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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 14:52

Le journal La Tribune vient de procéder à quelques additions de ce que les différents plans de "sauvetage" (Grèce, Portugal, Irlande, Espagne ...) coûtent ou risquent de coûter à la France : le total avoisinne les 100 milliards d'euros.

Le 11 juin 2012, ce journal a fait paraître un article intitulé :

Grèce, Espagne ... une facture qui tutoie déjà les 100 milliards pour la France.

Les postes de la facture, qui prennent des formes diverses (versements, garanties), se détaillent comme suit :

Prêts bilatéraux à la Grèce (quote part)  : 11, 4 milliards d'euros

Contribution au FESF pour le Portugal et l'Irlande (quote-part)  : 41,9 milliards d'euros

Apport en capital au MES : 16,24 milliards

Espagne : 25 milliards d'euros, et peut-être 6,1 milliards d'euros de plus si ce pays est dispensé de verser une contribution à son propre sauvetage

Recapitalisation éventuelle de la BCE : chiffre inconnu

On se reportera à l'article de La Tribune pour le détail des calculs et pour la ventilation entre prêts, apports en garantie et autres mécanismes.

Au final, ces sauvetages pourraient faire grossir la dette française de 94,54 milliards d'euros, soit 4,73 % du PIB.

Ces sommes nous sont ou nous seront prises en toute illégalité, puisque le peuple français avait voté non au traité constitutionnel européen, et n'a jamais été consulté lors de la mise en place des mécanismes qui l'ont aggravé (création de fonds en tous genre).

En particulier, le mécanisme européen de stabilité (MES) crée un piège diabolique qui, par un jeu de renvoi au pacte budgétaire, privera les Parlements de toute marge de manoeuvre budgétaire, créera de fait une "règle d'or" et interdira quasiment tout déficit à la France, dans le même temps où l'Europe travaille à creuse sa dette. Ce mécanisme est explicité dans cette interessante vidéo :

Le MES et ses fonctionnaires jouiront d'une complète immunité judiciaire et ne subiront aucun contrôle démocratique.

Cette mise en place s'est faite discrètement au cours de ces derniers mois.

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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 14:35
90 millions d’euros sortis des banques françaises

Autre solution d’urgence: le plafonnement des retraits aux distributeurs de billets et des contrôles sur les mouvements de capitaux, «au moins en Grèce». Les retraits massifs se multiplient en Europe, alors que les épargnants s’inquiètent pour leurs économies. D’après les données compilées par Reuters auprès de 120 banques cotées européennes l’an dernier, plus de 120 milliards d’euros ont été sortis de deux banques en Belgique, dont Dexia, en cours de démantèlement. Les banques françaises les plus exposées à la Grèce ont enregistré des retraits de dépôts de 90 millions d’euros, dont 30 millions pour chacune des banques BNP Paribas et Crédit agricole. Trente milliards d’euros ont quitté les coffres des banques italiennes.

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 18:07
independenza webtv s'entretient avec Pierre Jovanovic
Icône d'alerte
 
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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 15:27

 70 réalités que Barack Obama veut cacher

Pourquoi l’économie va-t’elle s’effondrer ? Vous a-t’on déjà posé la question ? Si oui, qu’avez-vous répondu ? Il est parfois difficile d’expliquer des dizaines de concepts économiques et financiers sous une forme que tout à chacun peut entendre.

Cela peut être frustrant de savoir une chose mais de ne pas pouvoir l’expliquer simplement à quelqu’un d’autre. C’est pourquoi la liste ci-dessous a été créée. Il s’agit d’une liste de 70 chiffres montrant pourquoi nous allons droit vers un cauchemard économique. Pourquoi le titre de l’article pointe du doigt Barack Obama ? Parce qu’il joue le rôle de pom-pom girl de l’économie. Il tente de nous convaincre que tout va bien et que l’économie est sur la bonne voie. Mais la vérité est que tout ne va pas bien et que cela ne va pas s’arranger. D’autres responsables mériteraient d’être montrés du doigt. Le Congrès a conduit l’économie dans la mauvaise direction depuis des décennies, les banques « too big to fail » ont transformé Wall Street en une pyramide des risques, d’effet de levier et de dette, et la Réserve Fédérale possède plus de pouvoir sur le système financier que n’importe qui d’autre. Notre économie est sur le déclin depuis un certain temps et nous allons bientôt nous écraser contre un mur de briques économique. Malheureusement, beaucoup d’Américains refusent de voir la réalité. Beaucoup refusent d’admettre qu’un effodrement économique est sur le point d’arriver. Si vous connaissez quelqu’un qui pense que l’économie américaine se porte bien, montrez-lui simplement cette liste.

Les chiffres qui suivent sont 70 réalités que Barack Obama ne veut pas que vous voyiez…

3,59$ – Quand Barack Obama est entré à la Maison Blanche, le prix moyen du gallon d’essence était de 1,85$. Aujourd’hui, il est à 3,59$.

22 – Difficile à croire mais aujourd’hui le taux de pauvreté des enfants vivant aux Etats-Unis atteint 22%.

23 – Selon la député Betty Sutton, 23 industries fermaient définitivement chaque jour en 2010 aux Etats-Unis.

30 – En 2007, près de 10% des chômeurs américains restaient sans emploi pendant au-moins 52 semaines. Aujourd’hui, c’est 30% des chômeurs.

32 – Les aides que le gouvernement donne aux Américains a augmenté de 32% depuis que Barack Obama est entré à la Maison Blanche.

35 – Le prix des maisons américaines a diminué de 35% depuis le pic de la bulle immobilière.

40 – Le taux de chômage officiel aux Etats-Unis est au dessus de 8% depuis 40 semaines d’affilé.

42 – Selon une étude, 42% des travailleurs américains vivent sans pouvoir mettre d’argent de côté.

48 – 48% des Américains ont des bas salaires ou vivent en état de pauvreté.

49 – Aujourd’hui dans 49,1% des foyers Américains, une personne au-moins reçoit une aide de l’Etat.

53 – En 2011, 53% des diplômés universitaires de moins de 25 ans étaient au chômage ou sous-employés.

60 – Selon un sondage Gallup récent, seulement 60% des Américains disent avoir suffisamment d’argent pour vivre confortablement.

61 – La Réserve Fédérale monétise une grande part de la dette nationale. Par exemple, la Réserve Fédérale a acheté environ 61% de la dette émise par le Trésor américain en 2011.

63 – Une étude récente a montré que 63% des Américains considèrent que le modèle économique américain est cassé.

71 – Aujourd’hui, 71% des dirigeants de petites entreprises pensent que l’économie américaine est en récession.

80 – Les Américains achètent 80% des antalgiques vendus dans le monde chaque année.

81 – Les dettes via les cartes de crédit chez les Américains de 25 à 34 ans ont augmenté de 81% depuis 1989.

85 – 85% des arbres de Noël artificiels sont fabriqués en Chine.

86 – Selon une étude, 86% des travailleurs américains dans la soixantaine affirment qu’ils continueront de travailler après 65 ans.

90 – Aujourd’hui aux Etats-Unis, les 1% les plus riches possèdent plus que les 90% les moins riches.

93 – Les Etats-Unis apparaissent au 93ème rang mondial en terme d’inégalité de revenu.

95 – La classe moyenne continue à se réduire, 95% des emplois perdus durant la dernière récession étaient des emplois de classe moyenne.

107 – Chaque année, l’Américain moyen doit travailler 107 jours juste pour payer les impôts locaux, d’état et fédéraux.

350 – Un dirigeant américain gagne en moyenne 350 fois le salaire moyen américain.

400 – Selon Forbes, les 400 Américains les plus riches possèdent plus que les 150 millions d’Américains les moins riches.

500$ – Dans certains quartiers de Détroit, vous pouvez acheter une maison avec trois chambres pour seulement 500$.

627 – En 2010, la Chine a produit 627 million de tonnes d’acier. Les Etats-Unis en ont produit seulement 80 millions.

877 – 20.000 travailleurs se sont récemment présentés pour pourvoir à 877 postes dans une usine Hyundai de Montgomery en Alabama.

900 – Les importations de pièces automobiles en provenance de Chine vers les États-Unis ont augmenté de plus de 900% depuis 2000.

1580$ – Quand Barack Obama a pris ses fonctions, l’once d’or vallait environ 850$. Aujourd’hui l’once d’or vaut plus de 1580$.

1700 – La dette à la consommation a augmenté de 1700% depuis 1971.

2016 – Il est prévu que l’économie chinoise dépasse l’économie américaine en 2016.

4155$ – Le ménage américain moyen a dépensé la somme astronomique de 4155$ pour payer l’essence au cours de l’année 2011.

4300$ – C’est la baisse du revenu moyen des ménages depuis l’arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche.

6000$ – Le prix moyen d’une maison à Détroit est actuellement de 6000$.

10.000$ – Selon l’Employee Benefit Research Institute, 46% des travailleurs américains possèdent moins de 10.000$ d’épargne pour leur retraite et 29% ont moins de 1.000$.

49.000 – En 2011, le déficit commecial avec la Chine était 49.000 fois plus élevé qu’en 1985.

50.000 – Les Etats-Unis perdent en moyenne 50.000 emplois industriels par mois depuis que la Chine a fait son entrée à l’OMC en 2001.

56.000 – Les etats-Unis ont perdu plus de 56.000 usines de fabrication depuis 2001.

85.000$ – Selon le New York Times, une Jeep Grand Cherokee, qui coûte 27.490$ aux Etats-Unis, coûte 85.000$ en Chine du fait des droits de douane.

175.587$ – L’administration Obama a dépensé 175.587$ pour savoir si la cocaïne causait chez la caille du Japon des comportements sexuels à risque.

328.404$ – Au cours de 75 prochaines années, Medicare sera confronté à un passif de 38 mille milliards de dollars. Cela revient à 328.404$ par ménage américain.

361.330$ – C’est ce que gagnait en moyenne un banquier de New-York en 2010.

440.000 – Si le gouvernement commençait aujourd’hui à rembourser la dette américaine à raison d’un dollar par seconde, cela prendrait plus de 440.000 années pour rembourser la totalité.

500.000 – Selon l’Economic Policy Institute, les Etats-Unis perdent 500.000 emplois au profit de la Chine chaque année.

2.000.000 – Les exploitations agricoles disparaissent inéluctablement. Selon le Ministère de l’agriculture américain, le nombre d’exploitations aux Etats-Unis est passé de 6,8 millions en 1935 à seulement 2 millions aujourd’hui.

2.000.000$ – En ce moment, la dette du pays augmente de 2 millions de dollars chaque minute.

2.600.000 – En 2010, 2,6 millions d’Américains supplémentaires sont tombés dans la pauvreté. C’est la plus grande augmentation depuis que le gouvernement a créé cette statistique en 1959.

5.400.000 – Quand Barack Obama a pris ses fonctions, il y avait 2,7 millions de chômeurs de longue durée. Aujourd’hui, ils sont deux fois plus.

16.000.000 – Il est prévu qu’Obamacare ajoute 16 millions d’Américains admissibles à l’assurance maladie Medicaid.

20.000.000$ – C’est le montant que le gouvernement a dépensé pour créer au Pakistan une version de la série TV pour enfant Sesame Street.

25.000.000 – Aujourd’hui, environ 25 millions d’adultes américains vivent avec leurs parents.

40.000.000 – D’après le professeur Alan Blinder de l’Université de Princeton, 40 millions d’emplois américains pourraient être transférés en offshore durant les 20 prochaines années si la tendance actuelle se maintient.

46.405.204 – Le nombre d’américains vivant à l’aide de tickets repas. Quand Barack Obama est entré à la Maison Blanche, ils étaient 32 millions.

88.000.000 – Actuellement plus de 88 millions d’Américains en âge de travailler ne travaillent pas et/ou ne cherchent pas de travail. C’est un niveau jamais atteint.

100.000.000 – Dans l’ensemble, plus de 100 millions d’Américains en âge de travailler n’ont pas de travail.

150.000.000$ – C’est approximativement la somme d’argent que l’administration Obama et le Congrès américain sont en train de voler chaque heure aux futures générations américaines.

2.000.000.000$ – Le montant que la JP Morgan a admis devoir perdre du fait des produits dérivés qui ont mal tourné. Des analystes sont convaincus que le véritable chiffre sera bien plus élevé.

147.000.000.000$ – Aux Etats-Unis, les coûts médicaux liés à l’obésité sont estimés à environ 147 milliards de dollars chaque année.

295.500.000.000 – Le déficit commercial américain avec la Chine en 2011 était de 295,5 milliards. C’est le plus grand déficit commercial qu’un pays ait connu à l’égard d’un autre pays dans l’histoire de notre planète.

359.100.000.000$ – Pendant la premier trimestre 2012, la dette publique a augmenté de 359.1 milliards de dollars. Le PIB n’a augmenté que de 142,4 milliards de dollars.

454.000.000.000 – Durant l’exercice 2011, le gouvernement américain a dépensé plus de 454 milliards de dollars uniquement pour payer les intérêts de la dette.

1.000.000.000.000$ – Le montant total d’endettement des crédits étudiants a récemment dépassé la barre des mille milliards de dollars aux Etats-Unis.

1.170.000.000.000$ – La Chine détient maintenant environ 1,17 trilliards de dollars de dette américaine. Pourtant, le gouvernement des États-Unis continue d’envoyer à la Chine des millions de dollars d’aide chaque année.

1.600.000.000.000$ – Le montant total qui s’est ajouté à la dette nationale américaine depuis que les Républicains ont pris le contrôle de la Chambre des Députés. C’est plus que ce que les 97 Congrès précédents cumulés avaient ajouté à la dette.

5.000.000.000.000 – La dette nationale américaine a augmenté de 5.000 milliards de dollars depuis que Barack Obama est devenu président. En un peu plus de 3 ans de présidence, Obama a ajouté à la dette nationale plus que l’ensemble des 41 premiers présidents cumulés.

5.000.000.000.000$ – C’est ce que le déficit budgétaire 2011 aurait été si le gouvernement avait utilisé des règles comptables généralement reconnues.

11.440.000.000.000$ – Le montant total de l’endettement à la consommation Aux Etats-Unis.

15.734.596.578.458,59$ – La dette nationale américaine au 7 juin 2012.

200.000.000.000.000$ – Aujourd’hui, les 9 plus grandes banques des Etats-Unis ont un total de plus de 200 mille milliards de dollars d’exposition aux produits dérivés. Si le marché des dérivés devait s’effondrer, il n’y aurait pas assez d’argent sur toute la planète pour régler ce problème.

The Economic Collapse (l’article contient les liens vers les sources)

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 08:46

"Français nous avons gagné les elections,nous avons tous les pouvoirs......tout cela ne sert à rien car notre monde économique a vécu!......Nous sommes ruinés...................."

 

Imaginez que les bourses s’effondrent de 35% en 14 minutes partout dans le monde la semaine prochaine.

Impossible ? Détrompez-vous ! Le 6 mai 2010, un flash krach a fait perdre 700 pts au DJ entre 14H42 et 14H52, entrainant toutes les bourses dans sa chute.La suite sur: http://liesidotorg.wordpress.com/

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 08:49

lu sur le site lieisi.…

 

En route pour le nouvel ordre mondial,dirigé par les "banques".

http://www.delire-des-livres.com/article-sarkozy-aidez-moi-a-construire-le-nouvel-ordre-mondial-102311607.html

Comme annoncé, les interventions massives de la BCE, de décembre 2011 et février 2012, ont essentiellement permis de gagner du temps. Elles ont du même coup fragilisé la qualité de ses actifs ! Suite aux deux plans d’injections monétaires de Mario Draghi dans le circuit bancaire européen, la Bundesbank (banque centrale allemande) a contre-attaqué en rendant impossible de nouvelles mesures de ce genre. Un initié de Francfort a confié que les banquiers centraux allemands étaient paniqués à la lecture du bilan de la BCE. Les Allemands encourent de très lourdes pertes si jamais l’euro venait à éclater et s’opposent donc à la poursuite de cette politique afin de se protéger.

Finalement, de l’avis des économistes fabiens pro-mondialistes, la décision des banquiers centraux européens (sous la présidence de Mario Draghi, ancien employé de Goldman Sachs) d’injecter MILLE MILLIARDS d’euros dans le circuit bancaire, a assuré le sauvetage des banques de l’Ouest. Quelques-unes sont cependant dans de sales draps, mais la chute de la Grèce n’est plus un risque systémique pour les banques européennes. Désormais, la Grèce peut techniquement faire faillite et sortir de la zone euro sans provoquer un désastre.

 En attendant, les conditions de remboursement imposées à la Grèce par ses créanciers sont absolument INTENABLES. Les politiques meurtrières d’austérité rappellent celles que les vainqueurs imposent aux vaincus à la fin d’une guerre. Aujourd’hui cette politique décidée par les instances supranationales prend la forme d’une politique de TRIAGE SOCIAL. Depuis quelques semaines, on voit même apparaître en Grèce les premiers camps de détention destinés à parquer les gens errants !

Logiquement, ce type de politique mène soit à une dictature, soit à une révolution, à moins que l’Etat ne se réapproprie le droit de battre une nouvelle monnaie, créée sans dette. Mais, de cette solution de bons sens, celle du seul Prix Nobel français d’économie, Maurice Allais, l’idée même semble avoir disparu : nulle voix autorisée ne l’évoque.

TOUT SE MET EN PLACE

Et les choses ne semblent pas s’arranger puisque les agences de notation s’en prennent ouvertement à l’Espagne. GRECE + ESPAGNE, cela devient du « lourd ».

L’Espagne est la quatrième économie de la zone euro, dont elle représente 12% du PIB total, contre seulement 6% pour l’Irlande, le Portugal et la Grèce réunis. Les plans de sauvetage de ces trois pays ont coûté respectivement 85 milliards, 78 milliards et 292 milliards d’euros… ce qui laisse augurer d’un coût encore plus élevé pour Madrid.

Madrid milite pour que le fonds de secours européen, le futur MES, soit autorisé à recapitaliser directement les banques espagnoles : cette aide ponctuelle serait ainsi bien éloignée d’un plan de sauvetage, qui place lui le pays sous tutelle d’institutions internationales. Comme par hasard, le MES entrera en fonction en JUILLET 2012… au bon moment.

Pour aller dans le sens de cette solution, on apprend que l’Espagne est même prête à céder plus de sa “souveraineté, particulièrement dans le domaine budgétaire”, a indiqué le chef du gouvernement Mariano Rajoy, plaidant pour une “autorité budgétaire européenne” qui mènerait “un contrôle centralisé des finances”. TOUT SE MET EN PLACE…

Dans le numéro 256 de LIESI, nous nous concentrerons sur une énorme arnaque, peaufinée depuis 2008 par les cercles éminents de Bruxelles… à une époque où PERSONNE ne parlait de problème de dettes souveraines en Europe… Nous verrons que les politiciens espagnols, comme les autres, ont permis ce qui arrive aujourd’hui et nous arrivons à l’heure des grandes REFORMES.

PAS DE GRANDES REFORMES… SANS CHUTE DES BANQUES… ET DES ÉTATS

S’agissant de l’Espagne et de ses banques, on nous assomme avec des chiffres incroyables : les analystes chiffrent entre 60 et 200 milliards d’euros les besoins de l’Espagne pour redresser ses banques. En réalité, les chiffres dont on parlera bientôt seront ceux issus du résultat de l’examen actuellement mené par les agences externes et dites objectives, et aussi du FMI, que nous aurons bientôt.

Le FMI rendra son rapport le 11 juin. Environ une semaine plus tard les cabinets de consultants Roland Berger et Oliver Wyman dévoileront leur propre audit. Tout cela avant les élections du 17 juin. Attendez-vous donc, pour l’Espagne, à une avalanche de  résultats dans la seconde quinzaine de juin. Même les cabinets étrangers participeront à cette saga de résultats. Citons quatre cabinets : Deloitte, KPMG, PwC et Ernst&Young. Ils peaufinent les besoins du secteur bancaire espagnol, affaibli par son exposition au secteur immobilier…

Là, en Espagne, comme aux Etats-Unis, les grosses têtes ignoraient que toutes les grosses bulles finissent par IMPLOSER… Voilà l’utilité des grandes réunions des grosses têtes destinées à “anticiper”… Et après cela, on veut faire croire que ces crises suivent le cours du hasard.

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 08:07

En clair avec une juste proportionnelle,ce qui serait la véritable représentation du peuple,les partis de "gôôche "qui ne représentent rien sinon l'oligarchie,n'auraient pas d'argent et donc disparaîtraient.Voilà pourquoi le pouvoir financier veut les conserver,pourqu'il y ait un semblant d'opposition "populaire" financé par eux.Cette rengaine dure depuis la fin de la 2ème guerre mondiale.La seule opposition à la finance spéculative qui va nous réduire en esclavage c'est le "patriote",le vrai,celui qui fait passer l'intérêt de la patrie avant le sien!

 

La tenue des élections législatives constitue un rendez-vous crucial pour les partis politiques : le montant du financement public dont ils bénéficieront dépendra uniquement de leurs résultats à ce scrutin.

L’événement, dimanche, ne se déroulera pas uniquement sur la terre battue de Roland Garros, mais également du côté des urnes pour le premier tour des législatives. Si ce scrutin ne semble pas passionner les Français, ces élections sont d’une importance capitale pour les partis politiques. Car de leurs résultats obtenus les 10 et 17 juin, dépendra une grande partie de leurs financements. Explications.

Chaque voix compte

Chaque parti qui aura réussi à récolter 1% des voix ou plus dans au moins 50 circonscriptions débloquera la « première fraction » du financement public. Et devrait empocher ainsi 1,68 euro par voix et par an pendant cinq ans, selon la Commission nationale des comptes de campagne et de financements politiques (CNCCFP). En 2011, quatorze partis ont eu accès à la première fraction pour un total de 32,68 millions d’euros.

L’UMP en a le plus profité en 2011 avec 12,4 millions d’euros, devant le PS qui a bénéficié de 9,7 millions d’euros. Ce sont, cependant, les petits partis qui peuvent tirer leur épingle du jeu. Solidarité écologie gauche alternative (Sega) a ainsi été financé en 2011 à hauteur de près de 103.000 euros. L’alliance encore plus méconnue Le Trèfle – Les nouveaux écologistes homme-nature-animaux a réussi à récolter plus de 160.000 euros l’année dernière grâce à la première fraction. L’enjeu est donc de taille pour ces petites formations qui présentent de fait de nombreux candidats. On dénombre ainsi 6.611 candidatures cette année pour seulement 577 sièges. Un nombre cependant en baisse puisque 7.640 hommes et femmes s’étaient présentés en 2007 et 8.444 en 2002.

42.000 euros par député et par an

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 16:49

« 1,2% de PIB à combler pour l’année 2013 », soit 25 milliards d’euros, sans baisser les dépenses publiques, voici la mission (impossible) que s’est fixée Pierre Moscovici, le nouveau ministre de l’Économie, des Finances et du Commerce extérieur.

« Restent les impôts », explique Nicolas Doze, jeudi sur BFM TV  : « On peut imaginer qu’on peut taxer à nouveau les successions », « qu’on va accélérer la taxe prévue spécifiquement pour les groupes pétroliers et pour les banques », « qu’on va activer au maximum la réforme de l’ISF pour retrouver l’ISF canal historique dès cette année, même si Bercy a dit que c’était complexe techniquement ».

« On peut aussi attaquer les niches fiscales. Le problème, c’est que quand vous regardez les niches, les niches qui rapportent vraiment de l’argent sont les niches les plus sacrées, c’est-à-dire la TVA sur la restauration désormais à 7%, ça va être les aides pour l’emploi à domicile, ça va être la garde d’enfant(s) à domicile, également la prime pour l’emploi ou même la défiscalisation sur le livret A ou le livret de développement durable, l’ex-CODEVI », continue le chroniqueur.

« Après, il reste une mesure vraiment radicale : ce serait l’emprunt obligatoire, exactement comme avait fait Mauroy en 1983 : tous les contribuables au-dessus de 5 000 francs étaient obligés de souscrire de la dette d’État pour apporter de l’argent frais en urgence… » 

 

 

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 14:58

L’EV1 fut la première voiture électrique de série produite par General Motors aux États-Unis et fut le seul véhicule de l’histoire de cette société à porter la marque « General Motors ».

Le but de l’EV1 était d’une part, de satisfaire les nouvelles lois californiennes sur les véhicules à zéro émission du début des années 1990. Ce programme ZEV (pour Zero Emission Vehicle) spécifiait qu’en 1998, 2 % de l’ensemble des véhicules mis en circulation devaient ne plus émettre aucun gaz polluant, puis 5 % en 2001, et 10 % en 2003.

Ce film documentaire, intitulé Qui a tué la voiture électrique ?, diffusé sur la chaîne publique PBS en juillet 2006 met en cause les lobbies pétroliers et l’administration Bush pour pousser GM à arrêter le programme de l’EV1. Le documentaire explique, entre autres, comment GM à soudainement décidé de détruire l’ensemble des EV1, malgré les propositions d’achat faite par les consommateurs qui sont allés jusqu’à proposer 1,9 million de dollars et manifester pendant cinq jours devant les 78 modèles restants dans le park de GM à Burbank.

 

Et pendant ce temps la à Bruxelles on vote:

 

La Commission européenne va débloquer 107 millions d’euros de subventions pour la recherche sur les véhicules électriques.

Subvention de l' UE pour les véhicules électriques

La Commission européenne va lancer un appel à projet pour développer les recherches sur les véhicules électriques. Pour cela, la Commission européenne prévoit de débourser 107 millions d’euros de subventions.

La Commission européenne accordera des subventions à des et de développement, émanant d’entreprises, d’universités et  autres instituts.

Des projets concernant tout type de véhicule électrique pourront bénéficier des subventions de la Commission européenne. La Commission européenne s’intéresse tout particulièrement au développement des nouveaux moteurs verts pour la circulation urbaine et lancera ce programme de subventions aux véhicules électriques en juillet.

source: voitureelectrique.net

  Vous n'avez l'impression qu'ils se foutent de nous?

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 14:37

« Le diable, de nouveau, le transporta sur une montagne très élevée, et lui montrant tous les royaumes du monde, avec leur gloire, il lui dit: “Je vous donnerai tout cela, si, tombant à mes pieds, vous m’adorez”. Alors Jésus lui dit : “Retire-toi, Satan ; car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu ne serviras que lui seul.” » (St Mat. IV, 8-10)

Rien n’a changé… Les hommes de l’ombre sont toujours prêts à payer des fortunes pour les fonctionnaires du chaos… prêts à adorer le Prince de ce monde pour des intérêts purement matériels.

Après avoir exprimé son incompétence au grand jour lorsqu’elle était ministre des Finances de la France, Mme Christine Lagarde, annonçant une reprise qui ne pointera JAMAIS le bout du nez, devient LA présidente du FMI. Elle s’est récemment exprimée au sujet de la Grèce et ses propos ont soulevé une tempête de protestation.

Le FMI parle de la rigueur et de la nécessité de presser les peuples comme du citron afin de rembourser les intérêts des dettes contractées par des gouvernements viles au MARCHE, c’est-à-dire aux familles oligarchiques à l’origine de la création du FMI, comme de bien d’autres organisations supranationales. Toutes ces entités servent à une seule chose : entériner des décisions prises, discrètement, par des puissantes familles.

Ces entités supranationales, œuvrant à l’édification du Nouvel Ordre Mondial babélien, emploient des fonctionnaires dont les plus importants ont pour mission de faire avancer le programme des sociétés secrètes mondialistes. Ces employés de Mammon sont bien évidemment grassement rémunérés, ce qui permet d’exiger d’eux les pires décisions d’un point de vue humain.

En pleine période de crise, Mme Lagarde a donc remplacé DSK. On jugeait déjà indécent le salaire de DSK, mais le salaire de Mme Lagarde fut AUGMENTE  !

Cette politicienne, bien sûr guidée par le bien commun, n’a rien trouvé à redire. Comme bien d’autres de ses amis de la gauche caviar, elle a compris que la crise c’était pour les autres. Lors de sa prise de fonction, l’institution avait indiqué qu’elle toucherait un salaire de 551 700 dollars annuels (380.000 euros)… Soit environ 30 000 dollars de plus que le dernier salaire de DSK !

En outre, elle bénéficie d’une allocation pour frais de représentation (sans justificatifs) de 83 760 dollars par an. Jean-Luc Mélenchon, l’homme de la Haute finance au service des pauvres, s’en prend à l’Eglise orthodoxe grecque mais comme souvent, il se trompe de cible, aveuglé par sa haine de son Créateur. Qui osera remettre cette ‘grosse gueule’ à sa place, un peu comme le Vert-Rouge de Bruxelles, Cohn bendit, dont aucun journaliste n’a creusé sur des liens existant entre certains ‘services’ étrangers et le leader révolutionnaire de Mai 68. C’est comme ça, il y a des gens qui peuvent tout se permettre car ils jouissent de “protections” évidentes.

A l’heure où la présidence du FMI reproche aux Grecs de ne pas payer leurs impôts et exige d’eux qu’ils fassent encore plus d’effort pour satisfaire leurs créanciers, c’est-à-dire in fine les patrons des institutions supranationales, on rappelle que la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, ne paie pas d’impôt… grâce au statut de fonctionnaire international des salariés du FMI. http://liesidotorg.wordpress.com/

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