de transmettre à leurs élèves". 

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 14:44

2003-caroline-fourest.jpg

Caroline Fourest, lauréate d'un « Y'a bon Award », attaque Rokhaya Diallo

Source Rue 89 cliquez ici

Créés en 2009 par l'association Les Indivisibles de Rokhaya Diallo, les Y'a bon Awards distinguent ce qu'ils estiment être les pires déclarations xénophobes et/ou racistes tenus par des personnalités. L'année dernière (cliquez là), Eric Zemmour, Robert Ménard et Jean-Paul Guerlain ont été récompensés.

 

Le principe, contestable, de cette distinction infamante, peu transparente, non contradictoire, a peut-être atteint ses limites cette année : lundi, la journaliste Caroline Fourest (Le Monde, France Culture) a obtenu le Y'a bon Award des « experts chronikers » pour avoir dénoncé, le 11 décembre 2010, des « associations qui demandent des gymnases pour organiser des tournois de basket réservés aux femmes, voilées, pour en plus lever des fonds pour le Hamas ».

 

« N'est-ce pas un peu gros ? »

 

La chroniqueuse, qui se définit comme « antiraciste », s'en est indignée dans une note de blog intitulée « Les Y'a bon Awards déshonorent l'antiracisme » :

« Décerner un prix du racisme à une antiraciste. N'est-ce pas un peu gros ? Vous connaissez la formule, un peu modifiée. Les salauds osent tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. »

 

Dans cette note, elle s'en prend à la vision du monde de Rokhaya Diallo (cliquez ici),  qui veut un modèle basé sur les statistiques ethniques et une laïcité à l'anglo-saxonne, « ouverte aux religions et même à l'intégrisme ».

Caroline Fourest rappelle d'ailleurs que Rokhaya Diallo a collaboré avec le département d'Etat américain dans le cadre de International Visitor Leadership.

 

« Et ce malgré ses liens avec les Indigènes de la République et leurs alliés islamistes. »

 

La journaliste se dit également victime d'un jury partial.

 

« La complicité de certains membres du jury ne m'étonne guère : Jean Baubérot (pape des accommodements raisonnables à la canadienne), Frédéric Martel (qui a juré de me faire payer une chronique sur Martine Aubry et va jusqu'à me traiter de sarkozyste pour tenter de me discréditer… On rêve ! ), un journaliste de Politis qui trouve que j'ai eu tort de dénoncer le double discours de Tariq Ramadan, et bien sûr, la spécialiste de l'amalgame féminisme = racisme : Nacira Guénif (auteure d'un livre pro-voile hallucinant sur les “ Féministes et le garçon arabe ”). »

 

Caroline Fourest mentionne ici quatre jurés sur quatorze. Dans le jury, il y avait aussi Florence Aubenas (journaliste), Faïza Guène (romancière), Jalil Lespert (comédien), Youssoupha (rappeur), Aissa Maïgua (actrice).

 

Diffamation, injure, voire incitation à la haine

 

La chroniqueuse, qui considère que les mots qui lui sont reprochés faisaient partie d'un « discours sur l'égalité », annonce qu'elle porte plainte contre l'association et les membres de ce jury, « pour diffamation et injure voire pour incitation à la haine ».

 

A noter, Christophe Barbier (L'Express) s'est quant à lui vu décerner le Y'a bon Award « enquête exclusive, en partenariat avec le journal Minute » pour son éditorial du 18 février 2010 sur le Quick halal :

« Après la burqa et les minarets, à chaque fois c'est la même chose. [...] La République laïque doit imposer sa loi à ceux qui tentent d'en imposer une autre, assez souvent intégriste. »

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 14:40

Le journaliste Jean-Michel Vernochet donne sa version au sujet de la mort de Mohamed Merah, et parle d'affaire manipulée.

 
Tout d'abord, rappelons que nombreux sont ceux qui n'ont pas été étonnés d'apprendre la mort expéditive de Merah, une balle dans la tête... et donc pas de procès. Cela arrange bien du monde. Ce mode de liquidation devient classique : Mohamed Merah a été liquidé d'une balle dans la tête comme les Kadhafi, Kennedy ou l'assassin présumé de Kennedy, Lee Harvey Oswald, abattu lui aussi en direct lors de son transfert, par le juif polonais Jack Ruby, moins de 48 heures après son arrestation. Dans toutes ces affaires, un point commun : pas de procès, ni même le début d'une instruction judiciaire. 
 
Deux anomalies relevées par Vernochet :
 
(1) le fait qu'alors que Merah était, selon le mot de Claude Guéant mercredi 21 mars 2012, "assidument suivi par les services de police de la Direction centrale du Renseignement et de la Sécurité Intérieure", pourquoi les forces de sécurité ne sont pas intervenues dès le premier meurtre de Toulouse?
Merah avait en effet pris contact et rendez-vous (pour l'achat d'une moto) avec le soldat d'origine antillaise de confession chrétienne grâce à un ordinateur familial, celui de son frère, dont l'adresse ip était facilement identifiable : les services de police savaient qui était Merah, le suivaient, savaient ce qu'il avait fait, et pourtant l'on a laissé faire. 
 
(3) Comment, puisque cet homme était sous surveillance policière, a-t-il pu acquérir, entreproser des armes, et notamment une arme de guerre israélienne ?
 
Lire également l'article dans Rivarol sur la question:
                                   3039.jpg
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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 09:02

http://www.contre-info.com/premiere-mesure-liberticide#more-18723

« Avec un cynisme propre aux politiciens du Système, Nicolas Sarközy profite des événements toulousains pour verrouiller encore davantage la dictature du politiquement correct et la marche vers le mondialisme.
En effet, le président a déclaré vouloir mettre en place une série de mesures contre les libertés sur internet et contre les opinions que lui et ses compères n’apprécient pas, sous couvert – comme d’habitude – de sécurité. Il s’agit d’un procédé honteux de manipulation de l’émotion de la population, à la faveur d’événements imprévus ou secrètement provoqués ou favorisés.

Les événements du 11 septembre de 2001 en sont un exemple particulièrement éloquent, ayant entraîné les très liberticides « Patriot Act » aux Etats-Unis et lois Perben en France.

« Désormais, toute personne qui consultera de manière habituelle des sites internet qui font l’apologie du terrorisme ou qui appellent à la haine et à la violence sera punie pénalement », affirme l’occupant de l’Elysée, de même que « la propagation et l’apologie d’idéologies extrémistes seront réprimées par un délit figurant au code pénal, avec les moyens qui sont déjà ceux de la lutte antiterroriste ».
 

Des propos particulièrement graves qui appellent une mobilisation et une réaction de tous les patriotes français, et au-delà, de tous les citoyens inquiets du flicage et du fichage généralisés.
On sait bien que derrière le mot-caméléon « extrémiste », les politiciens et les médias mettent les idées qui divergent fondamentalement des leurs et que le mot « haine » désigne en réalité, pour eux, l’amour de son peuple.

Sarközy est, lui, un mondialiste extrémiste :

Rejoignez la résistance nationale tant qu’il en est encore temps !

Thibaut de Chassey
Directeur du Renouveau français »
source

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 08:41

                                                          Gouverner par le chaos

                                                                                    9,90 euros

      Pouvez-vous nous expliquer la genèse de cet essai et le choix de l’anonymat ?

Comme beaucoup de monde, j’ai été frappé par ce que l’on a appelé l’affaire de Tarnac. Pour rappel, fin 2008, une dizaine de jeunes gens vivant essentiellement dans le village corrézien de Tarnac se fait arrêter de manière extrêmement brutale et médiatique par la police et les brigades de l’anti-terrorisme avec comme chef d’inculpation le sabotage de voies ferrées de Trains à Grande Vitesse. Le nom de Julien Coupat ressort particulièrement car il est supposé être le cerveau de ce groupe appartenant à l’ultra gauche et auteur d’un ouvrage intitulé L’insurrection qui vient, rédigé sous le prête-nom de « Comité invisible » et qui annoncerait les actes de terrorisme à venir.

Cette publication d’inspiration plutôt situationniste fait suite à d’autres, notamment celles du groupe Tiqqun, dont la plus connue est la fameuse « théorie de la Jeune-Fille » (jeunisme et féminisme comme outils de contrôle social). Ayant circulé moi-même pendant des années dans les milieux d’extrême gauche, d’abord à l’université de Paris 8 (Vincennes/Saint-Denis) où j’ai fait mes études, puis dans les squats et les réseaux anarcho-autonomes-libertaires, pour finir par l’action syndicaliste sur mon lieu de travail, il m’est arrivé à plusieurs reprises, dans des soirées ou des réunions, de croiser la route de certains membres de cette nébuleuse intellectuelle et militante. Quelle ne fut pas ma surprise quand je les ai vus placés au cœur de l’attention médiatique, et en plus de cette façon ! Même si je n’ai jamais été un de leurs amis proches, j’ai senti le vent du boulet passer, car nous fréquentions les mêmes cercles. Je n’ai pas pu m’empêcher de me sentir concerné par ce qui leur arrivait et j’ai donc commencé à suivre systématiquement tout ce qui touchait à cette affaire.

Dans la même période, quelqu’un m’avait demandé de faire une conférence sur l’ingénierie sociale, thème sur lequel je travaillais depuis un certain temps. Quand il a commencé à apparaître que ce groupe de Tarnac n’était qu’un bouc émissaire, les dégradations de voies ferrées ayant été revendiquées par des écologistes allemands, je me suis mis à rédiger un texte qui associerait les deux thèmes qui m’occupaient. Après l’annulation du projet de conférence, je suis parti sur l’écriture d’un article assez long, qui a rapidement atteint la taille d’un opuscule. N’ayant pas encore d’éditeur à l’époque, je l’ai mis directement sur Internet, avec le titre « Ingénierie sociale et mondialisation ». Par solidarité et hommage envers ce groupe de Tarnac, j’ai repris le prête-nom d’auteur de « Comité invisible », ce qui a attiré l’attention de quelques personnes, dont Aude Lancelin, qui en a fait un article dans Le Nouvel Observateur. Quand les éditions Max Milo l’ont publié dans une version revue et augmentée, nous avons demandé à Éric Hazan, l’éditeur du premier Comité invisible, s’il acceptait de nous accorder la franchise, et il a refusé. D’où la publication sous anonymat, car l’identité des auteurs n’a pas d’importance, seul compte le texte, que j’ai écrit comme un manuel d’introduction à quelque chose de méconnu, pas pour attirer l’attention sur moi.

Gouverner par le chaos porte pour sous-titre « Ingénierie sociale et mondialisation ». Qu’est-ce que l’ingénierie sociale ? En quoi est-elle liée à la mondialisation ?

En un mot, l’ingénierie sociale, le social engineering, consiste à considérer le fait social comme un objet. Normalement, le fait social est considéré comme subjectif. Un groupe social est constitué par des sujets individuels, qui, ensemble se mettent à constituer un sujet collectif. Ça, c’est l’approche classique, qui induit un rapport d’interlocution, puisqu’on est dans des rapports intersubjectifs, de sujets à sujets. Ces rapports d’interlocution sont médiatisés par le langage (du moins par un code) et peuvent être pacifiques, belliqueux, neutres, ou de toute autre nature. Dans tous les cas, on s’adresse la parole, oralement ou par écrit, voire on s’apostrophe, on s’engueule ou on se menace, mais on reste des « sujets parlants », comme dit la psychanalyse. En un mot, je produis des signes et j’attends qu’on me réponde.

À l’opposé, dans une approche d’ingénierie, la sphère du sujet parlant est littéralement zappée. Tout est dé-subjectivé. Ici, on ne se parle plus. Autrui n’est donc plus l’adresse d’une interlocution mais l’objet d’une gestion, d’un contrôle, d’un management. Les idées, les émotions, les vécus, tout est objectivé. Autrui, mais aussi soi-même, peuvent alors être décrits comme des objets « en chantier », c’est-à-dire à reconfigurer, à reformater, à réinitialiser, un peu comme en informatique, en génétique ou dans le BTP, d’où l’appellation d’ingénierie, qui n’est même pas métaphorique. Il s’agit bel et bien de « faire des travaux » sur la subjectivité, de recombiner les parties, etc. Cette mécanisation de l’humain vient directement de l’approche cybernétique. Quelque part, c’est le mépris maximum pour le vivant. En même temps, c’est le type de relation à autrui que l’Occident libéral-libertaire essaie de normaliser sous le concept de « mondialisation » : relation instrumentale, de soi à soi, ou de soi à autrui.

Compte tenu que sur un chantier il est souvent moins coûteux de tout casser et de tout reconstruire à neuf que de modifier l’ancien, on voit où cela peut mener dans les sociétés humaines. Cela revient à normaliser un rapport à autrui complètement psychopathe. 1) Le sujet est un objet, 2) je peux le détruire pour un bien supérieur (ou que j’estime tel). Je sais qu’il existe en France un diplôme d’ingénierie sociale pour les gens qui veulent travailler dans le social. Mais justement, le vrai travail social est aux antipodes de l’esprit de l’ingénierie et consiste à réinjecter du langage, de l’interlocution, du sujet parlant, donc du respect, dans les couches populaires. À mon humble avis, le nom de ce diplôme devrait être changé.

Qui sont, aujourd’hui, les principaux ingénieurs sociaux ?

On pourrait reformuler : qui, aujourd’hui, considère autrui comme un objet ? Je cite pas mal de noms dans mon bouquin. Ils se répartissent en catégories. Globalement, il faut distinguer :

1) les « petites mains », qui font de l’ingénierie sociale au quotidien dans leur travail et qui sont souvent des idiots utiles du système, tous ces gens qui travaillent dans le consulting, le management, le marketing, le business, la stratégie militaire, le Renseignement, l’informatique de haut niveau (intelligence artificielle, cryptologie), la robotique, la sécurité des systèmes, etc. ;

2) les « concepteurs », qui sont souvent des esprits très brillants, plus ou moins conscients du danger de leurs recherches, les Norbert Wiener, Kurt Lewin, Pavlov, Skinner, Albert Bandura et autres Gregory Bateson ;

3) les « salauds », eux-mêmes subdivisés en deux sous-catégories : les financiers dans la haute banque, avec leur projet de gouvernement mondial, écrit noir sur blanc et assumé en toutes lettres par un David Rockefeller dans ses Mémoires ; et les planificateurs tels que Edward Bernays (et la « com’ »), Milton Friedman (et la stratégie du choc), Zbigniew Brzezinski (et le tittytainement) ou Georges Soros (et les révolutions colorées).

Quant au corpus bibliographique, il est assez vaste et n’est pas toujours perçu comme procédant d’une même inspiration. On peut citer quelques célèbres textes aux origines douteuses, ce qui n’a à ce stade aucune importance car c’est la méthodologie qu’il faut retenir comme Armes silencieuses pour guerres tranquilles, voire le plan Pike-Mazini ; ensuite, tout ce qui tourne autour de la guerre cognitive/guerre psychologique/guerre culturelle (Gramsci, la mémétique) ; les publications de l’École de Guerre Économique fondée par Christian Harbulot ; les recherches de l’historien de la publicité Stuart Ewen, notamment son ouvrage Consciences sous influence qui synthétise beaucoup de données.

Deux textes récents définissent également des programmes : le mémo révélé par Wikileaks de Charles Rivkin, ambassadeur des USA en France, qui ambitionne de reformater la culture française dans un sens plus américanophile en s’appuyant sur les minorités, et l’étude pour la RAND Corporation de la féministe Cheryl Benard, Civil democratic Islam. Partners resources and strategies, qui vise à adapter l’Islam à la modernité libérale occidentale.

LA suite sur:http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFFkulpyVFEHiBTRPR.shtml 

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 08:16

Immigration : Michèle Delaunay (PS) veut « imposer la mixité », mais… pas la pratiquer ,en clair les socialos-bobos veulent le métissage et la mixité pour le peuple mais pas pour les "élitesé qu'ils pensent être.Ce sont les apprentis sorciers qui se prennent pour des dieux païens et qui récolteront d'autres Toulouse!

 

BORDEAUX (via Infos Bordeaux) — Le député socialiste de Bordeaux est en colère. Dans un article publié sur son site internet « Immigration : bonne question, médiocres réponses », Michèle Delaunay s’insurge contre les récents propos de Marine Le Pen et Nicolas Sarközy concernant « le débat avarié sur la viande Halal et la dénonciation du trop grand nombre d’immigrés ».

Pour la fille de l’ancien préfet de la région Aquitaine, le problème de l’immigration en France ne viendrait pas de sa quantité, mais uniquement de sa concentration : « Une politique du logement imbécile a concentré les migrants du sud dans quelques dizaines de quartiers ».

Elle propose donc une solution qui ne s’embarrasse pas de précautions : « imposer de la mixité réelle dans tous les projets immobiliers, imposer la mixité scolaire dans tous les établissements publics et privés, quitte à transporter les élèves d’un quartier dans l’autre » et rajoute « matraquer financièrement les villes qui ne font aucun effort non seulement pour le logement social mais pour sa localisation dans des quartiers où il quasiment absent (notre ville en est le bon exemple) ».

Comme disait Sophocle : « Le mauvais exemple est contagieux ». Nos lecteurs imaginent que Madame Delaunay habite le Grand-Parc, quartier de mixité par excellence au sein de sa circonscription. Pas du tout, le député réside dans un des quartiers les plus huppés de la ville, près du Jardin-Public, où la concentration de migrants est une des plus faibles à Bordeaux. Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]

 

lire de toute urgence: Le 21 mars 2012,marquera t-il la fin du discours de la société multiculturelle et métissée voulue par le nouvel ordre mondial

et:L'instrumentalisation du drame de Toulouse..Etait-ce prévu?

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 08:07
Le Mali n’existant plus, le moment n’est-il pas venu de redessiner la carte de la région sahélo-saharienne ? (Bernard Lugan)  
 

 

Au Mali, où un coup d’Etat militaire a renversé l’actuel président, le général Amadou Toumani, les élections présidentielles fixées au 29 avril 2012 n’auront pas lieu. Ce putsch est la conséquence de la déroute infligée à l’armée malienne par les insurgés Touaregs[1] revendiquant la partition du pays.

Surprise, culbutée et en plein désarroi, l’armée malienne agite l’épouvantail Aqmi pour tenter de faire s’engager les Occidentaux à ses côtés, affirmant que les Touaregs sont les alliés des fondamentalistes musulmans.

La menace que fait peser Aqmi sur la sous région est évidemment réelle. Doit-on pour autant avoir une réaction pavlovienne dès qu’elle est évoquée ?
Là encore, l’ethnographie historique pourrait être d’un grand secours à nos responsables politiques. Les Touaregs ne sont en effet pas les seuls habitants de l’ouest saharien, immense région aux caractéristiques géographiques et humaines très contrastées abritant quatre grandes populations aux territoires bien identifiés :

- Les Touaregs qui sont des Berbères vivent dans le Sahara central ;
- Les Chaamba qui sont des Arabes se rattachant au rameau des Beni Sulaym ont pour coeur territorial l’oasis de Timimoun en Algérie ;
- Les Reguibat, eux aussi Arabes et qui revendiquent une filiation idrisside, nomadisent entre la Mauritanie et le Sahara occidental ;
- Les Maures dont la composante blanche est également arabe puisqu’elle se rattache aux tribus hilaliennes (de Beni Hilal), sont installés en Mauritanie.

Ces populations ont toujours été en conflit. Au moment de la poussée coloniale, et afin de régler de vieux comptes avec leurs voisins berbères, les Chaamba furent ainsi les efficaces auxiliaires des Français qui butaient alors sur le bastion touareg. Aujourd’hui, et les observateurs ne l’ont évidemment pas vu, Aqmi prospère essentiellement chez certains Arabes sahariens, pas chez les Touaregs, à quelques exceptions près liées à des clivages internes à certains sous clans.

Pour nous, Européens qui devons veiller sur notre arrière-cour saharo-sahélienne, la question est claire : pouvons-nous laisser prospérer un irrédentisme touareg s’ajoutant à des foyers régionaux de déstabilisation situés dans le nord du Nigeria avec la secte fondamentaliste Boko Haram, dans la région du Sahara nord occidental avec Aqmi et dans la zone des confins algéro-maroco-mauritaniens avec le Polisario ?

Face à cette nouvelle situation qui est, comme je l’ai amplement démontré[2], une conséquence directe de la malencontreuse intervention franco-otanienne contre la Libye, deux options sont possibles :

- Soit l’intervention urgente et massive aux côtés des armées du Mali et du Niger à la fois pour maintenir la fiction de ces deux Etats, pour tenter de contenir Aqmi et pour sauvegarder nos approvisionnements en uranium. Cette solution sans imagination ne réglera pas le problème en profondeur.
- Soit tout au contraire, reconnaître enfin le fait berbéro touareg et « sous-traiter » à ce peuple à la fois la lutte contre Aqmi et contre les structures mafieuses qui gangrènent la région. Or, une telle politique qui passe par une profonde redéfinition de ces deux façons d’Etats que sont le Mali et le Niger est évidemment inimaginable aux yeux des jacobins et des conformistes qui nous gouvernent.

Une troisième voie sera donc choisie, la pire de toutes, celle de ces demi-mesures qui conduisent toujours à la catastrophe.

Bernard Lugan
22/03/2012



[1] Voir à ce sujet le dossier publié dans l’Afrique Réelle du mois de mars 2012.
[2] Là encore, voir les dossiers consacrés à cette question dans les précédents numéros de l’Afrique Réelle.

 

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 08:03
Demain commence le voyage de Benoît XVI au Mexique et à Cuba,toutes les infos sur: http://www.lesalonbeige.blogs.com/

B16cmLe direct, ça sera sur KTO. Le programme des retransmissions y est déjà visible.

Le Père Jean-Yves Urvoy est responsable de la mission de la Communauté Saint-Martin dans le diocèse de Santa Clara (Cuba) nous présente les enjeux majeurs de ce voyage.

La page spéciale du site du Vatican est prête pour la mise en ligne des discours, homélies, photos et vidéos du voyage apostolique du Pape.

Le programme lu sur Zenit

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