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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 08:12

Ce n'est pas la presse "française", au main des subventions et des investisseurs juifs, qui vous en parlera. 

Je ne reviendrai pas sur les détails de l’affaire. Bernard Madoff, juif américain pratiquant, a monté la plus grande arnaque de l’Histoire. Adoptant un schéma type « pyramide de Ponzi », l’opération consistait à prétendre qu’il gérait un fonds d’investissement très performant. Il démarchait, avec son équipe, d’importants clients et entreprises et leur faisant miroiter des gains intéressants.


Bernard Madoff, le visage de l'arnaque

Or, les malheureux ignoraient complètement que les fonds qu’ils remettaient à la société de Madoff n’étaient jamais investis en bourse. La faible rémunération périodique qu’ils recevaient, les mettant en confiance et les incitant à réinvestir sans cesse, provenaient des dépôts des autres clients. Une fois le montage découvert, les clients comprennent que leur argent a été accaparé par Madoff et les siens… La pyramide s’est effondrée et a révélé plus de 60 milliards de dollars de trou.

Suite à cette affaire, les médias se sont empressés de dire qu’il s’agissait d’un individu isolé. L’on a même prétendu, pour empêcher le public de comprendre le fond de l’affaire, que des juifs auraient été arnaqués.

Or, ce que le public ignore, c’est que Madoff n’était pas seul, et que la communauté juive a largement profité de l’affaire. Ce n’est qu’en sachant cela qu’on comprend réellement ce qui a motivé les protagonistes.


Les vrais bénéficiaires de l’escroquerie Madoff

Irving Picard, la personne chargée de liquider la société Madoff suite à l’éclatement du scandale, a recensé au moins 2000 personnes et organismes bénéficiaires de l’opération ! En clair il ne s’agissait pas d’un loup solitaire avide d’argent. Tout porte à croire qu’il a été un agent communautaire.

C’est ainsi que Picard découvrit que parmi les gros bénéficiaires, outre la famille élargie de Madoff, deux familles juives se distinguaient : les Lévy et les Shapiro. Fait ignoré du grand public, l’un des plus gros bénéficiaires du montage était Jeffry Picower, juif américain et investisseur professionnel (http://en.wikipedia.org/wiki/Jeffry_Picower). Il a engrangé plus de 7 milliards de dollars !

C’est au sujet des organismes communautaires juifs que le constat est accablant. On lit ainsi sur Wikipédia que :

« Outre les fondations de philanthropes juifs pour lesquelles les plaintes furent portées contre leurs fondateurs tel que Carl et Ruth Shapiro, Jeffry et Barbara Picower, Sonja Kohn, etc. ou la famille Madoff elle-même par le biais des fondations The Mark and Stephanie Madoff Foundation et the Deborah and Andrew Madoff Foundation qui ont été appelées à rembourser 2 millions de dollars chacune, on trouve :

America Israel Cultural Foundation une fondation de soutien aux artistes et institutions culturelles juives qui est poursuivie pour un montant de 5,32 millions de dollars.

The American Committee for Shaare Zedek Medical Center poursuivie pour 7 millions de dollars.

United Congregations Mesorah, une association religieuse qui est poursuivie pour 16 millions de dollars.

Hadassah (en), l'organisation des femmes sionistes ».

Les complices du montage

Du côté des complices, même constat. Certes, certaines banques classiques sont concernées, comme HSBC, BNP, JP Morgan… Toutefois, là encore, l’implication communautaire est flagrante. Ainsi la fameuse banque « suisse » UBC à hauteur de plus de 2 milliards de dollars. Cet établissement fut fondée par Edgar de Picciotto (http://www.ubp.com/cms/lang/fr/ubp/swiss-bank/profile/history), et est dirigée par sa famille. Or, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une famille d’immigrants juifs libanais…

Au rang des complices, bien cachée dans l’épais dossier Madoff, l’on retrouve une banque israélienne « Hapoalim ».

 

L’affaire Sonja Kohn, rescapée de l’holocauste, juive intégriste et surtout complice et bénéficiaire principale de l’arnaque Madoff

 
 

Ce n'est pas Madame Doubtfire, mais Sonja Kohn, complice principale de l'escroquerie

Ce n’est pas fini… Le plus gros morceau arrive ! Le plus important complice et bénéficiaire de l’escroquerie est la banquière Sonja Kohn. Sa biographie se passe de tout commentaire quant à son implication dans le judaisme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sonja_Kohn) :

« Fille de rescapés polonais de l’Holocauste, elle grandit dans une petite communauté juive de la capitale autrichienne et épouse Erwin Kohn, banquier, dans les années 1970.

Elle débute sa carrière professionnelle avec son mari à Milan en montant une petite affaire d'import-export de montres, transférée par la suite à Zurich. En 1984, Elle crée la Medici à Vienne.

Un an après, elle s'installe à New York, dans une communauté juive orthodoxe. Elle devient ultra-orthodoxe et porte désormais la perruque comme l'impose la pratique de sa religion. Elle créeEurovaleur Inc.

En 1990, elle retourne s'installer à Vienne. Elle est mère de 5 enfants et dispose d’une villa dans le quartier de Nahlaot à Jérusalem où elle se rend plusieurs fois par an, son fils, le rabbin Avraham Zeev Kahana, est le directeur d'une école talmudique, Les portes de la halakha, financée par Sonja Kohn »


Quel a été son rôle dans l’affaire Madoff ? Le liquidateur a déposé plainte contre et des sociétés qui lui sont liées, notamment sa propre banque, en estimant : « En Sonja Kohn, Madoff a trouvé une âme sœur criminelle, dont l'avidité et l'inventivité malhonnête égalaient la sienne ». Dans son recours en justice, il écrit : « Depuis plus de 20 ans, Kohn a organisé un vaste montage illégal en exploitant sa relation privilégiée avec Madoff pour drainer plus de 9,1 milliards de dollars appartenant à d'autres personnes dans un montage à la Ponzi ».

Il ajoute que « le montage illégal a enrichi Kohn, sa famille et des dizaines d'autres individus et entités, dont les plus grosses banques en Autriche et en Italie, aux dépens des biens du BLMIS et sur le dos des victimes de Madoff ».

Tous ces éléments suffisent pour tout comprendre, toute conclusion s’avérerait superflue… Sauf à rappeler que selon le Talmud, livre saint du judaisme, escroquer les goym est non seulement permis, mais même considéré comme un mitsvah, « bénédiction », lorsqu’il s’agit de favoriser la communauté.

Source : resistancemusulmane.over-blog.com

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 07:45
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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 06:48

lu sur le site christ-roi:

              SAINT LOUIS


              Louis IX


              Roi de France

             

              (1214-1270)

Louis IX a frappé ses contemporains par son sens de la justice, sa profonde piété et sa grande charité envers les pauvres ; sa vertu le faisait regarder comme l'arbitre des princes d'Europe.

Il fut baptisé à Poissy, et en conserva toujours religieusement le souvenir, car plus tard il signait ordinairement Louis de Poissy, marquant par là qu'il estimait la grâce du baptême comme son plus glorieux titre de noblesse. Sa mère, Blanche de Castille, voulut le nourrir elle-même. Tout le monde connaît la belle parole de cette grande reine : « Mon fils, je vous aime après Dieu plus que toutes choses; cependant, sachez-le bien, j'aimerais mieux vous voir mort que coupable d'un seul péché mortel. »

Élevé à une telle école, le jeune Louis montra dès son enfance les grandes vertus qu'il devait faire éclater sur le trône, l'égalité d'âme, l'amour de la justice et une tendre piété. Comme on lui reprochait quelques fois de donner trop de temps aux pieux exercices: "Les hommes sont étranges, disait-il; on me fait un crime de mon assiduité à la prière, et on ne dirait rien si j'employais des heures plus longues à jouer aux jeux de hasard, à courir les bêtes fauves, à chasser aux oiseaux."

Devenu roi, il voulut établir avant tout le règne de Dieu, auquel sont indéfectiblement liés le Roi et la France. Il s'appliqua plus que jamais à faire de la France un royaume puissant et chrétien. On connaît sa loi condamnant les blasphémateurs à subir aux lèvres la marque d'un fer rougi au feu.


Un des plus beaux jours de sa vie fut celui où il alla au-devant des religieux qui apportaient d'Orient la sainte Couronne d'épines, et la porta, pieds nus, dans sa capitale.

Saint-Louis fonda des hôpitaux et des monastères. Il réalisa son grand projet : construire la Sainte-Chapelle comme une châsse de lumière et de vitraux destinée à recueillir les saintes reliques, surtout la Couronne d'épines. Il donna à sa soeur, la bienheureuse Isabelle de France, le terrain de Longchamp pour y fonder une abbaye de religieuses de Sainte-Claire. « Si je dépense beaucoup d’argent quelquefois, j’aime mieux le faire en aumônes faites pour l’amour de Dieu que pour frivolités et choses mondaines. Dieu m’a tout donné ce que j’ai. Ce que je dépense ainsi est bien dépensé. » (Saint Louis au sire de Joinville )

A vingt ans, il épousa Marguerite de Provence et leur amour sera tendre et fidèle. Saint Louis fut aussi un modèle du pur amour conjugal; il avait fait graver sur son anneau cette devise: "Dieu, France et Marguerite."

A la suite d'une maladie mortelle, guéri miraculeusement, Louis obéit à une inspiration du Ciel qui l'appelait aux Croisades. Quand il partit pour délivrer la Terre Sainte en 1248, il s'embarqua avec elle. On le vit, dans ces luttes gigantesques, qui avaient pour but la libération des Lieux Saints, faire des actes de bravoure qui le mettaient au rang des plus illustres guerriers. On se tromperait en croyant que le bon et pieux roi n'eût pas toute la noble fierté qui convenait à son rang.
Les Sarrasins, qui le retinrent longtemps captif, après une désastreuse campagne, eurent lieu d'admirer sa grandeur d'âme, sa foi et son courage. Lui demandant de fixer le prix de sa rançon pour sa libération, il leur répondit de s'enquérir auprès de sa femme (Marguerite de Provence) qui seule décidait de l'engagement des dépenses ! L'épisode est narré par Joinville, il est ainsi rapporté par Régine Pernoud :
"Quand ils virent (les 'Sarrasins'), qu'ils ne pourraient vaincre le bon roi par les menaces, ils revinrent à lui et lui demandèrent combien il voudrait donner d'argent au sultan et avec cela, s'il leur rendrait Damiette. Et le roi leur répondit que, si le sultan voulait prendre de lui une somme raisonnable de deniers, il manderait à la reine qu'elle les payât pour leur délivrance; et ils dirent : 'Comment est-ce que vous ne voulez pas dire que vous ferez ces choses ?' (Pourquoi ne voulez-vous pas vous y engager vous-même ?) Et le roi répondit qu'il ne savait si la reine le voudrait faire, pour ce qu'elle était sa Dame".
Une fois libéré et rentré dans son royaume, il y entreprit de grandes réformes en particulier l'interdiction du duel judiciaire.

Son royaume connut une période de plein développement culturel, intellectuel et théologique. Saint Louis aimait recevoir à sa table saint Bonaventure et saint Thomas d'Aquin. Avec Robert de Sorbon, il fonda la Sorbonne (1257). Il suivit avec attention l'achèvement de la cathédrale Notre-Dame et surtout les grandes rosaces (1255) et les porches.

Son plus grand souci fut de pacifier, de réconcilier les ennemis et d'éteindre les conflits, en particulier entre la France et l'Angleterre (1258).
Mais il rêvait de retourner en Terre Sainte, et de convertir le sultan d'Egypte. Il n'ira pas plus loin que Carthage, l'actuelle Tunis. La maladie eut raison de lui, c'était le 25 août 1270.
 
Sources: Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. et Nominis; Régine Pernoud, Les femmes au temps des croisades, Editions Stock Le Livre de Poche, Paris 1990, p. 230.
 
Prière de St Louis

Dieu Tout-Puissant et éternel,

Qui avez établi l'empire des Francs pour être dans le monde

L'instrument de vos divines volontés,

Le glaive et le bouclier de votre sainte Eglise,

Nous vous en prions, prévenez toujours et partout de votre céleste lumière,

Les fils suppliants des Francs,

Afin qu'ils voient ce qu'il faut faire pour réaliser votre règne en ce monde,

Et que pour accomplir ce qu'ils ont vu,

Ils soient remplis de charité, de force et de persévérance,

Par Jésus-Christ Notre-Seigneur.

Amen


Oraison tirée d'un missel Carolingien,

Prière favorite du Père de Foucauld,

Prière officielle des scouts de France.

--------

Le testament de Saint-Louis


Source : http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=314675
 

Beau Fils, la première chose que je t’enseigne est que tu mettes tout ton cœur à aimer Dieu. Car sans cela nul ne peut se sauver.

Garde-toi de faire chose qui à Dieu déplaise, c’est-à-dire mortel péché. Tu devrais même souffrir toutes manières de tourment plutôt que de pécher mortellement.

Si Dieu t’envoie adversité, souffre-la en bonne grâce et en bonne patience, et rends-Lui en grâce et pense que tu l’as bien desservi et qu’il tournera tout à ton profit.

S’il te donne prospérité, L’en remercie humblement, en sorte que tu n’en sois pas pire ou par orgueil ou par autre manière, de ce dont tu dois mieux valoir. Car l’on ne doit pas Dieu de ses dons guerroyer.

Confesse-toi souvent, et élis confesseurs prud’hommes qui te sachent enseigner ce que tu dois faire et de quoi tu dois te garder…

Le service de Sainte Eglise écoute dévotement sans bourder et rire, regarder çà et là ; mais prie Dieu de bouche et de cœur en pensant à Lui dévotement et spécialement à la Messe à l’heure que la Consécration est faite.

Le cœur aie doux et pitoyable aux pauvres et à ceux qui souffrent de cœur et de corps, et les conforte et leur aide selon ce que tu pourras.

Maintiens les bonnes coutumes du royaume et les mauvaises abaisse.

Ne convoite pas sur ton peuple, ne le charge pas d'impôts ni de taille, et si ce n’est par trop grand besoin.

Si tu as quelque affliction de cœur, dis-la aussitôt à ton confesseur ou à quelque prud’homme. Ainsi tu la porteras plus légèrement.

Gardes que tu aies en ta compagnie tous prud’hommes, soit religieux, soit séculiers ; aie souvent parlement avec eux et fuis la compagnie des mauvais.

Et écoute volontiers les semons ou publics ou privés ; et recherche volontiers prières et pardons.

Aime tout bien et hais tout mal en quoi que ce soit.

Nul ne soit si hardi qu’il dise devant toi parole qui attire ou pousse à pécher, ou qu’il médise par détraction.

Ne souffre que l’on dise devant toi nulle vilenie de Dieu ni de ses saints, que tu n’en fasses tantôt vengeance.

Rends souvent grâces à Dieu de tous les biens qu’Il t’a faits, afin que tu sois digne d’en plus avoir.

Pour justice et droiture garder, sois raide et loyal envers tes sujets, sans tourner ni à droite ni à gauche, mais toujours droit.

Et si un pauvre a querelle contre un riche, soutiens le pauvre plus que le riche jusques à temps que la vérité soit éclaircie.

Si quelqu’un a querelle contre toi, sois toujours pour lui et contre toi jusque l’on sache la vérité. Car ainsi jugeront les conseillers plus hardiment selon droiture et selon vérité.

Si tu retiens rien d’autrui, ou par toi ou par tes devanciers, si c’est chose certaine, rends sans tarder. Si c’est chose douteuse, fais enquérir par sages hommes en hâte et diligemment.

À cela tu dois mettre toute ton attention que tes gens et tes sujets vivent en paix et en droiture sous toi, mêmement les bonnes villes et les bonnes cités de ton royaume ; et les garde en l’état et en la franchise où tes devanciers les ont gardées. Et s’il y a choses à amender, amende-les et les redresse, et les tiens en faveur et amour.

Car par la force et la richesse de tes bonnes villes, les particuliers et étrangers redouteront de se mal conduire envers toi, spécialement les pairs et les barons. Il me souvient de Paris et des bonnes villes de mon royaume, qui m’aidèrent contre les barons quand je fus nouvellement couronné.

Honore et aime particulièrement les religieux et toutes personnes de sainte Eglise.

L’on raconte du roi Philippe, mon aïeul, qu’une fois un de ses conseillers lui dit que la sainte Eglise lui faisait grands torts et forfaits, en ce que les clercs lui ôtaient de son droit et empiétaient sur sa justice ; que c’était grande merveille qu’il le souffrît. Et le bon roi répondit qu’il le croyait bien. Mais quand il regardait les bontés et les courtoisies que Dieu lui avaient faites, il aimait mieux laisser son droit aller que susciter contestation ou scandale à la Sainte Eglise.

À ton père et à ta mère tu dois honneur et révérence porter, et garder leurs commandements.

Aime tes frères et veuille toujours leur bien et leur avancement, et tiens leur lieu de père pour les enseigner sur tout bien. Garde-toi que, par amour pour eux, tu te détournes de faire droit et que tu ne fasses à autrui chose que tu ne dois.

Donne les bénéfices de sainte Eglise à personnes bonnes et dignes, et sur le conseil de prud’hommes. Et donne à ceux qui n’ont rien de sainte Eglise.

Garde-toi d’exciter guerre sans très grande délibération et surtout contre tout homme chrétien. S’il faut la faire, garde sainte Eglise et ceux qui n’ont en rien méfait, de tout dommage.

Apaise au plus tôt que tu pourras guerres et conflits soit tiens, soit de tes sujets comme Saint Martin faisait ; car, au temps que par Notre Seigneur il savait qu’il devait mourir, il alla pour mettre la paix entre les clercs de son archevêché ; et lui fut avis que, ce faisant, il faisait bonne fin.

Sois diligent d’avoir bons prévôts et bons baillis et enquiers souvent d’eux et de ceux de ta maison, comme ils se conduisent.

Cher Fils, je t’enseigne que tu sois toujours dévot à l’Eglise de Rome et au souverain pontife, notre père, et que tu lui portes révérence et honneur comme tu dois à ton père spirituel. Travaille-toi à empêcher tout péché et principalement vilain sermon et fais détruire les hérésies suivant ton pouvoir.

Encore je te requiers que tu reconnaisses les bienfaits de Notre-Seigneur et que tu lui rendes grâces et merci.

Prends garde que les dépenses de ton hôtel soient raisonnables et mesurées.

Enfin, doux fils, je te conjure et requiers que, si je meurs avant toi, tu fasses secourir mon âme en messes et oraisons, par tout le royaume de France, et que tu m’accordes une part spéciale et plénière dans tout le bien que tu feras.

En dernier, cher fils, je te donne toutes bénédictions que bon père et pieux peut donner à son fils, et que benoîte Trinité et tous les saints te gardent et te défendent de tout mal ; et que Dieu te donne sa grâce de faire sa volonté toujours, de sorte qu’il soit honoré par toi.

Et que nous puissions après cette mortelle vie être ensemble avec Lui et Le louer sans fin.

Amen. 

--------

Litanies de Saint-Louis

Source : Prières aux saints du Tiers-Ordre

DEVOTION A SAINT LOUIS IX, ROI DE FRANCE, PATRON DES ARMEES FRANCAISES ET DU TIERS-ORDRE DE LA PENITENCE

Seigneur, ayez pitié de nous (bis)
Jésus-Christ, ayez pitié de nous ''
Seigneur, ayez pitié de nous
Jésus-Christ, écoutez-nous
Jésus-Christ, exaucez-nous.
Père céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous
Fils rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ''
Esprit-Saint, qui êtes Dieu,
Trinité Sainte, qui êtes un seul Dieu,
Sainte Marie, conçue sans péché, priez pour nous
Sainte Mère de Dieu,                            ''
Sainte Vierge des Vierges;
Saint Louis, prince admirable, priez pour nous
Saint Louis, lis de pureté,               ''
Saint Louis, exemple d'humilité,
Saint Louis, image de vertu,
Saint Louis, prodige de pénitence,
Saint Louis, flamme d'amour et d'oraison,
Saint Louis, lampe ardente et brillante,
Saint Louis, vase d'élection,
Saint Louis, vase insigne de religion,
Saint Louis, miroir de la perfection chrétienne,
Saint Louis, très dévot à notre Père saint François,
Saint Louis, contempteur du monde et de ses honneurs,
Saint Louis, plein de zèle pour la maison de Dieu,
Saint Louis, tendre père des pauvres,
Saint Louis, remède des malades,
Saint Louis, appui de la veuve et de l'orphelin,
Saint Louis, juge béni des peuples,
Saint Louis, rédempteur des captifs,
Saint Louis, prédicateur des infidèles,
Saint Louis, deux fois victime pour les Lieux saints,
Saint Louis, terrible dans les combats,
Saint Louis, puissant dans les fers,
Saint Louis, gardien de la France,
Saint Louis, modèle des rois,
Saint Louis, digne de la couronne des rois sur la terre,
Saint Louis, plus digne de la couronne des saints dans le ciel,
Saint Louis, saint patron des armées françaises,
Saint Louis, protecteur des armées françaises,
Saint Louis, protecteur du Tiers-Ordre séraphique , priez pour nous

Agneau de Dieu, qui efffacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous, Seigneur

Priez pour nous, glorieux saint Louis
Afin que nous devenions dignes des promesses de N.-.S.J.-C.

Oraison

Ô Dieu, qui avez transféré votre confesseur saint Louis d'un royaume terrestre à la gloire céleste, rendez-nous, par ses mérites et son intercession, participants du bonheur du Roi des rois, Jésus-Christ. Qui vit et règne...


Les Terres Saintes




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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 09:48
Robespierre, par Henri Guillemin (12 février 1970)

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 08:55
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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 07:12

Après plusieurs jours de violents affrontements entre grévistes et non grévistes ayant fait une vingtaine de morts et des dizaines de blessés, le 17 août, la mine de platine de Marikana à l’ouest de Pretoria a connu de vraies scènes de guerre quand, totalement débordée, la police s’est dégagée en tirant dans la masse des émeutiers armés. Bilan, une quarantaine de morts, plus d’une centaine de blessés et un demi millier d’arrestations. Les grèves insurrectionnelles se multipliant à travers le pays, le constat sécuritaire sud africain est que la police est incapable de faire face à des manifestants déterminés que les syndicats n’arrivent plus à encadrer.

 

Après cette description des faits, quelle analyse peut-on en faire ?

 

Comme je ne cesse de le dire depuis des années[1], le « miracle » sud-africain n’est qu’un mirage car l’échec de l’ANC est total et cela dans tous les domaines :

 

1) Le chômage touche environ 40% des actifs et le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994.

 

2) Le climat social est empoisonné par les criantes inégalités nourries par les « Black Diamonds », ces nouveaux riches noirs, profiteurs insatiables qui ont fait main basse sur l’économie du pays et qui affichent avec insolence un luxe ostentatoire.

 

3) Le pays est livré à la loi de la jungle et des crimes sordides y font quotidiennement la « une » des journaux. En moyenne, plus de cinquante meurtres sont commis quotidiennement.

 

4) L’Affirmative Action ou « Ségrégation Positive », ou « Discrimination à l’envers », a remplacé le mérite et la compétence par la préférence raciale ou communautaire, tant dans les recrutements professionnels que dans l’obtention de contrats publics ou dans les grands choix politiques, administratifs, sociaux, etc.

 

5) Le pari qui était que la RSA allait décoller en raison de sa main d’œuvre noire à bon marché et de son encadrement blanc de haut niveau a été perdu car, depuis 1994, les Blancs diplômés ont quitté le pays, chassés par l’insécurité, les brimades diverses et la surfiscalité, ou bien ils se sont repliés dans la région du Cap. Quant aux Noirs, ils ne se satisfont plus de salaires de misère.

 

Les incidents sanglants de Marikana s’inscrivent également dans le contexte de la féroce lutte des clans qui se déroule au sein de l’ANC en vue de la désignation du futur candidat à l’élection présidentielle. Le même scénario que celui qui avait abouti au renversement de Thabo Mbeki en 2007 se reproduira-t-il lors du congrès de décembre 2012 quand il s’agira d’élire le président de l’ANC, donc le futur chef de l’Etat ?

L’ANC connaît en effet de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et tenants d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « black englishmen», aux jeunes loups prônant une libération raciale, comme au Zimbabwe. Ces derniers ont pour leader Julius Malema, un jeune activiste d’ethnie Pedi[2] qui vient d’apporter son soutien aux mineurs grévistes et qui sait que ses propositions radicales comme la nationalisation des mines ou la saisie des fermes appartenant aux Blancs sont partagées par la grande majorité des Noirs. Exclu de l’ANC, Julius Malema compte sur la multiplication des grèves insurrectionnelles pour mettre en difficulté le président Zuma qui est soutenu par le NUM, le puissant syndicat des mines très majoritairement zulu. C’est d’ailleurs pour l’affaiblir qu’a été fondé l’AMCU, cette scission extrémiste du NUM qui a lancé la grève de Marikana. La condition économique et sociale du pays se détériorant avec une inexorable régularité, l’extrémisme noir a de beaux jours devant lui.

Nelson Mandela et ses successeurs ont donc transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violence. Cette réalité est encore en partie cachée grâce à un secteur ultraperformant mais de plus en plus réduit, dirigé par des Blancs qui n’attendent qu’une occasion pour aller exercer leurs talents en Australie ou au Canada.

Pouvait-il en être autrement avec une idéologie officielle reposant sur ce refus de la réalité qu’est le mythe de « nation arc-en-ciel », « miroir aux alouettes » destiné à la mièvrerie occidentale et qui a longtemps interdit de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation ? Il s’agit en effet d’une mosaïque de peuples juxtaposés dont les références culturelles sont étrangères les unes aux autres et dont les intérêts sont contradictoires.

 

Bernard Lugan

18/08/2012


[1] Voir à ce sujet mon livre 
Histoire de l’Afrique du Sud (2010) qu’il est possible de commander sur www.bernard-lugan.com
[2] Voir à ce sujet dans le numéro de juillet de 
l’Afrique Réelle, l’article intitulé « Julius Malema, l’épine dans le pied de Jacob Zuma ».

 

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 06:53
              PRIX:19,00 euros le livre                  


9782355120435_1 

Wall Street et l'ascension de Hitler

Antony SuttonEn mettant au jour un cloaque de mensonges, de tromperies et de duplicités, Antony Sutton révèle l’un des faits le plus marquant, et pourtant jamais rapporté, de la Seconde Guerre mondiale : que des banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir, en finançant l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle.

En suivant minutieusement la piste de ce secret bien gardé, grâce à des documents et des témoignages incontestables, Sutton parvient à la conclusion que la catastrophe de 1939-45 bénéficia surtout à un groupe privilégié d’initiés financiers.

Il donne le compte-rendu détaillé, preuves à l’appui, du rôle abjecte que jouèrent les Morgan, les Rockefeller, les frères Warburg ou les Ford, directement ou à travers leurs entreprises, et tous ceux qui financèrent les préparatifs de la guerre la plus sanglante et la plus destructrice de l’Histoire.

« Wall Street et l’Ascension de Hitler » est le troisième volume d’une trilogie consacrée à l’implication directe des financiers new-yorkais dans la révolution lénino-trotskiste en Russie, l’élection de Franklin D. Roosevelt aux États-Unis et la montée du nazisme en Allemagne.

« La contribution du capitalisme nord-américain aux préparatifs de guerre allemands a été phénoménale et, sans elle, l’Allemagne n’aurait jamais eu la capacité militaire qui conduisit au massacre de millions de personnes innocentes … »


« Non seulement ces banquiers et hommes d’affaires nord-américains avaient conscience de la nature du nazisme, mais il assistèrent le nazisme à chaque fois qu’ils y avaient intérêt – en sachant parfaitement que la conséquence probable serait une guerre impliquant l’Europe et les États-Unis. »
Wall Street et la révolution bolchevik
9782355120442_1 

Pourquoi Trotski, alias Braunstein, voyagea-t-il avec un passeport officiel américain lorsqu’il retourna en Russie en 1917 rejoindre Lénine pour la révolution ?

Pourquoi la mission américaine de la Croix-Rouge en Russie, en 1917, comportait-elle plus d’hommes d’affaires que de médecins ?

Au fil d’une enquête magistrale, qui se lit comme un roman d’espionnage, Antony Sutton établit des liens historiques tangibles entre capitalistes américains et communistes russes. Tirant ses informations de l’examen de dossiers du Département d’État, des archives personnelles de personnages clés de Wall Street, de biographies, d’articles de presse et de livres d’historiens classiques, Sutton nous révèle :

• Le rôle que jouèrent les dirigeants des banques du groupe Morgan dans l’acheminement illégal d’or bolchevique vers les États-Unis.

• Le détournement de la mission de la Croix-Rouge américaine en Russie par les puissants de Wall Street .

• L’intervention de Wall Street pour obtenir la remise en liberté de Léon Trotski, le révolutionnaire dont l’objectif était de renverser le gouvernement russe.

• Les accords passés par de grandes entreprises afin de capter l’énorme marché russe, quinze ans avant la reconnaissance officielle du gouvernement soviétique par les États-Unis.

• Le soutien au communisme, actif mais secret, par des hommes d’affaires de premier plan, lesquels se faisaient publiquement les champions de la libre entreprise.]
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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 11:22

Avec le temps les mensonges ne tiennent pas.......

Voici un reportage intéressant concernant le rôle, heureusement de plus en plus connu, de certains israélites dans la traite négrière… Rappelons à nos lecteurs que cette traite, en plus de se poursuivre de nos jours, est d’abord le fait de chefs de tribus noires… Et que l’esclavage, comme son nom l’indique, est une pratique qui a principalement frappé les populations… slaves ! D’ailleurs en anglais “esclave” se dit “slave” ! Merci à David Duke pour ce rappel…

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 08:27

                                                          

SAINT BERNARD
via le site christ-roi

Docteur de l'Église


(1091-1153)

A quoi pouvait rêver dans l'éclat de sa jeunesse le fils de Tescelin, chevalier du duc de Bourgogne, et de dame Aleth de Montbard, si bonne chrétienne? de chasses ou de tournois? de chants de guerre ou de galantes conquêtes? En tous cas, certainement pas de vie monastique comme il en fera le choix à l'âge de vingt-trois ans. D'autant qu'il entraînait avec lui une trentaine de jeunes en quête d'absolu... Il méditait beaucoup,parlait peu, était doux, modeste, charitable,  donnant aux pauvres tout ce qu'il pouvait. On lui offrit l'archevêché de Milan; il le refusa, comme toutes les autres dignités, et revient en France.

Saint Bernard, le prodige de son siècle, naquit au château de Fontaines, près de Dijon, d'une famille distinguée par sa noblesse et par sa piété, et fut, dès sa naissance, consacré au Seigneur par sa mère, qui avait eu en songe le pressentiment de sa sainteté future. Une nuit de Noël, Bernard, tout jeune encore, assistait à la Messe de Noël; il s'endormit, et, pendant son sommeil, il vit clairement sous ses yeux la scène ineffable de Bethléem, et contempla Jésus entre les bras de Marie.

A dix-neuf ans, malgré les instances de sa famille, il obéit à l'appel de Dieu, qui le voulait dans l'Ordre de Citeaux; mais il n'y entra pas seul; il décida six de ses frères et vingt-quatre autres gentilshommes à le suivre. L'exemple de cette illustre jeunesse et l'accroissement de ferveur qui en résulta pour le couvent suscitèrent tant d'autres vocations, qu'on se vit obligé de faire de nouveaux établissements.

Dès 1115, après trois années de vie monastique à Citeaux, Bernard est envoyé à Clairvaux pour y fonder l'abbaye dont il restera père-abbé jusqu'à sa mort. L'abbaye de Citeaux sera la source de cent soixante fondations, du vivant même du Saint... Loin de rester cloîtré il parcourt les routes d'Europe devenant, comme on a pu l'écrire, «la conscience de l'Eglise de son temps». Il vient plusieurs fois à Paris, à Saint Pierre de Montmartre, à la chapelle du Martyrium, à la chapelle Saint Aignan où il vient prier souvent devant la statue de la Vierge qui se trouve maintenant à Notre-Dame de Paris. Pensez-y, lorsque vous passez devant cette image de la Vierge !

Chaque jour, pour animer sa ferveur, il avait sur les lèvres ces mots: "Bernard, qu'es-tu venu faire ici?" Il y répondait à chaque fois par des élans nouveaux. Il réprimait ses sens au point qu'il semblait n'être plus de la terre; voyant, il ne regardait point, entendant, il n'écoutait point; goûtant, il ne savourait point. C'est ainsi qu'après avoir passé un an dans la chambre des novices, il ne savait si le plafond était lambrissé ou non; côtoyant un lac, il ne s'en aperçut même pas; un jour, il but de l'huile pour de l'eau, sans se douter de rien.

Infatigable fondateur, on le voit sur sa mule, traînant sur les routes d'Europe sa santé délabrée et son enthousiasme spirituel. Sa réforme monastique l'oppose à l'Ordre de Cluny dont il jugeait l'interprétation de larègle de saint Benoît trop accommodante. A sa mort, en 1153, ce sont trois cent quarante-trois abbayes cisterciennes qui auront surgi du sol européen.

Le Saint n'avait point étudié dans le monde; mais l'école de l'oraison suffit à faire de lui un grand Docteur, admirable par son éloquence, par la science et la suavité de ses écrits. Il fut le conseiller des évêques, l'ami des Papes, l'oracle de son temps. Mais sa principale gloire, entre tant d'autres, semble être sa dévotion incomparable envers la très Sainte Vierge.

Dans cette période de développement des écoles urbaines, où les nouveaux problèmes théologiques sont discutés sous forme de questions (quaestio) et d'argumentation et de recherche de conclusion (disputatio), Bernard est partisan d'une ligne traditionnaliste. Il combat les positions d'
Abélard, approximatives d'un point de vue théologique, et le fait condamner au concile de Sens en 1140. Abélard incarne tout ce que Bernard déteste : l'intelligence triomphante, l'arrogance dominatrice, les prouesses dialectiques, une célébrité immense, fondée sur la foi passée au crible de la raison au détriment de la vie intérieure, l'obstination à tenir des positions. Bernard refuse que les secrets de Dieu soient examinés et questionnés par la raison. Il veut que la raison reconnaisse ce qu'il y a d'infiniment profond et d'incompréhensible dans les choses divines. Bernard refuse que les secrets de Dieu soient examinés et questionnés (mis sur une balance au vote...) par la raison. Il veut que la raison reconnaisse ce qu'il y a d'infiniment profond et d'incompréhensible dans les choses divines.

Saint Bernard, auteur de la règle des Templiers
 
En 1129, lors de la création de l'ordre des Templiers au
 Concile de Troyes, celui-ci se dota d'une règle propre qui s'inspire directement de la règle de saint Benoît. La tâche de la rédigerfut confiée à Bernard.


En 1145, Clairvaux donne un pape à l'Église,
 Eugène III.
Lorsque le
 royaume de Jérusalem est menacé après la chute du comté d'Édesse, le pape Eugène III demande à Bernard de prêcher la deuxième croisade, laquelle sera entreprise en grande partie à l'initiative du roi de France Louis VII le Jeune. Bernard, plus préoccupé par le développement de l'hérésie cathare dont les fidèles dépréciaient le Créateur en méprisant la matière et le corps (enfanter était un péché satanique chez les cathares), est réticent à l'idée de s'associer à une croisade en Terre sainte. Il ne s'incline que par obéissance au pape.

Il prend la parole le 31 mars 1146, le jour de Pâques au milieu d'une foule de chevaliers réunis au pied de la colline de Vézelay. À cette époque, il a cinquante six ans. Son discours enflamme la foule. Il évoque Édesse profané et le tombeau du Christ menacé. Il invite les chevaliers qui veulent se croiser à l'humilité, à l'obéissance et au sacrifice. Après son prêche, on lui arrache même des morceaux de son vêtement pour en faire des reliques. Sa parole éloquente est confirmée par des miracles nombreux; l'enthousiasme est indescriptible. Son prestige entraîne le peuple de France.

Saint Bernard, unificateur de l'Europe ("la Chrétienté")

Puis il adresse une lettre circulaire aux Allemands, aux Anglais, aux Bretons, aux Lombards, les exhortant à cesser entre eux toute guerre, toute querelle, et à s'unir contre l'ennemi commun de la chrétienté. Enfin, il passe en Allemagne, où ses prédications obtinrent le même succès qu'en France.

Sa mort, qui arriva le 20 août 1153, fut un deuil public. On l'appela à juste titre le dernier Père de l'Eglise. Canonisé vingt ans après sa mort par le pape Alexandre III, il fut mis par Léon XII au rang des docteurs.

Les saints du jour; wikipedia; Nominis
Mgr Paul Guérin, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Editions D.F.T., Argentré-du-Plessis 2003, p. 515/518

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 08:20

Les éditions Ellipses viennent de publier La nouvelle grande Russie, un ouvrage de Xavier Moreau qui revient sur le formidable effort de redressement entrepris depuis 1998 par les dirigeants russes. Saint-Cyrien et ancien officier parachutiste, Xavier Moreau est un spécialiste des questions géopolitiques et a, par ailleurs, fondé une société de conseil en sûreté des affaires qui travaille essentiellement dans les pays de l'ex-Union soviétique.

 

La nouvelle grande Russie.jpg

"Ce manuel est une authentique analyse géopolitique du redressement politique et économique de la Russie pourtant héritière de l'Union soviétique, déroulant ses dates clés sur les vingt dernières années. Il entreprend avec originalité de faire comprendre au lecteur comment de superpuissance déclinante elle est devenue un acteur clé du monde multipolaire tel qu'il se dessine aujourd'hui et pour les années à venir. En reprenant à chaque date les mêmes rubriques de la collection « Les dates clés »(intérêt ; contexte ; document ; commentaire), l'auteur garantit au lecteur de ce manuel un outil lui laissant toute liberté dans la façon de l'utiliser pour augmenter ses connaissances et se forger une opinion sur l'épopée la plus dense et la plus surprenante de l'après-guerre froide ainsi qu'un commentaire particulier et original des étapes de la reconstruction de l'État russe."

 

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