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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 17:29
« L'Amérique qui tombe » d'Arianna Huffington

Le titre original de l’ouvrage d’Arianna Huffington, paru en 2010, était Third World America : L’Amérique du tiers-monde ou L’Amérique tiers-mondisée.

Le titre retenu pour sa traduction française se veut sans doute un clin d’œil au livre de Nicolas Baverez La France qui tombe mais c’est un peu dommage car la référence au tiers-monde était éclairante. L’approche de Baverez était, en outre, bien différente, car très libérale.

Pourquoi l’Amérique tiers-mondisée ? Parce que, pour l’auteur, la société américaine présente de plus en plus les caractéristiques des sociétés du tiers-monde : d’un côté, une petite minorité de privilégiés, de l’autre, une majorité de la population appelée à vivre dans la pauvreté, la précarité et la peur de perdre son emploi. Comme dans les pays du tiers-monde, les inégalités sociales sont croissantes, les infrastructures médiocres ou dégradées et les dépenses militaires élevées. Enfin, comme dans les républiques bananières, aux Etats-Unis la corruption politique et l’interpénétration entre pouvoir politique et intérêts économiques sont profondes et la démocratie, formelle : les lobbies –économiques – ont désormais bien plus de pouvoir que les électeurs.

La première partie de l’ouvrage se consacre au diagnostic principal, c'est-à-dire, selon l’auteur, la remise en cause progressive du pacte social sur lequel se fondait la société américaine et qui conduit à la destruction programmée de la classe moyenne.

Pour A. Huffington ce pacte reposait sur l’idée qu’en travaillant dur chacun pouvait espérer améliorer sa situation, celle de ses enfants et progresser dans l’échelle sociale. Mais cet espoir est aujourd’hui brisé. Pour une partie croissante de la population, avoir un emploi stable, une certaine sécurité financière, une retraite décente et une maison à soi constituent désormais un rêve inaccessible.

A. Huffington illustre la précarité de cette classe moyenne, qui était la classe centrale aux Etats-Unis, chiffres et témoignages à l’appui. L’ouvrage fourmille sur ce plan de données et de références, qui dressent le portrait, souvent poignant, d’une autre Amérique : celle qu’on ne voit pas, jamais, à la télévision, c'est-à-dire une Amérique de pauvres, qui vivent d’expédients et qui voient l’avenir avec inquiétude. Une Amérique où 26 millions de personnes sont au chômage ou sous-employées, où une personne sur huit vit de bons alimentaires, où 30% des lycéens quittent l’école sans diplôme ; mais aussi une Amérique qui s’indigne de voir le contribuable appelé au secours des banques qui continuent de distribuer à leurs dirigeants de grasses rémunérations, tout en se montrant impitoyables vis-à-vis des surendettés.

L’auteur s’efforce aussi d’analyser les causes de cette évolution. Elle désigne principalement l’avènement de la financiarisation de l’économie et de la dérégulation « libérale » introduite à partir des années Reagan. Elle désigne aussi l’effet des politiques budgétaires, qui ont avant tout porté sur la réduction des dépenses d’éducation et à caractère social. Elle nous dépeint aussi une société politiquement bloquée, les lobbies industriels et financiers parvenant à empêcher toute réforme contraire à leurs intérêts.

Dans la dernière partie de l’ouvrage, l’auteur, de sensibilité démocrate, esquisse des propositions pour rendre l’espoir à cette Amérique qui tombe : au premier chef, une réforme politique pour libérer l’Etat de la tutelle des intérêts particuliers ; mais aussi tout un ensemble de mesures économiques, dont certaines sont, bien sûr, très liées au contexte américain et dont beaucoup relèvent aussi de l’attirail intellectuel de la gauche.

Mais A. Huffington ne se borne pas à envisager des réponses politiques globales, remake d’un « grand soir » qui risque de tarder à se produire.

L’intérêt de sa réflexion est aussi d’ouvrir des pistes pour une action immédiate des citoyens. C’est ce qu’elle nomme le « populisme productif ». Comme elle l’écrit, en effet, « nous devons impérativement passer à la version suivante : admettre que notre système est trop profondément détraqué pour pouvoir être réparé par les hommes politiques qui ne remettent pas en cause le statu quo, quelles que soient leurs intentions ». Il faut donc que l’initiative vienne d’ailleurs : de la société elle-même. Exemple : vous en avez assez de vous faire arnaquer par les grandes banques ? Déposez donc vos avoirs dans les banques coopératives : vous aurez les mêmes garanties de dépôt et, en outre, elles ne cherchent pas à faire des bénéfices sur votre dos. Vous en avez assez du discours convenu des médias ? Réinformez-vous sur Internet et utilisez les réseaux sociaux. Vous avez perdu votre emploi ? Aidez ceux qui sont encore plus en difficulté que vous. Car l’action est le meilleur remède contre la déprime.

Le livre d’A. Huffington nous parle d’une Amérique interdite d’antenne. Il est sans doute schématique par certains côtés et il traduit aussi parfois une certaine naïveté.

Mais au fil des pages on se rend compte que ce qu’elle décrit nous est, hélas, bien familier.

Car la précarisation de la classe moyenne est un phénomène occidental et non pas seulement américain. Même si les amortisseurs sociaux sont différents selon les pays et sans doute plus forts en Europe occidentale qu’aux Etats-Unis, la situation qu’elle décrit se retrouve aussi chez nous, car les mêmes causes produisent les mêmes effets : désindustrialisation, développement des activités de services – notamment financiers – parasites, chômage, précarité, surendettement général, crise des systèmes sociaux, crise de l’enseignement, inégalités sociales flagrantes, pouvoir et arrogance des lobbies économiques. L’Europe est, en outre, confrontée aux effets de l’immigration de peuplement, problématique qui n’est pas abordée dans l’ouvrage d’A. Huffington.

Third World America nous permet ainsi de comprendre que l’Europe est en train de devenir encore plus « third world ».

Michel Geoffroy
25/08/2011

Arianna Huffington, L'Amérique qui tombe: Comment les politiques ont trahi le rêve américain et abandonné la classe moyenne, Editeur : Fayard, avril 2011, 384 pages

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 17:25

Norvège: des musulmans torturent un converti au Christianisme

Les médias français auront-ils le courage d’en parler ? Le nouveau président de l’UOIF, Ahmed Jaballah, également membre du Conseil européen de la fatwa, va-t-il condamner ce crime légal pour les sunnites ?

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La source de cet article est le média norvégien Dagen, dans son édition du 26 août :

Un Afghan, ex-musulman,  converti au Christianisme a été attaqué avec de l’eau bouillante et de l’acide par des Musulmans dans  un « centre d’accueil aux demandeurs d’ asile »  vendredi 26 août (photo parue dans la presse norvégienne).

« Ali » (nom d’emprunt), un demandeur d’asile dans un centre d’immigration de Jaeren, a reçu de l’eau bouillante après que les autres locataires du centre d’accueil aient appris sa conversion, en plus de ne pas l’avoir vu observer le Ramadan ni avoir participé à leurs grêves de la faim. Lui et d’autres convertis au centre craignent maintenant pour leurs vies.

« Si tu ne reviens pas à l’Islam, nous te tuerons « était le message des autres demandeurs  d’asile de la ville de Hå, dans la région Jaeren en Norvège.  »Ali » refuse de divulguer son nom réel craignant de nouvelles représailles.

Si les autorités Afghanes découvrent sa conversion, il risque en cas d’expulsion d’ être condamné à mort selon l’application de la Charia en vigueur dans les tribunaux d’un Afghanistan « libéré » par l’Otan.

Il a survécu, mais a été  sévèrement défiguré, sa peau tombant en lambeaux  sous des bandages.

Le Chrétien a témoigné dans la presse Norvégienne :

« Deux des résidents Musulmans ont demandé pourquoi je n’avais pas jeûné pendant le Ramadan. Comme je ne leur répondais pas, ils ont commencé à aborder la question de ma conversion. Un d’entre eux a dit qu’il savait que j’étais Musulman et  converti au Christianisme, et qu’ils devaient s’engager dans le Jihad ».

Un résident a tenu Ali tandis qu’un autre l’a frappé derrière la tête avec un pot d’eau bouillante; et Ali s’est effondré au plancher (à l’étage). Plusieurs autres résidents Musulmans ont rejoint la curée. Un troisième homme a marché dans la chambre d’Ali et a commencé à la saccager.

La police est arrivée, mais seulement une heure plus tard, le mal étant déjà fait.

« J’étais toujours étalé sur le plancher quand la police est arrivée. Je leur ai parlé un peu, mais souffraits trop pour pouvoir parler, donc j’ai été emmené à l’hôpital. »

Après seulement une nuit passée à l’hôpital,  Ali est revenu au centre malgré le danger. Quand il a vérifié la poignée de sa porte de chambren elle s’est avérée être couverte d’une substance acide causant des brûlures au contact.

L’Afghan Chrétien l’affirme au personnel : « Ils n’abandonneront jamais le projet de me tuer ».

Et pour cause, les musulmans veulent simplement appliquer la Charia conforme aux propos de Mahomet rapportés dans la tradition de Bukharî dans son hadith 9:57 :  » Quiconque abandonne sa religion (islamique), tuez-le’« .  Pour information, la mosquée d’Avignon que dirigeait le président du Conseil français du culte musulman, le marocain Mohammed Moussaoui, avant sa prise de fonction, portait le nom de Bukharî…

 

(source islamisation.fr)

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 08:54
AFP
31/08/2011

La dynamique de la dette grecque est désormais "hors de contrôle" et les dérapages par rapport aux objectifs de réduction du déficit, exacerbés par une profonde récession, menacent d'annuler les bénéfices du nouveau plan de sauvetage, constate la nouvelle commission de contrôle du budget.

Dans un rapport rendu public mercredi, la commission, composée d'analystes indépendants, estime qu'"une augmentation importante de la dette, un grand déficit de départ et une profonde récession ont poussé à l'extrême la dynamique de la dette qui est maintenant hors de contrôle".

Le plan de sauvetage de l'Union européenne s'élève déjà à 159 milliards d'euros. Entre-temps, la dette publique a enflé, pour atteindre 350 milliards d'euros. La Grèce est actuellement soumise à un audit de l'UE, du FMI et de la BCE pour savoir si la sixième tranche du prêt de 110 milliards d'euros consenti l'année dernière sera débloquée. Le déficit public est devenu insoutenable, à 14,69 milliards d'euros au premier semestre 2011, alors que l'objectif fixé était de 16,68 milliards d'euros pour toute l'année.

Notre argent  part en fumée grâce à nos technocrates européens et à nos hommes politiques complices de ces malversations.Grâce à des "hommes" comme DSK,qui a mis en place ce plan de "sauvetage" pour la Grèce,  notre argent ne sera jamais récupéré,envolé l'argent,évaporées nos économies,fludifié dans leurs poches ces milliards de milliard.Il paraît que c'est un grand "économiste-trésorier",mais surtout avec son argent, car lui et sa caste de l'hyper classe mondiale,"ces élus",ils sont riches et se foutent de notre sort! 

Pauvres "Gentils" qui vont être tondus jusqu'à être réduit en esclavage!!!  

 

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 17:36

                                                  L'héritage de la Seconde Guerre mondiale

                                                                                  prix:22,00 euros

Présentation de l'éditeur
Né hongrois, évadé des griffes d'Eichmann en 1944 puis du système stalinien en 1946, devenu Américain ; John Lukacs est reconnu dans le monde anglo-saxon comme l'un des meilleurs spécialistes de la Seconde Guerre mondiale. Celui qui fut le conseiller de George Kennan nous livre ici les leçons de soixante ans d'observations et de recherches. Pionnier des études sur la relation entre Churchill et Hitler, il fut pendant longtemps l'un des rares historiens à oser affirmer les qualités de stratège du chef nazi, la place de la pratique du secret dans sa politique, et à en tirer d'importantes conséquences. Ce livre ne résume pas seulement une oeuvre, il approfondit aussi certains points à partir de découvertes récentes et, surtout, il replace la Seconde Guerre mondiale dans l'histoire générale, sans omettre la plus récente. Il éclaire ainsi d'une vive lumière les grandes phases de la guerre et son empreinte sur les temps ultérieurs, et écarte de façon convaincantes des thèses longtemps en vogue. Nous donnant une leçon constante de mesure et de bons sens, dans une langue aussi claire qu'élégante...
LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE
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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 15:11

LA RIGUEUR … POUR LES AUTRES

 

Les faits sont clairs. Après beaucoup de va et vient, le gouvernement Sarkozy-Fillon a abattu les cartes. Cela ne se passe pas sans minauderies, le mot rigueur étant encore tabou alors qu'il s'agit bien de rigueur. En résumé, le projet se traduit par un ouragan d'impôts. Saluons, au passage, les gros mensonges : la presse qualifie d'économies ce qui n'est que des impôts comme le rabotage des niches fiscales. Autre mensonge : les mesures ne casseraient pas la croissance ; c'est faux car tout impôt quel qu'il soit nuit à la croissance.

Rappelons-en quelques-uns, bien que la presse soit inondée de l'énumération.

-Taxation des complémentaires santé ; à l'intérieur de cette pure agression vis-à-vis des malades, se trouve un piège supplémentaire : les contrats jugés « non responsables » seront frappés davantage, la définition d'un contrat responsable étant parfaitement embrouillée et ridicule.

- Hausse des prélèvements sociaux sur les revenus du capital, intégration des heures supplémentaires dans le calcul des allégements de charges, relèvement du forfait social qui frappe déjà abusivement les employeurs versant à leurs employés la participation salariale, augmentation de l'impôt sur les sociétés pour les grandes entreprises.

- Hausse des prix du tabac et taxe « obésité » sur les boissons sucrées, fin des exonérations sur les plus-values immobilières au-delà de 15 ans, taxe sur les très gros revenus.

Nous arrêtons là l'énumération qui confirme que le pouvoir depuis 2007 s'est engagé dans une fiscalité galopante se traduisant en particulier par une inventivité permanente avec la création de nouveaux impôts, car il en a déjà imaginé beaucoup avant ces plus récents.

DES EXPLICATIONS QUI NE SONT PAS DES EXCUSES

Momentanément,une apparence de rigueur peut être payante sur le plan électoral, notamment sous les gros yeux de la « sondagerie », nouvelle forme de traficotage de la prétendue démocratie. C'est une première explication.

S'ajoute la panique devant les agences de notation ; cette panique est telle qu'à Bruxelles certains ont proposé sans rire de leur imposer une réglementation. Quelle étrange idée ! Jouer les Cassandre n'est pas de tout repos avec le risque bien connu de générer le malheur que l'on veut précisément éviter. Ces agences sont d'ailleurs d'une gentillesse fort suspecte ; elles viennent de noter AAA la sécurité sociale française, sous le prétexte que l'État français la garantissait en fait ! La non gestion de ce monstre qu'est la « sécu », source inépuisable de ruine pour le peuple français, est ainsi sacralisée !

Autre erreur : pour réduire les déficits, objectif louable en soi, il faudrait se contenter de taper sur le contribuable et de prendre l'argent où il est, d'où la taxation sur les hauts revenus et les entreprises. Parallèlement et principalement, se trouve comme à l'habitude le refus de tailler vigoureusement dans les dépenses.

 

LES « FROMAGES » DES POLITIQUES SONT EPARGNES

Un dernier aspect parfaitement essentiel se trouve, à savoir la volonté absolue de ne pas toucher aux avantages extravagants des camarades politiciens : la rigueur, oui, mais pour les autres.

Il y a, en France, un élu pour 100 habitants ce qui nous met au tout premier rang parmi les grands États. Cette surcharge en nombre est accrue d'une façon dramatique par la voracité de ce personnel politique. Ce nombre et cette voracité réunis expliquent en grande partie la panne de croissance et la paupérisation du pays, avec tous les problèmes en découlant, comme l'écroulement des retraites, le chômage, la désindustrialisation, le désastre du logement, etc.

Cette «  République Fromagère (R.F.) » dépasse largement le problème des élus ; par exemple, il y a un certain nombre d'anciens premiers ministres en circulation ; le statut de ces personnages est absolument princier et ils ne sont pas les seuls ; que dire des innombrables camarades logés bien au chaud dans des fonctions inutiles et innombrables ? N'oublions pas une pratique courante, à savoir le droit absolu d'un ministre débarqué à obtenir sa vie durant un autre fromage de la R.F à la hauteur de ses ambitions et créé parfois ex nihilo ; ce droit s'étend aux membres des cabinets quand ils sont licenciés dans la foulée.

En préservant absolument le fromage des camarades et en tapant sur le peuple, le pouvoir a perdu définitivement le peu de crédibilité qui lui restait.

Il aurait pu, au moins, se rattraper sur ce plan de cette crédibilité non seulement en arrêtant le flot des dépenses, mais en les réduisant radicalement. Il n'en n'est rien. En témoigne l'annonce récente de 230 mesures (sic) pour adapter la France au réchauffement. L'explication officielle de ce déluge se réfère à la chimère du réchauffement climatique, nouvelle religion d'État. Ce flot impétueux de mesures déclenchera dans toute l'économie l'effet de ruine habituel.

Le flot de dépenses s'écoule également par le réveil abusif de l'Union pour la Méditerranée, autre chimère ; n'oublions pas les guerres multiples menées d'ailleurs sans les procédures normales pour une déclaration d'une guerre. Également, à signaler les efforts continus pour une gouvernance économique de l'Europe qui alourdira dramatiquement l'économie française.

Dans le rappel de tous ces faits, il ne faut jamais oublier les effets pervers du déluge des lois, qui, en lui-même, est une autre cause majeure et permanente de la paupérisation du pays. Ce que la presse baptise pudiquement du nom de détricotage en désignant l'annulation de lois antérieures, est une illustration de ce phénomène avec toutes les incertitudes en résultant.

VERS UNE NOUVELLE DEGRADATION DE L'ECONOMIE

Le résultat de toute cette rigueur parfaitement abusive qui s'abat sur le peuple français ne peut être que la poursuite de la dégradation de l'économie.

Les économistes connaissent bien la seule méthode qui pourrait sortir le pays de l'ornière. Outre la destruction de l'enrichissement personnel fantastique des prédateurs publics, il faut libérer la création de richesse par les entreprises seules capables de créer cette richesse.

Le problème est que la classe politique tout entière est renfermée dans une bulle idéologique et financière. La bulle idéologique est la croyance erronée que l'État peut créer de la richesse. La bulle financière est le formidable confort financier qui en résulte pour cette classe politique.

Si le « noyau dirigeant » du gouvernement et de la prétendue opposition comprenait tout cela, ce serait la rigueur pour les politiques et la prospérité pour tous.

Au moment même où le plan est enfin officialisé, la réalité le rattrape sans tarder. 87 % des Français toutes tendances confondues pensent qu'il faut tailler dans les dépenses. Les marchés réagissent brutalement montrant le fossé croissant entre la classe politique et les autres. Le chômage se rappelle cruellement au souvenir du pouvoir, les jeunes étant particulièrement frappés.

Le « noyau dirigeant » ferait bien de regarder ce qui se passe au sud, quand les peuples se réveillent brusquement, fatigués d'être à la fois bernés et pillés par une camarilla réduite.

 

Michel de Poncins

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 14:53

                                                                      DESTREM Pauline et Dominique • A LA BOTTE

                                                                                PRIX:27,00 euros

La Bourse sous l’Occupation

Voici un essai déconcertant, et pourtant essentiel! S’il est souvent question d’économie sous l’Occupation, il n’y a rien concernant la bourse, sujet tabou. En réalité, l’évolution des valeurs de bourse pendant l’Occupation reflète pour une large part l’économie et la vie du pays. «Les affaires sont les affaires», dit-on, et la prospérité de la vie boursière sous l’Occupation ne démentira pas le dicton... Cette étude scrupuleuse montre que la botte hitlérienne ne pesait pas sur tout le monde avec le même poids.
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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 14:37

                                                  L'Ecologie selon Jésus-Christ

                                                                          prix:19,00 euros

Présentation de l'éditeur
Faisant de l'homme le sommet de la Création, le christianisme aurait largement contribué à la dévalorisation de la nature et permit son exploitation. Et pourtant... L'industrialisation du monde n'est-elle pas contemporaine de sa déchristianisation ? Les diverses révolutions modernes n'ont-elles pas justement émancipé l'homme de son Créateur pour en faire le tyran de la Création ? Par-delà la modernisation, il est temps de retrouver l'alliance avec la Création ! Replongeant dans le trésor inouï des grands auteurs chrétiens, de l'Évangile à nos jours, renouant avec l'intuition profonde de saint François d'Assise qui vénérait " soeur notre mère la terre ", L'Écologie selon Jésus-Christ réhabilite l'approche chrétienne de la nature, empreinte d'émerveillement, de respect et de douceur.
Biographie de l'auteur
Falk van Gaver, né en 1979, est journaliste et écrivain. Il a notamment publié Le Politique et le Sacré (Presses de la Renaissance, 2005) et Le Ciel sur la terre (Tempora, 2007). Il réside actuellement en Palestine.
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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 08:46

Les Dossiers du Contribuable sur l’enseignement public en kiosque le 1er septembre

  
enseignement public dossiers du contribuable

Le nouveau numéro des Dossiers du Contribuable est consacré à l’enseignement public. Il sera en vente chez votre marchand de journaux à compter du jeudi 1er septembre.

Septembre : la rentrée scolaire et les grèves…

Dans ce n°3 des Dossiers du Contribuable, nous révélons le rapport coût/efficacité de notre enseignement public. Il est déplorable, comme le montrent les indicateurs internationaux.

Notre enseignement public fabrique 40 000 illettrés par an…

Pourtant, l’ensemble géré par le ministère de l’Éducation nationale et celui de l’Enseignement supérieur et de la Recherche absorbe la plus grosse dépense de l’État : 87 milliards d’euros sur un budget total de 363 milliards, à quoi s’ajoutent les contributions financières des collectivités locales.

De 1995 à 2009, le nombre des élèves a diminué, celui des enseignants a augmenté.

L’indiscipline contribue à faire de l’élève français du secondaire l’un des plus coûteux de l’OCDE. L’enseignement public coûte à la collectivité nationale (État, collectivités locales, familles, entreprises) entre 30 et 40% plus cher que le privé sous contrat pour des résultats scolaires identiques, voire meilleurs dans le privé…

Au terme du secondaire, le bac, presque donné (86% de réussite), ouvre automatiquement les portes de l’université. Conséquence : 19% des étudiants en ressortent sans diplôme. Coût de cet échec : un milliard d’euros. Et le niveau des préparations aux grandes écoles descend.

 

LIBRAIRIE-Presse de Neuilly-Plaisance
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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 09:01
Les Français favorables au meurtre des vieux sans condition,rappelez-vous du film "soleil vert"!

Lu dans France catholique,et le salon beige :

S "L’affaire Bonnemaison embarrasse paradoxalement le lobby de l’euthanasie à cause du soutien populaire dont bénéficie le médecin. Un urgentiste peut-il impunément empoisonner une personne âgée en fin de vie, estimant qu’elle aurait «  fait son temps  »  ? En alertant leur hiérarchie des pratiques du docteur Nicolas Bonnemaison, qu’ils soupçonnaient d’avoir pris l’initiative d’injecter, le 3 août 2011, un dérivé de curare à une femme de 92 ans en fin de vie, les soignants de l’hôpital de Bayonne n’imaginaient pas l’avalanche de soutiens reçus par le praticien dès sa mise en examen, après 48 heures de garde à vue  : groupes sur Facebook, pétition sur Internet et jusqu’à une manifestation d’autres soignants du même hôpital… Pour le moment, aucune des familles concernées n’a porté plainte (le praticien a revendiqué quatre euthanasies qu’il affirme ne pas regretter).

Dans les forums sur Internet, on découvre une France prête à dédouaner l’auteur d’actes contraires à toute déontologie médicale, bafouant évidemment le serment d’Hippocrate. Confusion compassionnelle  ? De tels actes sont pourtant illégaux dans le monde entier, même dans les rares pays où certaines formes d’euthanasies sont permises. Plus grave peut-être, on découvre en même temps un corps médical divisé. Des médecins s’autorisent visiblement des gestes que d’autres s’interdisent. Inégalement appliquée, la loi fin de vie de 2005 semble encore méconnue du grand public et de certains soignants. De quoi inquiéter les usagers de l’hôpital. L’affaire Bonnemaison aurait-elle révélé une forme de «  dépénalisation mentale  » de l’euthanasie des personnes âgées en fin de vie dans certains services hospitaliers comme dans l’esprit du public  ?

A force de souffler sur les braises, on provoque l’incendie. Les leaders du lobby de l’euthanasie semblent gênés de découvrir que des comportements euthanasiques indéfendables sont largement approuvés. Les injections létales de Bayonne sont applaudies par une foule qui ne s’embarrasse pas du détail de leurs circonstances et les considère comme un service humanitaire. En évoquant « la réalité des faits » le procureur-adjoint Marc Mariée a dû préciser qu’« il n’est pas établi que les personnes décédées (…) aient été en situation de grande souffrance » (Journal du Dimanche, 22 août 2011). Peu importe  : selon un son­dage Ifop publié à l’occasion de l’affaire, 49 % des Français estiment qu’un médecin devrait pouvoir mettre un terme à la vie de personnes atteintes de maladies incurables. Pouvoir exorbitant qui méconnaît par ailleurs qu’il reste heureusement à prendre soin d’une personne qu’il n’est plus possible de guérir. À moins que la vie des personnes âgées ou très malades n’ait plus vraiment de valeur dans notre société  ? Un patient inconscient « n’est plus un être humain », vient carrément d’affirmer François de Closets.

Dans le champ politique, un bras de fer s’est engagé [...]. En privé toutefois, des leaders socialistes ne cachent pas leur malaise. C’est que les «  cas  » de Bayonne n’entrent absolument pas dans ce qu’ils envisageaient de légaliser. Constater une France prête à «expédier ses vieux» sans qu’ils n’aient rien demandé pourrait finalement faire douter les élus qui croyaient jusqu’ici à une euthanasie canalisée."

Il faut donc montrer que les opposants à l'euthanasie sont nombreux.

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 08:14

                                                            Les guerriers d'Israël. Enquête sur les milices sionistes

                                                                                              PRIX:30,00 euros

La première enquête au monde sur les milices juives, l’autodéfense juive et la violence sioniste, aussi bien en France que dans le monde ou en Israël. Les étranges relations des ultra-sionistes avec les autorités nationales-socialistes. Chronologie complète des violences en France (1976-1995). Organigramme des groupes terroristes (Organisation Juive de Défense, Groupe d’Action Juive, etc..). Les « fous de Dieu » du judaïsme. Histoire du Bétar. Les soutiens politiques dont ces groupes bénéficient. Index sélectif. Le livre qui raconte la véritable histoire des adeptes de la « loi du talion ».

Nous avons d'emblée décidé de venir en aide à toutes les communautés juives (...) Nous l'avons fait en Europe et dans le Monde entier. Nous avons décidé de réagir fermement en créant des organisations juives de défense ou plutôt de légitime défense (...) Et cela ne s'est pas fait en coordination avec les autorités locales. Nous avons pris cette initiative unilatéralement. Nous avons créé sur place l'infrastructure nécessaire. Lorsque les dirigeants communautaires hésitaient, la jeunesse juive prenait les choses en main en créant des clubs de sport ou des mouvements de jeunesse.

Isser Harel, ancien chef du Mossad,
les services secrets israéliens
(Tribune juive, 26 janvier 1993).

Fruit d'une longue et rigoureuse enquête, Les Guerriers d'Israël comprend plusieurs centaines de photos et documents confidentiels ou inédits (rapports de police, jugements, revues internes, etc.).
Outre une chronologie détaillée de la violence en France (1976-1995), ce livre démonte tous les rouages des milices actuelles.
En toute indépendance, il répond aux questions que vous vous posez à propos de ces inquiétantes milices : qui les a fondées, qui sont ses membres, qui les manipule, qui les soutient, sont-elles armées ?, comment opèrent-elles ?, pourquoi bénéficient-elles d'une totale impunité judiciaire, etc.




Télécharger [FS][US]Emmanuel Ratier - Les guerriers d Israël Enquète sur les milices sionistes HD
ou
Télécharger [FS][US]Emmanuel Ratier - Les guerriers d Israël Enquète sur les milices sionistes sur Usenet


Source: http://www.telechargementz.org/livres/e-books/506811-fsusemmanuel-ratier-les-guerriers-d-isragl-enqugete-sur-les-milices-sionistes.html#ixzz1WUUg2OfZ

 

dernière minute ce dimanche 28/08/2011: 

PARIS (NOVOpress) – Plusieurs centaines de membres de la communauté juive de France se sont rassemblés ce dimanche près de l’ambassade d’Israël à Paris pour soutenir l’État hébreu et dénoncer les attaques de ces derniers jours.

Agitant des drapeaux israéliens, les manifestants brandissaient également des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : “La France doit combattre les islamistes en Afghanistan, en France et à Gaza” ou “Les terroristes ne sont jamais des activistes”.

Les médias “se comportent comme des relais de la propagande palestinienne, source principale de l’antisémitisme” et “ignorent totalement la souffrance de la population civile israélienne, attaquée lâchement”, a notamment déclaré un représentant du Secours français pour Israël, sans toutefois préciser lequel des médias, de TF1 de Martin Bouygues au Monde de Louis Dreyfus en passant par Libération du Baron Rothschild, était le plus “pro-palestinien” dans son traitement de l’actualité au Proche-Orient.

Les manifestants affirmaient également que “pour combattre les attaques terroristes, les représailles israéliennes sont justifiées, légitimes et légales”.

L’actuel regain de violences dans et autour de la bande de Gaza a déjà fait 15 morts et plus de 50 blessés côté palestinien et un mort et environ 20 blessés en Israël.

 

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