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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 08:37

  Une Fatwa légitime la pédophilie en Arabie Séoudite

L’islamologue égyptien Raymond Ibrahim revient dans un article du 21 juillet sur l’ignoble fatwa qui fait couler de l’encre dans les médias arabes…mais dont les médias occidentaux se gardent bien d’évoquer l’existence afin de ne pas « stigmatiser » l’islam…

imagesf.jpg

« Le mariage des enfants » – euphémisme pour pédophilie – fait à nouveau les grands titres, au moins dans les médias arabes: Dr Salih bin Fawzan (photo) un dignitaire religieux  membre du prestigieux Conseil islamique d’Arabie Saoudite , vient de publier une fatwa affirmant qu’il n’y a pas de minimum d’âge pour le mariage, et que les filles peuvent être mariées », même si elles sont dans le berceau. »Apparaissant dans des journaux saoudiens le 13 Juillet, la fatwa se plaint des interférences « avec la presse mal informée sur la charia , ce qui pose de graves conséquences pour la société, y compris leur interférence avec la question du mariage des petites filles qui n’ont pas atteint la maturité , et leur demande qu’un âge minimum soit fixé pour les filles à marier. « 

 

Fawzan insiste pour que la charia  ne fixe une limite d’âge pour se marier les filles: comme d’innombrables érudits musulmans avant lui, il s’appuie sur le Coran 65:4, qui traite du mariage aux femmes qui n’ont pas encore eut leurs règles (par exemple, sont prépubère) et le fait que Mahomet, modèle de rôle de l’islam, marié Aisha quand elle avait 6 ans, «consomma» le mariage – ou, en langage moderne, commit un viol - quand elle avait 9 ans.Le point de la fatwa saoudienne, cependant, n’est pas que les filles aussi jeunes que neuf ans puissent avoir des relations sexuelles, basé sur l’exemple de Mahomet, mais plutôt qu’il n’y a aucune limite d’âge que ce soit; la seule question ouverte à l’examen est de savoir si la fille est physiquement capable de subir l’acte par le mari / violeur. Fawzan s’appuie sur des documents reconnus authentiques en citant l’exégèse d’Ibn Batal autorité de Sahih Bukhari:

 

Les oulémas [interprètes de l'Islam] ont convenus qu’il est permis pour les pères à marier leurs petites filles, même si elles sont dans le berceau. Mais il n’est pas permis à leurs maris d’ avoir des relations sexuelles avec elles, sauf si elles sont capables d’être placés au-dessous tolérant le poids des hommes. Et leur capacité à cet égard varie en fonction de leur nature et leur capacité. Aisha avait 6 ans quand elle a épousé le prophète, mais il avait des relations sexuelles avec elle quand elle avait 9 ans [c'est à dire quand elle a été jugée apte].

Fawzan conclut sa fatwa par un avertissement: «Il incombe à ceux qui appellent à fixer un âge minimum pour le mariage de craindre Allah et de ne pas contredire sa loi (charia), ou d’essayer de légiférer les choses qu’Allah n’a pas permis. Les lois sont la souveraineté d’Allah, et la législation est son droit excusif, ne devant être partagé par aucun autre. Et parmi ces lois figurent  les règles qui régissent le mariage.  »

Fawzan, bien sûr, n’est pas le premier à insister sur la légitimité de la pédophilie dans l’Islam. Même l’ancien grand mufti d’Arabie Saoudite, Bin Baz, a soutenu « le mariage des enfants», puisque «le Coran et la Sunna l’approuvent. » (Fawzan fut un élève de Bin Baz)

Et ce n’est pas juste quelques points théoriques ou théologiques, la vie de nombreuses jeunes filles sont détruites à cause de cette décision. Rappelons, par exemple, la jeune fille de 13 ans qui est décédée alors que son mari beaucoup plus âgé copulait avec elle ou les filles de 12 ans  décédées en donnant naissance à un mort-né; ou une fille de 10 ans qui a fait les manchettes des journaux pour avoir fugué son mari de 80 ans.

Puis il y a les filles innombrables anonymes qui ne font rien pour mériter toute l’attention des médias – comme mourir – et ont appris à vivre avec leurs maris âgés, comme, sans doute, la fille qui épousa religieux le plus populaire de l’Islam, Yusuf Qaradawi, quand elle avait 14 ans. (note de l’Obs-i: Tariq Ramadan dit avoir un « profond respect » pour ce psychopathe dirigeant le Conseil européen de la fatwa dans lequel siège le nouveau président de l’UOIF, Ahmed Jaballah)

Que faisons-nous du fait qu’il est toujours dans  l’Islam religieux et officiel, des voix autorisées - non des voix aberrantes, ni des «terroristes», «extrémistes», ou tout autre euphémisme inventé pour l’occasion – qui font constamment la démonstration de la brutalité de la charia? Quelques semaines avant cette fatwa, une femme politique et activiste au Koweït a appelé à l’institutionnalisation de l’esclavage sexuel (recommandant que les musulmans achètent et vendent des femmes captifs russes de la guerre en Tchétchénie), un prédicateur populaire égyptien, non seulement dit la même chose, mais il a ajouté que la solution à la pauvreté de l’islam est d’aller sur le djihad et le pillage de la vie et les biens des infidèles.

Ces positions « religieuses » paraissent étranges? Peut-être, mais elles sont parfaitement cohérentes. Après tout, distillées et dans les yeux des non-croyants, la charia est rien de moins qu’un système juridique construit sur la base des mots et des actes du 7e siècle, arabes, dont le comportement – de la pédophilie et le sexe de l’esclavage à la guerre et le pillage  – a été celui d’un arabe au 7ème siècle. Ayant séduit ou réduits en esclavage ses contemporains, ses enseignements continuent à séduire et asservir leurs descendants, et, aujourd’hui comme alors, ce sont toujours les innocents qui souffrent. »

Traduction Joachim Véliocas pour l’Observatoire de l’islamisation.

Commentaire : La France délivre chaque années des dizaines de visas à des « religieux » séoudiens venant donner des conférences dans les mosquées. La Ligue islamique mondiale, organe de diffusion du Wahhabisme dans le monde, a financé les mosquées d’Evry et de Mantes-la-Jolie, Rome, Madrid…

 

(source islamisation.fr)

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 08:34

lu sur le salonbeige:

JMJ : Veillée sous l'orage - la jeunesse consacrée au Sacré-Coeur

J26
La veillée des Journées mondiales de la jeunesse a été subitement interrompue, à 21h35, par une pluie diluvienne d'orage obligeant Benoît XVI à interrompre son discours qu'il avait à peine commencé. Abrité sous plusieurs parapluies blancs, il a attendu patiemment, serein, le sourire aux lèvres, que les éléments se calment. Le bas de sa soutane était complètement trempé, les organisateurs épongeant l'eau à ses pieds. Il a longuement parlementé sous l'œil des caméras avec son entourage pour savoir s'il devait continuer ou pas.

J27
Pendant ce temps la foule battait des mains, chantait, alors qu'elle était très recueillie depuis le début de la cérémonie. 

J333
A un moment, le pape a récupéré son texte, mais c'était le micro qui ne marchait plus, lui laissant un large sourire.

J28
Enfin, vingt minutes après le début de l'incident, le son est revenu et le vent s'est calmé. Le pape a pu reprendre son discours.

J29

Puis, nouveau coup de théâtre, le pape a dû se lever et quitter la scène alors que des pompiers, sont apparus pour vérifier la stabilité des installations du grand podium. Il est réapparu, habillé de ses vêtements liturgiques pour présider la deuxième partie de la soirée dédiée à une adoration eucharistique.

J30
Le temps s'est calmé, la foule aussi, plongeant dans la nuit et la prière silencieuse. Le pape a longuement prié à genoux devant le Saint Sacrement. Puis, toujours dans le silence impressionnant de la foule, il a consacré la jeunesse au Sacré-Coeur.

J34

S

Le lieu est comble, comme l'indique l'organisation :

"Il semble que l'organisation de Cuatro Vientos ne permette pas à des personnes supplémentaires d'accéder à l'enceinte. Nous sommes absolument désolés, mais il n'est plus possible de participer à la veillée. Par contre, vous pourrez suivre la Sainte Messe demain, à partir de 9h30, sur les écrans géants du stade Vicente Calderón. Merci de votre compréhension!"

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J31

J35

Revoir la veillée : KTO.

20 août 2011

"La mesure de l'humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre"

Extrait du discours de Benoît XVI avant la veillée de prière, lors de sa visite à la Fondation St Joseph :

"Ce soir, avant la Veillée de prière avec les jeunes venus du monde entier à Madrid pour participer à ces Journées Mondiales de la Jeunesse, nous avons l’occasion de passer ensemble quelques moments et de pouvoir ainsi vous manifester la proximité et l’appréciation du Pape pour chacun d’entre vous, pour vos familles et pour toutes les personnes qui vous accompagnent et qui ont soin de cette Fondation de l’Institut San José.

La jeunesse, nous l’avons rappelé en d’autres occasions, est l’âge où la vie se dévoile dans la personne avec toute la richesse et la plénitude de ses capacités, poussant à rechercher les buts les plus élevés qui lui donnent sens. C’est pourquoi lorsque dans une vie jeune apparaît la douleur, nous demeurons déconcertés et nous nous demandons peut-être : la vie peut-elle continuer à être grande quand la souffrance y fait irruption ? À cet égard dans mon encyclique sur l’espérance chrétienne, j’ai écrit : « La mesure de l'humanité se détermine essentiellement dans son rapport à la souffrance et à celui qui souffre. (…) Une société qui ne réussit pas à accepter les souffrants et qui n'est pas capable de contribuer, par la compassion, à faire en sorte que la souffrance soit partagée et portée aussi intérieurement est une société cruelle et inhumaine. » (Spes salvi, 38). Ces paroles reflètent une longue tradition de l’humanité qui découle de l’offrande que le Christ fait de lui-même sur la croix pour nous et pour notre rédemption. Jésus et, sur ses pas, sa Mère – Notre Dame des Douleurs – et les saints sont les témoins qui nous montrent comment vivre le drame de la souffrance pour notre bien et pour le salut du monde.

Ces témoins nous parlent surtout de la dignité de chaque vie humaine créée à l’image de Dieu. Aucune affliction n’est capable d’effacer cette empreinte divine gravée au plus profond de l’homme. Bien plus, depuis que le Fils de Dieu a désiré librement embrasser la douleur et la mort, l’image de Dieu nous offre aussi le visage de celui qui les a supportées. Cette prédilection particulière du Seigneur pour qui souffre, nous fait voir l’autre avec des yeux purs pour lui donner, en plus des choses extérieures nécessaires, le regard de l’amour dont il a besoin. Il n’est possible de réaliser ceci que comme le fruit d’une rencontre personnelle avec le Christ. Soyez très conscients de cela vous les religieux, les parents, les professionnels de la santé et les volontaires qui vivez et travaillez quotidiennement avec ces jeunes. Votre vie et votre engagement proclament la grandeur à laquelle l’homme est appelé : compatir et accompagner par amour celui qui souffre, comme Dieu l’a fait lui-même. Et dans votre beau travail résonnent ainsi les paroles évangéliques : « Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un des ces petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25, 40).

Par ailleurs, vous êtes également les témoins du bien immense qu’est la vie de ces jeunes pour ceux qui sont à leurs côtés et pour l’humanité entière. De manière mystérieuse, mais très réelle, votre présence suscite en nos cœurs, fréquemment endurcis, une tendresse qui nous ouvre au salut. Il est certain que la vie de ces jeunes change le cœur des hommes et, pour cela, nous rendons grâce au Seigneur pour les avoir connus.

Chers amis, notre société où très souvent est mise en doute la dignité inestimable de la vie, de chaque vie, a besoin de vous : vous contribuez de manière décisive à édifier la civilisation de l’amour. Bien plus, soyez les protagonistes de cette civilisation ! Et comme fils de l’Église offrez au Seigneur vos vies, avec ses peines et ses joies, en collaborant avec Lui et en entrant « ainsi d'une certaine façon dans le trésor de compassion dont le genre humain a besoin » (Spes salvi, 40)."

"N’ayez pas peur du monde, ni de l’avenir, ni de votre faiblesse"

M Selon la police, 1,4 millions de personnes ont assisté à la veillée de prière à Madrid.

Alors que Benoît XVI prononçait son homélie, les fortes bourrasques accompagnées de pluie et d'orage ont contraint le pape à s'interrompre pendant une vingtaine de minutes. Sa calotte blanche a volé au vent tandis que le grand parapluie blanc ne suffisait pas à le protéger. Des chaises disposées tout près du gigantesque autel de 200 mètres de long ont également été renversées. Les cheveux ébouriffés, Benoît XVI a attendu, souriant, sous plusieurs parapluies, que la tempête se calme. Puis le vent s'est calmé. Le pape a repris son discours mais l'a abrégé, s'adressant à la foule en liesse en espagnol, et déclenchant la clameur des pèlerins.

C

"Merci pour votre joie et votre résistance. Votre force est supérieure à la pluie. C'est le seigneur qui nous donne sa bénédiction avec cette pluie", a-t-il lancé.

Voici un extrait de l'homélie du Saint-Père :

J25 "C’est précisément maintenant au moment où la culture relativiste dominante refuse et déprécie la recherche de la vérité – la plus haute aspiration de l’esprit humain – que nous devons proposer avec courage et humilité la valeur universelle du Christ comme sauveur de tous les hommes et source d’espérance pour notre vie. Lui, qui a pris sur lui nos afflictions, connaît bien le mystère de la douleur humaine et montre sa présence aimante à tous ceux qui souffrent. Ceux-ci, à leur tour, unis à la passion du Christ, participent de plus près à son œuvre de rédemption. En outre, notre attention désintéressée envers les malades et les personnes dans le besoin sera toujours un témoignage humble et silencieux du visage de la compassion de Dieu.

M1 Chers amis, qu’aucune adversité ne vous paralyse. N’ayez pas peur du monde, ni de l’avenir, ni de votre faiblesse. Le Seigneur vous a donné de vivre en ce moment de l’histoire, pour que, grâce à votre foi, son Nom retentisse sur toute la terre. En cette veillée de prière, je vous invite à demander à Dieu de vous aider à découvrir votre vocation dans la société et dans l’Église, et à persévérer en elle avec joie et fidélité. Il vaut la peine de sentir en nous-mêmes l’appel du Christ et de suivre avec courage et générosité le chemin qu’il nous propose.

Le Seigneur appelle beaucoup d’entre vous au mariage, où un homme et une femme, en ne formant qu’une seule chair (cf. Gn 2, 24), se réalisent en une profonde vie de communion. C’est un horizon tout à la fois lumineux et exigeant, un projet d’amour véritable qui se renouvelle et s’approfondit chaque jour par le partage des joies et des difficultés, et qui se caractérise par une offrande de la personne tout entière. C’est pourquoi reconnaître la beauté et la bonté du mariage, c’est être conscient du fait que seul un contexte de fidélité et d’indissolubilité ainsi que d’ouverture au don divin de la vie est en accord avec la grandeur et la dignité de l’amour des époux.

À d’autres, en revanche, le Christ lance un appel à le suivre de plus près dans le sacerdoce et la vie consacrée. Que c’est beau de savoir que Jésus te cherche, te fais confiance et, avec sa voix reconnaissable entre toutes, te dit aussi à toi : « Suis-moi » (cf. Mc 2, 14).

J24 Chers jeunes, pour découvrir et suivre fidèlement la forme de vie à laquelle le Seigneur appelle chacun, il est indispensable de demeurer dans son amour comme des amis. Or, comment se conserve l’amitié sinon par la fréquence des rencontres, la conversation, le fait d’être ensemble et de partager les joies et les peines ? Sainte Thérèse de Jésus disait que la prière consistait à « parler de l’amitié en étant bien souvent seuls pour parler avec celui dont nous savons qu’il nous aime » (cf. Libro de la vida, 8)."

Michel Janva

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 08:29

France : violence conjugale et islamisation vont-elles de pair ? La réponse en cartes.

«Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, […]. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris) […]. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, […] frappez-les.» (extraits, Coran 4:34)

Comparer la carte de la violence conjugale en France…

violence conjugale France

… à la carte des musulmans en France (© La Vie 2007) …

carte des musulmans en France

(carte de l’hebdomadaire La Vie en 2007, basée sur un sondage comportant 91 enquêtes réalisées sur la période 2003/2006 auprès d’échantillons de 1.000 personnes représentatifs de la population française, selon la méthode des quotas.)

… et à la carte des étrangers en France (INSEE 2006)

carte des étrangers en France

(Attention, tous les étrangers ne sont pas musulmans, et tous les musulmans ne sont pas étrangers. Cette carte n’en donne pas moins une seconde approximation de la géographie des musulmans.)

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 07:50

Ne trouvez-vous pas qu'il y a une analogie surprenante entre le déficit abyssal des états,la crise du système financier et la chute (programmée?) de toutes ces associations chargées de nous faire "gober" "assimiler" les ordres des "maîtres" du nouvel ordre mondial.Ils se sont tellement goinfrés d'argent public,notre argent,ils ont tellement adoré le "veau d'or" à s'en faire exploser la panse,qu'aujourd'hui ils en veulent encore et encore et encore,Mais ils ne peuvent plus rien nous prendre,nous n'avons plus rien.Analogie?A force de se goinfrer ils en crèvent!

 

 

SOS Racisme au bord du redressement judiciaire : le SOS de Dominique Sopo(info:fdesouche)

DIMANCHE dernier, dans nos pages Satyricon, nous expliquions que la très socialiste association SOS Racisme, pour être richement dotée, notamment en fonds publics, connaissait régulièrement des soucis en matière de « phynances ».

En effet, le budget annuel de cette annexe du PS tourne autour du million d’euros, dont un peu plus de la moitié sort de la poche des contribuables.

Cette année, SOS Racisme qui voulait « renouer avec sa capacité à imposer des problématiques dans la société française », pour reprendre les mots de Dominique Sopo et sans rapport avec la proximité des primaires et de la présidentielle, a reçu, en sus de ses financements ordinaires, 230 000 euros de subventions prises sur le budget supplémentaire de la mairie de Paris. [...]

L’Union


(merci à Jean d’Armes)

 

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 07:40

Lu sur le site CHRISTROI,cette information qui va dans le même sens de la destruction de la société traditionnelle.Après la sexualité et les drogues,après l'homosexualité reconnue et encouragée,après la théorie du gender,voici la pédophilie:

Voilà le prochain "droit" qu'ils s'apprêtent à défendre

  • http://marucha.wordpress.com/2011/08/17/usa-konferencja-zwolennikow-legalizacji-pedofilii/

  • USA: konferencja zwolenników legalizacji pedofilii

    Posted by Marucha w dniu 2011-08-17 (środa)


    TRADUCTION :

    USA : CONFÉRENCE DES PARTISANS DE LA LÉGALISATION DE LA PEDOPHILIE

    Posté par Marucha ce Mercredi 18 Aout 2011-08-17


    Aujourd’hui à Baltimore s’ouvre une conférence, avec la participation de chercheurs venant de différents milieu universitaires Etats Uniens, qui se propose de débattre des moyens pouvant amener la légalisation de la pédophilie. Ces savants vont réfléchir sur les moyens de convaincre l’Association Américaine de Psychologie de la nécessité de retirer la pédophilie de la liste des troubles psychiques, tout comme cela fut fait pour l’homosexualité .

    L’organisateur de la conférence est un groupe de militants pédophiles de l’institution B4U-ACT. Elle regroupe des psychiatres qui contestent le fait que les penchants sexuels d’adultes pour des enfants relèvent d’un trouble psychique devant etre soigné.

    Participent à cette conférence un certain nombre de représentants du monde universitaire, notamment d’Harvard et de la Johns Hopkins University ainsi que d’écoles supérieures de Louisville et de l’Illinois .

    Le Président de l’organisation B4U-ACT, Howard Kline a critiqué, fin de Juillet, la définition de la pédophilie formulée par l’Association des Psychologues Américains estimant que les critères ayant donné lieu à cette classification sont « erronés et dépourvus de bases scientifiques ». Il a ajouté que se proposer de traiter les pédophiles était « inconvenant » et « erroné ». De l’avis de Kline l’Association des Psychologues Américains se base avant tout sur des recherches effectuées sur des prisonniers, hors ce ne sont pas toutes les personnes ayant des penchants sexuels envers les enfants qui s’avèrent etre des délinquants. Il a ajouté que son Organisation « peut aider » l’American Psychologists Association à changer sa classification de la pédophilie « puisqu’existent des gens qui écrivent sur ce thème ».

    Le B4U-ACT classe la pédophilie comme une simple orientation sexuelle autre et condamne « la stigmatisation » dont elle est l’objet. « Nul ne décide de ses penchants sexuels pour les enfants. La cause en est inconnue. En réalité nul ne connaît non plus les causes des penchants sexuels pour les adultes » - assurent les militants de la légalisation de la pédophilie qui n’aiment pas l’idée d’avoir à soigner ce dérèglement.

    Dans son communiqué de presse la B4U-ACT informe l’APA qu’elle a critiqué sa classification des maladies psychiques.

    Dans son interview pour LifeSiteNews le professeur de droit Judith Reisman, expert en matière d’éthique sexuelle et de pornographie, a critiqué la conférence de Baltimore. Elle a reconnu que déjà, dans les années 70, elle s’est confronté avec de multiples initiatives visant à légaliser la pornographie infantile. Les pédophiles avaient alors engagé des « savants » amenant divers « travaux scientifiques » sur la pornographie, la prostitution et sur d’autres aberrations sexuelles. Ils envoyaient ensuite leurs conclusions à divers parlementaires qu’ils voulaient convaincre d’adopter leurs scandaleuses lois.


    Cest à la suite d’initiatives du meme ordre et de moultes démonstrations que les sodomistes ont obtenus en 1973 que l’homosexualité soit effacée de la liste des maladies psychiques figurant dans la classification du guide publié par l’Association des Psychologues Américains . Quand bien meme ont paru depuis de nombreux travaux scientifiques confirmant les aspects négatifs de l’homosexualité et sa nocivité pour la santé de nombreuse associations de psychiatres gardent désormais le silence sur ce sujet.

    Sources : LIfeSiteNews.com, AS
  • via http://marucha.wordpress.com/2011/08/17/usa-konferencja-zwolennikow-legalizacji-pedofilii/ et http://www.piotrskarga.pl/ps,7707,2,0,1,I,informacje.html



(Commentaire : Depuis pas mal de temps apparaissent des commentaires démontrant que la pédophilie sera la prochaine perversion à devoir etre considérée comme norme. C’est de plus en plus clairement que l’on observe les conséquences du l’exclusion dans la sexualité humaine hors de toute évaluation morale. Espérons que l’opinion publique ne se laissera pas embobiner par le baratin de tous ces pseudo-chercheurs et s’insurgera contre la promotion scandaleuse de cette dépravation ).

Marie Immaculée priez pour nous .

 

RAPPEL:

- Les "pipoles"qui défendent la pédophilie:

Dans une tribune publiée dans Le Monde en 1977, les anciens ministres français Jack Lang et Bernard Kouchner prenaient la défense de trois personnes accusées d’avoir eu des relations sexuelles avec des enfants de 13 et 14 ans

_
Si des filles de 13 ans ont le droit de se faire prescrire la pilule en France, elles doivent aussi pouvoir consentir.

En 1977, trois inculpés pour « attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans » se trouvent depuis trois ans en préventive. Ils reçoivent le soutien de Jean-Louis Bory, Patrice Chéreau, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Gabriel Matzneff et Philippe Sollers : « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit » (le Monde, 26 janvier 1977).
Parait ensuite un manifeste réclamant la dépénalisation des relations sexuelles avec les mineurs ; le texte est signé par  Louis Althusseir, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Jean-Louis Bory, Patrice Chéreau, Jacques Derrida, Françoise Dolto, Gabriel Matzneff, Jean-Paul Sartre et Philippe Sollers (Le Monde, 22-23 mai 1977). Vingt ans plus tard, l’opinion prendra la mesure des meurtrissures laissées par la pédophilie…

Une lettre ouverte fut publiée dans Le Monde, la veille du procès de trois Français (Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt), tous accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des filles et des garçons de 13 et 14 ans. Deux d’entre eux ont été en détention temporaire depuis 1973 et la lettre fait allusion à ce fait comme scandaleux.
La lettre fut signée par 69 personnes, dont Jack Lang (qui fut plus tard ministre de la Culture et ministre de l’Éducation en France), Bernard Kouchner (qui a été ministre de la Santé en France et cofondateur de Médecins sans frontières) Michel Bon (précédemment P-DG et président du conseil d’administration de Carrefour et France Télécom et anciennement vice-président de l’Institut Pasteur), et des intellectuels publics comme Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, Roland Barthes, André Glucksmann et Guy Hocquenghem, ainsi que 9 spécialistes. Le document déclare qu’il y a une disproportion entre la qualification de leurs actes en tant que crime et la nature des actes reprochés, et également une contradiction puisqu’en France les adolescents sont pleinement responsables de leurs actes à partir de l’âge de 13 ans. Le texte fait également remarquer que si des filles de 13 ans ont le droit de se faire prescrire la pilule en France, elles doivent aussi pouvoir consentir.

1998 : Roger Holeindre (FN) accusait Jack Lang de pédophilie

Serge de Beketch sur les réseaux pédophiles
_
Comment voulez-vous qu’on ne devienne pas fou furieux de rage en face de la complicité des élites de ce pays avec la pire racaille qui soit ?
Serge de Beketch

Vidéo censurée ? Lien de secours sur Rutube
Voir l’intervention de Serge de Beketch en intégralité sur Youtube

 

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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 07:13

PREMIERE PAGE DU PARISIEN DU DIMANCHE 21 AOUT 2011

  PARISIEN 1908 001

Une info qui concerne tout le monde : "Vers la fin de l'Internet illimité pour tous". Les principaux opérateurs envisageraient de limiter les offres d'accès à Internet.

 

Et si l'internaute se retrouvait à la maison comme sur son téléphone, restreint à un accès limité à Internet ? C'est l'une des propositions de la Fédération française des Télécoms (FFT), où sont notamment présent SFR, Orange et Bouygues. Les trois principaux opérateurs seraient favorables à l'instauration de "débit IP maximum" et "plafond de consommation", rapporte Owni, qui s'est procuré un document de travail de la FFT . De son côté, Free se déclare "plus que réservé sur la pertinence d’une telle proposition".

  

L'une des raisons de l'ouverture de ce débat par la FFT serait la saturation des réseaux, qui nécessiteraient, comme pour les mobiles, une "gestion de trafic". Dans la pratique, cela pourrait amener de nouvelles offres d'abonnement, limitées et plus cadrées selon les besoins de l'utilisateur. Ce que résume Jean-Marie Culpin, porte-parole d'Orange, par cette phrase : "Il n’y a pas de raison de payer pour ceux qui consomment 2 Go si on a besoin de 200 Mo".

Bloquage de la connexion

Un compteur permettrait aux utilisateurs de gérer leur consommation mensuelle pour éviter de déborder et risquer jusqu'à une coupure de connexion, comme c'est le cas, parfois, aux Etats-Unis, où Internet n'est pas aussi libre qu'en France.

En cas de dépassement de ces limites, l'opérateur réduirait le débit de connexion, voire le bloquerait. Egalement au centre des discussions, la "VoIP", le "P2P" et "Newsgroup" pourraient carrément être exclus de certains abonnements, toujours selon le document de travail.

L'UFC juge "inacceptable"

Pressés de préciser leurs idées sur une telle mise en place, les opérateurs nuancent le document : "oui, il y a certains forfaits sur lesquels on risque de mettre des seuils", à ajouté Jean-Marie Culpin sur Owni. "S’ils ne concernent qu’ 1% des gens qui downloadent des films toute la journée, alors c’est envisageable". Mais ce serait "inacceptable si cela impacte davantage de clients”.

L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a qualifié l'initiative de "bizarre", tandis que l'UFC-Que Choisir la juge "inacceptable", tout court. (1)

 

Note de Christroi. On peut se demander si cette proposition de supprimer l'internet illimité ne vient pas du fait qu'à présent on en sait trop sur les crimes immenses de la république grâce à internet et si ce n'est pas la raison pour laquelle ils supprimeraient internet ?... 

 

Sources:

 

(1) http://info.sfr.fr/france/articles/vers-fin-de-internet-illimite-tous,677173/#sfrintid=P_actu_slide1

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 18:14
Joseph Fadelle, le musulman qui paya chèrement sa conversion

De retour de vacances, je laisse la plume à ma petite soeur, qui commente ici sous le doux nom de Castafiore, et qui m’a proposé d’écrire ce billet sur une rencontre qui l’a profondément marquée. Celle de Joseph Fadelle, l’auteur du poignant ouvrage le prix à payer, cet Irakien converti de l’islam au christianisme, qui s’est réfugié en France et qui doit se cacher et employer mille précautions pour éviter que la fatwa prononcée contre lui soit exécutée. Cet homme estime avoir trouvé la vérité dans le Christ, mais juge aussi avoir découvert le danger que représente son ancienne foi, l’islam. Je vous laisse découvrir la suite.

Il est des hommes qui nous épatent, qui nous font nous sentir tout petits. C’est le cas de Monsieur Fadelle, auteur du Prix à payer (1). Quand on lui serre la main, ce sont ses yeux qui nous frappent, des yeux très doux, bienveillants. Contacté plusieurs mois auparavant par le biais de son interprète, Joseph Fadelle a accepté de venir discuter avec notre promotion d’étudiants. Moyennant l’assurance de ne pas diffuser l’information trop tôt, de ne pas placarder d’affiches sur les murs de la ville, et de ne transmettre la date et l’heure de sa venue qu’à des personnes de confiance. Le bouche-à-oreille a fonctionné, et c’est nombreux que nous sommes venus écouter cet homme qui se trouve en danger de mort permanent.

Joseph Fadelle, de son vrai nom Mohammed al-Sayyid al-Moussaou, est né en Irak dans une des plus grandes familles de l’aristocratie chiite de ce pays, descendant de l’imam Ali, cousin du Prophète. Son père est comme un roi en son domaine (« Sayid Malouana », notre Seigneur), véritable autorité régnant sur d’immenses terres. Joseph Fadelle reçoit donc une éducation érudite, musulmane. Appelé à succéder à son père, il est le préféré, le bien-aimé.

Comme tous les jeunes Irakiens, et sans traitement de faveur, il est toutefois réquisitionné pour accomplir son service militaire. Là, on lui demande de partager la chambre d’un chrétien, engeance considérée comme inférieure dans ce pays, comme dans tant d’autres. Fadelle confie avoir été profondément humilié car il dit avoir en mémoire « cette insulte, une des pires qui soient, celle de « face de chrétien »… »

Les deux hommes se regardent de biais, se méfient. Mais sûr de le convertir à l’islam, Joseph entame le dialogue. Sur la demande de Massoud, le chrétien, il relit le Coran pour affuter son argumentaire, s’interroge, va voir un imam qui le prie de ne plus poser de questions, découvre des incohérences des préceptes du prophète … et est atterré : « Le texte sacré de l’islam a perdu pour moi de sa force de conviction, au point de douter qu’il soit la parole d’Allah. »

Il raconte qu’une nuit, il a fait un rêve déstabilisant : un homme vêtu de blanc, de l’autre côté d’un ruisseau, lui tend la main et lui dit : « Je suis le pain de vie ». Ebranlé, il ouvre un après-midi la Bible de Massoud, et véritablement foudroyé par ce qu’il lit, il la dévore, et se convertit. Il nous assure avoir été bouleversé par « ce Jésus dont parlent les Evangiles », ce Jésus qui d’après lui, l’a visité dans son rêve.

Ayant par la suite converti sa femme, il arrive, péniblement, à s’intégrer à l’Eglise d’Irak. Il a d’abord été refoulé pendant plus d’un an par les paroisses irakiennes, les curés estimant trop dangereux pour lui comme pour la communauté chrétienne d’accueillir ce membre imminent d’une haute famille musulmane. Temps d’épreuve, de prières en couples, sans guide spirituel, sans la possibilité de se recueillir dans une église.

Mais à force de persuasion, d’assiduité, il se fait accepter dans une paroisse, et commence alors les cours de catéchisme avec son épouse, en vue du baptême. Mais sa famille l’apprend, et la sentence, de la bouche même de sa mère, tombe : « Tuez-le ». Son père déshonoré en appelle à l’ayatollah Mohammed Sadr lui-même, qui tranche : « S’il se confirme qu’il est chrétien, alors il faudra le tuer, et Allah récompensera celui qui accomplira cette fatwa ».

Il nous raconte doucement, pudiquement, avoir été, seize mois durant, emprisonné, battu, fouetté, torturé par sa propre famille. Libéré, il trouve refuge chez une famille chrétienne de la région, mais il est retrouvé et son propre frère lui tire dessus à bout portant. La balle ne le touche pas : « Une voix féminine, intérieure, me souffle de fuir à toute vitesse », et il s’échappe.

Avec ses enfants, sa femme, il quitte alors son pays, pour se réfugier en France. Il se qualifie lui-même comme « un déraciné, un apatride, un clandestin ». Sa mission, désormais, il considère qu’elle doit être de dire le danger de l’Islam, tout en exhortant à l’amour et au respect envers les musulmans : « Il faut prier pour eux, déclare-t-il d’une voix forte et émue, prier pour leur conversion ». Il souhaite, selon ses propres mots « détruire l’Islam pour sauver les musulmans », car d’après lui, il n’y a qu’un Coran, qui appelle à la violence, et qu’un Islam : « Ceux qu’on appelle les extrémistes sont ceux qui appliquent ce qui est écrit dans le Coran ».

Monsieur Fadelle juge que le Coran contient des paroles de haine, et que le jour où les imams demanderont à leurs fidèles une application formelle de ces écritures, alors le Coran fera loi, et la violence également. L’extrémisme est contenu dans l’essence même de l’Islam, nous dit cet homme, et quand les musulmans voudront appliquer à la lettre les préceptes du prophète, qu’ils en auront le pouvoir, il n’y aura plus de liberté.

Et il n’y va pas par quatre chemins : selon lui, « la France est en danger, un danger grave ». Si les extrémistes ont un jour le pouvoir dans notre pays, ils imposeront la charia. Il estime qu’il doit parler, il doit avertir du danger de l’Islam, « sinon cette société va mourir », martèle-t-il. A la fin de cette conférence, une musulmane s’approche de lui, et tous deux parlent longtemps, très longtemps. La jeune femme est émue et triste. Quand je la croise avant de s’engouffrer dans les voitures, elle vient me voir et me dit : « Prie pour moi ». Tous, nous avons compris : aimer les musulmans et prier pour eux …

En écoutant cet homme abîmé par la vie, nous ne pouvons qu’avoir une pensée pour tous les chrétiens persécutés. Se remémorer les souffrances endurées par exemple par la Pakistanaise Asia Bibi, qui continue de vivre dans une cellule de 2 mètres sur 3. Massimo Introvigne, sociologue et écrivain italien, a déclaré à ce propos ce 8 juin à Rome : « Toutes les 5 minutes dans le monde, un chrétien est tué pour sa foi ». Le pape Benoît XVI lui-même, a dénoncé au cours des JMJ de Madrid, dans un discours prononcé devant le roi d’Espagne Juan Carlos et le premier ministre José Luiz Zapatero la persécution subie par les chrétiens à travers le monde.

A la question qui lui a été posée à la fin de la conférence : « Avez-vous pardonné à votre famille, à vos frères, à votre mère, à votre père ? », Joseph Fadelle a répondu dans un sourire : « Oui, le chemin a été long, mais je leur ai pardonné, et je prie pour eux ».

(1) Le Prix à payer, de Joseph Fadelle, L’Œuvre éditions, 224 pages, 18 €.

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 17:44

ET ILS PARTIRENT VERS LA TERRE PROMISE...

par José Castano (lu sur le site l'inivers)

 

ndlr : Ce rappel historique est bien utile à quelques mois du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie et alors que les harkis manifestent leur désespoir par une « Longue Marche » (voir les trois articles déjà écrits à ce sujet).

José Castano ajoute en fin d'article, quelques citations, chant et vidéo qui montrent la turpitude de nos dirigeants actuels.

Oui, les harkis ont raison de manifester : rejoignons les dans leur « longue marche » de Montpellier à Paris.

* * * * * * * * *

 

« Quel enthousiasme enfin, mêlé de fierté, devant un bilan de réussites brillantes dans tous les domaines, culturel, scientifique, journalistique, politique, économique ! ... Comment ne pas voir dans ces réussites une manifestation des traits propres aux hommes et aux femmes originaires de ces pays: une joie de vivre associée à une grande chaleur humaine, une résistance devant l'épreuve et une remarquable capacité à rebondir, une générosité naturelle, une grande ouverture aux autres cultures ? Comment ne pas y voir aussi une preuve de la qualité de l'enseignement qui a été dispensé par la France dans ces pays avant leur indépendance, l'enseignement de la République? » (Préface du Professeur Claude Cohen-Tanoudji, Prix Nobel de Physique pour l'ouvrage de René Mayer : « Français d'Afrique du Nord, ce qu'ils sont devenus »)

« L'exploration scientifique de l'Algérie, sera l'un des titres de gloire de la France au XIXe et au XXe siècle » (Renan)


            Lorsque, en 1830, la France aborda les côtes algériennes, les autochtones en étaient à s'ignorer ou à se combattre entre eux et représentaient alors ce qu'on a appelé : « une poussière de tribus ».

L'Algérie n'était à cette époque pas un territoire indépendant mais une possession turque ; l'occupation par la France n'eut donc pour résultat que de substituer à une occupation étrangère celle d'un autre pays.

Cette Algérie là ne constituait pas un Etat, encore moins une nation. Elle fit toujours  partie d'un empire dont elle était une province ; comme elle allait devenir colonie française, elle fut province de l'empire musulman, de l'empire byzantin, de l'empire romain... Elle n'avait pas de frontières. Elle constituait une mosaïque de tribus qu'aucun lien, sauf le religieux, n'unissait entre elles, encore que d'une façon très fragmentaire.

En 1848, après les sanglantes journées de juin, le gouvernement français choisit de faire de l'Algérie un lieu de déportations et c'est pour éviter une nouvelle révolution que, le 19 septembre 1848, l'assemblée nationale vota 50 millions pour la création en Algérie de 42 « colonies de peuplement » ou « centres agricoles » pour établir 13500 « colons » français dans le but « d'occuper » ces Parisiens jeûneurs malgré eux et qu'on devinait prêts à se faire turbulents.

Les premiers déportés furent les « communalistes » qui devaient être rejoints en 1852 par ceux qui avaient osé répondre « NON » au plébiscite. Que savaient les uns et les autres de l'Afrique ? Pas grand-chose... si ce n'était que le pays était chaud, où les soldats enjuponnés de rouge qu'on appelait zouaves se battaient six jours sur sept contre les « Mahoms » dont le péché mignon était de couper la  tête aux chrétiens et que certains civils, dont on avait dit qu'ils étaient allés chercher fortune par là-bas, n'étaient plus reparu.

Ils retrouvèrent sur place ceux qui, depuis une dizaine d'années déjà, pataugeaient dans les boues des marécages infectés de miasmes, rongés par le paludisme et la malaria, la cervelle à moitié cuite sous l'aveuglant et lourd glissement du sirocco et qui étaient partis vers l'Afrique, comme on se met en marche vers la terre promise...            

On avait promis à ces malheureux des merveilles... ils découvrirent un désert, une lande hérissée de broussailles au bord d'un marais pestilentiel où pullulaient les moustiques. Mais ils ne pouvaient pas repartir ! Ils étaient pris au piège de leur propre rêve, prisonniers de l'Afrique... et déjà promis à la malédiction qui allait s'abattre sur elle...

Après un si vif et bref rêve, voici déjà la résistance des hommes et des choses, l'adversité, les premiers revers, les épreuves et l'infortune. Pourtant cette poignée d'immigrants s'entêta contre moustiques, paludisme, dysenterie, typhus, choléra, misère, canicule, froid et faim. Elle s'organisa et pendant des jours, des mois, des années, mena un combat de titan contre le défrichage et les maladies.

Dans un pays où certaines régions de colonisation étaient en majeure partie des marécages, le paludisme faisait des ravages effrayants. En 1841, dans son étude « Solution de la question d'Algérie », le général Duvivier écrivait : « Les plaines telles celles de la Mitidja, de Bône et tant d'autres ne sont que des foyers de maladies et morts. Les assainir, on n'y parviendra jamais... Les plaines pour les Européens, sont et seront toujours longtemps de vastes tombeaux. Qu'on abandonne ces fétides fosses ! »

Fosses fétides ! Vastes tombeaux ! Quel programme engageant ! Et le général Berthezène d'affirmer, menaçant : «La Mitidja n'est qu'un immense cloaque. Elle sera le tombeau de tous ceux qui oseront l'exploiter ! ». 

Tous payèrent de leur santé sinon de leur vie une implantation prématurée dans des secteurs du pays insalubres et pestilentiels dont cette description de Boufarik en 1842 résumait les inconvénients : « Boufarik était la localité la plus mortelle d'Algérie. Les visages des rares habitants échappés à la fièvre pernicieuse étaient verts et bouffis. Bien que la paroisse eût changé de prêtre trois fois en un an, l'église était fermée ; le juge de paix était mort ; tout le personnel de l'administration civile et militaire avait dû être renouvelé et le chef du district resté seul debout, avait été investi de toutes les fonctions par le décès ou la maladie de tous ses titulaires. »

Pourtant, quelques années plus tard, à force de courage, de patience, de persévérance, d'abnégation, mais aussi de privations, de souffrance, de misère et de centaines de morts usés à la tâche, Boufarik « ce marais pestilentiel », devint la perle de la Mitidja et la plus riche contrée agricole de l'Algérie : «  la première victoire de la quinine », « la plus belle réalisation du génie colonisateur de la France », « l'émeraude pêchée dans la vase », écrira le colonel Trumelet.

Typhus, choléra frappèrent inexorablement. Bugeaud, rentré en France, mourra du choléra en 1849. Dans les Centres de colonisation, où l'hygiène était rudimentaire, ce mal surtout faisait des ravages terribles. Des villages entiers furent décimés.

Forts de leur idéal, mais dénués de l'expérience qui nous arme, ces hommes s'immolèrent, imprudents héroïques, en se  riant des maux les plus cruels et de leurs implacables ennemis. De l'anarchiste au militaire, du paysan au marin, de l'ouvrier au fonctionnaire, tous s'étonnaient et s'émerveillaient d'un monde encore plein de secrets et de prodiges : ils en aimaient jusqu'à l'amertume, jusqu'à la souffrance infinie, jusqu'aux dernières cruautés. C'est que réussir à survivre, c'est choisir de souffrir !...

Chacun était désormais lié au sol, au ciel, aux périls de toujours et devait se défendre, à la fois, contre les éléments et les bandes armées qui parcouraient le pays. Elles le ravageaient au jour le jour, sans plan arrêté. L'insécurité régnait partout. Les cavaliers en burnous, les yatagans, les Hadjouths et les pillards se chargeaient de trancher les gorges et d'enlever les femmes pendant que les hommes tentaient de maîtriser les meules de fourrage en flammes, produit de leur labeur de forçat.

Des fermes qui, pierre à pierre, s'étaient exhaussées au-dessus des pestilences et avaient réussi à étendre autour d'elles un peu de fécondité, commencèrent à chanceler sous l'assaut. Le souci de la survie quotidienne l'emportait parfois sur tout autre projet et mettait un frein brutal à l'imagination de l'avenir.

En 1840, déjà, las de voir des pères égorgés, des mères violées puis éventrées et des enfants écrasés contre les murs, un chant de guerre monta du fond de la plaine. Quelques colons commencèrent à résister aux assauts des cavaliers hurlants, se faisant tuer sur place, refusant d'exécuter l'ordre officiel d'abandonner leurs cultures. Oh ! Cruel et perpétuel renouvellement de l'Histoire !...

Dans les cimetières, les rangées s'ajoutaient aux rangées où s'affirmait ainsi le commencement d'un peuple. L'Afrique devenait une « terre à sépultures »...

Rien de ce qu'ils avaient rêvé ne s'était  accompli comme ils l'avaient espéré. Tout s'était passé autrement, avec plus de dureté et de cruauté, mais à force d'énergie à travers les échecs, les souffrances, les malheurs, à force de volonté, de patience et de génie, ils avaient donné un sens à ce que le destin et l'Histoire leur avaient confié.

Alors arrivèrent pour essayer de vivre à côté de ces Français têtus, des frères latins, tout aussi miséreux : Espagnols, Italiens, Maltais, Génois, Siciliens... Un point commun les unissait : l'extrême misère ! L'Algérie -leur avait-on déclaré- c'était l'eldorado ! Et puis, ce pays était plus proche de l'Europe que la Californie...

Comme il y eut un rêve américain après la seconde guerre mondiale, il y eut à partir de 1840, un rêve algérien...

« Français de France », les fils de cette France qui les avait exilés protestèrent de l'intrusion de ces nouveaux défricheurs :

« Ne sommes-nous pas capables d'arriver nous-mêmes à nos fins ? Ne l'avons-nous pas suffisamment prouvé ? »

La mère-patrie leur répondit doucement :

« Ces étrangers sont là pour vous aider dans votre tâche. Ils auront des terres qui auraient fini par vous tuer. Ils réussiront à n'y pas mourir, habitués qu'ils sont déjà à la grande misère, à l'extrême fatigue. Ne les renvoyez pas ! Accueillez-les au contraire en associés ».

Tous, étaient des déportés de la politique et de la misère, des réfractaires, des exilés, mais ils portaient en eux ce germe qui s'appelle l'audace et que leurs parents demeurés dans les vieux pays d'Europe allaient inexorablement laisser mourir comme des semailles gelées.

Ensemble ils édifièrent cette Afrique latine qui, en bonne justice, se fondit, s'harmonisa en une seconde France. C'est ainsi que la grande famille européenne se forma et à côté d'elle, la famille musulmane commença à concevoir que ces roumis n'étaient -tout compte fait- ni des adversaires, ni des parasites, et que par conséquent nul besoin était de leur couper la tête, d'autant qu'ils étaient habités d'un formidable appétit d'exister et qu'ils semblaient avoir soif de souffrir encore. Elle se risqua, se rapprocha, écouta, puis accepta l'invitation à l'initiation. Les étrangers poussaient la charrue un peu plus loin que les Français. Les Arabes consentaient à venir à la rescousse de l'effort des uns et des autres. L'Afrique du Nord toute entière devenait un musée ethnographique où allaient commencer à se désintégrer dans le silence baignant des paysages vitrifiés, les débris de toutes les races du monde méditerranéen donnant naissance à une nouvelle race : Les Pieds-Noirs.

            Ces Européens d'Algérie -surtout ceux des classes populaires- même s'ils étaient citoyens français, étaient différents des métropolitains. Leur français, émaillé de tournures espagnoles ou italiennes, parfois arabes, avaient donné naissance à un langage nouveau : le patahouet ou sabir ; l'accent avec lequel ils le prononçaient, leurs mœurs, leur mentalité n'étaient pas ceux de la Métropole. Ils étaient Français, certes ; ils le revendiquaient... mais différents, voilà tout. En réalité ils se nommaient eux-mêmes « franco-algérien ».

La foi, l'amour, la bonne volonté, la ténacité, les sacrifices, la confiance, les chagrins n'avaient pas manqué. Et tout cela, avec les morts et avec les vivants, avec ceux qui creusaient, ceux qui labouraient, ceux qui conseillaient, tout cela, ensemble, avait contribué à écrire l'histoire de l'Afrique du Nord.

Ils fondèrent une colonie à l'image de la France, offrirent aux indigènes les premiers enseignements de notre culture, débrouillèrent à notre intention l'écheveau des connaissances locales indispensables. Puis, satisfaits de leur effort, ils demandèrent à cette terre qu'ils avaient prise de les accueillir dans son sein pour l'éternité et ils s'éteignirent, loin des doux réconforts de la mère patrie.

La France, du reste, n'avait pas attendu leur décès pour les rayer du nombre de ses enfants ; dès leur départ, souvent définitif, elle avait considéré comme perdus ceux qui allaient porter au loin son renom et son drapeau. Elle avait revu sans gratitude ceux d'entre eux qui revenaient consacrer leur vieillesse, alors que d'autres ne purent même pas atteindre le port et succombèrent en mer.

C'est ainsi que naquit, grandit puis se dissipa dans des vapeurs de sang, de larmes et de passions, un miroir épique vers quoi des millions d'hommes et de femmes ont marché en portant les douleurs et les enchantements de l'amour. Si les pierres de gloire ne gardent pas leurs noms, si leur sacrifice est demeuré anonyme, nous n'en devons que davantage apporter l'hommage de notre piété reconnaissante à ces rudes artisans de la plus splendide entreprise française qui ait jamais été tentée.

En deux siècles, sous deux Empires et quatre Républiques, ces hommes allaient servir dans les Armées françaises. Officiers ou simples soldats, la plupart du temps, volontaires, ils allaient être de tous les combats mais aussi de toutes les tâches quotidiennes même les plus modestes. Pour les morts et pour les blessures du corps et de l'âme, la France leur décerna des croix... puis elle les combattit, les chassa de cette terre ingrate qu'ils avaient arrosée de leur sueur et de leur sang et les effaça de sa mémoire.

En politique, c'est peut-être la foi qui sauve, mais ce sont les œuvres qui comptent. C'est par ses œuvres que l'Algérie, fille de la force française, a montré au monde qu'elle n'a pas démérité des magnifiques énergies qui se sont, aux temps héroïques, inclinées sur son berceau. Ce rêve de misère ensoleillé dura 132 ans et il durerait encore si les forces du mal n'avaient pas en ce monde souvent l'avantage sur les apôtres du bien.

                                              

                                                                                                                      José CASTANO

                                                                                               e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

 

Cet article a fait l'objet d'un ouvrage intitulé « Et l'Algérie devint française... ». Cliquez sur : - Ma Biographie -

 

- Dans une lettre prémonitoire adressée en 1912 au duc de Fitz-James, le Père de Foucauld s'exprimait de la sorte : « Ma pensée est que si petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie » ... « Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens ».

 

- « L'œuvre de la France ici est admirable. Si elle était restée vingt ans de plus elle aurait fait de l'Algérie l'équivalent d'un pays européen » (Ministre syrien en visite à Alger. Propos rapporté par Ferhat Abbas)

 

- « Le colonialisme français a occupé l'Algérie et l'a annexée à la France, mais il n'a pas nui à la population locale » (cheikh Youssouf Al-Qaradhawi, le 17 décembre 2010, sur la chaîne égyptienne Al-Hayat 2 TV)

 

... et cet aveu tardif d'un chef historique du FLN

 

            Un homme qui reconnaît le rôle positif de la colonisation, c'est HOCINE AIT AHMED, l'un des chefs historiques du F.L.N algérien, actuellement réfugié en Suisse. Il déclare dans le numéro de juin 2005 de la revue Ensemble, organe de l'Association Culturelle d'Education Populaire que, « Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu'un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ». Il ajoute :

« N'oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd'hui hégémonistes. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme -je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français- l'Algérie serait aujourd'hui une grande puissance africaine méditerranéenne. Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l'Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ». « Du temps de la France, l'Algérie c'était le paradis ! »

 

- A l'inverse, un homme politique français, François Hollande, présidentiable, ancien premier secrétaire du PS, a déclaré le 8 décembre 2010 lors de sa visite en Algérie devant ses hôtes du FLN, qui n'en demandaient pas tant : « La colonisation est une erreur tragique »... « Le fait colonial doit être condamné sans réserve. »

 

- François HOLLANDE à propos du passé colonial en Algérie : « La France doit formuler des excuses » - Cliquer sur : http://www.lexpressiondz.com/actualite/137107-la-france-doit-formuler-des-excuses.html

 

... Et d'aucuns voudraient que la France fasse acte de repentance ? Se repentir de quoi ? Ah, Monsieur Hollande, que vous êtes ridicule ! Que vous êtes stupide !

 

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Pour illustrer ce texte, les photos de cette vidéo en forme de témoignage, sont édifiantes et se passent de commentaires... ORAN, si belle autrefois, qu'es-tu devenue ? Vidéo réalisée par « popodoran »  Cliquez sur l'image :

3:39Oran pourquoi ça (chant de jean-pax Meffret)

 

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"L'islam, c'est le progrès, la science, la finesse, la modernité" (Nicolas SARKOZY, le 17 juillet 2008 lors de la pose de la première pierre des nouvelles salles des arts de l'islam au Louvre)

 

Copé en Algérie : le double discours sur l'immigration continue

 

-          Cliquez sur : http://fr.novopress.info/92156/cope-en-algerie-le-double-discours-sur-limmigration-continue/

 

ALGER (NOVOpress) - Lors de son voyage du 10 juillet en Algérie, Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a montré une nouvelle fois le double discours de la classe politique vis-à-vis de l'immigration : ferme en apparence mais très mou dans les faits. Dans un entretien au magazine “Tout sur l'Algérie” (http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/entretien-avec-jean-francois-cope-secretaire-general-de-l-ump_16456.html), Copé a tenu à rassurer la population algérienne : “La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes.” Des chiffres qui sont appelés à évoluer puisque “le taux de refus diminue, la France délivrant de “plus en plus de visas de circulation” ! En outre, les candidats algériens à l'immigration en France peuvent être rassurés, l'Algérie continuera à bénéficier “d'un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968″. Un accord déjà très souple mais que Jean-François Copé et les instances dirigeantes de l'UMP sont “prêts à améliorer”.
En tout cas, cette visite du secrétaire général de l'UMP a été interprété selon le journal “Le Temps d'Algérie” (
http://www.letempsdz.com/content/view/59902/1/) comme « intimement lié avec les présidentielles de 2012 en France ».Paris souhaiterait donc s'assurer du soutien d'Alger pour la réélection de Nicolas Sarkozy à la tête de l'Elysée. En effet, lors d'une conférence sur le thème des “valeurs de la République française dans la mondialisation”, à l'Ecole nationale supérieure des Sciences politiques d'Alger, Copé a appelé les expatriés et les Algériens qui le peuvent à voter pour Sarkozy.

Vers plus de diversité à l'UMP : Une phrase que peu d'observateurs ont relevé mais qui en dit long sur la volonté au sein du parti de la majorité d'utiliser la discrimination positive en faveur de la “diversité” (ce qui est fatalement une discrimination négative pour les autres).
Pour Jean-François Copé, l'UMP “est ouverte” aux Français issus de l'immigration “comme à tous les Français, sans exception” mais “en revanche, il est clair que quand un Français issu de l'immigration s'impose naturellement comme un leader, nous allons tout faire pour l'aider !”

 

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- Elle aussi, est une terroriste! Et pourtant, elle a les honneurs ! : Le Maire de Marseille, J-C Gaudin, a reçu en grande pompe la poseuse de bombe du Milk Bar à ALGER,  Zohra Driff. Pour lire la suite, cliquez ici

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 14:34
Mgr Chaput défend le communautarisme catholique

Je reviens sur la conférence de Mgr Chaput dont je parlais hier et sur le soutien aux médias catholiques. Mgr Chaput déclare:
« Nous nous trompons gravement si nous nous fions à des médias comme le New York Times, Newsweek, CNN ou MSNBC pour obtenir des informations fiables à propos de la religion. Ces médias d’information ne fournissent tout simplement pas une information digne de confiance à propos de la foi religieuse – et parfois ils ne peuvent tout simplement le faire, que ce soit en raison de ressources limitées ou en raison de leurs propres préjugés éditoriaux. Il s’agit d’opérations sécularistes dont l’objectif est le profit. Ils ont très peu de sympathie pour la foi catholique, et une bonne dose de scepticisme agressif à l’égard de n’importe quelle communauté religieuse qui affirme prêcher et enseigner la vérité de Dieu.
Alors à qui faire confiance ? Où aller chercher des informations fiables et des discussions intelligentes à propos de votre foi catholique ?
[…] Par chance, vous vivez en un monde qui dispose de médias d’information radicalement nouvelles. Vous disposez de plus de choix médiatiques, et de davantage de manières d’y avoir accès, que j’aurais pu seulement imaginer à votre âge.
Beaucoup de ces choix incluent des médias catholiques exceptionnels comme la Catholic News Agency, EWTN, le National Catholic Register, Our Sunday Visitor, Salt and Light et le Catholic News service ; et puis il y a les blogs catholiques, les sites internet et les radio catholiques par satellite. Soutenez ces médias et encouragez leur bon travail pour l’Eglise. Visitez leurs sites internet. « Aimez »-les sur Facebook. Suivez leurs mises à jours sur Twitter. Ces excellentes sources médiatiques nourriront et approfondiront votre foi d’une manière dont les gros médias publiques sont incapables. »
Comme le dit malicieusement Jeanne Smits, vous pouvez transposer facilement les remarques sur certains titres « progressistes » anglophones à des titres français. Vous pouvez aussi faire de même pour les médias catholiques. Pour ma part, quand je cherche une actualité catholique en français, je regarde prioritairement sur le Salon beige, entreprise de réinformation à ma connaissance sans équivalent sur le net francophone. Mais, selon vos centres d’intérêt, vous pouvez choisir tel ou tel média.
Ce qui me semble intéressant dans ces quelques phrases de Mgr Chaput, c’est que l’archevêque désigné de Denver propose sans atermoiement un « communautarisme catholique ».
Vous savez peut-être qu’il y a eu, voici quelques années, une polémique sur ce sujet entre catholiques « conservateurs » français. En gros, une partie d’entre eux prenaient parti pour ce communautarisme catholique, tandis que les autres affirmaient que le catholicisme ayant vocation à l’universel ne pouvait se permettre un tel « repli sur soi ». J’avoue n’avoir jamais bien compris la portée de ce débat. Il me semble parfaitement possible de penser simultanément que nous défendons une loi naturelle, valide pour tous et non exclusivement pour nous-mêmes, fidèles catholiques, et que ce discours est actuellement inaudible dans la société contemporaine et qu’il nous faut, par conséquent, nous organiser pour en assurer la transmission aux générations à venir (avec nos écoles « à nous », nos hôpitaux « à nous », nos médias « à nous », etc.), en attendant l’heure – qui ne peut manquer d’arriver si la Parousie n’arrive pas d’ici là – où un discours conforme à la nature de l’homme sera de nouveau audible. C’est en tout cas ma propre conception du « communautarisme catholique ». Je ne le vois pas comme un repli sur soi. Il va de soi que nos communautés doivent être prêtes à recevoir des personnes éloignées de notre pratique religieuse. Il va de soi que nous devons être prêts rendre compte de l’espérance qui est en nous, comme disait saint Pierre. Mais il est clair aussi que nous vivons dans un monde prodigieusement hostile au christianisme (plus même que l’empire romain païen décadent, même si nous ne sommes pas jetés aux lions!) et qu’il nous faut garantir que nos enfants recevront l’enseignement de la Révélation non expurgé pour plaire aux modes et aux puissants du jour. Je rappelle tout de même que nous avons pris cet engagement le jour de leur baptême!
Bref, sans avoir le moindre goût pour les dérives sectaires et les associations tribales, je me réjouis que Mgr Chaput nous propose la voie de ce « communautarisme catholique »!

NB: encore une réflexion: il existe évidemment des communautarismes illégitimes. C’est le cas du communautarisme « gay » ou du communautarisme maçonnique, par exemple. Mais ces communautarismes ne sont pas problématiques du fait des solidarités qu’ils mettent en place, mais du fait de l’illégitimité de ces communautés mêmes. En d’autres termes, un communautarisme vaut ce que vaut la communauté qu’il réunit. Et je ne vois vraiment pas comment on pourrait considérer que la communauté catholique est illégitime… Cela étant, je suis très désireux d’avoir vos réactions, chers amis lecteurs, sur cette notion de « communautarisme catholique », qui me semble assez mal définie.

 

lire également le livre de Rémi Fontaine:

-le communautarisme est-il un péché?

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 09:06

 

Ce sondage a été réalisé durant la dernière décade du mois de Ramadan 2007 (septembre/octobre) dans 24 régions administratives d’Algérie auprès d’un échantillon représentatif et consolidé de 3004 individus,16 ans et plus par l’Institut Abassa, qui précise que pour la première fois,il a été identifié, qualifié, quantifié et mesuré les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois sacré du Ramadan.

Les résultats de ces travaux et leurs archives numériques (plus de 900 pages de résultats exprimés en tableaux, graphes et croisements dynamiques pour chaque situation et pour chaque wilaya enquêtée) n’ont pas été rendus publics du fait du démantèlement de l’entreprise par les autorités. Son responsable Hamid Abassa a mis à la disposition d’El Watan une synthèse. Si le sondage a été réalisé en 2007, il reste que ses résultats peuvent être considérés comme valables pour les années suivantes, et à ce jour, du fait principalement que la société algérienne a très peu évolué. Le rapport des Algériens au Ramadan n’a presque pas changé.

_
Femmes et enfants battus au sein du foyer durant Ramadan: +120%
El-Watan

Sondage informel et anonyme auprès des personnels d’institutions et d’organismes locaux grand public (sondage non autorisé par les hiérarchies)

- Services d’urgence des hôpitaux (13 points observés)

- Accidents de travail : + 150% par rapport aux moyennes annuelles
- Urgences médicales : + 300%
- Accidents domestiques : + 250% par rapport aux autres mois de l’année
- Rixes et disputes causant des blessures : +400%
- Accidents de la circulation : + 42%
- Intoxications alimentaires : + 39%
- Aggravation et complications des maladies chroniques : +80%
- Décès : +18%

- Commissariats de police (06 points enquêtés)

- Petites délinquances : +220%
- Rixes, disputes, voie de fait, agressions : + 320%
- Femmes et enfants battus au sein du foyer durant Ramadhan: +120%
- Dépôts de plaintes : +40%
- Délits pour vente et consommation de drogues et autres stupéfiants : +96%
- Vols de voitures, escroqueries, faux et usages de faux : +180%.

- Brigades de gendarmerie (05 points enquêtés)

- Accidents de la circulation : +52%
- Rixes et troubles à l’ordre public : +320%
- Femmes et enfants battus au sein du foyer durant Ramadhan: +72%
- Accidents professionnels graves, incendies: +20%
- Agressions physique avec coups et blessures, voie de fait : +160%
- Vols et escroqueries : +42%

- Chefs d’entreprises publiques et privées (16 points interrogés)

- Absentéisme sur le lieu de travail : +120%
- Rendement : – 62%
- Retard : + 132%
- Absences totales au travail durant le mois du Ramadhan (divers congés) + 240%
- Accidents de travail : +72%
- Conflits de travail : + 32%

Contrôle des prix et de l’hygiène : (09 points interrogés)

- Augmentation illégale et injustifiée des prix : +420%
- Activités commerciales illégales ou non autorisées : +340%
- Espaces commerciaux grand public insalubres : +140%
- Produits impropres à la consommation : +540%
- Produits d’origine douteuse ou inconnue : + 640%
- Activité commerciale grand public non conforme à la raison sociale : 167%
- Tromperie sur la marchandise et défaut d’étiquetage : 212%
- Vente sur la voie publique non autorisée : +620%

- Protection civile pompiers (17 points observés)

- Interventions sur site : +520%
- Nombre de sinistres : + 410%
- Accidents domestiques : +295%
- Accidents professionnels : +156%
- Nombre d’évacuations sur les urgences hospitalières : +245%
- Nombres de blessés : + 214%
- Nombre de décès : +80%
- Appels téléphoniques de secours et d’interventions : +520%.

Source : El-Watan (réservé aux inscrits, article en PDF)lu sur le site "défrancisiation"

« Le ramadan n’inspire pas les jeûneurs dans les pays arabes. Ou alors il les inspire mal, très mal même », juge le quotidien algérien Liberté, qui fait référence à une étude publiée par l’Institut du monde arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan.

Les résultats de l’enquête confirment que l’on travaille beaucoup moins pendant cette période dans les pays concernés.

  • La productivité y enregistre une baisse de 73,3 %. « Normal », estime le quotidien, « les horaires de travail sont revus à la baisse, l’absentéisme et les congés de maladie atteignent des pics jamais égalés.
  • le nombre des accidents de la route est multiplié par trois.
  • La pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !

Source : Le Courrier International (article de septembre 2009, capture d’écran).

 

Pendant ce temps-là en 2011:

-Pendant que nos politicards, comme l’ânesse du Poitou et le parighomo , vont rompre le jeune avec leurs amis musulmans, ces derniers un peu partout dans le monde, font montre d’un zèle peu commun pour affirmer le caractère pacifique de cette religion d'amour et de paix,comme ils disent :

En 48 h :

- Attentats par les amis des socialistes norvégiens en Israel 8 morts
- Attentat au Pakistan dans une mosquée 40 morts
- Attentats en Irak 70 morts
- Attentats à Kaboul 8 morts.

Et encore nous ne comptons pas les agressions,cambriolages etc..etc..

Et on ne parle pas des guerres civiles en Syrie ou Libye qui continuent.

Parait- il que c’est un mois sacré chez eux, pour massacrer semble-t-il !Drôle de façon d'adorer leur dieu,non!

 


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