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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 16:13

                                                                        

                                                                                    PRIX:12,00 euros

Pour les députés socialistes, qui refusent de participer au groupe de travail parlementaire sur le contenu et l'élaboration des manuels scolaires, les questions que pose depuis plus de six mois l'association pour la Fondation de Service politique (AFSP) relèvent d'une "polémique dérisoire sur la question du genre". Polémique dérisoire dites-vous ?

L'essai préparé pendant ce temps et publié ces jours par Élizabeth Montfort, présidente de l'association pour un nouveau féminisme européen (ANFE), montre que dénoncer cette nouvelle idéologie n'a rien de polémique ni encore moins de dérisoire. Depuis 1995, l'auteur analyse la théorie du gender et surveille sa progression dans les textes officiels, les manuels scolaires et les déclarations politiques. Elle est en mesure aujourd'hui de la démasquer dans ses fondements comme dans ses objectifs.

Sans violence ni passion, ce qui serait le propre de la polémique, Élizabeth Montfort résume, à l'aide des définitions et références incontournables, une opération en trois étapes. D'abord l'introduction, dans les travaux de recherche, du "genre" dans son sens subversif, ce qui donne la "théorie du genre" et dénature "les études du genre" pourtant ni idéologiques, ni inutiles s'il s'agit d'observer les rapports sociaux, voire même les rapports de pouvoir entre l'homme et la femme.  Puis la diffusion de cette théorie du genre par l'intermédiaire des instances internationales. Et enfin les efforts de ses promoteurs pour en déduire un nouveau droit de la famille. Donc rien d'agonistique dans ce travail, mais certainement quelque chose de très éristique, tant le fond de la question touche à l'anthropologie et même à la métaphysique. "Il ne s'agit pas d'ignorer ou d'interdire l'idéologie du gender, assure Élizabeth Montfort. Il s'agit de la connaître pour ce qu'elle est."

Rien de dérisoire non plus, c'est à dire de négligeable, de minime ou d'insignifiant, car la manœuvre utilisée pour tenter d'imposer cette idéologie n'est rien moins que subversive. Thierry Boutet l'affirme dans la préface : "L'idéologie porte en elle une révolution radicale de la société ; elle est fondée sur une métaphysique et une anthropologie subversives qui doivent beaucoup à Nietzsche et à la dialectique oppresseur/oppressé des marxistes".

L'ouvrage signale les évolutions et créations de vocabulaire, les changements de mots (de nature à culture, de personne à individu, de parenté à parentalité, par exemples) qui permettent à l'idéologie de s'insinuer dans les discours et programmes actuels. Il recense les domaines du droit actuel de la famille qui constituent une cible pour l'idéologie. Il dévoile la manière dont des éditeurs scolaires ont transcrit (sous quelle influence ?) le programme  officiel de l'Éducation nationale dans les manuels de SVT pour les classes de 1ères.

Sur un sujet difficile que l'on croyait peut-être un peu trop rapidement maîtriser sans hésitation, l'essai d'Élizabeth Montfort apporte les principes indispensables et les raisons objectives d'une opposition structurante et libératrice face à une idéologie proprement inhumaine.

 

LIRE L'ARTICLE:Une semaine à l'ombre du gender

 

LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE

15,AVENUE FOCH

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 15:17

                                                                            Les Armées Secrètes de l'OTAN : Réseaux Stay Behind, Opération Gladio et Terrorisme en Europe de l'Ouest

                                                                                                          prix:22,00 euros

Présentation de l'éditeur
Ce livre raconte comment, après la seconde guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique mirent en place des armées secrètes anti-communistes dans tous les pays d'Europe de l'Ouest, et par quels processus ces réseaux Stay-Behind de l'OTAN s'allièrent dans certains pays à des groupes terroristes d'extrême droite, avec des conséquences particulièrement tragiques. L'existence de "Gladio", l'armée secrète italienne, fut révélée par le Premier ministre Giulio Andreotti en 1990 ; à la suite de quoi la presse parla du " secret politico-militaire le mieux gardé,... depuis la fin de la deuxième guerre mondiale " et nota que : " L'histoire semble tout droit sortie des pages d'un thriller politique ". Depuis, ces armées secrètes de l'OTAN, ont également été découvertes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Finlande, en Autriche, en Grèce et en Turquie. Au niveau international, leurs actions étaient coordonnées par le Pentagone et l'OTAN, et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990. A l'heure de la menace de "l'hyperterrorisme", ce livre de référence revient sur les attentats de la gare de Bologne, de la Piazza Fontana, les attaques des tueurs fous du Brabant, l'enlèvement et l'assassinat d'Aldo Moro et demande, s'il s'agit d'actes de terrorisme sous fausse bannière, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension...
Biographie de l'auteur
Historien spécialisé dans l'histoire contemporaine et les relations internationales depuis 1945, Daniele Ganser enseigne à l'université de Bâle. Invité à maintes reprises par le Parlement et la télévision nationale suisses pour partager son expertise en matière de politiques étrangère et de sécurité, Ganser voit ses livres, articles scientifiques, articles de journaux et interviews publiés dans différents pays.
LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE
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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 14:56

lu sur metamag:

 

QuecesoitSarkozy ou Hollande, on va souffrir. Comme les Grecs

Posté par: Marc Rousset le: 23/10/2011
 
 
 

Quelles que soient les décisions relatives au sort de la Grèce et du système européen prises ce week-end ou dans les prochains jours entre Nicolas et Angela, notre pays n’échappera pas à son sort : il va souffrir.

Avec la mise sous surveillance de notre notation, que nous avions pronostiqué ici dès ce printemps et qui prend acte des dérives budgétaires (passées, présentes et vraisemblables au vu des déclarations de François Hollande), le garrot s’est resserré tout doucement autour de notre coup. La perte des AAA est désormais plus que vraisemblable.

N’est-il pas trop tard que notre pays, soudainement, se redécouvre un amour ardent pour l’Allemagne, son système fiscal, son modèle d’apprentissage, sa puissance, son courage, ses vertus ? L’Allemagne avec qui nous avons fait l’Euro et qui tient son sort dans la main.

J’ai toujours été, et suis toujours, un grand défenseur de l’euro. Mais pour faire l’euro, avec les Allemands, faut-il encore être sérieux! Or les Français, avec leurs rêveries socialistes et syndicalistes, les 35 heures, la retraite à 60 ans, leurs 2 millions de fonctionnaires en trop par rapport à l’Allemagne (coût 120 milliards d’euros par an) dont personne ne parle, l’immigration extra-européenne folle et inconsciente dont tout le monde parle mais dont presque personne ne met sur la table le coût astronomique (70 milliards d’euros par an), ne sont malheureusement plus un peuple sérieux!

De Gaulle l’avait laissé entendre, même s’il avait réservé l’appellation « peu sérieux » pour le Brésil, qui est à la France ce que la France représente pour l’imaginaire allemand. Faut il aussi rappeler que l’Allemagne connaît un endettement légèrement inférieur à la France, alors qu’elle a supporté le coût, monstrueux, de la réunification.

Le seul moment, depuis 1945, où les Allemands ont eu, à juste titre, de la considération pour la France, ce fut sous le Général de Gaulle. Même le terme de «bömbchen» (petite bombe), employé par certains hommes politiques allemands pour caractériser l’effort nucléaire de défense français, était, en fait, un signe de jalousie....

La France  continue d’afficher «un déficit primaire». Cela signifie que les comptes publics du budget sont déficitaires, avant même le paiement des intérêts annuels à nos créanciers. De ce point de vue, notre situation est pire que celle de l’Italie, qui se trouve en situation d’ «excédent primaire ». La France enregistre également un déficit de ses comptes extérieurs ; ce qui dénote un manque de compétitivité.

Les Français n’ont pas discerné le tsunami qui gronde

N’oublions pas que, sans de Gaulle et Pompidou, nous n’exporterions pas d’Airbus et qu’il n’y aurait même pas de Kourou. La France devrait dévaluer pour être à nouveau compétitive par rapport à l’Allemagne. Quant aux défis des  pays émergents, de la Chine en particulier, seul un protectionnisme intelligent, dans le cadre d’une préférence communautaire, pourrait nous permettre de réindustrialiser l’hexagone.

Dans ses discussions avec la chancelière Merkel, l’alternative aujourd’hui, pour le Président Sarkozy, n’est plus que la monnaie commune avec le retour au franc et la dévaluation, ou le maintien de l’euro comme monnaie unique, en rétablissant progressivement sur une période de dix ans, la compétitivité française, mais en bénéficiant d’un soutien allemand direct ou indirect pour la dette française stricto sensu . Ce qui est peu probable, car impossible à accepter par l’électorat allemand. Cela équivaudrait, de facto, à une mise sous tutelle de la France par l’Allemagne.

Le plus triste, c’est que la grande majorité des Français n’a, toujours pas encore, vraiment réalisé ce qui se passe ! Le capitalisme financier est, certes, en partie responsable de la crise actuelle, à cause de l’escroquerie anglo-saxonne du « sub-prime. Mais il sert aussi de bouc émissaire et il est plutôt l’arbre qui cache la forêt  du laxisme ambiant! ll ne manquerait plus que François Hollande, comble tragico-comique de la pantomime socialiste franco-française, pour couronner le tout !

Après le festival insouciant de ces trente dernières années, nous allons malheureusement réaliser que « la vie, c’est plutôt un hôpital qu’un festival », comme l’écrivait Céline. Selon Henri Louis Mencken (ndlr : journaliste, satiriste et critique littéraire, cynique et libre penseur, surnommé le « Sage de Baltimore » ou « le Nietzsche américain »), « pour chaque problème, il y a une solution qui est simple, claire et fausse ».

En France, ce sont les rêveries, les âneries et les tromperies socialistes de l’UMPS à la sauce keynésienne, droit de l’hommiste : toujours plus d’impôts et de dépenses publiques -à l’exception des dépenses militaires qui elles fondent à vue d’œil- toujours plus d’immigrés, de fonctionnaires, d’emplois aidés sans lendemain, avec des relances, aussi coûteuses qu’inutiles, de la consommation, en lieu et place de la création, ou du renforcement, de nos entreprises.

 



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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 17:44
Pendant qu'on insulte les chrétiens, l'Etat se met en quatre pour les musulmans

La date de l’Aïd el-Kébir sera annoncée prochainement par le CFCM, soit le 6 ou le 7 novembre. Pour permettre aux musulmans de célébrer l’Aïd, des dizaines d’abattoirs fixes et mobiles seront mis à leur disposition. Les services de l’Etat, au premier chef les préfectures, préparent le terrain en partenariat avec les responsables musulmans locaux.

La Direction générale de l’alimentation (DGAL) du ministère de l’Agriculture a rappelé aux préfectures que lui soit transmis la liste des abattoirs agréés pour l'Aïd el-Kébir 2011 avant le 14 octobre. Cependant, la DGAL ne disposerait pas d’une liste complète à ce jour. Cette liste sera publiée 2 ou 3 jours avant l'Aïd au bulletin officiel du ministère chargé de l'Agriculture.

De la laïcité à l'allahicité.

salonbeige

 

 

"Le « non » à Dieu a produit de la cruauté et une violence sans mesure"

Extraits de l'intervention du Saint-Père à Assise aujourd'hui :

"Vingt-cinq années se sont écoulées depuis que le bienheureux Pape Jean-Paul II a invité pour la première fois des représentants des religions du monde à Assise pour une prière pour la paix. Que s’est-il passé depuis ? Où en est aujourd’hui la cause de la paix ? Alors la grande menace pour la paix dans le monde venait de la division de la planète en deux blocs s’opposant entre eux. Le symbole visible de cette division était le mur de Berlin qui, passant au milieu de la ville, traçait la frontière entre deux mondes. En 1989, trois années après Assise, le mur est tombé – sans effusion de sang. Subitement, les énormes arsenaux, qui étaient derrière le mur, n’avaient plus aucune signification. Ils avaient perdu leur capacité de terroriser. La volonté des peuples d’être libres était plus forte que les arsenaux de la violence. La question des causes de ce renversement est complexe et ne peut trouver une réponse dans de simples formules. Mais à côté des faits économiques et politiques, la cause la plus profonde de cet événement est de caractère spirituel : derrière le pouvoir matériel il n’y avait plus aucune conviction spirituelle. La volonté d’être libres fut à la fin plus forte que la peur face à la violence qui n’avait plus aucune couverture spirituelle. Nous sommes reconnaissants pour cette victoire de la liberté, qui fut aussi surtout une victoire de la paix. Et il faut ajouter que dans ce contexte il ne s’agissait pas seulement, et peut-être pas non plus en premier lieu, de la liberté de croire, mais il s’agissait aussi d’elle. Pour cette raison nous pouvons relier tout cela de quelque façon aussi à la prière pour la paix.

Mais qu’est ce qui est arrivé par la suite ? Malheureusement nous ne pouvons pas dire que depuis lors la situation soit caractérisée par la liberté et la paix. [...] À grands traits – à mon avis – on peut identifier deux typologies différentes de nouvelles formes de violence qui sont diamétralement opposées dans leur motivation et qui manifestent ensuite dans les détails de nombreuses variantes. Tout d’abord il y a le terrorisme dans lequel, à la place d’une grande guerre, se trouvent des attaques bien ciblées qui doivent toucher l’adversaire dans des points importants de façon destructrice, sans aucun égard pour les vies humaines innocentes qui sont ainsi cruellement tuées ou blessées. [...]  Nous savons que souvent le terrorisme est motivé religieusement et que justement le caractère religieux des attaques sert de justification pour la cruauté impitoyable, qui croit pouvoir reléguer les règles du droit en faveur du «bien» poursuivi. Ici la religion n’est pas au service de la paix, mais de la justification de la violence. [...]

Si une typologie fondamentale de violence est aujourd’hui motivée religieusement, mettant ainsi les religions face à la question de leur nature et nous contraignant tous à une purification, une seconde typologie de violence, à l’aspect multiforme, a une motivation exactement opposée : c’est la conséquence de l’absence de Dieu, de sa négation et de la perte d’humanité qui va de pair avec cela. Les ennemis de la religion – comme nous l’avons dit – voient en elle une source première de violence dans l’histoire de l’humanité et exigent alors la disparition de la religion. Mais le « non » à Dieu a produit de la cruauté et une violence sans mesure, qui a été possible seulement parce que l’homme ne reconnaissait plus aucune norme et aucun juge au-dessus de lui, mais il se prenait lui-même seulement comme norme. Les horreurs des camps de concentration montrent en toute clarté les conséquences de l’absence de Dieu.

Toutefois, je ne voudrais pas m’attarder ici sur l’athéisme prescrit par l’État ; je voudrais plutôt parler de la « décadence » de l’homme dont la conséquence est la réalisation, d’une manière silencieuse et donc plus dangereuse, d’un changement du climat spirituel. L’adoration de l’argent, de l’avoir et du pouvoir, se révèle être une contre-religion, dans laquelle l’homme ne compte plus, mais seulement l’intérêt personnel. Le désir de bonheur dégénère, par exemple, dans une avidité effrénée et inhumaine qui se manifeste dans la domination de la drogue sous ses diverses formes. [...]"

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 17:42

 

Le 17 octobre, François Fillon fut invité sur France 2 pendant un quart d'heure. Ce très court délai lui permit d'énoncer un grand nombre de fausses équations qui conduisent à un grand dérapage. Il a simplement récité les fausses équations à la mode non sans talent et avec une conviction certaine.

Il s'agit d'une stratégie socialisante qu'il applique sous l'oeil sourcilleux de Sarkozy. Cette stratégie imprègne l'Europe tout entière et bien d'autres pays au-delà des mers. Elle prétend apporter des solutions à la crise, alors qu'elle conduit vers un véritable mur et qu'elle aggravera la crise au lieu de la contenir.

La première erreur majeure est la véritable idolâtrie du PIB. Les vrais économistes, ceux qui ne sont pas salariés des gouvernements, savent que le PIB est une quantité tout à fait artificielle où se mélangent joyeusement la carte et le lapin. Bien mieux, elle est trafiquée au hasard des caprices des politiques, ces trafics se produisent dans tous les pays ; or l'on prétend faire les calculs de PIB à l'échelle de l'Europe et nécessairement les ajustements obligatoires sont livrés à l'arbitraire. Bien pire, les économistes font des calculs à l'échelle mondiale, comme si un PIB mondial satisfaisant pouvait fournir du travail aux Américains mis au chômage par Barak Obama. Au demeurant, il n'y a pas de véritable indice pour mesurer la richesse des nations qui, par définition, ne peut pas être mesurée.

LA SAINTE CROISSANCE

Une autre idole universelle est à saluer : la sainte croissance, qui résoudrait tous les problèmes. Le malheur est que cette sainte croissance n'obéit pas aux ordres des gouvernements interventionnistes. L'idée folle est qu'elle pourrait aider à supprimer les déficits budgétaires. C'est alors que les journaux se remplissent de pourcentages dont nous vous ferons grâce. Si le PIB est faux par nature, les réflexions sur la croissance le sont aussi. D’autant que pour résoudre les problèmes grâce à la croissance, il faudrait des taux absolument déraisonnables étant donné les chiffres tels qu'ils sont et, ceci, malgré les manipulations du PIB. La controverse bat alors son plein entre les chiffres annoncés par Bercy et ceux que prévoit l'Europe ou d'autres : c'est un festival d'ordinateurs. Chacun s'appuie sur des moyennes et sur des comparaisons avec les années précédentes. Bercy « balaie sous les tapis » pour voir si un 0,1 % salvateur ne se serait pas caché par là !

Le grand dérapage se poursuit avec l'énoncé du seul objectif : la diminution du déficit budgétaire. Un surplus public a existé en France, il y a fort longtemps, et il existe dans certains pays ; ce devrait être l'objectif essentiel d'une bonne gouvernance et ce n'est pas le cas. Il est question seulement de diminuer de déficit dans un avenir incertain à savoir 2012, 2013, etc. Le pouvoir a, au demeurant, tellement peur de sa propre incapacité à atteindre l'objectif qu'il milite pour l'inscription dans la constitution d'une « règle d'or » ; nous avons déjà montré que ce projet ne serait qu'une barrière de papier inopérante.

 

L'ENDETTEMENT GLOBAL

En outre, l'action sur le déficit budgétaire, certes utile, est un peu l'arbre qui cache la forêt. En effet le point essentiel est l'importance de l'endettement public global. A supposer que le déficit budgétaire soit réduit, cela n'aurait pas de conséquence si par ailleurs l'endettement global des pouvoirs publics et de toutes les succursales para publiques augmentent par la création de nouvelles dettes. Simultanément, le gouvernement développe à « grande allure » des TGV parfaitement inutiles et sources d'endettements supplémentaires considérables, sans oublier bien sûr les folies du « grand emprunt ».

Nous voyons avec stupéfaction sur les écrans les visages graves des membres du G20 avec en figure de proue Sarkozy et Angela Merkel engagés dans une course poursuite vers un accord qui sera forcément ruineux pour tous. Ce vrai spectacle s'accompagne d'une dramatisation assez comique ; nous lisons que « l'avenir de la France va se jouer » : sans blague ! Le prétexte immédiat est de « sauver » la Grèce ce qui serait, parait-il, nécessaire pour éviter la propagation de l'incendie ailleurs. Ce prétexte est erroné, car les actions engagées diffusent les inquiétudes sur des pays bien plus importants ; pour prétendument « sauver » la Grèce, il est déversé des tonnes d'argent et personne n'ignore que ce sera un trou sans fond avec en prime le terrible malheur de la population victime des prétendus remèdes. La valse des sommes à emprunter à cette fin va de 440 milliards d'euros à 1000 milliards d'euros. Un fonds européen ainsi que d'autres moyens seront utilisés à cet effet. La planche à billets tourne à plein régime à la grande inquiétude des Allemands.

 

LE FESTIVAL DES NOUVEAUX IMPOTS

Le dérapage devient un véritable toboggan lorsque l'on évoque la médecine utilisée. Les manipulateurs du sommet se rendent bien compte que leurs objectifs ne seront pas atteints sans pourtant comprendre ou vouloir expliciter les raisons véritables telles que nous venons de les énoncer. C'est alors que sont évoquées des mesures correctives urgentes ; elles se réduisent à des aggravations fiscales. Nous sommes submergés tous les jours par le vrai festival des nouveaux impôts dans une bougeotte perpétuelle. La foule est tellement imprégnée par la propagande qu'elle n'imagine pas qu'il puisse exister un autre chemin.

Tout impôt quel qu'il soit est destructeur de la richesse nationale et bien entendu contraire aux objectifs officiellement annoncés. Parmi ces mesures, nous n'entendons jamais évoquer la nécessaire et massive diminution des dépenses en commençant par les plus inutiles, voire les plus stupides ; la culture de la dépense publique est fortement ancrée dans la sphère officielle et s'adosse à la richesse personnelle qu'en tirent les acteurs publics !

En toile de fond de toute cette tragédie se trouve l'objectif fondamental de sauver l'euro. Or cette monnaie n'est qu'un appendice inutile de la construction européenne, l'objectif final étant en fait de sauver l'Europe. Cet objectif est très clair et se manifeste par le projet de renforcer la gouvernance économique de l'Europe. Or, l'Europe inonde le continent de directives superfétatoires ; un exemple particulièrement ruineux est l'obligation de mise aux normes de tous les ascenseurs, ce qui met le désordre dans tout le continent.

 

LIBERER PAR LE MARCHÉ

Dans ce contexte, la crise a encore de beaux jours devant elle. Pourtant, le chemin qui conduit à la prospérité pour tous est bien balisé et nous l'avons souvent tracé. Une des conditions est que les acteurs au sommet se dépouillent des oripeaux du socialisme et qu'ils rendent la parole aux peuples par le truchement du marché.

Au moment même où François Fillon s'exprimait sur France 2, chacun savait que très bientôt il ne serait plus Premier Ministre. Il va rentrer dans la liste des anciens Premiers Ministres dont le statut princier est bien connu et contribue à due concurrence à la perte de la richesse nationale. Il existe ainsi, toutes catégories confondues, un groupe de prédateurs publics d'environ 5 000 personnes qui tirent richesse et gloire du système. A examiner les faux théorèmes conduisant au grand dérapage, l'on comprend que personne parmi elles n'aient envie de prendre courageusement le chemin de la vérité qui serait richesse pour tous et rigueur pour elles.

 

Michel de PONCINS

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 17:08

                                                                  De la crise à la guerre : La faillite des élites

                                                                                                         PRIX:16,50 EUROS

Présentation de l'éditeur
L’oligarchie financière qui gouverne l’Occident depuis plusieurs décennies a fait croire que la crise était imprévisible. Faux : des experts l’avaient annoncée, certains depuis plus de dix ans. Ils avaient les bons outils d’analyse. La crise entre dans sa phase la plus aiguë avec la « faillite » en série des
États, qui se répercute sur les grandes banques et l’économie réelle. À son paroxysme, elle sera pire que celle de 1929 et provoquera la chute de l’oligarchie financière. À l’échelle planétaire, la guerre et la paix dépendent du climat économique. La crise de 1929 entraîna la montée du nazisme et la
Deuxième Guerre mondiale. La crise d’aujourd’hui, en minant le printemps démocratique arabe par une paupérisation qui fera le jeu des extrémismes, mènera à la Troisième Guerre mondiale. Celle-ci opposera l’Occident et ses alliés, le Japon et l’Inde, à l’Islam et à la Chine, en un cocktail de guerres civiles, interethniques et interétatiques, enrichi de terrorisme et d’armes de destruction massive. Les peuples européens devront prendre en main leur défense. Quel camp la Russie choisira-telle ?
À la mondialisation économique aura succédé le chaos mondial.
Biographie de l'auteur
Laurent Artur du Plessis est né en Algérie en 1952. Ancien journaliste du Figaro Magazine devenu géopolitologue, il est, entre autres, l’auteur du classique « La Troisième Guerre mondiale a commencé ». Françoise Giroud, peu de temps avant sa mort, en avait fait un commentaire flatteur dans le Nouvel Observateur en disant : « Un titre qui sonne comme le glas… » Paru en octobre 2002, cet ouvrage prédisait la crise économique actuelle, à contrecourant du discours dominant de l’époque.
LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE
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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 16:53

lu sur le salon beige:

Y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?

Extrait du reportage de Nouvelles de France, place du Châtelet hier :

"Sur place, les slogans (« Discriminations, on en a plus qu’assez ! », « Christ caillassé, chrétiens insultés ! ») alternent avec les chants religieux et les dizaines de « Je vous salue Marie » récités à genoux. Des pancartes « L’art doit aussi respecter les convictions d’autrui » ou encore « Dans ce théâtre, on insulte les chrétiens » sont brandies par certains manifestants. Les forces de l’ordre autorisent les individus présents sur la place à rejoindre le terre-plein mais ceux-ci ne peuvent ensuite plus le quitter. Deux rangées de fourgons cachent aux spectateurs la vue des manifestants.

« Mieux vaut croire en quelque chose qu’en rien » commente un policier à l’intention d’un collègue sceptique. Le rassemblement est l’occasion pour certains de se poser des questions existentielles et de débattre. Des catholiques font lire à des policiers leurs tracts. Le dialogue s’instaure. Des sourires se dessinent sur les visages, de chaque côté.

Angélique vient de la Place de la Concorde où elle a acclamé, comme 10 000 autres supporters, les joueurs du XV de France de retour au pays. Cette habituée de la messe en latin nous raconte qu’hier, un policier qui l’embarquait lui a montré la croix du blason de son uniforme en souriant. Carlos est étudiant Erasmus. Catholique espagnol, il accompagne un ami français venu prier place du Châtelet et commente, avec son accent : « dans votre République, la liberté, ce n’est pas pour tout le monde, on dirait ! ». Isabelle tracte pour la manifestation organisée samedi. Sa sensibilité religieuse ? « L’Emmanuel », mais « sans exclusive ». Plusieurs prêtres de la Fraternité Saint-Pie X sont également présents."

Dans un communiqué, Renaissance catholique écrit :

"Devant les réactions indignées des jeunes catholiques, les hypocrites hurlent à l’atteinte à la liberté d’expression alors qu’ils se scandaliseraient de toute mise en scène présentant une image négative du "prophète" Mahomet. Qui croit vraiment que les réactions à une représentation d’un imam couvert d’urine sur fond de face de Mahomet que des fillettes bombarderaient de tranches de jambon se limiteraient à des prières pacifiques dans la rue ? [...]

Renaissance Catholique –qui organise du 28 octobre au 1er novembre, à Riaumont (62), une Session de formation pour les 16-25 ans sur "2000 ans de christophobie" durant laquelle seront présentés, discutés et réfutés les arguments des tenants du droit au blasphème au nom de la liberté d’expression– appelle ses adhérents et sympathisants à participer nombreux à la manifestation contre la christianophobie organisée par l’Institut Civitas samedi 29 octobre à 18h, place des Pyramides à Paris. Alors que chaque soir les forces de police interpellent les manifestants en prière, il semble qu’aucune prière musulmane illégale, comme celle de la rue Myrha à Paris, ait jamais donné lieu à la moindre interpellation : y aurait-il deux poids, deux mesures, selon les religions, au pays de la laïcité ?"

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 18:54
La nouvelle génération de catholiques n'a pas peur(salon beige).

Alors que dans Le Monde daté de demain, plusieurs articles sont consacrés aux manifestations contre la christianophobie (le quotidien prenant évidemment parti pour le spectacle scato-christianophobe, financé notamment par... le président du Monde, Pierre Bergé), Hélène Julien écrit sur Nouvelles de France :

"Entre les jeunes chrétiens d’Irak, les Coptes, nos jeunes de France, et ceux du monde entier, n’existe aucune différence : vivre en chrétien dans la Cité, requiert leur courage sans pareil, et les convictions inhérentes à leur Foi mettent en danger leur vie, leur âme, et leur liberté. Le Père Daniel Ange, dans un de ses enseignements, exhortait les jeunes à devenir des « héraults de la Foi », en s’engageant à témoigner pour le Christ, par une vie en cohérence avec les recommandations de l’Eglise.

Il s’agit d’une bataille entre l’individualisme, pur produit du pluralisme selon Bourdieu, et le Credo de l’Eglise universelle. L’un revendique la glorification du moi, la satisfaction de tous les penchants humains, l’épanouissement à tous prix, tandis que la vie chrétienne propose de s’oublier soi-même pour notre prochain, à tenir bon dans ses convictions, en dépit des lois mises en place par la société, qu’il s’agisse de l’avortement, ou des lois plus tacites, qui stigmatisent comme anormaux les choix de pureté, de famille nombreuse, du refus du péché…

Quand les jeunes se rendent en masse pour prier et témoigner devant le Théâtre de la Ville, il ne s’agit plus seulement de défendre l’Honneur du Christ. Son image, souillée, moquée, leur rappelle douloureusement les difficultés à témoigner, à cause de cette christianophobie, de plus en plus marquée par les différences de traitement, qui leur sont réservées. En effet, à l’école, à la fac, dans les écoles, les jeunes sont muselés, face aux enseignants et entre eux, n’osant pas toujours aller à contre-courant, de peur d’être taxés d’extrémistes, ce mot-barrage facile organisé par les politiques républicaines et médiatiques.

Certes, on ne guillotine plus de nos jours en France. Mais on charrie, on insulte, on persécute insidieusement : osera-t-on nous dire qu’on peut, par exemple, plaider contre l’avortement, en tant qu’étudiant en journalisme, en tant qu’élève d’une faculté, en tant que médecin, infirmier, en tant que professeur des écoles ? Les tabous sont mis en place, et ils s’articulent autour de la petite sœur, non moins mesquine, de l’ancienne déesse Raison : la Tolérance. [...]

Les manifestations d’aujourd’hui montrent que les jeunes acceptent de relever le défi proposé par Benoît XVI. Ces chahuts d’étudiants ne doivent pas être vus seulement comme existant pour cette seule pauvre pièce, ils nous ont permis de faire connaissance avec la nouvelle génération, celle qui n’a pas peur, celle qui n’a pas honte, et qui s’attachera à témoigner, par une vie exemplaire et tendue vers la Sainteté, du Christ notre Sauveur.

« A cause de leur Foi dans le Christ, beaucoup souffrent en eux-mêmes de la discrimination, qui conduit à la dépréciation ouverte ou larvée, qui afflige des régions déterminées de certains pays. Ils sont aussi sollicités pour s’éloigner de Lui, en les privant des signes de sa Présence dans la vie publique, et en réduisant au silence, Son Nom Même. Pourtant aujourd’hui, je redis aux jeunes avec toute la force de mon coeur, que rien ni personne ne vous prive de la Paix : n’ayez pas honte du Seigneur ! » Benoît XVI, le 18 août 2011 à Madrid

Michel Janva

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 08:46
 
L'Express
AFP - L'arrêt de réacteurs nucléaires allemands représente une "menace réelle" de pannes d'électricité cet hiver en France, avertit le cabinet de conseil ...France 24 · Il y a 1 heure
Reportage complet
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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 08:33

Le samedi 29 octobre prochain, une grande manifestation nationale contre la christianophobie partira à 18h de la place des Pyramides à Paris.Être présent est une obligation! 

 

 

lu sur nouvelles de France:

 

Plus de 140 jeunes catholiques « indignés » arrêtés mardi soir

Paris. Décidément, la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu » jouée au Théâtre de la Ville jusqu’au 30 octobre ne passe pas. 75 jeunes catholiques se sont retrouvés mardi en début de soirée place Louis Lépine sur l’île de la Cité afin de réciter le chapelet.

C’est dans un silence de mort ponctué par des « Je vous salue Marie » qu’ils sont arrêtés pour « vérification d’identité » par une quarantaine de policiers : 50 sont conduits dans un car, 21 dans un autre. Un enfant de douze ans, les larmes aux yeux, ainsi que sa grande sœur sont relâchés in extremis. Les autres sourient, chantent, brandissent leurs chapelets aux fenêtres des véhicules :

 

 

Au même moment, une soixantaine de jeunes catholiques manifestent avenue Victoria, le long du Théâtre de la Ville. 70 policiers les encerclent :

 

 

Tous seront embarqués. Certains qui refusent de se laisser faire sont violemment maîtrisés. Notre caméra n’est alors pas la bienvenue :

 


 

 

Autour et sur la place du Châtelet, 70 chrétiens sont éparpillés. Les slogans « Christ caillassé, catholiques insultés ! », « Christianophobie, ça suffit ! », « Catholiques insultés, on en a plus qu’assez ! », « Habemus Papam ! » résonnent et alternent avec les « Je vous salue Marie » et autres « Christus Vincit ! » La circulation de l’avenue Victoria est bientôt coupée afin d’« encager » les manifestants. Au moins 6 prêtres en soutane (dont deux figures traditionalistes, les abbés Xavier Beauvais et Paul Aulagnier) sont présents ainsi que le Dr Xavier Dor, un chrétien militant et militant « pro-vie » muni de ses médailles miraculeuses.

 

 

« Indignés »

Je vais à la rencontre des catholiques scandalisés par la pièce de théâtre de Romeo Castellucci. Parmi eux, Bruno, qui m’explique que « toutes les religions ne sont pas traitées de la même façon en France ». Pour ce père de 12 enfants, les arrestations de ce soir « montrent bien l’état de notre société ». Aurélien, 28 ans, « [a] des amis qui ont été arrêtés ce soir ». « Je reviendrai tous les soirs jusqu’à ce que je sois embarqué comme les autres », explique-t-il posément. Patrick accepte d’expliquer ses motivations devant notre caméra :

 

 

Un jeune catholique : « le Bon Dieu a dit qu’on a tout en priant »

C’est ce qui m’étonne le plus : bien que calmes, ces jeunes semblent animés par une détermination à toute épreuve. Jeanne est venue quant à elle protester « davantage contre l’attitude de l’Etat et la réponse disproportionnée des autorités que contre la pièce elle-même ». Martin note que « les trois-quarts des personnes arrêtées sont des jeunes filles »… Devant notre caméra, un prêtre n’hésite pas à parler de « rafle » :

 

 

Certains policiers semblent eux-même un peu décontenancés devant un tel public. L’un d’entre eux admet qu’il n’y a « pas de violences » de la part des manifestants : « la plupart nous suivent. Certains se débattent, c’est tout. » Autant dire que, lorsque Mgr Bernard Podvin déclare mardi soir que « l’Eglise catholique condamne les violences perpétrées lors de récents spectacles », il est à côté de la plaque. « L’Eglise catholique en France n’est ni intégriste, ni obscurantiste », précise le porte-parole de la Conférence des évêques de France. Critiquer la mobilisation de ces catholiques, pourquoi pas ! Bien qu’ayant couvert de manière quasiment exhaustive les actions de ces « indignés » pas comme les autres (voir ici, ici, ici, ici, ici et ), le portail libéral-conservateur Nouvelles de France est le premier à le faire. Mais pas en des termes qui sont ceux des adversaires revendiqués des religions et notamment de la religion chrétienne…

Charlotte, 18 ans, est étudiante en philosophie : « un pompier vient de me dire que nous avions raison de manifester » affirme-t-elle tout sourire. « Vous avez tout mon soutien. Je serai bien venu prier avec vous mais là, je suis de service. J’ai un collègue qui n’est pas de service et qui y est » lui a-t-il dit. Un passant interpellé par les chants religieux se déclare « extrêmement choqué » par ce spectacle de rue :

 

 

Ce mardi soir, 140 jeunes sur les 200 présents ont été interpellés. Ils ont vu leur identité contrôlée dans plusieurs commissariats de la capitale avant d’être relâchés. « Ils font ça pour nous impressionner. La vérité, c’est que vous ne risquez rien si vous ne faîtes que prier et vous rassembler sans violence à proximité du Théâtre de la Ville », sourit Xavier qui se félicite que « la pièce ait commencé avec une heure de retard ». Déjà interpellé deux fois en trois jours, ce jeune étudiant a prévu de revenir « chaque soir de la semaine ». Antoine aussi :

 

 

Des SMS sans ambiguïté circulaient déjà dans la nuit de mardi à mercredi. L’un dit notamment : « le combat continue pour l’honneur du Christ et pour la culture sacrée. Soyons encore plus nombreux » les prochains soirs où « d’importantes actions » sont prévues.

Lire aussi :
> Les bons catholiques… et les mauvais

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