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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 07:33

MAX KEISER: LA SOCIETE GENERALE ET LA BNP SONT INSOLVABLES !!!
du 6 au 8 juin 2012 : Max vient d'envoyer aujourd'hui des missiles de destruction massive sur la SG, "la plus mauvaise banque de la planète et la plus mal gérée" (3'40"), pareil pour la BNP, insolvable, et JP Morgan qui, "après avoir annoncé une perte de 2, puis 3 milliards, maintenant on pense que c'est 6 et j'ai entendu parler de 30 milliards...." Je vous résume sa phrase clé: "la JP Morgan va se transfomer en Enron"... Max Keiser en pleine forme !!! A ECOUTER ABSOLUMENT... Il dit que tout va se finir "dans une guerre entre devises qui vont se crasher sur l'or et l'argent dont les cours vont exploser". Clients de la SG, soyez très très prudents...

 

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2012  

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 15:56

Peut-on parler de « cécité absolue » de François Hollande et de ses proches, dont le ministre de l’Économie, des Finances et du Commerce extérieur, Pierre Moscovici ?

C’est la question que pose mardi Nicolas Doze sur BFM  TV, car « depuis deux semaines, nous avons très clairement un gouvernement qui dit absolument le contraire de l’ensemble des rapports qui ont été réalisés sur l’état de la France aujourd’hui » comme celui, tombé lundi, de l’Inspection générale des Finances « qui nous dit qu’il faut économiser cinq milliards d’euros sur les dépenses tous les ans » avec « des recommandations qui sont relativement sévères » : « geler les salaires, les retraites, les évolutions individuelles des fonctionnaires », « baisser les primes des agents de catégorie A et de catégorie B », « le nom remplacement de deux retraites sur trois par un sur deux », « voire même commencer à baisser les dépenses d’intervention » comme « l’allocation adulte handicapé », « l’aide au logement » ou « les contrats aidés », « rien que ça » !

La gauche nous refait le coup (le coût ?) de la cagnotte fiscale

« Mercredi dernier, c’était le rapport de la Cour des comptes. ‘Il faut réduire les dépenses publiques’, dit-il. ‘Il faut cesser d’augmenter les impôts, il faut réduire la masse salariale de la fonction publique, il faut réduire les dépenses d’intervention, encore une fois’ ». « Et enfin, le même jour, mercredi dernier, mise en garde de Bruxelles : ‘il ne faut pas augmenter le SMIC, il ne faut pas avancer l’âge de la retraite, il ne faut pas supprimer la TVA sociale’… Voilà ce que disent l’ensemble des rapports publiés en moins d’une semaine, sur l’état de notre pays et ce qu’il faudrait y faire ».

Incroyable mais vrai : « Depuis qu’il s’est rendu compte par exemple que la retraite à 60 ans allait coûter moins que prévu, le Gouvernement se demande comment il va dépenser l’ensemble de la recette qui a été prévue alors que c’est de l’argent qui sera taxé sur le travail mais qui n’a pas encore été prélevé ». Rendez-vous dans quelques semaines pour savoir « si la France de François Hollande pourra avoir raison longtemps toute seule » :

 

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 15:09

Gold et la réforme monétaire, http://liesidotorg.wordpress.com/

07 juin

Par Menthalo – C’est dommage que ce blog ne soit pas lu par certains financiers, qui se révèlent incapables de comprendre les nouveaux paradigmes et qui ne peuvent que planter leurs clients. Je reprends quelques points, juste pour eux et leurs clients.

Les Majors leasent de l’or aux ETF, aux Bullion Banks, à la Bank of England et autres BC, pour jouer la baisse en travaillant de concert : A vendant à B, qui vend à C, qui revend à A… pour faire baisser l’or vis-à-vis des monnaies fiduciaires.

Mais depuis quelques mois, ces Majors ont trouvé plus fort qu’eux. Un joueur, doté de moyens illimités, qui trade sur les marchés en nanotrading avec un logiciel plus performant que celui des Majors. Ce joueur réussit à attraper l’Or vendu par A, puis celui vendu par B et celui vendu par C, s’interposant systématiquement entre l’acheteur et le vendeur pour rafler la mise. A, B et C ont de ce fait perdu, en moins de 3 mois, vingt mille tonnes d’or.  Or… que ces Majors ne vont pas pouvoir rendre aux ETF, aux Bullion Banks, à la Banque d’Angleterre et aux autres BC.

Si on faisait confiance aux chiffres officiels, on verrait que les réserves d’or des Etats-Unis (8135t), de l’Allemagne (3401t), de l’Italie (2451t), de la France (2435t), de la Suisse (1040t), du Japon (765t), des Pays-Bas (612t), de la Grande Bretagne (310t), de l’Espagne (281t), de l’Autriche (280t), de la Belgique (227t)  ne suffiraient pas à combler ce trou de 20.000 tonnes d’or puisque le total de leurs réserve est de 19.430 tonnes.

Nous avons donc un acteur, qui en un trimestre aurait raflé les 2/3 des réserves officielles mondiales qui d’après wikipedia se montent à 30.623 tonnes d’Or. Il est probable que cet acteur a continué son ratissage systématique depuis que l’information ci-dessus a transpiré et que nous allons bientôt apprendre, qu’il détient l’essentiel des réserves.

Le marché de Londres et le CME continuent comme si de rien n’était à échanger CENT onces quand il n’y en a qu’UNE réellement présente dans le coffre-fort. Il y a donc 99% de couillons qui vont se faire voler comme dans un bois, quand la musique va s’arrêter.

Les investisseurs qui ont cru placer leur trésorerie en or en achetant des parts de Bullion Banks ou d’ETF atteignent le score de 100%.

Mais tant pis pour eux.

Les Majors ne pouvant rendre l’or emprunté vont faire faillite et ces banques sont systémiques. Les Bullion Banks et les ETF vont faire faillite, les investisseurs n’auront que leurs yeux pour pleurer. Le LME et le CME  idem. Quelle surprise !

Le fait qu’un acteur ait raflé les 2/3 des réserves d’or ne vous met pas la puce à l’oreille ? Pour ceux qui ont lu mon livre, in extenso, cela devrait rappeler Franklin Delano Roosevelt œuvrant (sous l'influence de sa femme,notamment.Vous savez l'égérie de la compagne de notre président)pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial et son unité monétaire unique. Autrement dit, nous sommes en train d’accélérer, que dis-je, de mettre un turbo alimenté à la nitroglycérine, vers un changement monétaire global. La main passe.

A malin, malin et demi

Je ne m’adresse plus à ceux investis dans les ETF et autres couillonnades, mais à ceux qui attendent une violente déflation, qui entrainerait l’or dans les bas-fonds, où il n’y aura qu’à se baisser pour le ramasser à bon compte, comme les coquillages durant les grandes marées de solstice. Il suffirait donc de placer ses euros en dollars, et d’attendre la lame de fonds déflationniste, pour acheter “mieux”. Cet avis n’engage que moi, évidemment. Si lame de fonds il y a et que l’acteur principal, cité ci-dessus, est justement parti à la plage durant ce tsunami, l’or irait à 1250$ flattant l’égo des zinvestisseurs zavisés, qui auraient joué ce scénario.

Expliquez-moi, maintenant, pourquoi cet acteur heureux, qui vient de rafler pour 1 Trillion de Dollar d’or aux Majors, ETF, BB et Banques Centrales, s’arrêterait soudain de jouer alors qu’il a la main heureuse,  la technologie et qu’il dispose d’un énorme paquet de Trillions dans ses poches pour continuer ses bancos gagnants ? Pourquoi ce joueur quitterait la partie alors que ses adversaires autour de la table sont littéralement K.O. debout ? Pour moi, il va continuer à appuyer sur le bouton “Buy” et ses adversaires vont être obligés à un moment donné, d’essayer de racheter leurs positions “short” durant la phase de hausse.

Cette partie est systémique et va faire sauter la Banque. Ce qui se passe en Grèce, en Espagne ou à Bruxelles n’est que roupie de sansonnet à côté de ça. Croyez-vous vraiment qu’il est l’heure de chipoter en espérant gagner 15% sur le prix d’achat d’un napoléon ? Si vous en êtes convaincu, suivez votre intuition. Allez-y !

Pour moi, l’heure n’est plus à spéculer mais à boucler sa ceinture de sauvetage.

Nous sommes toujours sur la résistance à batailler. Pause dans la hausse pour reprendre son souffle, avant d’attaquer plus haut, amha. Mais, à vrai dire, ces mouvements n’ont pas la moindre importance, j’attends la fin de l’année avec impatience.

CAC

Le CAC a cassé par le haut les obliques baissières de son canal. Ne réussissant pas à passer les résistances en journée, du fait de la méfiance des investisseurs, les maîtres du jeu passent en force en sautant les résistances à l’ouverture le lendemain. Cela fait 3 gaps de suite et 3 fois que les manipulateurs font avancer le CAC à marches (d’escalier) forcées. Évidemment, ce n’est pas sain puisque ces trous béants (en anglais Gap veut dire fossé) ne sont pas comblés en journée. Leur objectif est de faire entrer les investisseurs pour jouer cette hausse, pour se décharger au moment qu’ils auront choisi de leurs mistigris. C’est évidemment un piège.

Jusqu’où pourrait aller cette hausse ?

Vous noterez que la question et les hypothèses ci-dessous sont au conditionnel.

Si on prend du recul en regardant le graphe en hebdomadaire, on peut imaginer que l’on pourrait faire une Epaule-Tête-Epaule

A minima, nous ferions un retracement de Fibonacci de la baisse. Les 23,6% ont été atteint ce matin et les investisseurs hésitent sur le sens du marché. Comme les Elliottistes disaient qu’il manquait une forte vague de hausse avant l’effondrement final attendu et qu’au point de vue timing, il nous reste 5 à 6 jours avant le résultat des élections grecques et françaises, j’attends un retracement de 38,2% qui emmènerait le CAC à 3180. L’oblique baissière, qui passe par le sommet de l’Epaule Gauche, en rouge, passe précisément à 3184.

Objectivement, si ces messieurs essayaient d’aller plus haut, ils pourraient encore monter à 3400, mais ils iront probablement tout seul.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 14:57

lu sur agoravox.

                                                               

Vous vous étonnez, du moins quelques-uns d'entre vous, de constater que nul média officiel n'a daigné parler de la réunion du Bilderberg réunissant quelques sommités de ce monde à Chantilly, Virginie, USA. Pourtant l'on sait que cette réunion n'est pas anodine, qu'elle a construit l'agenda diplomatique pour mettre en place l'euro, qu'elle est à l'origine de la taxe carbone ou bien dernièrement de la privatisation de l'éducation ce qui explique les révoltes étudiantes en Angleterre ou au Québec aujourd'hui. Bilderberg travaille pour des intérêts privés mais regroupe pourtant des décideurs et des gouvernants publics n'y-at-il pas un vice de forme démocratique ?

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Henri de Castries, l’homme au sang bleu, nouveau patron du Bilderberg group

La réunion de Bilderberg 2012 qui s’ouvre à la fin du mois verra entre autre le passage de témoin entre Etienne Davignon et Henri de Castries à la tête du Bilderberg group. Sa particularité ? Comme toute personnalité mondialiste qui se respecte il est ami avec Sarkozy, Bayrou et Hollande ! L’élite ne connaît pas division elle. Il est de la même promotion Voltaire que Hollande . C’est bien évidemment un génie de la finance, un riche. Vous voyez ce que je veux dire ? N’est-ce pas notre président qui maitrisant à merveille le mensonge disait qu’il n’aimait pas les riches ? Allons bon qui peut le croire ? Des gogos ? Oui…

Donc Henri de Castries sera intronisé à Chantilly, Virginie, nouveau président du Bilderberg group. Autrement dit François Hollande sera aux premières loges pour appliquer les décisions que lui dira de prendre son ami qui a contribué au financement de sa campagne . Car oui voyez-vous dans les hautes sphères cela marche comme cela, ce sont ceux qui sont derrière le rideau qui tirent les ficelles il serait temps de le comprendre.

De quoi vont-ils parler ?

 

Un club d’où les intérêts des peuples sont exclus.

 

De l’euro, du candidat républicain à mettre en face d’Obama, de l’Afghanistan et de l’Iran n’en doutons pas. C’est bien détaillé dans cette vidéo d’Infowars.com :

La priorité contrairement à ce que certains essayent de nous faire croire n’est pas de sauver le dollar contre l’euro, c’est d’imposer une monnaie mondiale. Le Bilderberg group qui est à l’origine de la création de l’euro  n’a aucune envie de voir son bébé se déliter.Une monnaie mondiale basée sur l’or et c’est bien pour cela qu’ils sont en train de racketter les pays du monde pour leur voler leur stock d’or comme garantie au paiement de leur dette.

Par contre il va falloir envisager de définir comment sortir de cette crise et amener cette troisième guerre mondiale entre les sionistes et les islamistes, via l’Iran, à laquelle ils tiennent tant. Il faut convaincre au moins la majorité de l’opinion mondiale que ce sera une guerre juste, humaniste, démocratique faite au nom des droits de l’homme, et de la femme surtout, des gays et lesbiens et si possible des juifs iraniens qui n’ont rien demandé à personne eux.

C’est bien pour cela que les réunions sur le nucléaire iranien se multiplient sans qu’aucune solution ne soit trouvée puisque les revendications occidentales vont totalement à l’encontre de la souveraineté d’un pays et seront donc inacceptables  pour le régime des mollahs iraniens. En quel honneur un pays devrait-il renoncer à sa souveraineté énergétique ?

On nous dit que ce serait dangereux pour le monde  qu’un tel régime ait la bombe atomique ? Mais dans la situation actuelle ne serait-ce pas plutôt un gage de survie pour toute une population d’un pays ? Une population dont on essaye déjà de l’étouffer via un embargo économique, comme à Cuba, en Syrie, en Irak…C’est toujours la même technique : étouffer puis briser l’échine. Pourtant le chef d’état-major de l’armée israélienne, Benny Ganz, ne croit pas que l’Iran cherche à avoir la bombe nucléaire  !

Alors pourquoi toute cette pression militaire sur la région ? Pour quel intérêt si l’Iran, comme la Syrie, ne sont pas des menaces pour la région ? Ces pays projetaient-ils d’envahir Israël ou un autre pays ? Nullement. Ils ne cherchent en fait qu’à se défendre de la déstabilisation politique organisée par l’occident (remember les révolutions arabes via les réseaux sociaux) et à se protéger d’une possible agression militaire dont Israël est le fer de lance.

La crise financière n’ayant pas de fin programmée puisque l’élite mondialiste ne changera pas de méthodes de domination de l’économie mondiale via la dette, puisqu’elle appliquera jusqu’au bout l’austérité, puisqu’elle ne renoncera nullement à ses bénéfices et à son pouvoir, il va donc falloir mettre en scène la World War 3 pour détourner l’attention des gens de la crise économique, pour faire encore plus de bénéfices et, surtout, pour instaurer au sortir de cette guerre un gouvernement mondial avec en grosses lettres rouges sang : PLUS JAMAIS CA ! La dictature par le mensonge.

A lire donc (pour montrer que je ne dis pas que des conneries) : Bilderberg a déjà choisi Hollande pour la France. 

Retrouvez toutes les infos engagées dans un flux actualisé : Le portail de l'éveil citoyen contre le nouvel ordre mondial. 

La liste des participants au Bilderberg 2012 : ICI 

 
Qu’est ce que Bilderberg?
bilderberg Nouvel Ordre Mondial

Le groupe Bilderberg tient son nom de l’hôtel Hollandais où le groupe se rencontra pour la première fois en 1954, pendant la jeune période de son origine. L’élite se rencontre régulièrement, vraisemblablement 1 fois par an, à différents endroits du monde, toujours dans le secret absolu (les membres vous diront que ce n’est pas secret mais privé, encore un ramassis de mensonge de leur part…), toujours dans un hôtel contrôlé par les Rockefeller et les Rothschild, et à une période ils ne se rencontraient seulement que dans des hôtels 5 étoiles. La famille Rothschild est la famille leader des forces Européennes au sein du Bilderberg Group, partageant son pouvoir avec la famille Rockefeller basée aux USA.

Le groupe Bilderberg compte environ 120 membres provenant de l’élite des Etats-Unis, de l’Europe de L’Ouest et des pays de l’OTAN.

Les représentants de l’Union Soviétique et du bloc de l’Est font partis des récents meetings. Cependant, Le groupe mondialiste maintient une extrême discrétion et ne publie jamais de rapports ou d’études pour le grand public, du moins sous son égide officiel.

Les participants de Bilderberg et plusieurs journaux ont refusé d’admettre l’existence du groupe pendant des années jusqu’au jour où ils ont été forcés de faire jaillir une étincelle dans les médias publiques.

Les Secrets de Bilderberg

Un monde Altruiste ou la cabale la plus pernicieuse du 21ème siècles

Bilderberg Group, son nom en anglais, appelé ainsi à cause de leur premier rendez-vous en Mai 1954 dans l’hôtel Bilderberg, pas loin de Arnhem en Hollande, et, selon le « Christian Jeremiah Project » basé aux USA:

« Astucieux et calculateurs, leurs cœurs sont remplis de convoitise de pouvoir, et sont consumés par le désir de l’argent. Riches et aristocratiques, ils méprisent les chrétiens et ils exècrent la classe de travail la plus humble. Ils contrôlent la presse du monde et virtuellement toutes les banques et les institutions financières. Ils protègent et choisissent qui seront les leaders Américains et même ceux qui vont diriger le parti Démocratique et Républicain »

« Orgueilleusement, ils complotent la corruption afin de s’emparer des constitutions des gouvernements partout dans le monde. Leur but est d’avoir un gouvernement mondial, exclusivement dirigé par les marionnettes qu’ils auront choisis »

D’un autre côté pour certains, un gouvernement mondial pourrait être une meilleure alternative aux désaccords des nationalistes et du fondamentalisme religieux, qui a été difficile pour la planète durant le dernier millénaire. Une chose est sur; Les Bilderbergers représentent la fondation la plus puissante et la plus richissime de toutes les nations de l’Ouest. Cela inclus la royauté, des exécutifs de corporations multinationales, des chefs d’états, des ex-militaires top niveau et autres élites. Leur rendez-vous, qui a lieu à différents endroits chaque année, n’est pas annoncé, leurs paroles ne sont pas rapportées et leurs décisions ne sont pas enregistrées. Cela ressemble à la mère de toutes les conspirations et cela a été comme cela pendant une longue période.

La grande conspiration nous vient tout droit du 18ème siècles, quand Adam Weishaupt, qui admira beaucoup les études de Platon, forma une société secrète appelée les Illuminatis de Bavière généralement basée sur les principes de la franc-maçonnerie. Ils se disent détenteurs d’un savoir supérieur et d’avoir un accès aux vérités du monde. Cela a été utilisé pour élever la race humaine dans une fraternité, au-delà des conflits fratricides.

John Ruskin, anglais et connu en tant que critique social et philosophe, a fait revivre ces idéaux dans les années 1870 à  travers ses études et écritures à Oxford. Il voulait motiver la classe supérieure d’utiliser son éducation, reproduction et argent pour civiliser le monde.

Cecil Rhodes et le groupe Bilderberg

Cecil Rhodes a fondé la Rhodésie (Rhodesia) qui est aujourd’hui le Zimbabwe (1980) et qui fut un millionnaire en Afrique du Sud dans le commerce de diamants, et qui fut un disciple dévoué de Ruskin, a utilisé sa fortune pour faire la promotion de ce grand plan de fédérations où les habitants parleront internationalement l’anglais et le tout sous un contrôle impérial bénin.

embleme de rhodesia

A cette fin, Rhodes et d’autres acolytes de Ruskin, formèrent une société secrète connu en tant que The Round Table Group (Le Groupe de la Table Ronde) en 1881. Ce groupe d’académiciens, de rêveurs et d’aristocrates fut capable d’avoir accès à la fortune de Rhodes après sa mort en 1902. Sous la tutelle de Lord Milner, un autre impérialiste numéro 1, ils cherchèrent à répandre et à réaliser les ambitions que Rhodes qui viennent de Ruskin.

Ruskin
John Ruskin, avec Cecil Rhodes, formèrent une société secrète en 1881 connue en tant que le Groupe de la Table Ronde

Milner était gouverneur général d’Afrique du Sud entre 1897 et 1905 et utilisa ces contacts pour recruter un groupe de jeunes hommes, provenant principalement de l’élite intellectuelle d’Oxford et de Cambridge pour l’assister dans la réalisation de ses rêves. Ces hommes furent capables de gagner des postes importants dans le gouvernement et la finance internationale et devinrent l’influence dominante de la Grande-Bretagne impériale et des affaires étrangères jusqu’à  la seconde guerre mondiale. Ils furent connus en tant que « Milner’s Kindergarten », et organisèrent en 1910 un rassemblement confidentiel exclusivement connu en tant que The Round Table Groups, uniquement dans la langue de Shakespeare entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis.

Après la tourmente de la première guerre mondiale et le triomphe de l’ouest anglo-saxon, ce fut au Majestic Hotel à Paris durant la conférence pour la paix, que le Round Table Groups enleva son masque de secret et fut officiellement connu en tant que le US Council on Foreign Relations et le UK Royal Institute for International Affairs.

Cette évolution, dans l’opinion du Liberty Lobby, un autre groupe chrétien ultra conservateur, basé à Washington DC, est le début de ce qu’ils appellent une conspiration juive-communiste pour contrôler le monde par la voie d’un « Nouvel Ordre Mondial » dont le but éventuel est un gouvernement mondial – une sorte de mariage apocalyptique entre le Manifeste du Parti communiste (Communist Manifesto, en anglais) et le faux Protocole des Sages de Sion, (un plan judaïque prévoyant de dominer la race humaine). Les membres du groupe Bilderberg, d’après le Liberty Lobby, seraient les descendants de « Marxistes Sataniques » Illuminatis, le groupe de la Table Ronde et une des deux subséquentes organisations des affaires étrangères.

La ‘Bible’ des théoriciens de conspirations est un livre écrit en 1966 appelé « Espoir et Tragédie », écrit par Dr. Carrol Quigley, un professeur distingué de l’université de par ses services à l’étranger, à Georgetown. A l’intérieur, il détailla comment avant 1914, l’économie et la bourse d’aujourd’hui ont été influencé, par le complexe financier et celui des relations commerciales, principalement entre les britanniques et les américains. Quigley utilisa son livre comme le texte de ses cours sur la civilisation de l’ouest à l’université.

Le livre est devenu très difficile à localiser. Quigley eut quelques problèmes à le publier; les plaques originales disparurent et les autorités bancaires et plus hautes dans la pyramide nous ont fait part de leurs mécontentements sur ce que son contenu révèle. C’est les raisons pour lesquelles que « Tragedy and Hope » devint le saint graal des théoriciens de conspirations. Pourtant cela irrita Quigley, criant ces révélations dénonçant que c’est le genre de livre que n’importe quel chercheur assidu pourrait produire.

Le meeting Bilderberg est l’idée originale du remarquable Polonais Dr. Joseph Retinger. D’après le Prince Bernhard d’Hollande, il était un homme avec un caractère extraordinaire qui se déroba à travers 50 ans d’histoire européenne ayant des relations proches avec des premiers ministres, des syndicats de salariés, des magnats de l’industrie, artistes, intellectuels et des révolutionnaires. Son carnet d’adresse fut rempli de personnes intimes et de confidents, qui se lit comme un « Qui est Qui » des gens internationaux qui remuent et font bouger le monde. Il est né en 1888, d’une famille de parents bourgeois à Cracovie avant la première guerre mondiale. Il est allé à La Sorbonne à Paris pour compléter son éducation et fit rapidement parti des cercles critiques littéraires et artistiques. Il était un Polonais féroce et patriote, et cela l’a rendu très impopulaire auprès des Allemands et des Autrichiens, qui durant la première guerre mondiale ont mi sa tête à prix.

Ses machinations au nom du peuple Polonais ont fait qu’il a été banni de Londres et été envoyé en prison aux USA (il transportait un passeport ennemi). Ses expériences ont affutées ses qualités de l’intrigue et de la diplomatie. Il retourna en Angleterre après la guerre et trouva une entrée dans les cercles politiques qui comptaient Herbert Asquith et Lord Balfour en tant que membres.

lord balfour

Il travailla à Londres en tant que secrétaire pour le célèbre romancier et nationaliste Polonais, Joseph Conrad. Bien que Retinger fut atteint de la polio, il ne laissa jamais sa maladie interférer avec sa vie incroyablement active.

Au début de la Seconde Guerre Mondiale, il devint une aide pour la Pologne « libre », le général Sikorski, et malgré son handicap douloureux il se parachuta en Pologne pour prendre contact avec l’armée du pays pour arranger le transfert de plusieurs millions de dollars. Quand l’armée rouge se positionna dans le Centre et l’Est de la Pologne, elle devint alors un bastion du Stalinisme, Retinger dévoua le reste de sa vie dans l’unification de l’Ouest contre l’hégémonie Marxiste. Il agissait comme un sorte d’Éminence grise, un Talleyrand sans portfolio (collections de travaux dans le but de les présenter à des futurs clients, c’est un mot beaucoup utilisé dans la langue anglaise). Le Cardinal Richelieu aurait été impressionné.

Étant un réaliste, il savait que l’Europe de L’Ouest, dévastée par la guerre ne pouvait pas se retrouver seule face à la montée du communisme et aussi à la montée de l’anti-américanisme, dans toutes les classes sociales. Cette peur, d’origine illogique, d’Oncle Sam, menaça les défenses de l’Ouest contre le pouvoir d’invasion de l’Est. Retinger arrangea un plan pour la présente situation, mais il avait besoin d’alliés puissants pour le mettre en œuvre. Convaincu du besoin de renforcer les liens entre les USA et l’Europe de l’ouest, il approcha un grand nombre de contacts, politiciens, hommes d’affaires, ex-militaires qui étaient intéressés de cimenter la coopération de l’Atlantique.

Ils demandèrent Bernhard zur Lippe Biesterfeld, Prince d’Hollande, d’agir en tant que directeur désigné, car ils ont bien pensé que ce serait difficile de trouver une politicien non sali dans un partenariat et qui pourrait recevoir l’aide de politiciens peu importe de quel parti ils sont, sans peur ou faveur (Il fut silencieusement oublié que l’aristocrate né-Allemand, Bernhard fut un membre honorifique des SS durant les années 30).

Ainsi la couche de ciment du mouvement Atlantique fut améliorée, déjà fondée par le plan Marshall, l’OTAN et le mouvement Européen qui est aujourd’hui l’Union Européenne. Les deux sont les « enfants » de Joseph Retinger. Il a été nommé un ‘vrai homme de renaissance‘, ‘un jésuite machiavélique‘ et avoir une ‘Brillance pour l’intrigue‘. Malgré que son nom soit virtuellement inconnu dans le monde d’aujourd’hui, son influence a été immense – que ce soit bien ou mal, cela dépend de vôtre point de vue. Jusqu’à sa mort en 1960, Retinger a dévoué sa vie à consolider l’Ouest contre « la menace de l’Est ». Il aurait été ravi de l’effondrement du communisme, l’entrée de la Pologne dans l’OTAN et dans l’Union Européenne.

Vers la fin de Mai 1954 à un petit hôtel d’Oosterbeek dans la région de la forêt très boisée d’Arnhem, les plus puissants hommes principalement de la région Ouest de l’Europe se sont rassemblés. Il n’y eu absolument aucune publicité. Le personnel de sécurité entourait l’hôtel et les journalistes. Les participants ont juré de ne rien révéler et ont eu leur statut officiel retiré temporairement, pendant les 3 jours de discussion ils ne sont que de simples citoyens respectifs à leurs pays d’origine. Tous les participants pouvaient dire ce qu’ils aimaient sans peur ni répercussion. Ce rendez-vous et tous les autres ont eu des effets énormes dans l’histoire de l’après guerre.

Prince Bernhard fut directeur pendant 22 ans du rendez-vous Bilderberg, jusqu’à ce qu’il eut été obligé de démissionner à cause du scandale de corruption impliquant Lockheed. Puis ensuite le Premier Ministre Britannique Lord Home prit le contrôle, et ensuite c’est au tour de son allié politique Lord Carrington. Tous les ans, le directeur de consultation compile une liste d’invitations. Les individus sont choisis en fonction de leur savoir et de leur importance sur la scène internationale. Pour assurer une discussion compréhensive complète, la liste inclue des invités dans toutes les gammes de points de vue politiques et économiques.

Parmi les 100 participants, ou plus, un tiers proviennent approximativement des gouvernements et de la politique et le reste provient d’une grande variété de domaines tels que la finance, le journalisme, les académies et la labeur. Ils assistent en tant que civils et non en ayant leurs capacités officielles. Depuis le début, les participants des conférences proviennent incroyablement de l’Amérique et de l’Europe et les deux langues pour débattre sont le Français et l’Anglais. La signification de ce rassemblement ne peut pas être sous-estimée. Les participants auraient été étiquetés en tant que membres « Dirigeants de la classe » en Europe ou aux USA – Les hommes les plus puissants, dans les corridors du pouvoir des démocraties de l’Ouest.

Le rendez-vous a lieu à un endroit différent chaque année, en alternant l’Amérique du Nord et l’Europe de l’Ouest. Officiellement, la discussion de chaque meeting est centrée sur des « sujets concernant les relations avec les peuples étrangers, l’économie mondiales et autres problèmes contemporains ». Afin d’assurer une liberté de parler et une franchise d’expression, les rassemblements sont confidentiels. Aucunes décisions ne sont proposées, aucun vote n’est fait, et aucune déclaration politiques n’est délivrée après le rendez-vous.

C’est la coutume de Bilderberg de réserver un hôtel pendant un weekend ou plus, avec la totalité du bâtiment dépeuplé de tous ses autres invités, peu importe ce qu’ils pensent et leurs statuts. Deux jours avant le rendez-vous, le personnel bouge à  travers le lieu de rendez-vous avec un peigne fin pour être sur qu’il y aura confidentialité et sécurité pour les congressistes. Tout le personnel et les domestiques sont absolument examinés et ceux qui sont suspectés sont mis de côté durant tout le long du séjour. Pour les personnes provenant de l’extérieur, cela peut ressembler à une opération cape et d’épée.

Les meetings ne sont jamais sourds et pas tout le temps avec un consensus. Les étincelles fusent régulièrement. A St. Simons en 1957 les français, britanniques et américains explosèrent sur le sujet de Suez. A un autre ce furent les chinois avec les iles Quemoy et Matsu (article sur First Taiwan Strait Crisis, en anglais). Les Européens pouvaient comprendre l’attitude des Américains sur la défense de Taïwan. D’autres problèmes de controverses ont été les attitudes britanniques et américaines envers l’unification de l’Europe, et la politique envers Cuba.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 14:52

Boaz Weinstein. Ce nom circule énormément dans le monde de la finance depuis quelques mois. Et c’est normal pusqu’il s’agit du trader qui a planté la JP Morgan de Jamie Dimon. En partie par sa roublardise, la banque accuse une perte potentielle de 2 à 5 milliards de dollars. Depuis ce fait d’armes, Boaz est la petite starlette de Wall Street. Mais qui est-il et comment a-t-il plombé la JP Morgan ?

D’après un article intitulé “Traders et maîtres de l’échiquier” rédigé par  Louise Couvelaire et paru dans le journal “Le Monde” du 17 décembre 2011, Boaz Weinstein doit sa carrière aux échecs. Comme bon nombre de trader star c’est chez Goldman Sachs, à New York, que Boaz a commencé sa vie de parieur professionnelle. Pratiquant les échecs de façons assidue depuis l’âge de 5 ans, il devient maître à l’âge de 16 ans. C’est en postulant à un stage d’été cgez Goldman Sachs sans véritables connaissance financière que son parcours de trade va démarrer. Il ne pensait pas êtré recruté car trop jeune et sans expérience . Alors que sa candidature n’est pas retenue à la suite d’un entretien, il fait une halte aux toilettes avant de quitter les locaux de Goldman Sachs et croise un homme, un associé haut placé, qu’il avait déjà rencontré et affronté aux échecs dans un club de Manhattan. Coup de chance, c’est un admirateur. Ni une ni deux, il organise un autre rendez-vous dans le département qu’il dirige. Boaz est engagé.

Dès lors, il se pique de finance. A peine ses études terminées, il se lance chez Merrill Lynch. Et à tout juste 27 ans, alors qu’il est trader à la Deutsche Bank, il est propulsé directeur général. Du jamais-vu. Il entre dans la légende de Wall Street. Certains parlent de lui comme d’un génie, d’autres comme d’un prodige. Ses bonus atteignent les 40 millions de dollars par an. Et à son tour, il recrute des joueurs. ” Aux échecs comme sur les marchés, ni la chance ni le bluff n’existent, insiste-t-il. Vous devez être constamment hyperrationnel dans la façon dont vous évaluez votre position : il faut avoir une vision claire de l’ensemble et composer avec les paramètres inconnus. “ Le jeu peut coûter cher. En 2008, Boaz a manifestement mal évalué sa position : lui et son équipe ont perdu 1,8 milliard de dollars. ” Perdre est une expérience importante pour un trader,commente-t-il. Si vous ne jouez que lorsque vous êtes sûr de gagner à 100 %, alors vous n’avancez jamais votre pion. Il n’y a pas de coup parfait. Il faut savoir être pragmatique et prendre des décisions. Avoir raison six fois sur dix, c’est déjà excellent. “ L’année suivante, après avoir quitté la Deutsche Bank, il a monté son propre fonds spéculatif, Saba Capital. Un succès : en août 2009, il démarrait avec 150 millions de dollars, il en gère aujourd’hui près de 5 milliards et offre un retour sur investissement de plus de 9 %, bien au-delà de la moyenne générale.

Le 2 février 2012 lors d’un discours donné par ironie dans les locaux de la JP Morgan à New York, il va recommander l’achat d’un indice CDS dénommé IG9 Index. En tant que spécialiste reconnu de l’arbitrage de ce type de produits, la salle écoute. “Cet indice est trés bon marché et trés attractif” déclara-t-il à son audience. En réalité si cet indice était si peu cher par rapport à sa qualité, c’est parce que Bruno Iksil un trader de la JP Morgan réalisait depuis un bon moment une vente à découvert massive afin de parier sur une diminution du risque de crédit et donc à une détente de la crise que nous vivons. Avec son fonds d’investissement Saba qui gère 5,5 milliards d’actifs, Boaz prit une position inverse et se porta acheteur de cet IG9 Index à un prix proche de 120 points de base. La stratégie de Boaz avant de se dégrader se mis à devenir gagnante, le marché s’améliora et le prix de l’indice continua de plonger Bruno Iksil surnommé la baleine de Londres voyait sa stratégie se retourner et ses positions massives rendait un débouclage tendu.

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Boaz Weinstein trinque à la santé de Jamie Dimon. La morale de Wall Street

Le 3 avril les positions d’Iksil furent amplifiées dans la presse et connues de tous. Résultat chaque trader de dérivés de crédits chercha à tirer profit de cette position short en rachetant ces CDS à prix cassés et espérer corner la JP Morgan afin de revendre à Iksil des titres à un prix élévé. Rapidement l’IG9 Index remonta à 130 point de bases transformant la position d’Iksil en paris perdant. Ce que Jamies Dimon déclara alors être une tempête dans un vers d’eau se traduisit par une perte de 2 milliards qui selon Morgan Stanley pourrait s’étendre à 5 milliards. Aujourd’hui l’indice IGP à atteint les 149 points de base et de nombreux hedge fund composés d’anciens trader de la JP Morgan notamment, en profitent. C’est ça le monde de la finance, un casino géant sans morale. cette situation me fait penser aux tentative de corner de matières premières notamment l’argent qu’on observait dans les années 70. En somme rien n’a changé en 40 ans de finance…

Cette stratégie de corner le marché de l’indice IG9 est désormais suspecte. Un article de Bloomberg sorti des archives informait que Saba Capital Management LP avait débauché Toby Maitland Hudson alors employé par la JPMorgan Chase  en septembre 2011. Toby Maitland Hudson, dirigeait le desk de trading de dérivés de crédits pour le compte propre de la JP Morgan. Plus particulièrement il était spécialiste du trading de CMBS d’après sa fiche Linkedin. 

La question est donc de savoir quel était lobjectif de ce recrutement ? S’agissait-il d’aller à la pêche et de procéder à une pratique connue des hedge funds : job contre information ? pétrole contre dollars ? Le fait que Hudson tradait des CMBS et avait donc de grandes chances de travailler à coté de Bruno Iksil est trés trouble. C’est ce que soulève le blog Zerohedge. Et ils ont raison. Que savait Hudson des positions d’Iksil. En tant que membre du département dérivé de crédit ils devait avoir de bonnes connaissances des stratégies de la JP Morgan. Il a ainsi de bonnes chances d’être au courant de beaucoup de choses sur les positions de la JP Morgan qui se verrait alors attaquée par une ruse digne de Gordon Gekko.

Voilà ce monde de requins pourris dans lequel nous vivons. Pendant combien de temps encore ?

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 14:27

Émission diffusée sur Radio Ici et Maintenant le 06 juin 2012

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 14:24

SOURCE: LE SITE FORTUNE.

Les banques françaises sont, après les banques allemandes, les plus engagées en Espagne. Les risques sont sans commune mesure avec leur exposition sur la Grèce.

Pour l’heure, les banques françaises figurent parmi les établissements les plus engagés, juste derrière les banques allemandes, avec 132 milliards d’euros

Selon les dernières estimations établies à partir de chiffres communiqués par la BRI (Banque des règlements internationaux) à fin septembre 2011. Ce montant est en fort repli par rapport aux 183 milliards d’engagements à fin 2010, mais il reste très important. Il recouvre l’ensemble de l’exposition de nos banques que ce soit envers les ménages, les banques ou les entreprises espagnols.

Les sommes en jeu sont autrement plus importantes que les quelques 45 milliards d’euros d’engagements sur la Grèce (déjà provisionnés à hauteur de 75 % dans le bilan des banques françaises).

Lire la suite de l’article.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 07:52

article à lire sur le dernier livre de Thilo Sarrazin. 

tribune libre de Philippe Simonnot*, pour Nouvelles de France

La majesté et l’honneur de l’Allemagne
Ne reposent  pas sur la tête de ses princes.
L’Empire allemand
S’écroulerait dans les flammes de la guerre
Que la grandeur allemande subsisterait quand même.

Schiller, 1797, « La grandeur allemande ». Poème

« La paix de l’Europe ne doit pas être internationale mais supra-nationale, non pas une paix démocratique, mais une paix allemande. La paix de l’Europe ne peut  reposer que sur la victoire et la puissance du peuple supra-national, du peuple qui revendique pour lui les plus hautes traditions universalistes, la vocation cosmopolite la plus riche, le plus profond sentiment de responsabilité européenne. Que le peuple le plus cultivé, le plus équitable et le plus sincèrement épris de paix doive être aussi le plus puissant, le chef, c’est sur ce postulat, sur la puissance de l’Empire allemand, désormais à l’abri de toute menace sournoise, que devra reposer la paix de l’Europe. »

Thomas MannConsidérations d’un apolitique, Grasset, p. 180.

 N.B. : Thomas Mann a écrit ce texte en 1914-1915…

Thilo Sarrazin a encore frappé avec son gros marteau. Cette fois ce n’est plus l’islamisme qu’il a mis sur son enclume comme l’année dernière, mais l’euro. Cet ancien dirigeant de la Bundesbank, dont il a dû démissionner en septembre 2010 après avoir été accusé de racisme et d’antisémitisme, a trouvé les chemins fortunés des best-sellers en disant tout haut ce que maints Allemands n’osent même pas penser tout bas. En quelques jours son L’Europe n’a pas besoin de l’euro est en tête des gondoles et des ventes. « Soit Sarrazin parle et écrit par conviction des sottises révoltantes, soit il le fait par calcul méprisable ». Cet anathème a été lancé sur sa tête par Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances, qui n’est pas connu pour faire dans la dentelle.

Que dit donc de tellement sot ou méprisable l’ancien banquier d’obédience socialiste ? Qu’Angela Merkel a tort de dire que « si l’euro échoue,  l’Europe échoue ». Thilo Sarrazin nous donne pourtant un message de raison et d’espoir en ne liant pas le sort du Vieux Monde à une monnaie condamnée.

Quoi encore ? Que les pays qui violent continuellement le pacte de stabilité doivent quitter la zone euro. Logique ! Si l’on ne respecte pas les règles d’un club, ne doit-on pas le quitter ?

Encore ceci : Thilo Sarrazin s’insurge contre les euro-bonds, prônés par la France, mais aussi par  une grande partie de l’opposition allemande de gauche et écologiste. Et il  accuse cette dernière d’être motivée par ce réflexe « très allemand » de penser que « l’on aura définitivement expié l’Holocauste et la Guerre Mondiale quand nous aurons mis toutes nos affaires, et aussi notre argent, entre des mains européennes ». Là, il est allé trop loin pour la bonne pensée des deux côtés du Rhin ou des Alpes. Halte-là !

Déjà, en 1969, Franz Joseph Strauss, leader bavarois en culotte de peau, avait déclaré : « Un peuple qui a engrangé de tels succès économiques a le droit de ne plus rien entendre à propos d’Auschwitz ».

Eh bien ! Il faut regarder les choses en face.

La France est en ce moment bercée par les douceurs du Hollandisme entre deux campagnes électorales, la présidentielle et la législative ; elle vogue dans une sorte d’apesanteur où il n’est plus question que de concertation des partenaires sociaux, de modération des loyers, de coup de pouce au SMIC, d’embauche de nouveaux fonctionnaires, de limitation des inégalités et d’imposition des « mauvais riches ». Cette France autiste est bien représentée par le portrait officiel que l’on vient de dévoiler à nos yeux ébahis. Le Président est à l’ombre des grands arbres du parc élyséen, comme s’il redoutait la lumière trop crue de l’Histoire, les bras ballants alourdis par des mains enflées – une séquelle des bains de foule ? Monsieur Fraise-des-Bois est parti à la cueillette, le Palais est loin derrière, surexposé, comme dans un rêve, au moins pour cinq ans !

Cette France qui se met à l’ombre voit moins que jamais que l’Allemagne est en train de prendre sa revanche. Une revanche séculaire.

La puissance économique de notre voisin n’a jamais été aussi manifeste que depuis que la dernière crise du capitalisme a éclaté, et elle est en train de se muer en puissance politique. On évoque de plus en plus l’avènement d’une Europe du Nord dans laquelle la France jouerait un rôle de second rang si elle n’en est pas exclue et déclassée dans l’Europe du Sud. Le but poursuivi par Bismarck dès 1860 serait enfin atteint – cette fois, sans coup férir, et donc durablement. Comment en est-on arrivé là ?

À force d’être obnubilé par le désastre absolu qu’a été l’Hitlérisme, on a réécrit l’histoire de l’Allemagne comme si  elle devait conduire fatalement au nazisme et aux camps d’extermination et comme si l’Allemagne, à jamais coupable, ne pourrait plus prétendre au rang de grande puissance. Redevenu un géant économique – depuis longtemps déjà et avec quelle rapidité – elle serait toujours un nain politique entravé par les chaînes du remords de crimes imprescriptibles. Même la réunification des deux Allemagnes a  été acceptée bon gré mal gré alors que la division de la nation allemande avait été considérée depuis 1945 comme un gage de paix. On a imaginé harnacher cette nouvelle puissance par l’euro – ce plat de lentilles, qui a finalement permis à l’Allemagne, par une ruse monétaire de l’Histoire, de franchir le dernier échelon de sa marche vers le sommet européen, on le constate aujourd’hui.

« Peut-il y avoir trop de mémoire ? » se demande Charles Maier, historien américain dans son excellent Unmasterable past (1)Faut-il faire écho aux avertissements d’Henri Heine : Les Allemands ruminent des vengeances à travers les siècles ? Ne faudrait-il pas dénazifier l’histoire de l’Allemagne ? C’est à quoi nous invitent aujourd’hui Thilo Sarrazin et ses succès fracassants de librairie. L’Allemagne profonde s’exprime à travers lui.

Les douze années d’Hitler au pouvoir nous empêchent de voir que le génie allemand domine les scènes culturelle, artistique et scientifique mondiales depuis deux cents ans. Ce génie aurait dû autoriser l’Allemagne à diriger le monde au 20e siècle, mais ce destin manifeste a été contrarié par des circonstances qu’il faut expliquer par la volonté farouche de l’Angleterre de conserver ses privilèges impériaux Si l’on reporte un siècle plus tôt, au tout  début de la Première Guerre Mondiale, la supériorité  allemande était évidente aux yeux des intellectuels allemands, y compris sur le plan moral, et devait lui permettre de triompher, en cette épreuve décisive pour le destin du monde,  de soi-disant démocraties qui, pour lui barrer la route, s’étaient alliées avec l’un des régimes les plus réactionnaires de l’époque, la Russie tsariste, ensanglantée de pogroms à répétition et expansionniste. Même les juifs allemands considéraient l’empire de Guillaume II comme un nouvel Israël et se portèrent les premiers au front pour repousser ses ennemis.

Fruit de la Révolution française, l’invention de la « nation » allemande avait érigé en mythe un anti-Vercingétorix en la personne d’Arminius, alias Hermann, vainqueur des armées romaines en l’année 9 de notre ère  à la bataille de Teutberg (2). Corrélation : la langue allemande vierge de toute corruption latine, authentique langue du peuple, est seule capable de reprendre l’héritage grec : Herder, Fichte, Thomas Mann, Heidegger – seule capable d’exprimer l’être. On a même  pu parler d’une tyrannie exercée par la Grèce sur l’Allemagne (3) – ce qui paraît risible aujourd’hui. Les juifs allemands, qui considéraient l’Allemagne comme un « nouvel Israël », n’étaient pas les derniers à opposer la Kultur à la méprisable « civilisation ». Mais cette nation privilégiée, élue (4), sainte, vraie, Urvolk, douée, animée d’un Volksgeist, « protestante » après Luther, est d’abord une nation sans État, et cela à cause de la France qui pourtant lui « sert » le modèle de l’État-nation.

Auparavant, faut-il le rappeler aux bonnes consciences françaises,  l’Allemagne avait été victime de  l’impérialisme français. L’émiettement de l’Allemagne en une multitude d’Etats et de principautés (5), fut consacré par les Traités de Westphalie, qui concluent la guerre de Trente Ans – « paix » qui  n’empêchera pas les armées françaises de ravager le Palatinat par deux fois, en 1674 et en 1689. Pour ne rien dire des ravages des conquêtes napoléoniennes. Versailles, obsession allemande, d’abord comme modèle politique et culturel (le Sans-Souci  de Frédéric II, entre autres), puis comme symbole de l’oppression française, ensuite comme lieu de consécration du 2e Reich en 1871 dans la Galerie des Glaces. Versailles, enfin maudit comme le Traité de 1919 qui porte son nom. Versailles, comme lieu du mensonge qui a consisté à faire de l’Allemagne la seule coupable de la Première Guerre mondiale (article 231 du Traité) et à bâtir sur ce mensonge les fameuses Réparations. Le Boche paiera. Eh bien ! Non. L’Allemagne  ne paiera pas – pas plus aujourd’hui qu’hier. C’est ce que nous dit Thilo Sarrazin.

Au 19e comme au 20e siècle, du IIe au IIIe Reich en passant par la République de Weimar, l’ambition allemande a été  de disputer le sceptre du monde à une Angleterre déjà sur le déclin, une fois l’Allemagne réunifiée et modernisée.

D’où la peur récurrente de la réunification allemande, qu’un François Mitterrand a essayé de retarder (6), en vain, puis d’apprivoiser avec la création de l’euro – en vain aussi, comme nous pouvons le constater aujourd’hui.  Déjà au Congrès de Vienne, en 1815, Talleyrand se demandait : « Qui peut calculer les conséquences si les masses en Allemagne devaient se combiner en un seul tout et devenir agressives ? » Là encore, Thilo Sarrazin doit être écouté.

La supériorité économique allemande qui  obnubile  de nouveau  les Français (7) est en fait une vieille histoire qui remonte au moins au 14e siècle. Elle tient à la structure non centralisée de l’État allemand, quand il existe, et à l’anarchie allemande, quand cet État n’existe pas, par opposition multiséculaire à l’État français tentaculaire et prédateur. Colbert, qui a ruiné la France de son temps, est impensable de l’autre côté du Rhin. La fameuse « discipline » allemande, qui est le secret de sa réussite, est en fait une auto-discipline que s’impose une nation née sans État. Cette supériorité économique a permis à Bismarck d’inventer l’État-Providence qui, transposé sous d’autres cieux, conduit immanquablement à la faillite ou à la guerre. Du Welfare State au Warfare State…

Le  génie allemand,  toujours vivant,  pousse aujourd’hui à l’Allemagne à se revancher, au moins en Europe, et de reprendre sa marche drang nach osten, cette fois jusqu’en Chine, sans que ni la Grande-Bretagne ni les États-Unis ne puissent l’en empêcher comme en 1905-1918 ou 1933-1945.

Trop tard pour le salut du Vieux Monde ? Le monde a changé. Des forces nouvelles gigantesques se sont levées en Asie… La nouvelle Allemagne permettra-t-elle de sauver l’Europe aux anciens parapets ? Là est la question que nous devons nous poser. À condition de relire l’histoire avec d’autres lunettes que celles que nous avons chaussées depuis des dizaines d’années.

« Le monde veut plus d’Allemagne », tel était le titre de l’éditorial qui s’étalait à la « une » du Monde, daté des 5-6 février 2012. Titre que l’on pouvait lire dans l’autre sens : L’Allemagne veut plus de monde ! Et surtout  ne plus payer pour les autres.

Notes :

1. The Unmasterable Past: History, Holocaust, and German National Identity, Harvard University Press, 1988.
2. La célèbre pièce de Kleist, La Bataille d’Herman, Die Heramnnsschlacht, date de 1809.
3. E. M. Butler (1935), The Tyranny of Greece over Germany, en particulier sur Lessing, Goethe, Schiller, Höderlin, K. F. Schinkel, C. G. Langhans, Schliemann, Nietzsche, Stefan George. À l’époque, l’Allemagne apparaissait comme composée d’une multitude d’États comme l’ancienne Grèce, avec une culture supérieure à celle de son éventuel conquérant (Rome). La Porte de Brandebourg (que l’on doit à Langhans), a eu comme modèle les Propylées de l’Acropole athénienne.
4. Terme employé par Jörg Lanz von Liebenfels dans sa Théozoologie (1905).
5. « Je ne peux m’imaginer un peuple qui serait plus divisé que les Allemands », Höderlin, Hyperion.
6. Mais aussi Jacques Delors et Laurent Fabius.
7. L’Allemagne enregistre trois fois plus de brevets que la France – un indice parmi beaucoup d’autres.

*Philippe Simonnot a publié en collaboration avec Charles Le Lien La monnaie, Histoire d’une imposture, chez Perrin.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 09:08

                                            

À mesure que les plans sociaux s’amoncellent (Fralib, Petroplus, ArcelorMittal, Peugeot-Aulnay, …), la tâche d’Arnaud Montebourg, le ministre du Dressement Reproductif, ne s’annonce pas simple. Pourtant, il l’a dit clairement dès son arrivée au gouvernement : « Notre objectif est de défendre notre outil industriel ». Et pour cela, il a déjà une petite idée sur la façon dont il faut procéder : le protectionnisme.

Au passage, on pouffera de l’exemple que le gentil Arnaud aura pris pour illustrer les bienfaits du protectionnisme :

Le secrétaire américain au commerce, John Bryson, m’a expliqué sa méthode pour relocaliser les activités. Il utilise le protectionnisme. Il a imposé une taxe de 32 % sur les panneaux photovoltaïques d’importation chinoise pour protéger les filières américaines. Je vous rappelle qu’elles font faillite en Europe. Vous voyez qu’on peut, comme M. Obama, être un protectionniste de pratique et signer des communiqués au G8.

On pourra rappeler au frétillant ministre un peu déconnecté de l’actualité la vibrante réussite d’Obama dans le domaine des panneaux solaires, incarnée de façon exemplaire par l’entreprise Solyndra dans laquelle le gouvernement américain, sous l’impulsion de son président, aura englouti plus de 500 millions de dollars sous forme de prêts, et qui se sera traduite par … une faillite retentissante.

On pourrait espérer que Montebourg ne souhaite pas la même vigueur de la part de son ministère, mais c’est déjà mal enquillé : on sent l’histrion prêt à pousser encore et encore sur sa fabuleuse idée de protectionnisme (d’ailleurs aussi en vogue au FN et au FdG) – décidément, c’est l’idée à la mode qu’il faut avoir en politique actuellement si l’on est étatiste, qu’on soit de droite ou de gauche.

Manifestement, le gouvernement Ayrault, taraudé par le besoin de montrer qu’il fait quelque chose de vigoureux, viril et volontaire pour sauver l’emploi en France, aura donc bien du mal à nous épargner un bon protectionnisme des familles, avec de jolies taxes à l’import, des incitations étatiques plus ou moins finement ouvragées destinées à encourager tel ou tel secteur commercial…

Seulement voilà : le protectionnisme, ça ne marche pas.La suite....

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/05-06-2012/la-mort-des-baleines-et-le-protectionnisme-de-montebourg?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29

 

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 15:13

Cela commence a sentir le roussi.De grosses multinationales ont si peu confiance dans leurs banques qu'elles envisagent de créer leur banque.

lu sur:

http://www.romandie.com/news/n/_EADS_se_fait_plus_de_souci_pour_les_banques_que_pour_ses_avions23010620121101.asp

 

 


FRANCFORT - Le directeur financier sortant d'EADS, Hans Peter Ring, se fait plus de souci actuellement concernant la solvabilité de certaines banques que pour les avions de son groupe, qui songe en conséquence à se doter d'une licence bancaire, a-t-il déclaré au Financial Times Deutschland paru vendredi.

Mon principal souci ce sont les abaissements de notation de certaines banques, avant les risques liés au développement de l'A350, a confié M. Ring au journal.

Au vu de la situation de marché actuelle l'idée d'une licence bancaire est l'une des options que nous examinons, a-t-il ajouté.

Disposer de sa propre licence bancaire à l'instar de Daimler, Siemens ou Volkswagen, permettrait à EADS, qui est actuellement souvent mieux noté par les agences de notation que ses créanciers, de mieux protéger ses placements en liquidités, actuellement de 11 milliards de dollars actuellement, selon le FTD.

Nous devons faire en sorte d'être certain que notre argent placé soit de nouveau disponible, a expliqué M. Ring.

Une licence bancaire en zone euro permettrait aussi à EADS de se refinancer à bon marché auprès de la Banque centrale européenne (BCE), souligne aussi le journal.

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