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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 05:26

Promouvoir les droits LGBT ? Grâce à la haute finance !

De hauts responsables des plus grandes institutions financières du monde (en tout cas, c'est ainsi qu'elles se désignent) se réuniront demain à Londres pour le premier sommet « Out on the street » :Dehors dans la rue. Il s'agit de parler ensemble, au plus haut niveau, pour promouvoir l'égalité de genre et le bon déroulement de carrière des personnes LGBT.
L'organisation a été créée il y a deux ans par Todd Sears, spécialiste de la diversité dans plusieurs grandes banques au cours de sa carrière. Son but ? Se servir du « pouvoir collectif des titans des services financiers » comme « levier » en vue du changement. « A ce jour, nous avons déjà eu un impact sans précédent en rapprochant plus de 600 leaders d'affaires de haut niveau – 70 % d'entre eux sont de niveau directeur exécutif ou mieux – et 11 compagnies membres qui représentent plus de 630 milliards de dollars en capitalisation sur le marché, en faveur de l'égalité LGBT », explique-t-il ici.
Le sommet de Londres est le premier du genre ; il fait suite à une première édition américaine à New York cette année.
L'idée est de faire reconnaître que le bon avancement et le bon accueil des LGBT permettra de dénicher et de garder les « meilleurs talents », et en même temps de mieux accueillir la clientèle gay, bi, trans ou lesbienne.
Ainsi l'avancement des LGBT devient-elle « la clef du succès » à Barclays, d'« importance critique » pour la présidente de Bank of America puisque cela permet de mieux représenter la diversité de sa clientèle. De fait le plus grand nombre des plus grosses compagnies américaines ont des règlements spécifiques visant à assurer l'« égalité » (la promotion ?) des LGBT.
Une petite liste des « corporations » qui soutiennent officiellement « Out on the Street » ? Bank of America-Merrill Lynch, Deutsche Bank, Barclays, Citi, Credit Suisse, KKR (Kohlberg Kravis Roberts), Goldman Sachs, Morgan Stanley, HSBC, KPMG, UBS. Tout ce monde a le petit doigt sur la couture du pantalon, sous un slogan : « Par Wall Street, pour Wall Street ».
A leurs représentants s'ajouteront, mardi, de hautes figures de bien d'autres compagnies, lobbies et institutions (vous en trouverez ici). Leur panel aura pour objectif d'expliquer l'importance des droits LGBT dans l'entreprise, mais à titre personnel, ses membres devront parler de leur engagement personnel en vue de faire progresser les droits LGBT en dehors du monde du travail.
Mais oui, une fois de plus, en promouvant le « mariage » gay, le gouvernement socialiste de François Hollande met servilement en application une politique qui est très systématiquement soutenue par la haute finance…
Il y aura des lesbiennes « sénior » et leurs « alliées féminines » chargées de dire comment elles ont fait carrière ; des spécialistes pour parler de la « mobilité » des LGBT, comment utiliser les « alliés hétéros », etc. Encore une liste ? Ici.
Et un sommet pour promouvoir les droits du mâle blanc, on pourrait faire ça, peut-être ?
Pour les connivences entre haute finance et homosexualité,lire:http://www.nouvelordremondial.cc/2008/07/14/revelations-dun-ancien-membre-des-illuminati/
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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 18:18
Pour les homosexualistes, il ne faut pas discuter et passer en force

Olivier Picard, éditorialiste au Nouvel Observateur, se plaint de la lenteur de la gauche sur la dénaturation du mariage et craint que cela ne soit désormais trop tard :

"C'est déjà trop tard ! Dans son agenda des priorités, François Hollande aurait dû fixer bien plus tôt l'examen en conseil des ministres puis au parlement du projet de loi sur le mariage pour tous. Il n'a pas osé foncer, ou pas voulu, laissant à l'adversaire le temps d'organiser ses défenses.

Le voilà maintenant face à la coalition des conservatismes quil'oblige déjà à tempérer son offensive réformatrice. Même dans ses propres troupes, on temporise... Les trois mois de polémique nationale avant que le texte, présenté mercredi, arrive enfin devant les députés s'annoncent interminables. Un délai qui va laisser les passions se déchaîner, usant peu à peu ce qui restait d'audace à l'exécutif.

[...] Elle aurait dû être mise en chantier dès la fin juin par le conseil des ministres, inscrite le plus rapidement possible à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, et réglée au début de l'automne, au plus tard. [...]

C'est un peu douloureux à écrire pour le démocrate absolu que je suis mais c'est une vérité: la recherche de la majorité d'opinion la plus large sur des questions de société aussi passionnelles que le mariage ou le droit de vote des immigrés est vaine, et le débat inutile, sinon contre-productif."

Voilà un paragraphe qui en dit long sur l'état d'esprit des militants homosexualistes ! Soyons nombreux dans les rues le week-end prochain.

                       

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 09:38

En 1943, le film « Forces occultes » sort sur les écrans. Le scénario de ce moyen-métrage de cinquante minutes a été réalisé par deux ex-frère : Jean Marquès-Rivière et Jean Mamy (sous le pseudonyme de Paul Riche). Ce film montre certaines facettes d'ordinaire obscurs de la franc maçonnerie dut à son statut de société secrète. Les réalisateurs seront à la fin de la guerre et du régime de vichy condamnés par la justice, mais Marquès-Rivière arrive à fuir la vengeance des alliés. Il sera condamné à mort par contumace.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 09:07
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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 08:19

LA COOPERATION SUNNITES/SIONNISTES.

 

http://www.delire-des-livres.com/article-les-sunnites-allies-des-etats-unis-vont-ils-declarer-le-djihad-contre-la-sainte-russie-112222067.html

Dix imams quittent Paris pour une visite en Israël et en territoires palestiniens

 

 

 

 

 





Une délégation de dix imams et de six responsables d'associations musulmanes de France a quitté dimanche Paris pour une visite en Israël et dans les territoires palestiniens, "une première", selon les organisateurs."Notre but est de dire que le conflit israélo-palestinien est politique et non religieux. Avec cette action, une première, nous voulons couper court aux tensions qui fragilisent le vivre-ensemble ici en France, en refusant toute forme de transposition du conflit dans notre pays", a expliqué à la presse l'imam de la mosquée de Drancy, près de Paris, Hassen Chalghoumi, connu pour sa proximité avec la communauté juive. Selon lui, "l'image de la France est celle de la diversité et pas celle de Mohamed Merah ou de trois ou quatre fanatiques abrutis", a martelé M. Chalghoumi, en référence au tueur islamiste qui a abattu trois militaires, puis trois enfants et un père de famille dans une école juive de Toulouse (sud-ouest) en mars. Il a ajouté que "la délégation se rendrait notamment sur les tombes des victimes de Toulouse (qui ont été inhumées en Israël, ndlr) mais aussi dans les territoires palestiniens pour porter notre appui au peuple palestinien". Marek Halter, écrivain juif français qui milite depuis des décennies pour un règlement négocié du conflit entre Israël et ses voisins arabes et palestiniens, fait partie du voyage. "Ils sont menacés et critiqués (pour) leur action, mais c'était mon devoir de les accompagner", a-t-il dit. "C'est très courageux car ils sont prêts à risquer leur vie pour une cause qui les dépasse. Ils ne veulent pas que l'islam soit associé à la violence et cette démarche va impressionner tout le monde au Proche-Orient", a assuré Halter.

http://ennaharonline.com/fr/news/16206.html http://ennaharonline.com/fr/news/16206.html 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 08:02
Rassemblée sous un mot d’ordre commun « OUI à la Famille – NON au « mariage » homosexuel et à l’adoption d’enfants par des homosexuels, cette marche familiale sera l’occasion de faire entendre la voix des opposants à un projet de loi dont les conséquences bouleverseraient le concept de famille en niant contre l’évidence toute réalité anthropologique. Cette manifestation ne réclamera pas le moindre avantage « communautariste » mais, au contraire et dans un souci du bien commun, soulignera que la famille est le socle de la société et que l’enfant a besoin d’un père et d’une mère.

Dans cette manifestation unitaire, l’Action française défilera derrière sa bannière.Rejoignez-nous, avec vos amis, vos familles.

Pour la province, des cars sont disponibles, pour plus d’information :

http://www.civitas-institut.com/con...

Rendez-vous à 14h30, devant le Ministère de la Famille (14 avenue Duquesne à Paris 7ème)

M : St François-Xavier ou Ecole militaire

Rassemblée sous un mot d’ordre commun « OUI à la Famille – NON au « mariage » homosexuel et à l’adoption d’enfants par des homosexuels, cette marche familiale sera l’occasion de faire entendre la voix des opposants à un projet de loi dont les conséquences bouleverseraient le concept de famille en niant contre l’évidence toute réalité anthropologique. Cette manifestation ne réclamera pas le moindre avantage « communautariste » mais, au contraire et dans un souci du bien commun, soulignera que la famille est le socle de la société et que l’enfant a besoin d’un père et d’une mère.

Dans cette manifestation unitaire, l’Action française défilera derrière sa bannière.Rejoignez-nous, avec vos amis, vos familles.

Pour la province, des cars sont disponibles, pour plus d’information :

http://www.civitas-institut.com/con...

Rendez-vous à 14h30, devant le Ministère de la Famille (14 avenue Duquesne à Paris 7ème)

Metro : St François-Xavier ou Ecole militaire

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 07:18

lu sur le site:http://www.christianophobie.fr/

Une grande surface Auchan ne vend plus de Crèches parce que « ça choque » !

http://www.delire-des-livres.com/article-surprise-capitaliste-gerard-mulliez-ce-serait-il-converti-a-l-islam-111869221.html

Pour votre information : le magasin Auchan (Villebon) ne vend plus de crèches parce que “ça choque” ! Mais dans quel monde vivons-nous ? Si tous les catholiques de la régions boycottaient ce magasin, je pense que, très vite, les crèches reviendraient dans les rayons et que “ça ne choquerait plus”… À attitude stupide, réponse stupide.

L’appel au boycott est illégal en France et constitue une infraction. Les articles du Code pénal qui servent à la répression de l’appel au boycott visent la discrimination « à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Dans le cas de ce magasin Auchan, il est d’ailleurs possible de retourner les articles du Code pénal puisque « refuser la fourniture d’un bien ou d’un service » (article 225-2 du Code pénal) pourrait bien tomber dans le champ d’application du Code pénal et entraîner une peine de prison allant jusqu’à trois ans et d’une amende de 45 000 €.

 

Leroy Merlin,du groupe Mulliez, draguait lourdement la communauté homo.

Leroy Merlin drague (lourdement) la communauté homo

Tribune libre

La famille Mulliez, réputée catholique (mais de moins en moins, de l’aveu récent de Gérard Mulliez), est-elle au courant de la nouvelle campagne « Toutes nos vies » de Leroy Merlin ? La chaîne du groupe ADEO , contrôlé à 85% par l’Association familiale Mulliez , nous invite en ce moment à  »ouvrir la porte qui nous rassemble » et lorsque l’on opte pour  »Couple, envie de vivre… Lire»

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 07:03
La politique de cette femme battue,c'est de vendre le beau et de promouvoir la merde et tout cela avec notre argent!

CHRONIQUE -  La France vient de laisser partir le portrait de Talleyrand par François Gérard au profit du Met de New York.

 

Pire qu’un crime, une faute. La France vient de laisser partir le portrait de Talleyrand par François Gérard.

L’œuvre sera désormais une gloire du Metropolitan Museum de New York.

Aurélie Filipetti n’en a pas voulu...

Vendu par l’intermédiaire du marchand Wildenstein, qui venait de l’acquérir directement auprès des héritiers de la famille de l’illustre modèle, c’est un chapitre de notre histoire et un chef-d’œuvre de l’art du portrait du XIXe siècle qui échappe aux musées nationaux. Tout contribue à l’éclat de cette toile célèbre : l’expression du visage, l’attention portée aux détails, un encrier, une plume, un chapeau sur un canapé, le moelleux du costume bleu, le ton de ces bas de soie dont Napoléon, en une formule fameuse et ordurière, avait précisé le contenu… N’y avait-il vraiment aucun moyen que ce tableau de manuel d’histoire aille à Versailles, enrichir les collections de portraits des grands hommes qui s’y trouvent rassemblés depuis Louis-Philippe ? Versailles possède une version réduite de l’œuvre, moins belle. Ne pouvait-on imaginer une acquisition par le département de l’Indre, pour que le prince de Bénévent retrouve sa demeure de Valençay ? Ou un achat par le Quai d’Orsay ? On aurait rogné par exemple sur les budgets de réception des Affaires étrangères et fait manger du riz pendant un an à tous les hôtes de la France, sous l’œil rieur de celui qui fit la fortune de Carême. Pourquoi les Musées de France n’ont-ils pas réagi ? Les caisses sont vides ? Et alors ? Quand on achète un chef-d’œuvre, on ne perd jamais d’argent.

Un chef-d’œuvre historique

En France, on ferait sans doute un mystère de la provenance de ce portrait : les conservateurs américains en détaillent bien volontiers les pérégrinations romanesques et diplomatiques. Talleyrand, heureux de son effigie en majesté, la conserva jusqu’à sa mort. Il la légua à son neveu Edmond, mari de cette jolie Dorothée de Courlande, duchesse de Sagan, qui illumina la vieillesse du Diable boiteux. Le portrait quitta ensuite la France. À l’époque de l’arrière arrière-petit-fils d’Edmond, Howard de Talleyrand-Périgord, mort en 1929, fils du dernier duc de Sagan, le costume bleu du prince de Bénévent orne, semble-t-il, une propriété en Silésie, où se trouve ce duché de Sagan exotique et glacial. La toile demeura après la guerre et jusqu’en 1967 au Musée de Varsovie. La sœur d’Howard, Violette de Talleyrand-Périgord, fille d’Hélie de Talleyrand et d’Anna Gould - qui avait d’abord épousé l’excentrique Boni de Castellane, tout est romanesque dans cette aventure -, en obtint la restitution. Il faut imaginer le tableau accroché devant les plus grands noms de la Ve République : Gaston Palewski, autre fin diplomate, avait épousé, à 68 ans, cette dernière héritière des Talleyrand. Hélie de Pourtalès, fils de Violette de Talleyrand, hérita ce portrait qui, jusqu’en 2003, était encore en France, au château de Bandeville, à Saint-Cyr-sous-Dourdan.

Les particuliers invités à souscrire

Face à cette fuite des œuvres, plusieurs initiatives invitent les particuliers à souscrire. Lyon propose aux bienfaiteurs d’acquérir un tableau d’Ingres. Le Louvre lance une souscription pour un groupe en ivoire gothique. Montauban, qui a moins de moyens, tente d’acquérir une œuvre capitale pour ses collections. Le plus vieil ami d’Ingres, Jean-François Gilibert, a représenté dans un tableau très émouvant la visite que le maître avait faite à sa ville natale. La scène se passe au milieu des moulages, dans une grande pièce qui est aujourd’hui la salle centrale du Musée Ingres. Cette unique représentation d’Ingres dans ce qui sera plus tard « son musée » va-t-elle finir dans une collection américaine ? Le musée collecte des dons pour le retour de M. Ingres dans sa patrie… Quant à Talleyrand, il a rejoint sa femme, Catherine, peinte par Élisabeth Vigée Le Brun, elle aussi au Metropolitan et même le portrait de celle-ci par Gérard, déjà acheté par le Met en 2002. Le voilà condamné à une éternité puritaine, sous le même toit que cette ravissante écervelée restée fameuse pour avoir dit un jour « Je suis d’Inde ». N’est-ce pas la pire des farces ? Dont nos musées sont les dindons ?

Le Figaro

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 06:47

                          LES GAUCHISTES IMMIGRATIONNISTES C'EST 100 CONTRE 1. 

                       

Vers 9 heures ce dimanche matin, un groupe se revendiquant d’extrême gauche a pénétré dans le local du FN rue de la République et une bagarre a éclaté. Trois jeunes du FN, tous majeurs, ont été blessés et ont porté plainte. La police est parvenue à interpeller cinq des agresseurs, de jeunes Stéphanois majeurs qui ont été placés en garde à vue pour violences aggravées en réunion.

Un peu plus tard, une cinquantaine de jeunes du Front National, réunis en formation comme chaque année à Saint-Etienne ont participé à la manifestation du 11 novembre qui se déroulait place Jean-Jaurès. Alors que les personnes présentes se rendaient place Fourneyron, les jeunes du FN ont quitté dans le calme le cortège au niveau de la place Dorian, repliant les drapeaux, pour se rendre dans leur local. Ils ont une nouvelle fois été pris à partie par une vingtaine de personnes se revendiquant d’extrême gauche mais les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour s’interposer entre les deux groupes et tous se sont séparés sans qu’aucun affrontement n’est eu lieu, les jeunes du FN refusant de répondre aux provocations et préférant entonner la Marseillaise.
A noter enfin que les représentants de l’extrême gauche ont continué à chercher l’affrontement dans l’après-midi.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/11/saint-etienne-tentative-d-affrontement-lors-de-la-ceremonie-du-11-novembre#jimage=27522C87-D374-4A2E-B936-1FEBBEC9926C

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 08:24

Le 11 novembre 1918, un armistice, « généreux jusqu’à l’imprudence », était accordé à l’armée allemande, la sauvait d’une catastrophe totale et lui permettait de repasser le Rhin sans avoir capitulé. Considérant que l’Allemagne était vaincue, que le sol français était libéré et qu’il n’avait pas le droit de continuer plus longtemps l’affreux carnage, Foch s’était conformé à l’avis des gouvernements alliés. En Orient, la Bulgarie et la Turquie avaient cédé les premières. L’Autriche s’effondrait, l’Allemagne était dans le désarroi. Les trônes, celui des Habsbourg, celui des Hohenzollern, ceux de tous les souverains allemands, tombaient les uns après les autres. La puissance qui avait fait trembler l’Europe, contre laquelle vingt-sept nations s’étaient liguées, gisait à terre. Les Allemands partaient à la hâte de France et de Belgique comme Guillaume II partait d’Allemagne : une de ces chutes dans le néant et le chaos, après une période de grandeur, dont l’Empire germanique et ses dynasties, au cours de l’histoire, avaient déjà donné tant d’exemples.

La victoire des Alliés ne semblait pas pouvoir être plus complète. Il restait à en tirer parti. Et le soulagement des Français, après l’armistice du 11 novembre qui mettait fin à plus de quatre ans de tuerie et d’angoisses, fut inexprimable. Cependant, près de 1.500.000 hommes avaient péri, dix départements étaient ravagés, plus de deux cents milliards, somme fantastique et qu’on n’eût jamais crue réalisable, avaient été engloutis. Sur le moment, on ne se rendit pas compte du bouleversement que la guerre avait apporté et qui changeait les conditions d’existence du pays. On crut tout heureux et tout facile quand d’autres jours pénibles commençaient.

L’établissement de la paix déçut d’abord. Une victoire qui avait coûté si cher semblait nous promettre d’amples compensations. Une victoire remportée à plusieurs ne nous laissait pas les mains libres. L’expérience enseignait que des préliminaires de paix devaient être imposés à l’ennemi dans les journées qui suivaient immédiatement l’armistice. Cette précaution, à laquelle les vainqueurs ne manquent jamais, fut négligée. Mais les Alliés n’avaient convenu de rien. Un contrat qui fixait la part de chacun après la victoire avait bien été signé en 1916. La défection de la Russie l’avait rendu caduc et, plus encore, l’intervention des États-Unis. Le programme français se réduisait à une formule imprécise : « Restitutions, réparations, garanties. » Quant au président Wilson, il avait énoncé en quatorze points un programme un peu plus détaillé, mais presque aussi vague et qui demandait beaucoup de travaux et de discussions avant d’être appliqué aux réalités européennes. De plus, le danger commun ayant disparu, chacun des Alliés retournait à ses intérêts personnels, les Anglais préoccupés de la mer, les Français de leur sécurité sur le continent. Ce ne fut pas seulement dans la confusion des idées, mais dans le conflit des traditions et des intérêts que la conférence de Paris élabora une série de traités qui changeaient tout l’aspect de l’Europe, consacrant la ruine de l’Empire austro-hongrois, ressuscitant des États disparus comme la Pologne et la Bohême, baptisée Tchécoslovaquie, tandis que d’autres États recevaient des accroissements si considérables qu’ils en étaient plus que doublés : tel était le cas de la Serbie, devenue Yougoslavie. Pour la plupart, ces transformations avaient ou lieu aux dépens de l’Empire des Habsbourg, détruit et démembré, tandis que l’Allemagne, gardant son unité, restituait seulement, outre ses provinces polonaises, ce qu’elle avait pris au Danemark en 1864 et à la France en 1871. Sous aucun prétexte, nos Alliés n’avaient consenti à nous laisser d’autres frontières que celles de 1815. Sedan était effacé et non Waterloo. Là aussi il était visible, dès les orageuses discussions de la conférence de Paris, que désormais l’Angleterre, ayant anéanti la puissance navale allemande, se méfierait de la France plus que de l’Allemagne

Et nous allions nous retrouver en face de l’Allemagne pour régler une des affaires les plus grandes et les plus difficiles qu’on eût encore vues. Le traité disait que l’Allemagne devrait réparer les ruines immenses qu’elle avait laissées chez nous. On n’exigeait d’elle ni argent comptant ni une indemnité fixée une fois pour toutes, mais des milliards dont le montant total serait déterminé dans l’avenir. L’occupation de la rive gauche du Rhin gagerait les paiements en même temps qu’elle protégerait les pays occidentaux, jusqu’au jour où l’Allemagne, ayant achevé le désarmement qui lui était prescrit, ayant donné des preuves de ses bonnes intentions, entrerait dans la Société des Nations, conçue par le président Wilson pour maintenir la paix et l’harmonie entre les peuples, comme la Sainte-Alliance, où la France était entrée peu de temps après 1815, avait été conçue par le tsar Alexandre. Telles étaient les grandes lignes de la paix qui fut conclue à Versailles le 28 juin 1919, jour anniversaire du crime de Sarajevo, dans cette même Galerie des Glaces où, le 18 janvier 1871, avait été proclamé l’Empire allemand. Deux obscurs délégués le la nouvelle République allemande signèrent avec les représentants des vingt-sept nations de toutes les parties du monde qui avaient pris part à la lutte, beaucoup d’une façon honoraire. D’autres traités, sur le même modèle, furent signés en divers, endroits des environs de Paris avec ce qui restait de l’Autriche, c’est-à-dire une petite République à laquelle il était interdit de se réunir à l’Allemagne, avec la Hongrie et la Bulgarie, tandis que la Turquie repoussait les conditions qui lui étaient imposées.

D’une guerre faite à plusieurs, sortait aussi une paix faite à plusieurs, mélange de conceptions diverses, du principe de l’équilibre et du principe des nationalités, une paix qui remettait beaucoup de questions à plus tard et qu’il faudrait encore interpréter et appliquer. En France surtout, les critiques ne lui manquèrent pas. Quant à l’Allemagne, malgré l’écroulement de sa grandeur et le désordre qui avait suivi la chute des Hohenzollern, elle n’était pas résignée à subir les conséquences de sa défaite. Elle protestait déjà contre le traité de Versailles, et la grande tâche de la France allait être de lui en imposer l’exécution, plus retenue qu’aidée par ses anciens Alliés. Dans un monde transformé, où, de vaincue, elle était devenue victorieuse, la France retrouvait les lois permanentes de son histoire : entre l’Allemagne et l’Angleterre, elle aurait encore à trouver sa voie.

Depuis 1914, il n’y avait plus eu d’élections en France. Le suffrage universel n’avait plus été consulté. La Chambre était toujours celle qui avait été nommée contre le service militaire de trois ans et qui, sous l’empire de la nécessité, avait voté toutes les mesures de la levée en masse, accepté d’abord l’union sacrée, puis, après quelques faiblesses, suivi jusqu’au bout Clemenceau qui l’avait ressaisie. Ses pouvoirs avaient expiré avant que la guerre fût finie et ils avaient été prorogés, parce que, disait-on, une grande moitié des électeurs était mobilisée, ce qui revenait, au fond, à ne pas instituer de plébiscite sur la guerre et sur la paix. Le suffrage universel ne fut même pas admis à se prononcer sur le traité de Versailles. Le traité était déjà ratifié, lorsque les élections du 16 novembre 1919 eurent lieu. Pour la première fois, le vieux scrutin d’arrondissement était abandonné et le système de la représentation proportionnelle fut appliqué, avec quelques limites encore. À ce moment-là, le mouvement révolutionnaire qui, parti de Russie, parcourait l’Allemagne, alarmait la masse paisible des Français. La menace d’un socialisme véritable qui confisquerait la propriété, jointe au mécontentement contre les partis qui s’étaient si lourdement trompés avant la guerre, fit élire une majorité entièrement nouvelle. Ce n’était pas que la France eût tellement changé : il suffit du déplacement de quelques centaines de milliers de voix pour rendre la victoire aux modérés et aux conservateurs, unis sur les listes du Bloc national. Clemenceau et l’école jacobine avaient contribué à ce succès en conduisant la guerre jusqu’à la victoire et en frappant de discrédit, avec Malvy et Joseph Caillaux, toute une partie de la gauche. Seulement, la nouvelle, Chambre, orientée à droite, supportait mal l’esprit jacobin. Elle traduisait aussi la déception qu’avait causée la paix, dont les imperfections commençaient à être senties. Clemenceau, candidat à la présidence de la République, ne fut pas élu, et Paul Deschanel, qui avait promis la fin de l’anticléricalisme et la reprise des relations diplomatiques avec le Saint-Siège, succéda à Poincaré. Ainsi Clemenceau et ses collaborateurs étaient écartés du pouvoir. Les hommes qui avaient fait le traité de Versailles ne seraient pas ceux qui l’appliqueraient. On avait compté leurs fautes et ils allaient compter celles de leurs successeurs.

Tirer le meilleur parti possible d’un traité « plus lourd de promesses que de réalités », ce fut, pendant les six premiers mois de 1920, la politique d’Alexandre Millerand, L’ancien socialiste qui avait tant effrayé la bourgeoisie quand il était entré dans le ministère Waldeck-Rousseau, et qui, maintenant, était devenu le chef du Bloc national conservateur. Mais, pour tirer parti du traité, pour le réaliser, il fallait l’interpréter aussi et il apparut tout de suite que l’Angleterre ne l’interprétait pas comme nous. Là-dessus encore l’Entente se dissociait. Les États-Unis, dont le gouvernement avait mis sur la paix la marque de ses vues théoriques, avaient désavoué le président Wilson, refusé de ratifier l’acte de Versailles et conclu avec l’Allemagne une paix particulière. En Angleterre, l’idée qui grandissait, c’était qu’il convenait de ménager l’Allemagne, comme la France, après 1815, avait été ménagée par, le gouvernement britannique. Au lieu de trouver les Anglais à nos côtés pour contraindre l’Allemagne à tenir ses engagements, nous devions maintenant leur résister pour ne pas perdre le fruit de la victoire ou bien céder de peur de rompre avec eux. À la recherche d’une solution capable de contenter tout le monde, des conférences répétées révélaient les dissentiments des vainqueurs, encourageaient les Allemands à résister et se traduisaient par des abandons de notre créance. On en était là lorsque, au mois d’août 1920, la Pologne fut envahie par les Russes. Ainsi l’Europe, dans l’organisation nouvelle qui était sortie des traités, n’était pas garantie contre les risques de guerre et c’était de la Russie communiste que le risque de guerre venait. Chose plus grave, ni parmi les puissances alliées ni parmi les nouveaux États qui leur devaient la vie, personne, sauf la France, ne se montra disposé à sauver d’un nouveau partage la République polonaise. Millerand ayant pris l’initiative d’envoyer, avec le général Weygand, un appui à la Pologne, l’armée rouge fut repoussée après être entrée jusque dans les faubourgs de Varsovie. Cette alerte montrait la fragilité de la nouvelle Europe, nullement pacifiée du côté de l’Orient où la Turquie refusait toujours d’accepter les conditions des vainqueurs. Après le péril brusquement apparu en Pologne, le succès de la décision prise par Millerand le rendit populaire et, presque aussitôt, ce fut lui qui succéda au président Deschanel, obligé par la maladie de se démettre de sa charge et qui ne devait pas tarder à mourir.

Alexandre Millerand, en arrivant à la présidence de la République, avait annoncé son intention d’y remplir un rôle actif, d’y assurer la continuité de la politique française, de ne pas y rester, comme ses prédécesseurs, depuis le maréchal de Mac-Mahon, dans l’attitude d’un témoin et d’un arbitre. Pour la première fois depuis bien longtemps reparaissait l’idée de réviser la Constitution de 1875. La prérogative que le nouveau président revendiquait, il l’exerça en 1922 en se séparant d’Aristide Briand qu’il avait choisi l’année d’avant comme président du conseil. Cherchant, lui aussi, à réaliser le traité de Versailles et à le réaliser par l’accord des Alliés, Briand en était venu à des concessions de plus en plus grandes au point de vue des Anglais. À la conférence de Cannes, Lloyd George avait été sur le point d’obtenir ce qu’il cherchait, c’est-à-dire une sorte d’accommodement entre les vainqueurs et les vaincus, avec la participation de l’Allemagne elle-même. La protestation des Chambres et de l’opinion publique détermina Millerand à rappeler Briand de Cannes et à lui demander sa démission sans qu’il eût été renversé par un vote parlementaire.

Opposé à la politique des concessions, qu’il avait blâmée dans la presse, Raymond Poincaré était naturellement désigné pour prendre le pouvoir. Pour lui, le traité de Versailles, qu’il eût voulu meilleur, était intangible. Tel quel, il devait être appliqué, sans subir d’amputations nouvelles, sans réduction de notre créance qui n’était pas mieux payée depuis que remises, atténuations, délais, avaient été successivement accordés à l’Allemagne. La France en revenait donc à l’exécution intégrale du traité par la contrainte au besoin, les autres moyens ayant échoué, tandis que les Allemands, alléguant le désordre de leurs finances, suspendaient une à une toutes leurs prestations. Après tant d’expériences qui n’avaient pas réussi, il ne restait qu’un système à essayer, celui des gages. On avait déjà pensé au bassin de la Ruhr, une des régions minières et industrielles les plus riches de l’Allemagne. Les manquements répétés et volontaires de l’Allemagne à ses engagements ayant été constatés, selon les règles du traité de Versailles, par la Commission des Réparations, le gouvernement français, de concert avec la Belgique, prit la solution d’occuper la Ruhr. Le 11 janvier 1923, sans coup férir, les troupes françaises entraient à Essen. Ainsi le traité de paix n’avait rien terminé par sa propre vertu. Il exige encore de nous des efforts et notre compte avec l’Allemagne est loin d’être réglé. Les travaux continuent avec les jours et les jours des peuples sont longs.

Nous touchons ici au point où doit se terminer cette histoire. À mesure qu’on approche du temps même où nous vivons, les grandes lignes se dérobent. Elles ne se dégageront qu’avec la suite, qui nous manque encore.

Qu’a cherché la France depuis que la paix est conclue ? Sa sécurité, des garanties contre une revanche possible de l’Allemagne. Elle a cherché aussi les réparations qui lui avaient été promises et sans lesquelles le rétablissement de sa prospérité était incertain. Dans cette tâche, elle a rencontré la résistance de l’Allemagne et elle a été contrariée par l’Angleterre. Les deux forces extérieures contre lesquelles la France, au cours des siècles, a dû si souvent défendre son indépendance ou entre lesquelles il lui a fallu se frayer un chemin, se sont trouvées, dans une certaine mesure, réunies contre elle. La France avait déclaré qu’elle n’évacuerait ni la Ruhr ni la rive gauche du Rhin tant que l’Allemagne n’aurait pas rempli ses engagements. Une pression extérieure, presque universelle, et un changement d’orientation à l’intérieur, déterminé par la lassitude des Français, l’ont déjà fait renoncer à cette résolution.

Tout ce qu’on peut discerner, à la lueur des événements les plus récents, c’est que la paix, en ne tenant pas ses promesses, a laissé la France dans l’étrange situation d’un pays victorieux mais blessé. La France dispose, pour un temps qu’on ne saurait calculer, de la plus grande force militaire de l’Europe. On s’efforce de la lui arracher par le désarmement. Cependant elle n’a plus de marine et elle possède un vaste domaine colonial -encore accru de la Syrie - qu’elle serait incapable de défendre : toute notre histoire enseigne que c’est une dangereuse position.

Les réparations sur lesquelles la France comptait n’étant pas payées et ne devant plus l’être depuis l’accord de Lausanne de 1932, nous sommes, en dépit de la victoire, un peuple qui a été envahi et dévasté. Le mal que l’Allemagne nous a causé avec intention nous reste et nous sommes, à cet égard, comme si nous avions été vaincus. Par ses propres moyens, par sa propre épargne, la France a déjà relevé une grande partie de ses ruines. Mais l’œuvre n’est pas finie. Elle a déjà exigé des capitaux considérables qui, ajoutés aux énormes dépenses de la guerre, forment une dette colossale qu’a encore insuffisamment réduite l’abaissement du franc au cinquième de son ancienne valeur après une période d’inflation qui a rappelé le régime des assignats. Les difficultés financières, lorsqu’elles sont très graves, deviennent des difficultés politiques : nous l’avons vu à la fin de l’ancien régime et sous la Révolution. La question des impôts, lorsque l’imposition doit être très lourde, est redoutable parce qu’elle provoque des résistances et favorise la démagogie : c’est le cas qui s’est présenté à plus d’un moment de notre histoire. Un gouvernement faible est tenté par l’expédient trop facile des assignats, qui provoque la ruine. D’autre part, compter sur les sacrifices raisonnés et volontaires de toutes les parties de la nation est bien chanceux. D’après l’expérience des siècles passés, on peut se demander si la question d’argent ne sera pas, pendant assez longtemps, à la base de la politique, si, au-dedans et au-dehors, notre politique n’en dépendra pas, si, enfin, le pouvoir ne tendra pas à se renforcer et à sortir des règles de la démocratie parlementaire pour soustraire les mesures de salut public à la discussion. Déjà, en 1926, devant la banqueroute imminente, Raymond Poincaré, revenu au pouvoir, a dû recourir aux décrets-lois. Le déficit n’ayant pas tardé à se reproduire par l’excès des dépenses que provoquent les Chambres, il apparaît qu’il faudra renoncer à des finances régulières et courir le risque d’un grand désordre ou bien, au nom du salut public, nier les droits de la majorité.

On peut remarquer que presque partout en Europe, dans les pays éprouvés par la guerre, les gouvernements ont perdu pied. Le vieux monde est dans un état qui ressemble beaucoup au chaos. Extrême est la confusion des idées. Pleins pouvoirs, dictature, ce sont des mots qui n’effraient plus ou des choses qui semblent naturelles, tandis que partout sont affichés les noms de République ou de démocratie. Sur les vastes destructions qu’une guerre immense et les révolutions qui l’ont suivie ont causées, personne ne peut dire ce qui s’élabore, ce qui est provisoire et ce qui est définitif. Seulement, quand on compare la France aux autres pays, quand on se représente les hauts et les bas de son histoire, on voit qu’elle n’est pas la plus mal partagée. Exposée aux tribulations, souvent menacée dans son être - elle l’a encore été, et terriblement, en 1914 - elle n’est pas sujette à ces affaissements ou à ces longues éclipses dont tant d’autres nations offrent le modèle. Sa structure sociale reste solide et bien équilibrée. Les classes moyennes, sa grande force, s’y reconstituent toujours en peu de temps. Après toutes ses convulsions, parfois plus violentes qu’ailleurs, elle ne tarde pas à renaître à l’ordre et à l’autorité dont elle a le goût naturel et l’instinct… Si l’on n’avait cette confiance, ce ne serait même pas la peine d’avoir des enfants.

SOURCE:histoire de France de Jacques Bainville,chapître 22. 

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