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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 14:59
Note de vocabulaire à propos de la notion d’« art »

7 Janvier 2011 | Aude de Kerros*

La notion d’« art » recouvre aujourd’hui des réalités totalement diverses. L’art contemporain se définit lui-même comme une négation de l’art, tout en revendiquant sa démarche... artistique, laquelle est parfois seulement financière (financial art). D’où des confusions aux confins parfois de la perversité intellectuelle, et la nécessité de maîtriser les contours du vocabulaire utilisé.

Ainsi, les mots « Art », « Art contemporain » et « Financial Art » sont trois notions différentes.

 

« Art »

Dans sa conception originelle, l’art est une activité humaine existant depuis le paléolithique. C’est un langage qui délivre un sens par des moyens non verbaux, grâce à un accomplissement de la forme. L’art se juge selon des critères de qualité de la forme, de rayonnement, par son caractère unique, lié à l’œil et à la main de celui qui crée. L’art peut être exceptionnel, bon, médiocre ou mauvais, un jugement de valeur peut lui être appliqué.

L’artiste, quand à lui, accepte le risque d’échouer dans sa tentative ou de ne pas toujours atteindre le meilleur. La finalité première qui l’anime est d’accomplir l’œuvre. Le contenu ne pouvant être que le don de la forme.

L’art a de multiples facettes, styles, genres. L’expression est toujours renouvelée puisque elle est le fruit de la création d’êtres singuliers et uniques.


« Art contemporain »

Malgré l’emploi du substantif « Art », l’« Art contemporain » (AC) a un sens tout à fait différent.

Que dit l’AC de lui-même ?
L’Art contemporain se présente comme étant « tout sauf l’art » au sens originel du terme.


L’AC exclut :

  • l’idée d’une nécessité d’accomplir la forme pour dégager le sens,
  • l’idée qu’une œuvre d’art se juge d’abord et selon des critères esthétiques,
  • l’idée positive et mystérieuse de la beauté,
  • l’idée de l’existence d’une forme de présence et d’être dans les œuvres accomplies.


L’AC affirme :

  • la création par le verbe, l’élaboration d’un concept,
  • la présentation de la réalité telle qu’elle est, excluant tout mystère ou transcendance,
  • la présentation du monde présent, sans passé ni avenir,
  • une démarche expérimentale ayant pour but l’expérience elle-même.


L’AC se légitime :

  • par sa capacité de rendre compte de la réalité sans l’idéaliser,
  • par son rôle critique de la société.
  • par sa métamorphose, sa « créativité » permanente qui entraîne une rotation sans fin d’objets dont l’imperfection permet de s’en défaire pour en consommer d’autres,
  • par le fait qu’elle privilégie l’évènement, la relation, l’instant présent.


Les deux pratiques de l’AC

La dé-liaison entre le fond et la forme qui caractérise l’AC a pour conséquences une incertitude sur le sens et les finalités de ce type d’expression.


Il en découle deux pratiques différentes de l’AC :

1/ L’AC « vertueux »

L’AC vertueux accomplit la noble « fonction critique ». Les théoriciens évoquent sa « pertinence », son utilité sociale, son autonomie face à la récupération politique où financière. Il existe en effet des mouvements et des artistes pratiquant cette voie… beaucoup sont issus de groupuscules ayant des idéaux politiques, écologiques ou autres. Ils usent du statut d’artiste pour apparaître dans les médias et bénéficier de l’impunité, privilège lié à la liberté attachée à la création en Occident.

Citons en exemple parmi d’autres, les artistes anglais « Yes men » dont les happenings détournent par ruse des situations sociales scandaleuses afin de les révéler aux yeux de tous. On se souvient du « happening » que fut leur conférence de presse au retentissement mondial où, déguisés en dirigeants de l’entreprise Dow Chemical, à l’insu des journalistes, ils déclaraient assumer, vingt ans après les faits, la responsabilité de l’accident de Bhopal en Inde. Ils annoncent le versement de 12 milliards de dollars aux sinistrés [1].

En France on pourrait citer l’irrécupérable et follement critique groupuscule « Présence Panchounette », sans oublier parmi bien d’autres, Pierre Pinoncelli, dont la fidélité scrupuleuse à Marcel Duchamp rend fous les conservateurs de l’AC [2]. L’« AC vertueux » est cependant fragile car il ne peut exister que par ruse et par effraction. Incontrôlables, ses représentants sont tôt ou tard rejetés par les réseaux de consécration.

2/ L’AC « cynique »

L’AC cynique est fondé sur le double langage : l’œuvre a toutes les allures de la contestation de l’ordre établi, de la transgression révolutionnaire qui sert à faire choc, à provoquer le scandale, la controverse, le procès, les réactions populaires. Il faut à tout prix laisser des traces médiatiques pour entrer dans l’Histoire. À partir de l’œuvre-évènement, les réseaux ont de la matière pour procéder à la cotation de l’œuvre. Son aspect « critique » lui donne de l’authenticité et cache la fabrication financière.

Les grands collectionneurs, qui sont les vrais créateurs de leur valeur, entretiennent à peu de frais la bonne conscience des artistes, des amateurs, des critiques, des théoriciens et des institutionnels dont ils se servent.

En définitive l’AC fonctionne comme un leurre qui préserve l’état des choses tout en évacuant, par la monstration spectaculaire des œuvres, les ressentiments et refoulements divers de la société, comme jadis le carnaval et la fête des fous. Ces procédés ressemblent aussi par certains côtés à « l’autocritique », manipulation qui faisait jadis partie des rouages du pouvoir soviétique en plein stalinisme.

Ces deux faces de l’AC existent et il n’est pas toujours facile de les distinguer.

 

« Art Financier »

Pendant un demi-siècle, l’AC évolue peu dans ses formes et pas davantage dans ses idées. Théories et concepts sont les mêmes : transgression, rupture, créativité, critique, mise en abîme, dérangement, miroir de la société, activité expérimentale, etc. En revanche, le changement existe dans le domaine des finalités et de l’usage qui sont faits de l’AC.

De 1960 à la chute du communisme, l’AC a permis de destituer Paris de sa primauté dans le domaine des arts et de gagner la guerre froide culturelle. Il a joué le rôle de leurre pour les intellectuels de gauche afin de les détourner d’un rattachement au système international de reconnaissance organisé par Moscou. L’Art conceptuel leur offrait tous les aspects d’un « art critique » de la société capitaliste. Il a satisfait leur besoin « d’engagement ». Intellectuels et artistes ont rejeté le réalisme socialiste qui leur paraissait réactionnaire et caricatural et ont saisi les opportunités de reconnaissance que leur offrait désormais New York, sans avoir l’impression de renier leurs convictions.

Après la chute du mur de Berlin, la référence révolutionnaire s’étant effondrée, les enjeux politiques changent. L’AC doit sa survie à son adaptation à d’autres pouvoirs. Il va correspondre aux nécessités d’une société désormais mondiale, fondée sur la communication et les réseaux et la financiarisation de l’économie.


Sa rapidité de fabrication en factory, sa sérialité, lui permettent de circuler facilement, de jouer un rôle quasi monétaire, d’autoriser une spéculation sous contrôle et de rendre beaucoup de services. C’est un moyen qui échappe à bien des réglementations, aux taux de change, aux problèmes de douane, grâce aux zones franches. C’est aussi le moyen de créer des « événements », de promouvoir des marques, de rendre gloire à la révolution permanente des marchandises, à célébrer leur fongibilité. L’ACF permet d’afficher une capacité monétaire sur les scènes mondiales que sont les salles des ventes Christie’s et Sotheby’s, de payer ainsi un pas de porte pour entrer dans les réseaux et la fréquentation des grands.

Très vite s’est crée un mimétisme entre l’AC et les produits financiers. Vers la deuxième moitié des années quatre-vingt-dix, il prend la forme d’un produit dérivé très sécurisé afin d’éviter les inconvénients d’un krach comme celui qui a ruiné le marché de l’art en 1990.


L’idée d’un réseau très contrôlé, rassemblant des collectionneurs choisis, s’engageant à être totalement propriétaires de l’œuvre et agissant de concert, fondera les bases d’un nouveau type de spéculation plus savant et d’autant plus maîtrisé que les interdits et contrôles concernant le délit d’initiés, les trust et les ententes qui régulent les marchés, n’existent pas sur le marché de l’art.

Au tournant de l’an 2000 tout est en place pour jouer le grand jeu à l’échelle de la planète. C’est à ce moment là qu’a lieu de façon concertée la réforme des méthodes de travail des deux plus grandes salles des ventes du monde, Christie’s et Sotheby’s. Elles auront désormais deux départements : celui de l’Art Moderne et celui de l’Art Contemporain. Elles interviendront désormais sur le « premier marché » et contribueront ainsi au lancement d’« artistes spéculatifs ». Il devient désormais possible de fabriquer des cotes de façon rationnelle et dans un temps record.

L’AC servira aussi à animer les villes, à amuser le peuple par ses spectacles ludiques tout en faisant de l’image et de la cote. Ces œuvres-évènements sans contenu, plutôt ludiques, affranchies des langues, des cultures, des religions, créent du lien social sans qu’aucune identité forte ne vienne troubler la concorde des peuples (photo ci-dessus, une propriété de François Pinault, estimée entre 2,5 et 3 millions de dollars).


* * *

Le problème des frontières

Tout comme les frontières sont floues entre l’AC « critique » et l’AC « cynique », il en est de même entre l’Art et l’AC.

En effet, il existe dans l’AC des démarches singulières, inclassables, relevant de l’art éphémère, de l’installation, de la vidéo, etc., mais se rapprochent de l’art par leur recherche esthétique, leur contenu poétique et la quête d’un sens autre qu’étroitement « critique ». Leur souci d’accomplissement les arrime à l’art en quelque sorte.


On note parallèlement à cela, une invasion du « concept » chez les peintres et les sculpteurs au point que le discours tient lieu d’œuvre, la forme n’ayant qu’un aspect secondaire. Ces artistes seraient plutôt à classer dans la catégorie « Art contemporain ».


L’évaluation des œuvres demande donc une grande attention. Beaucoup d’œuvres ne sont pas à la place où elles croient être.


La liberté de choix

Il faut se rendre à l’évidence « Art », « Art contemporain » et « Art Financier » coexistent aujourd’hui, poursuivant des finalités contradictoires.

Tout s’éclairerait si l’on admettait leur distinction sémantique.

Les œuvres seraient jugées selon les critères qui leur correspondraient — la pertinence du concept pour « l’AC », le bon placement à court terme pour « l’Art Financier », le rayonnement du sens dans la forme pour « l’Art ».

Ainsi l’artiste, l’amateur et le commanditaire pourraient prendre, en toute connaissance de cause, un parti, exercer leur liberté et assumer leurs choix devant eux-mêmes, la société et la postérité. Grâce à cette clarification de la pensée, l’exclusion de l’Art telle qu’elle se pratique arbitrairement aujourd’hui, serait moins aisée.


*Aude de Kerros est peintre, graveur, essayiste. Dernier ouvrage paru : L’Art caché (Eyrolles, 2007).




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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 15:46

Les libertés d’opinion et d’expression sont indissociables. La première est en effet la liberté de choisir sa vérité dans le secret de la pensée, alors que la deuxième est la liberté de révéler sa pensée à autrui.

 

Elles sont toutes les deux consacrées dans l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.

 

Elles sont également respectivement garanties par l’article 1er de la Constitution de 1958 (La France… respecte toutes les croyances), et par l’article 11 de la Déclaration de 1789 (la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme). Le Conseil constitutionnel leur a également reconnu une valeur constitutionnelle.

 

Ces deux libertés sont également protégées par la Convention européenne des droits de l’homme, dans ses articles 9 et 10.

La Cour européenne a peu eu l’occasion de se prononcer à titre principal sur la liberté d’opinion. Par contre, elle a affirmé à plusieurs reprises que la liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique et vaut même pour les idées qui choquent ou inquiètent. En conséquence, elle a estimé que toute restriction en la matière n’est admissible que si elle est proportionnée au but recherché.

 

et pourtant !!!!!!!!!!!!!!!!
France, ta liberté fout le camp !

La presse (le Figaro du 2 décembre 2010) nous a appris la signature d’une « convention » entre le ministère de l’Intérieur et une association de la loi de 1901, la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme, dite la LICRA (*). En vertu de cet accord, chaque commissariat de police, chaque gendarmerie recevra pour diffusion la documentation de la LICRA. Une formation à l’antiracisme est prévue dans les écoles de police et de gendarmerie. Une coopération avec la LICRA est prévue en matière de « veille sur internet » pour prévenir les « dérives » sur la Toile, complétée par des « échanges de statistiques ».

Le ministère de l’Intérieur informateur d’une association

Et voilà que le ministère de l’Intérieur devient ainsi formellement, non seulement le financier de la LICRA au travers des subventions versées à cette association, mais, au surplus, son informateur et son auxiliaire. Du jamais vu. Sauf dans les régimes totalitaires. Et la liberté d’expression dans tout cela ?

Autre signe des temps, pourquoi aucun parti politique en France ne se soucie-t-il aucunement de se réclamer de la liberté, pourtant une des conquêtes les plus précieuses de l’esprit humain, et, à ce titre, inscrite en toutes lettres dans la Constitution de notre pays ? Car nos partis politiques sont volontiers « républicains », « démocrates », « sociaux », « populaires » éventuellement, ou « écologiques » selon le goût du jour, mais des « partis pour la liberté », jamais.

L’omission de la liberté

Cette omission n’est pas un hasard. Car jamais, dans la longue histoire de notre pays, les libertés publiques et privées n’ont été autant menacées qu’aujourd’hui, sous le double impact de l’opportunité politique et, faut-il le dire, de la déliquescence rampante de l’esprit public. En ce début du XXIe siècle, la République vit de mauvais jours. L’espace assigné à la liberté d’opinion et à la liberté d’expression se restreint dangereusement d’année en année sous les coups de boutoir de l’Etat assisté d’un cortège d’associations bien-pensantes, toujours soucieuses d’en faire plus pour imposer sur les médias leur présence, leur volonté de puissance et leurs préoccupations doctrinales.

Pleven, Gayssot, Lellouche, la nouvelle Inquisition

Au motif, parfaitement légitime, de lutter contre le danger du racisme, l’Etat français n’a rien trouvé de mieux, contrairement aux pays voisins, que d’ériger de multiples et dérisoires barrages législatifs, de la loi Pleven du 1er juillet 1972 à la loi Gayssot du 13 juillet 1990, édifice imposant, complété, comme si cela ne suffisait pas, par la loi Lellouche du 10 décembre 2002. Où s’arrêtera cette nouvelle Inquisition qui, après avoir mis sous surveillance le discours public, verbal ou écrit, menace d’investir maintenant internet, le dernier espace de liberté ? Le combat contre le fascisme doit-il obligatoirement emprunter les armes du fascisme, la lutte contre le racisme doit-elle nécessairement utiliser les méthodes du racisme ?

Même l’histoire de notre pays est désormais menacée d’enfermement. La voilà harnachée dans un corset législatif de fer avec les lois mémorielles qui ont pour objet, au mépris de l’histoire tout court, de construire, ou de fossiliser, une histoire officielle conforme à la vérité du jour, dont il est rigoureusement interdit de dévier sous peine de sanctions pénales. En fait de devoir de mémoire, ne faudrait-il pas plutôt se remémorer, rappel bien nécessaire de nos jours, les régimes autoritaires de naguère, lesquels agissaient de même dans un passé pas tellement lointain.

Le juge, le policier et les assoc…

Comment ne pas voir, en effet, que cette accumulation de lois par couches successives, si elle contribue effectivement à étouffer la pensée libre, est parfaitement impuissante à juguler le risque du racisme ? Ce n’est pas par moins de liberté que ce combat fondamental sera gagné, mais par un surplus de liberté. Comme si, dans le pays qui a vu naître la liberté, il fallait désormais se reposer uniquement sur le policier et le juge, assortis maintenant d’une prolifération d’associations bien-pensantes, pour combattre la haine, la violence et la discrimination entre communautés unies au sein d’une même communauté nationale. Comme si la meilleure arme contre le racisme aveugle et borné n’était pas le débat d’idées et la réflexion critique, et non la contrainte législative et judiciaire ?

Comme si le gouvernement ne plaçait désormais aucune confiance dans le bon sens et la générosité du peuple français et se reposait uniquement sur les armes de la loi et de la justice pour maintenir l’harmonie de l’ordre social au sein de la nation ? Comme si le débat sur le racisme devait obligatoirement se ramener à l’empoignade dans un champ clos de brutes aveugles et bornées armées de la massue de la loi ?

L’appel permanent à la dénonciation au service des idées reçues

Il faut s’en convaincre : on ne bâtira pas une société multiculturelle sereine dans l’appel permanent à la dénonciation et dans la crainte de la répression, mais dans la convivialité, la générosité et la liberté d’opinion.

Il est temps de libérer le verbe du carcan du conformisme, de la pensée unique et des idées reçues. Car, sans la liberté, la démocratie dépérira inévitablement, comme un arbre privé de sève. Le combat pour la liberté est donc un combat pour la démocratie menacée dans son essence même.

Yves-Marie Laulan

 

LA liberté c'est la liberté de dire que deux et deux font quatre.Lorsque cela est accordé,le reste suit.

GEORGE ORWELL dans le livre 1984

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 08:25
Côte d'Ivoire : ça sent la magouille

Après l'avoir voué aux gémonies, les Etats-Unis se déclarent prêts à accueillir Gbagbo, l'Union Africaine l'amnistie (avec quelle autorité?); il est temps de découvrir la personnalité de madame Ouattara, française qui compte parmi les 40 femmes les plus influentes du monde :

Dou "Pour comprendre qui est un homme, il est souvent utile de s’intéresser à… sa femme. Nicolas Sarkozy en est un bon exemple. Alassane Ouattara aussi, et l’on comprend mieux, au pédigree de son épouse Dominique, pourquoi l’hyper-classe a choisi ce haut fonctionnaire du FMI comme président de la Côte d’Ivoire.

Dans le quotidien belge Le Soir, Colette Braeckman nous explique qui est Dominique Ouattara.

« Dominique Ouattara, née Novion voici 56 ans, soutient son mari (…). Alors qu’elle était encore Dominique Folloroux, épouse d’un Français, l’ambitieuse et ravissante jeune femme prit, en 1979, les rênes de la société immobilière Aici, gérant les propriétés immobilières du vieux président Houphouët-Boigny et de son collègue Omar Bongo du Gabon. Comment la présidente d’honneur de la Chambre syndicale des syndicats immobiliers de Côte d’Ivoire n’aurait-elle pas rencontré le jeune et brillant Premier ministre du « Vieux », Alassane Ouattara, chargé de remettre le pays sur la voie de la rigueur et de « faire atterrir » la dévaluation du CFA ?

 C’est à Neuilly, en 1990, que le maire de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy, célèbre leur mariage et le couple aura deux enfants. Par la suite, Dominique Ouattara, qui est aussi très proche des milieux israéliens, progresse dans le monde des affaires : en 1996, la PDG du groupe Aici devient présidente de la société qui gère l’Institut Jacques Dessange, basé à Washington ; et deux ans plus tard, elle acquiert les franchises de « Jacques Dessange » aux Etats-Unis. Salons de coiffure, instituts de beauté, le groupe acquiert une envergure internationale.

Ouat Villa à Neuilly et dans le Midi, relations dans la jet-set internationale, le couple Ouattara est riche, très riche, (…). Alors que Simone Gbagbo, élue du quartier populaire d’Abobo, se concentre sur l’action politique, Dominique Ouattara crée la fondation Children of Africa dont son amie, la princesse Ira de Fürstenberg, sera la marraine (…). Cette année, délaissant provisoirement ses affaires, Dominique, blonde et radieuse, a mené campagne aux côtés d’ADO : devenir première dame est la dernière étoile qui manque au palmarès de celle qui comptait, en 2000 parmi les 40 femmes d’affaires les plus importantes du monde.« 

Et encore Colette Braeckman ne nous dit pas tout. En effet, le bimestriel Flash, se fait l’écho d’autres détails dont la presse africaine fait ses choux gras en comparant Dominique Ouattara à Carla Bruni : « Née à Constantine, elle est arrivée en Côte d’Ivoire, à vingt ans, comme l’épouse d’un professeur du lycée technique d’Abidjan qui aurait pu sans mal être son père. Resta-t-il longtemps son mari ? On ne le sait pas exactement. Ce qu’on sait par contre, c’est qu’elle fut très vite soupçonnée d’être le « deuxième bureau » (terme par lequel on désigne la maîtresse en Afrique francophone) du ministre de l’enseignement Bamba Vamoussa, puis du gouverneur de la Banque central des États de l’Afrique de l’Ouest, Abdoulaye Fadiga. Tout ceci semble avoir facilitéa grandement son ascension sociale et, dès 1979, elle créa AICI, une société de gestion de biens, s’occupant, entre autre, du patrimoine immobilier du président ivoirien. Dans l’entourage Houphouët-Boigny, elle fit la connaissance d’Alassane Ouattara dont elle devint … la maîtresse, avant de l’épouser en octobre 1990. »

 

sur la Côte d’Ivoire, par Bernard Lugan

Real Politik TV

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 17:30

LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE

15,AVENUE FOCH

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 18:28

L’analyse qui suit sur l’islamisation de l’Europe a été écrite en 2009 par Michael Mannheimer, journaliste allemand. 

La planification de l’islamisation de l’Europe

Par Michael Mannheimer, extraits traduits par Capucine pour Bivouac-id et Postedeveille (traduction depuis l’anglais).

 

«Grâce à vos lois démocratiques, nous prendrons le pouvoir. Grâce à vos lois religieuses, nous allons vous gouverner» 

a dit un imam d’Izmir.

L’islamisation de l’Europe est en plein essor et la majorité des européens se trouvent impuissants face à cette situation. Ils ne sont informés ni de la véritable nature  de l’islam, ni du contexte des prétentions politiques islamiques sur le territoire de l’Europe.

Les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne. Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée. Je vais vous parler d’une série de documents contenant des informations importantes sur les aspirations expansionnistes des musulmans et de leurs complices appartenant à l’élite occidentale, et ces informations vous permettront de leur opposer une nécessaire résistance.

**************

Partie 1. :  Le contexte politique, idéologique et religieux sur lequel s’appuie L’islamisation de l’Europe .

Les plans de la gauche pour l’islamisation - et leurs réalisations incessantes jusqu’à maintenant.
Au début des années 1990, les représentants du parti allemand « Bündnis90/Les Verts » (Coalition90/Greenpeace) pour une Europe franco-allemande et l’un de leurs politiciens vedettes, Daniel Cohn-Bendit, annonçait la couleur ainsi :

« Nous, les Verts, devons lutter afin que le maximum d’étrangers viennent s’installer en Allemagne. Quand ils seront en Allemagne nous devrons lutter pour qu’ils obtiennent le droit de vote. Quand cet objectif sera atteint nous aurons alors le nombre suffisant d’électeurs pour changer cette république ».

 Jürgen Trittin, le Ministre Fédéral pour l’Environnement, la Protection de la Nature et la Sécurité Nucléaire, sous les ordres du Chancelier Schröder (1998-2005), puis après octobre 2005, Ministre Fédéral de la Protection des consommateurs, Alimentation et Agriculture a conservé l’idéologie du Mouvement Pacifiste de 1968 (le fameux « esprit soixante-huitard ») jusqu’à nos jours. Encore maintenant il est fidèle à son adhésion au mouvement maoïste d’alors, la « Fédération Communiste » (Kommunistischen Bund KB, avec leur slogan : « Plus jamais ça,  Allemagne! »), et à ce sujet il affirme :

« Ce n’est pas la faute de la jeunesse, et je crois qu’il y a davantage de choses pour lesquelles nous devons lutter aujourd’hui… ».

Dans le contexte de cette déclaration, l’opinion de Trittin au sujet des élections démocratiques est intéressante. En effet, Trittin est moins interéssé par une représentation des majorités au Parlement que  par la prise du pouvoir par son parti, grâce au :

« minorités dominantes  et au contrôle de l’opinion ».

Ceci n’est rien d’autre  qu’une stratégie post-communiste pour propager le  dogme léniniste de la Dictature du Prolétariat, de la  part d’un politicien allemand important. C’est par cela même que les communistes ont justifié les décennies d’oppression de leurs concitoyens par une minorité radicale, arrogante, et surtout complètement fascisante d’extrême gauche. Dès lors, et avec les grands succès obtenus jusqu’à maintenant par la même stratégie du contrôle de l’opinion publique, Trittin a esquissé un plan plus pertinent concernant les relations de pouvoir réel dans les pays européens. Même les analystes des sciences politiques n’ont jamais été capables de parvenir à ce but avec leurs grandes théories. Certes, les pouvoirs parlementaires sont actuellement entre les mains des partis conservateurs européens, cependant, ce contrôle de l’opinion des masses dont parle Trittin, et le pouvoir qui en découle, est entièrement dans les mains des minorités gauchistes parfaitement organisées, (mot-clé : cartel de l’opinion de la gauche fasciste) qui jusqu’à présent ne rencontrent aucune contradiction sur la décision de ce qui est politiquement correct et ne l’est pas, mais nous reviendrons là-dessus.

Des politiciens déchus se cherchent un nouveau peuple,
Ou comment une satire politique se transforme finalement en réalité.

Penchons-nous d’abord sur la tête « pensante » des Verts (Greenpeace), l’Allemand Joschka Fischer,  longtemps chef de son parti et ancien ministre allemand des Affaires étrangères. Dans sa jeunesse, ce sympathisant de la RAF (la célèbre Fraction de l’Armée Rouge, des communistes révolutionnaires)en lutte contre les policiers, il  militait contre  son propre pays  et détestait le modèle occidental. Il adhérait aux mêmes slogans que son ami et compagnon de route Cohn-bendit. Fischer affirme : « Je découvre de plus en plus à quel point je suis demeuré un marxiste », et il dévoile les véritables intentions politiques derrière l’immigration massive dans son livre au titre révélateur : Risiko Deutschland « L’Allemagne : LE risque »(1994).
Le quotidien Die Welt résume ainsi  ce livre  :

« L’Allemagne doit être encerclée de l’extérieur, et à l’intérieur, par des flux migratoires, on doit hétérogénéiser [ sa population] jusqu’à la diluer. ». (Deutschland muss von aussen eingehegt, und innen durch Zustrom heterogenisiert, quasi « verdünnt » werden).

En clair , l’idée d’une fraude électorale de proportions historiques était née et elle   serait mise en oeuvre par la suite , insidieusement et facilement mais néanmoins sans aucune hésitation. En 1960, seulement 600 000 musulmans vivaient en Europe, en 2010, ils sont 30 millions, et la plus grande immigration de masse de l’Histoire continue sans ralentir. Chaque année, un million d’immigrés musulmans affluent en Europe. Tout cela s’effectue dans la légalité, par les regroupements familiaux, et les réfugiés politiques qui viennent demander l’asile politique fuyant leurs pays musulmans où les droits humains sont piétinés. Encore et encore, ils reçoivent les mêmes droits que les résidents, sans être obligés d’acquérir les moindres rudiments de la culture, de l’éducation et des compétences professionnelles nécessaires pour s’adapter à une société européenne hi-tech.
Mais ils ne sont pas venus pour s’intégrer dans cette société occidentale, c’est d’ailleurs interdit par leur foi, ainsi que le leur rappellent leurs leaders religieux, très organisés, et qui ont depuis longtemps pris le contrôle des musulmans en Europe. Leur principal objectif politique est de réaliser ce que leur commande leur foi, ce qu’Allah commande : gouverner les Infidèles dans le monde entier. C’est ce qui est écrit dans le coran, c’est cela que leur prophète Mahomet commande aussi. Et c’est également cela que chaque musulman s’efforce de réaliser dans tous les pays européens, indépendamment des partis auxquels ils appartiennent par ailleurs.

La domination du monde est le but principal de l’islam.
Que ce soit Vural Öger (député Allemand du SPD d’origine turque) ou Boumediennes (ancien chef de l’Etat algérien) ou Izbetbegovic (ex-Président bosniaque) ou Erbakan (ancien premier ministre turc)… chacun d’entre eux connaissait parfaitement le plan de conquête et employait tout le pouvoir qu’il avait pour l’accomplir.

Seuls les bien-pensants occidentaux et l’élite de gauche refusent avec insistance de reconnaître la volonté islamique de domination du monde, car ils suivent naïvement la devise des bien-pensants et des personnes de bonne volonté qui croient que ce qui n’est pas autorisé, ne peut tout simplement pas exister. Mais il faut le dire à tous ceux qui refusent d’accepter la réalité: les musulmans ne se soucie pas  de ce que les non-musulmans pensent de l’islam. Ce que l’islam implique, ce qu’il signifie vraiment, chaque musulman le comprend parfaitement.  Disons-le clairement, les idéaux occidentaux ou toutes autres valeurs morales , sont considérés [par les musulmans] comme un tas de déchets.
Khomeiny l’a formulé sans ambigüité :

« Gouverner le monde est le but de l’islam »

Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait :

«Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire  légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).»

Même le chef de la police de Cologne - tenu par l’obligation de neutralité liée à sa fonction - a conclu sobrement suite à l’ouverture des frontières et sur la base du taux de natalité élevé des musulmans que l’Etat allemand sera conquis en 2030. Puisque l’islam aspire à la domination du monde, il pourrait y avoir une guerre civile sanglante en Allemagne et en Europe.

Son collègue à Vienne, Alfred Ellinger, président de l’Association des criminologues autrichiens (Vereinigung Österreichischer Kriminalisten), prévoit la même chose. Dans un commentaire sur l’état de l’Europe par rapport à l’islam, il écrit:

«Tout musulman a le devoir de défendre son territoire contre les attaques des infidèles et en même temps de détruire le monde des infidèles de manière à ce que l’Islam domine le monde entier. Le djihad prend fin que lorsque toutes les personnes ont soit accepté la foi islamique, ou soit se soumettent à son autorité. La frontière de l’Islam est la frontière du monde »

Tout comme le Turc Metin Kaplan - qu’on appelle ironiquement le “Calife de Cologne”, fondateur du groupe militant musulman  «l’État-Caliphat», il  entretient une haine envers les juifs et Israël. Reconnu demandeur d’asile, il  a  proclamé dans d’innombrables sermons la création d’une “théocratie islamique allemande” et prophétise la prochaine domination islamique sur le monde.[…]

Adolph Hitler qui avait une connaissance minimale de l’islam collaborait avec le Grand Mufti de Jérusalem, dans le but notamment d’établir un camp de la mort pour les Juifs vivant en Palestine. Néanmoins, il était capable de saisir la  portée du désir de domination du monde islamique mieux que la plupart de nos contemporains européens éduqués.

« Si nous étions devenus des mahométans, nous serions, aujourd’hui, les maîtres du monde »

Partout dans le monde les musulmans  oeuvrent à la prise du pouvoir, et  ni une soi-disant opinion de la gauche ou des Verts ne pourra  les retenir. Nargess Eskandari-Grünberg une politicienne musulmane appartenant à la  coalition Bündnis90/Greenpeace a répondu ceci lors d’une assemblée sur l’éducation et l’intégration quand  un citoyen  s’est  plaint du nombre élevé  d’étrangers vivant à Hausen, le quartier de Francfort où il habite:

 « L’immigration est un fait à Francfort et si ça ne vous plait pas  vous pouvez déménager ailleurs »

Cette Nargess Eskandari-Grünberg, née à Téhéran en 1965,  a fui son pays en tant que réfugiée politique en 1985, et s’est alors installée en Allemagne.

Comment les politiciens européens, avec l’aide des électeurs musulmans,  prennent des décisions  politiques contre leurs propres peuples

Entretemps l’influence des musulmans  sur la politique européenne et sur le pouvoir politique est devenu énorme .  Souvenez-vous  de Gerhard Schröder (Audio de Schröder: “Oui, je suis un marxiste!”), quand il  fut réélu  de justesse au poste de chancelier  avec une très mince  majorité . Se retrouvant devant la menace d’une possible défaite aux élections, Schröder misa sur le vote turc en promettant que, sous sa direction, l’entrée de la Turquie dans l’UE serait irrévocablement acceptée. Ce message visait les 600.000 immigrants musulmans naturalisés , dont la majorité était  d’origine turque. C’est sur eux que Schröder avait placé ses espoirs et son approche fut couronnée de succès. Grâce aux électeurs turcs-allemands  lui ayant donné la majorité de leurs voix , Schröder, du parti SPD et les  Verts  ont été en mesure d’obtenir une majorité avec un avantage de seulement 6.027 voix, juste assez pour être réélu à la Chancellerie et ceci  contre la volonté du peuple allemand, car sans les voix des immigrés naturalisés turco-allemands, Gerhard Schröder aurait perdu cette élection avec une marge considérable de plus d’un demi-million de votes.

Imaginez ceci: Que les hommes politiques gouvernent contre la volonté de leur propre peuple.

C’est exactement ce que Cohn-Bendit voulait, et c’est le même plan qui a été mis en œuvre dans toute l’Europe par le puissant cartel de gauche appelant à une “dilution” de l’électorat des Européens de souche. Et dont on peut voir maintenant les résultats.

Le changement de groupes de population n’est pas une invention nouvelle. Comme moyen “non-militaire” de solution définitive, ce changement a été réalisé dans des contrées étrangères déjà occupées et le peuple conquis a vu sa population d’origine remplacée au fil du temps par éviction “douce”, lentement,  jusqu’à ce que la population d’origine n’y soit plus. Un bel exemple dans l’histoire récente est le Nord de Chypre. Occupé depuis 1974 par la Turquie, des centaines de milliers de Turcs d’Anatolie y ont été transférés. Le résultat aujourd’hui est que le rapport entre les Chypriotes grecs et turcs a radicalement changé en faveur de la minorité provenant de la Turquie.

Un autre exemple, celui du Tibet: Cette immense  région autonome de 1,2 millions de kilomètres carrés (l’Allemagne en comparaison est de seulement  350.000 kilomètres carrés) est passée sous l’occupation chinoise dans les années 1950. Depuis lors, la Chine a veillé à ce que des millions de Chinois s’installent au Tibet, de sorte que dans l’intervalle, les Tibétains sont devenus minoritaires dans leur propre pays. Dans ces deux cas, la redistribution des groupes de population a été guidée par l’autorité de la puissance occupante, et le résultat est logiquement à l’avantage du groupe ethnique de cette puissance occupante.

L’Europe, par contre, n’est pas occupée par une puissance extérieure, mais malgré cela, le continent se trouve dans les affres de l’un des plus grands bouleversements démographiques de son histoire par le biais de l’arrivée de nouveaux groupes ethniques, musulmans pour la plupart,  qui arrivent  à remplacer progressivement les Européens de souche. L’originalité est que ce bouleversement a été orchestré par ses propres politiciens européens et a été programmé de longue date, tout en allant à l’encontre des intérêts et des besoins des Européens de souche. Non seulement ces politiciens n’ont pas demandé la permission à leurs électeurs sur cette question, mais en plus ils n’ont pas voulu réagir aux protestations croissantes de la population européenne, parce qu’une telle immigration de masse a conduit au fait que l’Europe telle que les Européens l’ont connu jadis, est de moins en moins reconnaissables. Dans de nombreux endroits, les Européens sont devenus des étrangers dans leur propre pays, et dès le début, ils n’ont pas voulu de cette immigration massive. Cette politique d’immigration porte en elle tous les signes d’un concept totalitaire de gouvernance de la part l’élite politique de l’Europe, et nous rappelle les mouvements de population géants dans l’Union soviétique et la Chine communiste sous Staline et Mao. Ces changements étaient décidés par un minuscule cercle politique, et réalisés sans la moindre consultation des peuples indigènes concernés.
En bref : l’extrême gauche et les Verts en Europe qui sévissent dans certains secteurs clés, tels que, l’élargissement de la communauté européenne, l’immigration, la nationalité, les médias, ont agi comme agiraient des forces d’occupation étrangère. Cependant, vu que ceux qui portent l’entière responsabilité de cette immigration de masse ont été incapables de convaincre leurs électeurs européens du bien-fondé de leur idéologie politique, ils sont entrepris d’organiser l’occupation de leurs pays par des hordes de gens parlant des langues étrangères, avec une religion et une culture étrangères. Et leur intention demeure de « diluer » les Européens afin de leur retirer, progressivement, tout pouvoir.

Tout ceci n’est en réalité qu’une forme nouvelle de « purification ethnique ». En outre, on distingue certains signes pervers : il n’y a pas de forces d’occupation extérieures, mais plutôt une petite minorité très déterminée, interne aux populations indigènes européennes, et cette minorité au pouvoir peut d’ores et déjà, mais surtout à long terme, remplacer sa propre population par une autre qui lui promettrait un plus fort soutien dans ses objectifs politiques.
Le grand plan de la gauche et des Verts produit d’ores et déjà les résultats escomptés : à Bruxelles,  à Milan ou à Oslo, le prénom Mohammed est désormais le plus commun donné aux nouveaux nés. En Angleterre le prénom le plus courant était Jack, c’est dorénavant Mohammed. En Hollande, en 2004, 56% des enfants et des jeunes dans les grandes villes sont des étrangers, la plupart sont musulmans.
En Suisse, les projections statistiques pour 2040, indiquent que la population sera à 76% musulmane, dans l’hypothèse où la politique migratoire de ce pays alpin n’était pas inversée. Selon une étude autrichienne, en 2051, le tiers des élèves autrichiens sera musulman. Une étude des Archives islamistes de Soest (2006) concernant les développements de la population allemande prévoit qu’en 2045, il y aura en Allemagne 51.72 millions de musulmans et seulement 45 millions d’Allemands de souche. Ces chiffres sont déjà soigneusement évalués par les autorités musulmanes en ce qui concerne  leur prise de pouvoir, dans ce pays le plus important d’Europe.

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Partie 2 : faits concernant l’islamisation du Danemark

Pendant des décennies le Danemark était un des rares  exemples au niveau mondial d’une société pacifique avec un système social fonctionnant presqu’à la perfection. Tant en Europe qu’ailleurs, ce petit pays était le modèle à imiter car il avait une  forte conscience écologique, un des meilleurs systèmes éducatifs  et un taux de criminalité extrêmement bas. Pendant des décennies ces faits étaient la pierre angulaire de la politique voulue par les Sociaux-Démocrates danois.
Cependant, dans les années 90, un certain désenchantement a commencé à se faire sentir, en parallèle avec une soudaine explosion de l’immigration en provenance des pays musulmans. Les Danois constatèrent avec frayeur qu’un nombre important de musulmans vivaient déjà dans leurs villes les plus importantes et que ceux-ci avaient peu ou pas du tout l’intention de s’intégrer à la société danoise. Par contre, il devenait de plus en plus évident que les leaders musulmans commençaient à s’attaquer au style de vie des Danois, utilisant un langage de plus en plus brutal pour exprimer leur mépris envers la prétendue « décadence occidentale ».
Graduellement, mais hélas trop lentement, les Danois ont commencé à comprendre qu’avec les musulmans, ils avaient accueilli  des gens, qui non seulement n’acceptaient pas les valeurs de base des Danois (liberté de l’individu, liberté d’expression, égalité des sexes, tolérance envers les autres groupes ethniques) mais qui de plus attaquaient ces valeurs avec une hostilité toujours croissante. À la place de la soi-disant « décadence occidentale » ils voulaient mettre en place le modèle de société archaïque de l’islam, espérant l’imposer tôt ou tard au Danemark  comme le seul  modèle souhaitable  de croyance et de justice.

Au Danemark, tout comme dans les autres pays du « territoire de la guerre » l’islam cherche à noyauter massivement le pays dans le but à moyen terme de transformer cet état libéral en un état islamique.  Sur son site Internet le Parti Islamique du Danemark déclare déjà que la prise du pouvoir est imminente au Danemark. Le seul et unique programme de ce parti est de faire du Danemark un pays islamique en donnant les postes clés à des musulmans. Par ailleurs, ils ont menacé qu’un traitement « inadéquat » des enfants musulmans rencontrerait des réactions violentes de la part des musulmans vivant au Danemark.

Généralités

A l’instar des autres pays occidentaux, les Danois subissent les agressions et les émeutes des immigrés musulmans.[…]

Le message envoyé par les musulmans au Danemark, à la France et à tous les autres pays est : « Nous serons les futurs dirigeants de ce pays » ! (…)

A cause du racisme musulman, des populations indigènes du Groënland, les Kalaalits, qui sont Danois depuis des siècles sont obligés de changer de domicile. Les Kalaalit, n’ose plus marcher dans leurs rues, parce que des musulmans leur jettent des pierres ou les attaquent régulièrement de différentes manières. Le motif de ces agressions est incompréhensible et en même temps, surréaliste: de nombreux adeptes de cette “religion de paix” voient les natifs du Groenland comme étant des “infidèles”  ou  même comme des bêtes sauvages ne bénéficiant aucunement de la  protection des droits que l’homme.
(…) Johanne Christiansen, l’une des femmes de la communauté Kalaalit ayant accepté l’assistance de l’Etat pour déménager dit : « Je ne pouvais plus supporter d’être la cible de leurs constantes attaques ». Elle était harcelée par des Somaliens et des Arabes. « Ils n’ont absolument aucun respect envers nous ». Les musulmans disent aux Kalaalits qu’il « faudrait carrément uriner sur eux car le Danemark est devenu leur pays ».
A l’exception d’un ou deux journaux locaux danois, les principaux journaux européens n’ont jamais évoqué ces faits. Au contraire, le Süddeutsche Zeitung, champion du déni de réalité d’une « soi-disant menace d’islamisation » de l’Europe, affirme régulièrement que ceux qui mettent en garde contre l’islamisation de l’Europe font erreur, sont racistes, xénophobes, et sont accusés de toutes sortes de vilenies.
(…) Le Spiegel (l’un des rares journaux qui ose encore émettre quelques critiques sur l’islam, mais qui croit, cependant, qu’un islam « modéré » ne serait pas un mal) affirme : « La violence, la terreur et les pressions croissantes des islamistes menacent les chrétiens orientaux. Dans certains pays, ces minorités mal-aimées luttent avec difficultés pour survivre, ou cherchent leur salut dans l’exil ».

Faits étudiés dans le détail

  1. Coûts sociaux exorbitants des musulmans au Danemark (…) La plupart des immigrés sont originaires de Turquie, Somalie, Pakistan, Liban, et Irak, ils constituent 5% de la population mais reçoivent 40% de l’aide sociale. La contribution per-capita, en impôts et au PIB par les immigrés (dont 80% sont originaires de pays musulmans) est de 41% inférieure à celle des Danois, per capita.
  2. Taux extrêmement élevé de criminalité chez les musulmans au Danemark. 70% des crimes commis à Copenhague sont le fait de musulmans. (Note du traducteur : ici M. Mannheimer fait référence au livre de Nicolaï Sennels : Among Criminals Muslims - dont des extraits sont déjà traduits sur Bivouac - et à sa conclusion : « L’intégration des musulmans dans les sociétés européennes est impossible »). Les statistiques en Allemagne sont identiques à celles du Danemark. (Note du traducteur : se reporter au livre publié en septembre 2010 par Thilo Sarrazin). (…) L’une des conséquences de ces violences est la chute des prix de l’immobilier dans certaines zones urbaines occupées par des musulmans. (…) C’est seulement récemment que le Copenhagen Post a finalement déclaré que la capitale danoise était une « zone de guerre ». (…) En ce qui concerne les viols des femmes non-musulmanes, les statistiques montrent des chiffres exorbitants  et qui sont similaires aux chiffres observés en Suède et en Norvège.
  3. Persécutions des Juifs et des Chrétiens au Danemark. L’église d’Aarhus a dû payer sa « protection » après avoir embauché des gardes musulmans contre le harcèlement et le vandalisme. Les Arabes veulent tuer des Juifs afin de gagner la reconnaissance des autres musulmans. Les Juifs danois ont dû demander la protection de la police. Les enfants juifs doivent changer d’écoles car ils sont malmenés par les enfants musulmans.
  4. Refus de s’intégrer par les musulmans au Danemark. Les musulmans veulent rester entre eux. A l’école, ils terrorisent les autres enfants. Les mariages forcés et les crimes d’honneur sont en constante progression. Le Danemark capitule et les conditions de vie ressemblent de plus en plus à une guerre civile. Le journaliste allemand, critique de l’islam, Udo Ulfkotte, fait ici une description détaillée des zones de non-droit et de trafics au Danemark (…).
  5.  Terrorisme et soutien des actes de terreur par les musulmans. La candidate du parti des Verts danois conseille aux terroristes d’attaquer les soldats danois (…) La politicienne Palestino-danoise Asmaa Abdol-Hamid appelle tous ses frères musulmans à tuer des soldats danois partout où ils se trouvent. Abdol-Hamid est venue avec toute sa famille en 1986 au Danemark, où l’asile lui a été généreusement octroyé et où elle a reçu une éducation de haut niveau. Par ailleurs, une récompense de 30 000 dollars est offerte par un groupe musulman danois à quiconque tuerait un Juif au Danemark.
  6. Au Danemark les musulmans réclament le pouvoir. Copenhague : tentatives de meurtres contre les critiques de l’islam : le 21 octobre 2007, l’organisation SIAD est attaquée par des groupes ultra violents de gauchistes, armés de barres de fer, lors d’une manifestation, il y a eu plusieurs blessés graves parmi les membres de SIAD, mais aucun commentaire n’apparaît dans les médias. Par ailleurs, les apostats ou les convertis au christianisme sont menacés de mort.

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Partie 3 : Résumé de l’islamisation au Danemark.

Les musulmans veulent diriger l’Europe.

De la liste des faits analysés, il en ressort trois choses:

La première est qu’en prenant en compte tous les immigrants au Danemark, si on relie l’activité criminelle à la religion, les immigrés musulmans se démarquent très largement.

Deuxièmement, les immigrés musulmans sont en constante recherche de prise du pouvoir au Danemark. Ce ne sera pas un changement normal de gouvernement, comme dans les démocraties normales, mais plutôt une transformation complète de ce pays chrétien-démocrate en un pays islamique où s’appliqueront les lois de la charia - un Danemark musulman. Et les musulmans dans tous les autres pays européens poursuivent ce même but dans les pays où ils vivent désormais comme des immigrants.

Troisièmement, il semble que le problème musulman du Danemark ne soit pas limité au Danemark. Chaque pays occidental dans lequel vit une importante  diaspora islamique doit se battre contre des problèmes similaires ou identiques. Car l’Islam n’est pas une religion - et surtout pas une “religion de paix» - mais plutôt un totalitarisme avec une revendication absolue à la domination du monde  qui s’est camouflé avec succès depuis  1400 sous le déguisement de la  « religion».
Ce qui rend ceci si difficile à comprendre, entre autres choses, est ce gigantesque vide de connaissances de l’islam chez les non-musulmans. Mais également le fait, que nous croyons à un modèle de citoyen du monde de bonne volonté et il nous semble impensable que l’islam soit une exception aussi exagérément marquée parmi les grandes religions. Le Bouddhisme, le Christianisme,le Judaïsme, l’Hindouisme et le Taoïsme présentent ici et là des lacunes, cependant ces religions sont tolérantes et pacifiques de façon inhérente. Sans exception, elles enseignent toutes à leurs adeptes que les choses positives accomplies dans cette vie, auront des conséquences positives pour la vie future.
L’endoctrinement de l’islam est mortifère et impose de tuer avec sauvagerie les « infidèles ».
L’islam est donc une exception : son but ultime est de capturer tout le pouvoir sur terre, et tous les autres buts sont subordonnés à celui-ci. L’interdiction de tuer ne concerne que les musulmans, mais en aucun cas les « infidèles ». La paix de l’islam sera atteinte seulement lorsque la domination mondiale sera atteinte (…). Le communisme avait construit une image idéale de l’Homme, où tous les hommes seraient égaux, et ils ont échoué en raison de cette perception irréelle. Par ailleurs, l’islam construit aussi une image irréelle de l’Homme, car il s’imagine que tous les gens finiront par croire en un Dieu - le dieu de l’islam - et cette image ne coïncide pas avec la réalité de l’infinie diversité psychologique, intellectuelle et créative de chaque être humain. L’espèce humaine est infiniment plus diverse, sophistiquée, intelligente, créative, chaotique, et imprévisible que l’image archaïque de l’Homme offerte par les fondateurs analphabètes de l’islam.

Le « Dar al Islam », ce concept musulman du monde futur, dans lequel tous seraient soumis à l’islam, n’est rien de plus qu’une utopie irréaliste - et même surréaliste - qui n’adviendra jamais. Cependant, aussi longtemps que les musulmans luttent pour leur futur rêvé et divisent artificiellement le monde entre « Croyants » et « Infidèles », le mot islam restera associé à la guerre, la terreur et la violence. Cette guerre perpétuelle contre les non musulmans, le djihad, est déclarée devoir religieux pour chaque musulman.

Une audio de Khomeiny dit :

« Les Chrétiens et les Juifs disent « Tu ne tueras point » ! Mais nous nous disons, que tuer possède la même valeur morale que la prière pour atteindre notre but »

Mais il y a plus grave encore: l’islam appâte les tueurs à gages, avec le promesse de l’entrée présumée au paradis où des dizaines de vierges attendent les “djihadistes”, et leur feront goûter aux plaisirs sexuels permanents. Et si un musulman a des problèmes avec sa conscience au sujet du meurtre d’un «infidèle», il reçoit l’aide et le soutien religieux directement du coran.

Le coran dit : « Ce n’est pas ton bras qui les a poignardés, mais c’est Allah. Ce n’est pas toi qui as tiré la flèche, mais c’est Allah, afin qu’Il puisse montrer sa propre puissance » sourate 8.17.

En clair: leur Dieu islamique, le “Tout Miséricordieux”, non seulement attend de ses fidèles qu’ils tuent les “infidèles”, mais en plus il prend soin de fournir la thérapie nécessaire pour traiter directement avec la situation. Leur dieu veille à ce que la conscience de ses tueurs à gages soit libérée de toute responsabilité personnelle pour leurs meurtres, en prenant cette responsabilité sur lui-même.

On a pu observer chez les génocidaires du siècle passé (Hitler, Staline, Mao, Pol Pot) que « l’Etat » disait : « Ce n’est pas vous qui avez tué, moi, l’Etat, je suis le tueur commanditaire. Vous êtes seulement mon instrument.

Quand l’Autorité le commande (surtout si l’autorité est un dieu), cela est plus facile de commettre un meurtre.
Aucune autre religion au monde n’a instauré une culture si perverse du meurtre, aucune autre religion au monde n’enseigne systématiquement à ses adeptes comment tuer les adeptes des autres religions, aucune autre religion au monde considère avec une intention diabolique la non responsabilité des actes commis, ce qui, de fait, immunise les musulmans contre tout sentiment de culpabilité envers les meurtres des innocents, et tout cela est écrit dans leurs « Saintes écritures ». Au point que si Satan existait, alors le nom de sa religion serait l’islam et son prophète serait Mahomet.
(…) Le coran ordonne de tuer et de violer les infidèles dans 206 versets ainsi que la propagation de la foi par l’épée. Dans 1800 autres passages, le prophète Mahomet lui-même ordonne à chaque musulman de se référer aux Hadiths et à la Sunna.

Conclusion : des personnes mauvaises, il en existe dans toutes les religions, mais seul l’islam est capable de transformer une bonne personne, en une personne diabolique.
(…) La notion de liberté religieuse doit être reconsidérée d’urgence. Si les textes sacrés d’une quelconque religion, sa fondation et les déclarations de ses prophètes violent de façon aussi flagrante la Déclaration des droits de l’Homme de l’ONU, comme c’est le cas pour l’islam, alors il faut lui retirer le statut de « religion ».
(…)On ne doit désormais plus permettre que l’islam invalide les systèmes légaux historiques des États  comme cela arrive depuis  déjà trop longtemps dans la plupart des pays occidentaux.  En outre, des lois religieuses ne doivent en aucun cas supplanter les lois constitutionnelles. Nous devons formuler ainsi :
La Loi Constitutionnelle prévaut sur la loi religieuse ! Il n’y a pas de si, de mais, ni de et. 

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Partie 4 : qui sont les Occidentaux qui facilitent l’islamisation :

Sans le soutien actif des intellectuels occidentaux, des pasteurs, politiciens, artistes, journalistes, auteurs, l’islamisation de l’Europe ne pourrait rencontrer aucun succès.

Les politiciens qui permettent l’islamisation

Jacob Hougaard, employé à la Commission pour l’Intégration à Copenhague, demande sur un ton très sérieux d’accroître la visibilité de l’islam dans les écoles danoises et sur les lieux de travail, et affirme dans une audio :
« L’islam doit devenir une composante de la vie publique ». Il raffine le défi jusqu’à demander que les vacances scolaires coïncident avec les fêtes musulmanes, il demande des toilettes séparées pour les musulmans et exige que les employeurs du secteur privé respectent les cinq prières quotidiennes et la possibilité d’obtenir des repas halal.
Uffe Ellemann-Jensen ex-ministre danois aux Affaires Etrangères appartient lui aussi au parti des « apaiseurs pacifistes » de gauche et il a violemment critiqué la re-publication des caricatures du 7 février 2006, demandant même la démission du rédacteur en chef du Jyllands-Posten.
(…) Stefan Meller ministre aux Affaires Etrangères de Pologne fait des courbettes et s’excuse officiellement pour la republication des caricatures par un journal indépendant, dans un geste de soumission rapide et immédiat envers tous les musulmans du monde.
(…) Zbigniew Nosowski, rédacteur en chef du mensuel Wiez, renchérit avec une critique du gouvernement polonais :
« Cette publication était une provocation amplifiée par la couverture médiatique. Les provocations des journalistes peuvent être utiles lorsqu’elles dénoncent des faits non détectables par d’autres moyens. La seule information communiquée par les caricatures était …le niveau d’ignorance concernant le fait religieux ».
(…) Erdogan, le Premier Ministre turc, co-auteur du Manifeste de son parti, a également sévèrement condamné la publication des caricatures, mais pourtant ces caricatures sont bien peu de choses comparé au Manifeste de son Parti politique écrit en 1997, dont il est co-auteur, qui demande la totale annihilation des Juifs. C’est un point de vue correcte des choses selon le coran et de son contenu antisémite, et c’est islamiquement correct selon les déclarations de Mahomet. Mais cet appel au génocide n’est jamais critiqué par les associations musulmanes, ni par les théologiens de l’islam. (…).

Le silence des médias

À ce jour, les médias occidentaux “de qualité” ont gardé le silence sur cet déclaration d’Erdogan - une déclaration qui n’est pourtant pas moins grave que celles d’Hitler et d’Ahmadinejad. Coïncidence? Jamais de la vie !  Si les rédacteurs avaient été en mesure de dénicher de tels déclarations dans les archives, venant d’un président américain ou israélien, ils auraient certainement fait les manchettes du monde durant des semaines !

L’appel monstrueux Erdogan au génocide des juifs de ce monde ne semble pas valoir la moindre ligne pour la plupart des médias, mais pour Erdogan, cela ne semble également poser aucun problème moral. Par contre, oser une critique de son prophète Muhammad qui a demandé à ses disciples plusieurs fois d’anéantir les Juifs, et qui avait lui-même a tué d’innombrables Juifs, cela provoque chez lui un grand trouble. Il est bien connu que les assassinats de non-musulmans est permis dans l’Islam. Cependant, celui qui évoque cette licence islamique de tuer, celui qui l’appelle par son nom, est considérée par l’Islam comme ayant commis une offense impardonnable aux prophètes et la religion. C’est toute l’hypocrisie, et la hiérarchie des principes moraux de cette “religion de paix.”

Ausi, j’accuse la grande majorité des médias de complicité abjecte avec le totalitarisme islamique et avec ses principaux religieux ou politiques, qu’elle soit intentionnelle ou pas.

Les raisons de cette complicité (souvent intentionnelle) sont :

  • Haine envers la société composée de citoyens occidentaux
  • Anti-américanisme
  • Antisémitisme
  • Une ignorance crasse des tenants et aboutissants de l’islam.

Les journalistes en tant que facilitateurs de l’islamisation

La presse occidentale ne reconnaît aucun tabou : si le sujet est la chrétienté, le pape, les politiciens occidentaux ou non occidentaux, les artistes, les pays, des scientifiques, des idéologies ou des idéologues, des religions ou des sectes. Tout peut être analysé, critiqué, caricaturé - et la liberté de le faire est une bonne chose.
Cependant  Hendrik Zörner, porte-parole de l’association des journalistes allemands (Deutscher Journalistenverband -DJV) a lui aussi critiqué avec véhémence la reproduction des caricatures danoises, faisant référence au « Code de la Presse », selon lequel : « La publication par le mot et l’image, qui par leur forme et leur contenu peuvent porter atteinte aux sensibilités religieuses d’un groupe de personnes, viole les stipulations écrites dans ce Code » Numéro 10 du code allemand de la presse. (…).
Régis Debray, dans une interview publiée par le Nouvel Observateur, s’aligne lui aussi sur un scénario international de subjugation à l’islam, et demande ni plus ni moins un autocontrôle par chacun dans la formulation de ses propres opinions en ce qui concerne l’islam, il soutient :
« Nous ne pouvons projeter nos formes de pensées et notre système culturel sur une autre culture qui a son histoire et où la religion joue un rôle structurel, comme c’était le cas pour nous il y a trois siècles ». (…).

Les écrivains en tant que facilitateurs de l’islamisation
Kurt Tucholsky, écrivain allemand, affirmait en 1919 :
« Ce qui est permis dans une satire ? Tout »
Cependant, un siècle plus tard, un prix Nobel de la paix et de littérature, l’Allemand Günter Grass, a soutenu au sujet des caricatures, qu’il s’agit : «d’une provocation consciente et planifiée par un journal danois d’extrême droite ». M. Grass avait auparavant évoqué sa « compréhension » des attentats contre les tours jumelles à New York et s’était reconnu une certaine sympathie envers les terroristes musulmans (…). Grass va si loin dans son amitié pour l’islamo-fascisme qu’il a proposé, à l’occasion de la candidature de Lübeck en tant que « capitale culturelle de l’Europe » que l’une des églises de Lübeck soit transformée en mosquée. Ce qui serait prêché dans cette mosquée ne semble pas l’intéresser particulièrement. Mais rappelons maintenant la nature des textes coraniques prêchés dans ces mosquées dans le monde entier :
« Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits » sourate 47.4
« Tuez les infidèles partout où vous les trouverez » sourate 2.187
« Et s’ils retournaient à l’infidélité, saisissez-les et mettez-les à mort, partout où vous les trouverez » sourate 4.91
« Ô Croyants ! ne prenez jamais comme amis ni des Juifs ni des Chrétiens » sourate 5.54
« «Ô Croyants ! Combattez les infidèles qui vous avoisinent ; qu’ils vous trouvent toujours sévères à leur égard » sourate 9.124
(Note du traducteur : citations du coran de la traduction authentique de Kasimirsky, préface par Mohammed Arkoun ; versets de Médine donc abrogeants). (…).

Les psychanalystes en tant que facilitateurs de l’islamisation
Horst-Eberhard Richter, très célèbre psychanalyste allemand, chef de file du Mouvement pour la paix et figure de proue des Verts, comme Grass, Richter a vu dans le conflit des caricatures un problème de l’Occident, je cite :
« L’Occident doit renoncer à toutes provocations et faire preuve d’humilité, nous devons davantage estimer l’identité culturelle des pays musulmans ». (…).
Dans son essai : « Islamophobie - symptôme d’une anxiété pathologique » (Islamophobia - a symptom of the psychological illness of unrest »), il pose la question rhétorique ainsi :
« L’islamophobie est-elle un symptôme d’anxiété pathologique ? »
(…) Afin de clarifier et d’écarter les doutes, l’un des plus connus et respectés psychanalystes Allemand, qui prétend s’opposer à la misogynie et au totalitarisme, considère la critique du théo-fascisme et de la suprématie des mâles de l’islam, comme une maladie… ex-cathedra, pour ainsi dire. Le mot qui tue : « islamophobie » ne peut avoir un autre sens. (…)

La gauche en tant que facilitatrice de l’islamisation

(…) Etant donné que les gens de gauche refusent généralement le débat sur l’aspect inhumain et totalitaire de l’islam, ils ont abandonné le champ politique de la critique de l’islam à d’autres, qu’ils diabolisent et accusent d’être « hostiles aux étrangers ».
Cependant, cette stratégie de diabolisation de la droite, employée par la gauche est finallement devenue un boomerang idéologique, parce que dans le long terme, la constante association des termes «hostile aux étrangers» et «critique de l’islam», rend maintenant impossible pour la gauche, même dans les cas les plus évidents, de participer activement à la discussion sur l’islam. Dans ce cas, cette accusation d’ «hostilité envers les étrangers” peut se refermer sur eux de toute sa force. La gauche bien-pensante se sera mise dans un cercle vicieux duquel elle n’aura pas où s’échapper, et à la fin, c’est l’islam qui sera le véritable vainqueur.

Les convertis en tant que facilitateurs de l’islamisation
Au Danemark, une tendance à la conversion à la “religion de paix» peut aussi être observée. Comme en Allemagne et d’autres pays occidentaux, une grande partie des quelques 4.000 convertis à l’Islam danois se sont installés dans la gauche et les partis verts de la politique. Ce fait est clairement observable dans une étude de l’Université de Copenhagen.

Selon cette étude, les personnes  sondées  été convertis à l’islam et ouvertement opposés au modèle occidental de démocratie, et désirant que l’islam soit la forme de gouvernance dans leur pays. Ce retournement interne des valeurs de la gauche d’antan par les convertis à l’islam est stupéfiant :
- d’un athéisme “communistement correct”,  à une religion où le moindre doute sur son dieu et son prophète est punissable de mort, et qui veut mettre de force le monde entier sous la bannière d’Allah.

- De la demande d’égalité entre homme et femme,  à une religion de l’apartheid entre les sexes, lorsque, conformément à la loi des manuscrits religieux (Coran et Sunna) l’assujettissement de la femme avec pratiquement aucun droit est scellé une fois pour toutes.

-De l’égalité pour toutes les personnes, à l’égalité de toutes les personnes partageant les mêmes idées, les musulmans. En revanche, toutes les autres personnes, selon le Coran, selon Muhammad et selon les agents de la «religion de paix” peuvent être tués en toute bonne conscience.

…) On est en droit de se demander  si lors de leur conversion à la « religion de paix », ces Occidentaux ont été informés qu’il n’existe pas de retour à leur vie pré islamique, et qu’en cas d’apostasie ils seraient tués, comme l’affirme Mahomet : « Tuez quiconque quitte l’islam ». S. 4.91

**************

Conclusion : après avoir échoué l’apaisement d’Hitler, les « pacifistes » occidentaux récidivent.

(…) La théorie de l’apaisement est absurde car l’expérience historique montre que les régimes voyous, sans exception, ont dû être vaincus par la force. Ce fut le cas avec Hitler, avec les Khmers Rouges au Cambodge, et avec le régime cannibale d’Idi Amin Dada en Ouganda, qui s’était d’ailleurs converti à l’islam. (…)
Non, la seule conclusion correcte suite à la seconde guerre mondiale doit être :
« Plus jamais la tolérance pour l’intolérance »
(…) Cependant, il faut que les « pacifistes » et les ennemis de la liberté occidentale comprennent bien une chose : le crocodile islamique vous mangera les premiers !

La faillite collective de l’élite occidentale
(…) Là, où la prise de conscience et la défense sont concernées, non seulement les juristes et les politiciens ont misérablement failli à leur tâche, mais pire : par leur passivité envers la menace mortelle que constitue l’islam contre nos pays, ils ont brisé le serment de loyauté envers leurs peuples et que leur fonction et la Constitution leur imposent, et qui est avant toute autre considération, de protéger leurs populations contre ce danger mortel.

Alors que faire ?
Quiconque veut empêcher Eurabia d’advenir, ne peut compter ni sur la justice ni sur la politique, mais doit devenir très actif, selon les suggestions suivantes :

  1. Ne jamais voter pour un politicien pro-islam. Annuler tout abonnement à des journaux ou magasines favorables.
  2. Les lecteurs doivent envoyer, en masse, des lettres de protestations contre les articles et commentaires qui qualifient les critiques de l’islam de gens dangereux « d’extrême droite », et contre les articles qui nient le fait que l’islamisation de l’Europe est bel et bien en train de se produire.
  3. Submerger d’e-mails et de lettres les radios et télés qui produisent des émissions islamophiles.
  4. Etablir des avertissements de masse contre les juges qui détournent nos lois et qui favorisent cette immigration massive.
  5. Ne plus jamais voter pour des maires et des partis qui se sont engagés dans la construction de mosquées, et largement diffuser les noms des élus complices.
  6. Envoyer des lettres de protestations aux mairies, préfectures et partis politiques.
  7. Organiser des sit-ins et autres petites ou grandes manifestations partout où cela est possible.
  8. Informer les relations et les amis sur l’islam, par des textes d’informations sur la vraie nature de l’islam, et par e-mails.
  9. Partager vos connaissances sur l’islam avec vos amis, clients, relations…
  10. Quand vous votez (aux niveaux, local, national ou européen) ne votez que pour ceux qui ont officiellement mentionné le caractère dangereux de l’islam et s’opposent aux menaces.
  11. Soutenez et encouragez les politiciens, journalistes, intellectuels, artistes et autres citoyens, assez courageux pour oser critiquer l’islam en acceptant la stigmatisation insultante « d’extrême droite » que les musulmans ou la gauche vont, comme d’habitude, coller sur leur nom.

Tout a été dit, mais une seule vérité est inébranlable :
« Celui qui ne combat pas, a déjà perdu la bataille ».

 

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 09:14

L'Europe oublie Jésus, pas Allah 

 

 

Le Parti chrétien démocrate présidé par Christine Boutin s’est indigné de la publication par la Commission européenne d’un agenda ne mentionnant aucune fête chrétienne, à commencer par Noël, et a dénoncé « un acte de discrimination absolument scandaleux ». « La Commission européenne a produit plus de trois millions d’exemplaires d’un agenda aux couleurs de l’Union européenne pour les écoles secondaires : cet agenda comprend la mention des fêtes juives, hindoues, sikhs et musulmanes, mais aucune fête chrétirenne n’y est sigalée », déplore le PCD. (…). « L’Europe doit prendre conscience de ses propres racines chrétiennes et du rôle public de la religion », ajoute Mme Boutin qui a fait part de « son inquiétude et de son indignation » au Président de la commission européenne, José Manuel Barroso. (SOURCE: « Charente Libre », 24/12/2010.)

 

Mais l'Europe (enfin les dirigeants!)veut la Turquie,voilà ce qui nous attends:

Zone occupée de Chypre : des chrétiens interdits d’office le jour de Noël

Les forces turques de la zone occupée de Karpasia dans le Nord de Chypre ont, pour la première fois depuis 36 ans, interdit aux chrétiens de fêter Noël.

Le matin de Noël, samedi 25 décembre 2010, le Père Zacharias et un grand nombre de personnes se sont rendus à l’église de Saint Sinesios à Rizokarpaso (photo de gauche) pour commencer les matines de Noël.

Mais des membres des forces d’occupation se sont précipités à l’église pour y interrompre les vigiles, ont exigé du prêtre qu’il retire ses habits liturgiques et ordonné à tout le monde de quitter l’église. Après le départ forcé des fidèles, les portes de l’édifice ont été scellées.

La même mésaventure est arrivée à l’église de la Sainte Trinité où le Père Konstantinos disait le premier office du cursus de l’office divin.

L’archevêque de l’Eglise orthodoxe de Chypre, Chrysostomos II a confié avoir été attristé par l’attitude provocatrice des forces d’occupation turques.

 
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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 16:54
UN COUAC CHEZ QUICK

Exprimer son désaccord avec une inculcation progressive des principes islamiques dans la société française devient passible des tribunaux. C’est ce qui est arrivé à Charles Aslangul, jeune conseiller municipal à Bry sur marne.

L’enseigne de restauration Quick avait ouvert naguère des restaurants exclusivement hallal, à titre exploratoire. Devant leur succès agrémenté du profit (le marché hallal est estimé à 5,5 milliards d’euros en France) qu’elle en retirait elle annonce aujourd’hui sa volonté d’en ouvrir 14 autres en France. Des restaurants exclusivement hallal, et rien qui ne le soit pas.  Trop c’est trop !

Notre jeune et courageux conseiller municipal, également Président d’une association contre le passage de la chaine Quick au tout-halal, ne l’a pas entendu de cette oreille. Il a manifesté en Février 2010 au nom de la laïcité, en collant la nuit, sur les vitrines de restaurants Quick d’Argenteuil et Villiers sur Marne des tracts pour protester contre ce passage au tout-halal. Les tracts disaient «Que du halal? Non merci». A la suite de quoi il a été poursuivi en justice pour « dégradation de bien privé » et « provocation à la discrimination et à la haine raciale » par l’enseigne. On se demande dans quel pays on est, et quel but est poursuivi !

Est-ce que la direction de ces restaurants s’est rendu compte qu’elle accentuait le communautarisme et la ghettoïsation de ces quartiers ?  Est-ce qu’elle avait le droit (qu’elle a toujours) d’afficher une telle discrimination (car c’en est une) alors qu’il est à peu prés certain que l’actionnariat de la chaine est français et public ? Gageons que la finance islamique, quoi qu’on pense d’elle, n’aurait jamais ouvert des restaurants cashers. Elle, au moins, a des principes. Est-ce qu’on s’est rendu compte que c’était la liberté d’expression qu’on voulait museler ?

Cette plainte reposait sur les griefs ahurissants de haine raciale et de discrimination. Depuis quand défendre la laïcité, et la République française dans un climat qui ne fait que s’étendre, d’accommodements raisonnables qui ne sont que des lâchetés déraisonnables, est de la haine raciale ? Ce n’en est ni de près ni de loin. Ne nous trompons pas de combat. Il s’agit bien pour nous d’un combat pour la laïcité. Les kebabs turcs existent depuis longtemps, ils ne sont pas autre chose que des restaurants hallal, mais ils ne le crient pas sur les toits. Les restaurants cashers à Paris et ailleurs non plus. Il s’agit aujourd’hui de « quelque chose d’autre ». Au milieu de lâchetés déraisonnables « ce quelque chose » fait partie d’une tentative de déstructuration de la société française, pour des motifs politiques, au profit d’une culture religieuse venue d’ailleurs et qui n’est pas la notre. On ne reproche pas à la chaine de pratiquer le hallal, on lui reproche de le pratiquer exclusivement et de l’afficher. On lui reproche d’être une chaine publique affichant des connotations religieuses. C’est donc bien la laïcité qu’on défend. Il n’y a aucune incitation à la haine, ni discrimination, mais la volonté de faire respecter la loi.

Heureusement  le parquet de Créteil vient de classer sans suite les poursuites à l’encontre de Charles Aslangul. Le parquet a justifié sa décision par « l’absence d’infraction ». Mr Aslangul est innocent. Ouf ! Le climat qui règne en France depuis plusieurs années, est délétère. « Les incivilités quotidiennes, le reniement de nos valeurs, la violence latente, le communautarisme, l’intégrisme galopant viennent mettre en péril nos acquis, notre héritage culturel », avait dit Charles Aslangul à la presse.

Il est temps de tordre le cou au n’importe quoi. Qui fait de la discrimination en ouvrant des restaurants exclusivement hallal ? Qui fait cette discrimination alimentaire envers des non musulmans ? Quand on critique l’Islam, ce n’est pas du racisme, c’est la critique d’une religion. En France on a le droit à la liberté d’expression. Quand on lutte contre des thèses islamistes, agressives et colonisatrices, on ne lutte pas contre l’Islam religion respectable, et il n’y a pas d’Islamophobie. L’Islam n’est pas une race mais une religion. Les mots ont un sens qui nous permet de comprendre ce qu’on nous dit. Ces mots sont employés à contresens. Il faut de l’illettrisme, de la déculturation, ou de la mauvaise foi, pour comprendre de travers le sens de ces mots là.

Le combat de Charles Aslangul est bel et bien celui de la laïcité contre le communautarisme. D’accommodements raisonnables en lâchetés déraisonnables, les petits pas d’une certaine forme d’Islam contre la République française, lui font gravir marche par marche un escalier dont elle entend ne jamais redescendre. Les juges ont mis un coup d’arrêt à cette plainte. C’est une bonne nouvelle, mais il faut être vigilant, il y aura bientôt « autre chose » car le temps des troubles est arrivé, et le peuple commence à bouillonner. Des élus ont déjà protesté contre ce tout-hallal, il faut que d’autres protestent. Sinon les gens descendront un de ces jours dans la rue, et il ne faudra pas qu’on se demande pourquoi !

Jack Petroussenko

24/12/2010

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 14:24
Et si l'on donnait la parole aux Français ?

Notre contributeur régulier, Michel Geoffroy, a relevé pour Polémia quelques résultats de sondages qui donnent une certaine idée de ce que pensent les Français depuis plusieurs mois…

L'identité

- 45,8% des jeunes français expriment une forme d'hostilité envers les étrangers ( Institut SWG ; AFP du 18/2/10)

- pour 65% des français l'identité de la France s'affaiblit (sondage TNS Sofres ; les Echos du 8/2/10)

- 71% des français estiment que la France est en déclin (sondage IFOP ; le bulletin quotidien du 12/7/10)

Les impôts

- 59% des français estiment que les prélèvements obligatoires sont « très élevés » (IPSOS ; les Echos du 18/3/10)

- 58% des professionnels de la finance et banquiers basés à paris seraient prêts à partir à l'étranger si la taxe sur les bonus de 2009 devenait récurrente ( étude de efinancialcareers.fr; le bulletin quotidien du 19/3/10)

Les revenus

- seul un français sur 4 est confiant sur son futur niveau de retraite (sondage IFOP le journal du dimanche ; les Echos du 11/1/10).

- 58% des français affirment s'en sortir difficilement avec les revenus de leur foyer ( sondage IFOP ; Les Echos du 3/5/10).

- 83% des français pensent que la pauvreté a augmenté sur le territoire (enquête Eurobaromètre ; le bulletin quotidien du 23/6/10).

- 75% des français se disent préoccupés par le chômage et l'emploi (sondage TNS Sofres ; le bulletin quotidien du 15/6/10).

- seulement 5% des français croient à un retour rapide au plein emploi (enquête TNS Sofres ; le bulletin quotidien du 22/6/10).

La politique

- 67% des personnes interrogées déclarent n'avoir confiance « ni dans la droite ni dans la gauche pour gouverner le pays » ( sondage TNS Sofres ; Les Echos du 12/1/10)

- 83% des européens estiment que la corruption gangrène les institutions nationales, régionales et locales (81%) : Les Echos du 10/12/09.

- 65% des français sont insatisfaits de la manière dont N.Sarkozy préside (sondage BVA ; le Monde du 7/1/09).

Le capitalisme

- 43% des français estiment que le capitalisme est « fondamentalement vicié » (sondage de la BBC ; Le Monde du 10/11/09.

  -pour 71% des français le mot « capitalisme » évoque quelque chose de négatif (sondage Opinion Way; le bulletin quotidien du 14/4/10).

L'environnement

- 53% des français estiment qu'il y a trop de messages publicitaires sur la consommation responsable ( étude Médiascopie et Ethicity; Les Echos du 1/4/10).

L'euro

- pour 62% des français l'euro a tendance à aggraver les effets de la crise (sondage Publicis consultants et TNS sofres ; le bulletin quotidien du 16/6/10).

  -29% des français pensent que la France devrait quitter la zone euro (sondage LH2 Nouvel Obs com ; le bulletin quotidien du 27/5/10).

L'insécurité

- 59% des français estiment que la délinquance a augmenté en France ces derniers mois (sondage IFOP ; le bulletin quotidien du 28/7/10).

- 51% des français n'accordent pas confiance au gouvernement en matière de lutte contre l'insécurité (sondage IFOP ; le bulletin quotidien du 30/8/10).

Et si l'on donnait la parole aux Français ? SUITE

Ou comment tenter de mesurer l'écart entre le pays réel et le pays officiel ….

Notre contributeur régulier, Michel Geoffroy, faisant suite à son relevé publié le 13/09/2010, présente une « mise à jour » de l’opinion des Français.

L'économie et l'emploi

La politique économique du gouvernement Fillon est jugée « mauvaise » par 68 % des personnes interrogées (sondage BVA Les Echos France info du 16 au 18 décembre ) : Le Figaro.fr du 21/12/2010. Ce sondage confirme celui de BVA-Absoluce des 19/20 novembre qui donnait le même taux : Le Bulletin Quotidien du 24/11/2010

67% ne font pas confiance à N.Sarkozy pour améliorer la situation de la France et des français d'ici 2012 y compris avec un nouveau gouvernement (sondage Viavoice Libération) : Le Bulletin Quotidien du 15/11/2010

70% sont mécontents de N.Sarkozy (baromètre mensuel IFOP-JDD du 24 octobre) : Le Monde du 26/10/2010

20% seulement des chefs d'exploitation agricole font confiance à N.Sarkozy pour défendre l'agriculture et les agriculteurs (sondage Terre-net BVA du 7 novembre) : Le Monde du 9/11/2010

45% des personnes interrogées ont une mauvaise image de la Bourse (sondage Opinion way Actionaria) : Le Monde du 16/11/2010

76% pensent que leurs enfants n'atteindront jamais leur propre niveau de vie (étude du Crédoc sur les classes moyennes ) Le Monde Magazine du 6/11/2010

35% des salariés interrogés estiment que les facteurs liés à leur activité professionnelle constituent les plus grands risques de détérioration du bien être (étude Malakoff Mérédic ) : Les Echos du 10/12/2010

82,3% des personnes interrogées pensent que le gouvernement va augmenter les impôts (sondage Obéa Infraforces) : Le Bulletin Quotidien du 26/10/2010

58,5% des électeurs suisses ont rejeté la proposition socialiste d'instaurer un seuil minimum d'impôt pour les plus riches entre les différents cantons : Le Monde du 30/11/2010

L'insécurité

L'efficacité de l'action de N.Sarkozy en matière de lutte contre l'insécurité est saluée par 49% des personnes interrogées et par 69 % des personnes âgées (sondage IFOP Paris Match des 2/3 septembre) : Le Bulletin Quotidien du 9/9/2010. Ce sondage confirme celui de l'IFOP Ouest France dimanche des 26 et 27 aout qui donnait 49% de personnes confiantes dans l'action du gouvernement en matière de lutte contre l'insécurité et 51% d'un avis contraire : Le Bulletin Quotidien du 30/8/2010

59% des personnes interrogées estiment que la délinquance a augmenté (sondage IFOP France Soir ) : Le Bulletin Quotidien du 28/7/2010

4,7 Millions de français déclarent avoir été victimes de vols et tentatives de vols en 2009 soit trois fois plus que les chiffres officiels de la délinquance ( enquête INSEE Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales) : Le Bulletin Quotidien du 23/11/2010)

87,4% des personnes interrogées souhaitent une réduction du délai nécessaire pour reconstituer les points perdus sur les permis de conduire (sondage Infraforces Autoplus) : Les Echos du 23/10/2010

52,9% des électeurs suisses ont approuvé par référendum le renvoi des étrangers délinquants : Le Monde du 30/11/2010

Les réformes

61% des personnes interrogées disent « comprendre » les manifestations et mouvements de grève contre la réforme des retraites ( sondage Opinion way Le Figaro) : Le Bulletin Quotidien du 25/10/2010

60% des hauts fonctionnaires jugent « négatif » le bilan des fusions des services de l'Etat décidées dans le cadre de la RGPP (sondage Ineum Consulting et Acteurs Publics) : Les Echos du 3/12/2010

51% des fonctionnaires estiment que l'évolution globale de la fonction publique ces dernières années est « mauvaise » (étude IFOP Accenture Les Echos) : Les Echos du 3 décembre 2010

L'Islam

54 % des sympathisants UMP approuvent le parallèle entre les prières de rue des musulmans et l'occupation (sondage IFOP du 13 et 14 décembre ) : Le Bulletin Quotidien du 16/12/2010

Seul un tiers des allemands ont une opinion positive des musulmans (sondage TNT Emnid du 2 décembre) : Le Monde du 4/12/2010

Michel Geoffroy
Décembre 2010

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 15:15

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 15:11

700 000 $ pour étudier l’impact du rot des vaches sur le réchauffement climatique

S’il est un rapport qui devrait logiquement devenir le livre le plus vendu aux États-Unis, c’est sans conteste celui que vient de faire paraître ce mois-ci le sénateur Républicain de l’Oklahoma Tom Coburn sous le titre Wastebook. A Guide to Some of the Most Wasteful Government Spending of 2010 (Le livre des gaspillages. Un recueil de quelques-uns des pires gaspillages du gouvernement en 2010). Né en 1948, Coburn, après trois mandats de député à la Chambre des Représentants (de 1994 à 1998), est sénateur de l’Oklahoma depuis 2004. Baptiste du Sud (et même diacre ordonné dans cette dénomination) il est, politiquement parlant, un conservateur social et fiscal, pro-vie et contre le “mariage” gay. C’est un des rares élus Républicains opposés à l’intervention américaine en Irak et à son financement. Mais son “dada” préféré, c’est la chasse aux “gaspis”, c’est-à-dire aux dépenses inconsidérées du gouvernement fédéral qu’il surveille attentivement comme membre du Fiscal Watch Team, un petit groupe d’élus, mené par le sénateur John McCain, dont le but est d’identifier et de combattre les gaspillages du gouvernement.
Dans le Wastebook qui vient de paraître – et dont je pourrai faire parvenir le PDF à tous ceux qui le demanderont à Nouvelles de France –, Coburn nous offre 100 exemples à la fois plaisants et grotesques des gaspillages que Washington fait de l’argent public. 100 exemples, parmi d’autres, mais qui ont coûté 11,5 milliards de $ aux contribuables américains ! J’en signale un seul, mais qui vaut son pesant de moutarde… (c’est à la page 41 du rapport).

  • « Il faut bien que quelqu’un apprenne aux vaches à bien se tenir. Une subvention fédérale de 700 000 $ a été accordée à des chercheurs pour étudier “l’émission de gaz à effet de serre dans les laiteries bios, provoquée, entre autre, par les rots de la vache”. Le responsable de la recherche a déclaré à un journaliste que les “vaches émettent l’essentiel de leur méthane en rotant, seule une faible partie de cette émission provient de leurs flatulences”. Le ministère de l’Agriculture a accordé cette subvention à l’Université du New Hampshire pour qu’elle “crée un modèle informatique capable de mesurer le volume de l’émission de gaz à effet de serre que produit une laiterie bio afin de fournir les moyens de diminuer ces émissions”. Un des objectifs de la recherche est aussi de trouver les moyens de rendre ces laiteries bios plus compétitives, financièrement parlant, vis-à-vis des fermes ordinaires. »

On respire – si je puis dire dans un tel contexte… Ce sont les rots et non les pets de vaches – comme on nous l’avait enseigné naguère – qui pourraient bien avoir une fâcheuse influence sur le réchauffement climatique. Entre nous : c’est la vache qui est folle ou ce type de recherche ?

Daniel Hamiche (28 décembre)



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