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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 08:10
Prix conseillé : EUR 22,00
Prix : EUR 20,90

Ils s'appelaient eux-mêmes les Hommes.
Ils étaient parvenus à cette extrémité de la terre - qui devait, bien plus tard, être nommée Terre de Feu -, au terme d'une si longue migration qu'ils en avaient perdu la mémoire. Sans cesse poussés par de nouveaux envahisseurs, ils avaient traversé un continent et des millénaires dans l'ignorance et la peur. Ils s'étaient établis là où, semblait-il, nul ne pouvait les rejoindre, tant sont cruels le ciel, la terre et la mer dans cet enfer austral.
Ils furent peut-être un peuple ; ils ne furent plus que des clans, puis des familles. Un jour, et c'est demain, il n'y aura plus que Lafko - Lafko, fils de Lafko, fils de Lafko depuis le fond des âges -, le dernier des Hommes, celui que nous voyons, à la première et à la dernière page de ce livre, tenter de trouver dans la tempête la grève où il pourrait mourir, seul sous le regard de Dieu. Dans l'intervalle, depuis le rêve de Henri le Navigateur et l'apparition des vaisseaux de Magellan, les Hommes, ces " sauvages ", ont regardé passer l'Histoire et l'ont subie.
Demain, Lafko va se perdre dans la nuit. Qui se souvient des Hommes ? Jean Raspail, pour avoir rencontré l'un des derniers canots des Alakalufs (tel est leur nom moderne), ne les a pas oubliés. Dans ce livre - que, faute de mieux, il qualifie de " roman ", mais " épopée " ou " tragédie " seraient sans doute plus exacts -, il recrée le destin de ces êtres, nos frères, que les hommes qui les virent hésitèrent à reconnaître comme des hommes.
C'est une immense et terrible histoire. Et c'est un livre comme il n'en existe pas aujourd'hui, et dont on sort transformé.

 

 

LIBRAIRIE-PRESSE DE NEUILLY-PLAISANCE

15,AVENUE FOCH 93360

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 07:59

Au-delà des pyramides

Prix conseillé : EUR 19,50
Prix : EUR 18,53

 

Douglas Kennedy au pays des pharaons, ou comment un jeune écrivain encore inconnu débarque à Alexandrie il y a plus de vingt ans, quelques livres sterling et cinq carnets de voyage en poche, bien décidé à éviter les pyramides, la croisière sur le Nil et autres classiques du voyage en Orient.
Présentation du livre

D'Alexandrie à Assouan en auto-stop, de l'oasis de Siwa aux bidonvilles du Caire, une fascinante plongée dans l'envers du décor, où notre apprenti écrivain voyageur va multiplier les rencontres inhabituelles : à quinze mètres du sphinx, un vendeur de Toyota dont le coeur balance entre trois épouses, le prophète Mahomet et sa collection de Mercedes ; un inquiétant pilote de felouque au coeur brisé par une Française ; des Bédouins accros à CNN ; des moines informaticiens en plein coeur du désert...

Autant de confrontations hilarantes, de scènes cocasses pour les errances d'un Américain en terre musulmane. Entre récit et mémoire, une irrésistible chronique de voyage servie par l'oeil et la plume aiguisés du reporter, pour un futur classique, dans la lignée de Paul Theroux et Bruce Chatwin.

LIBRAIRIE-PRESSE DE NEUILLY-PLAISANCE

15,AVENUE FOCH 93360

 
 
 
 

 

 
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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 16:07

Le Camp des saints

Prix conseillé : EUR 22,00
Prix : EUR 20,90

   

  Paru pour la première fois en 1973, Le Camp des Saints est un roman qui anticipe une situation aujourd'hui plausible et une menace dont l'éventualité ne paraît plus invraisemblable à personne : il décrit l'envahissement pacifique de la France, puis de l'Occident, par le tiers monde devenu multitude. A tous les niveaux, conscience universelle, gouvernements, équilibre des civilisations, et surtout chacun en soi-même, on se pose la question, mais trop tard : que faire ?

Que faire, puisque nul ne saurait renoncer à sa dignité d'homme au prix d'un acquiescement au racisme? Que faire, puisque dans le même temps, tout homme — et toute nation — a le droit sacré de préserver ses différences et son identité au nom de son avenir et au nom de son passé? Notre monde s'est formé dans une extraordinaire diversité de cultu­res et de races qui n'ont pu se développer, souvent jusqu'à l'ultime et particulière perfection, que par une nécessaire ségrégation de fait. Les affrontements qui en découlent et qui en ont toujours découlé ne sont pas des affrontements racistes, ni même des affrontements raciaux. Ils font simplement partie du mouvement perpétuel des forces qui s'oppo­sent et forgent ainsi l'histoire du monde. Les faibles s'effacent puis disparaissent, les forts se multiplient et triomphent.

L'expansionnisme occidental, par exemple, depuis les croisades et les grandes découvertes terrestres et maritimes jusqu'à l'épopée colo­niale et ses ultimes combats d'arrière-garde, obéissait à des motifs divers, nobles, politiques ou mercantiles, mais où le racisme ne tenait aucune part et ne jouait aucun rôle, sauf peut-être chez les âmes viles. Le rapport des forces était en notre faveur, c 'est tout. Qu 'il s 'appliquât le plus souvent aux dépens d'autres races encore que certaines en furent sauvées de leur engourdissement mortel n 'était qu 'une conséquence de notre appétit de conquête et non pas un moteur ni même un alibi idéologique. Aujourd'hui que le rapport des forces s'est diamé­tralement inversé et que notre vieil Occident, tragiquement minoritaire sur cette terre, reflue derrière ses murailles démantelées en perdant déjà des batailles sur son propre territoire et commence à percevoir, étonné, le vacarme sourd de la formidable marée qui menace de le submerger, il faut se souvenir de ce qu 'annonçaient les anciens cadrans solaires : « il est plus tard que tu ne crois... » Cette dernière référence n 'est pas venue sous ma plume. Elle fut écrite par Tnierry Maulnier, justement-à propos du Camp des Saints. Qu'on me pardonne d'en citer une autre, du professeur Jeffrey Hart, de !'université de Princeton, chro­niqueur littéraire et célèbre columnist américain : « Raspail is not writing about race, he is writing about civilization ... » 

Au demeurant, le Camp des Saints est un livre symbolique, une sorte de prophétie assez brutalement mise en scène avec les moyens du bord mais au rythme de l'inspiration, car si un livre me fut un jour inspiré, je le confesse, ce  fut exactement celui-là. Où diable aurais-je autrement puisé le courage de l'écrire ? De ce travail de dix-huit mois j'étais d'ailleurs sorti méconnaissable, si j'en juge par la photo au revers de la jaquette de la première édition de 1973 : un visage épuisé portant dix ans de plus que l'âge que j'ai aujourd'hui et le regard de quelqu'un qu'ont tourmenté trop de visions. Et cependant, ce qui ressortait à ma véritable nature dans ce livre, c'était justement le gros humour qu'on y trouve également, une bonne humeur de dérision, le comique sous le tragique, une certaine dose de bouffonnerie comme anti­dote à l'apocalypse. J'ai toujours soutenu qu'en dépit de son sujet le Camp des Saints n 'était pas un livre triste et je suis reconnaissant à certains, à Jean Dutourd notamment, de l'avoir exactement compris : «Notre Occident étant devenu un clown, sa tragédie finale pourrait bien être une grande bouffonnerie. C'est pourquoi ce livre ter­rible est au fond si comique... »

Pour en revenir à l'action du Camp des Saints, si elle constitue un symbole, elle ne relève pas de l'utopie, elle ne relève plus de l'uto­pie. Si prophétie il y a, cette prophétie, nous en vivons aujourd'hui les prémices. Simplement, dans le Camp des Saints, elle est traitée comme une tragédie à l'ancienne, avec unité de temps, de lieu et d'action : tout se joue en trois jours sur les côtes du midi de la France et là se scelle le destin du monde blanc.

Dans la réalité, bien que l'action fût déjà fortement engagée et justement selon des mécanismes (boat people, radicalisation de la communauté maghrébine de France et des autres groupes allogènes, forte action psychologique des ligues huma­nitaires, exacerbation de l'évangélisme chez les responsables religieux, faux angélisme des consciences, refus de voir la vérité en face, etc.) décrits dans le Camp des Saints dès 1973, le dénouement n'écla­tera pas en trois jours, mais presque certainement, après de nombreu­ses convulsions, dans les premières décennies du troisième millénaire, à peine le temps d'une ou deux générations. Lorsqu'on sait ce que représente une génération aujourd'hui dans nos vieux pays d'Europe, génération-croupion à l'image de la famille-croupion et de la nation-croupion, on a le cœur serré d'avance et saisi de découragement. Il suffit de se reporter aux effarantes prévisions démographiques pour les trente prochaines années, et celles que je vais citer nous sont les plus favorables : Cernés au milieu de sept milliards d'hommes, sept cents millions de Blancs seulement, dont un tiers à peine et pas frais, très vieilli, sur notre petite Europe, face à une avant-garde de près de qua­tre cents millions de Maghrébins et de musulmans, dont cinquante pour cent de moins de vingt ans, sur les rives opposées de la Méditer­ranée et précédant le reste du monde ! Peut-on imaginer une seconde et au nom de quel aveuglement d'autruche la survie de ce déséquilibre ? Justement, à ce propos, le moment est venu d'expliquer pourquoi, dans le Camp des Saints, ce sont des masses humaines venues du Gange lointain plutôt que des rives de la Méditerranée gui submergent le midi de la France. Il y a plusieurs raisons à cela. L'une tenait à une certaine prudence de ma part et surtout à mon refus d'entrer dans le débat truqué du racisme et de l'antiracisme en France au quotidien présent, ainsi qu à ma répulsion à illustrer, au risque de les envenimer, des tensions raciales déjà perceptibles mais pour le moment hors du sujet. Certes, une forte avant-garde se trouve déjà chez nous qui manifeste hautement l'intention d'y rester tout en refusant l'assi­milation, et comptera d'ici vingt ans au sein du peuple anciennement français plus de trente pour cent d'allogènes fortement «motivés». C'est un signe, mais ce n'est qu'un signe. On peut s'y arrêter. On peut même à son propos mener quelques escarmouches tout en ignorant ou en feignant d'ignorer que le vrai danger n 'est pas seulement là, qu 'il est ailleurs, qu'il est à venir, et que par son ampleur il sera d'une autre nature. Car j'ai la conviction qu 'à l'échelle planétaire tout se déclenchera comme sur un billard où se télescopent des boules qui se mettent en marche les unes après les autres à partir d'une pulsion ini­tiale qui pourrait prendre naissance dans tel ou tel de ces immenses réservoirs de misère et de multitude, comme là-bas, du côté du Gange. Cela ne se passera probablement pas tout à fait comme je l'ai décrit, car le Camp des Saints n 'est qu 'une parabole, mais au bout du compte le résultat ne sera pas différent, peut-être sous des formes plus diffuses et apparemment plus tolérables. L'empire romain n 'est pas mort autrement, à petit feu il est vrai alors que l'on peut s'attendre cette fois à un embrasement soudain. On dit que l'histoire ne se répète jamais. C'est une énorme ineptie. L'histoire de notre planète n 'est faite que de vides successifs et de ruines que d'autres sont venus com­bler tour à tour et quelquefois régénérer. 

Car l'Occident est vide, même s'il n 'en a pas encore et véritable­ment conscience. Civilisation extraordinairement inventive, certaine­ment la seule à être capable de relever les insurmontables défis du troisième millénaire, l'Occident n 'a plus d'âme. A l'échelle des nations, des races et des cultures, comme à celle de l'individu, c 'est toujours l'âme qui gagne les combats décisifs. C'est elle et elle seule qui forme la trame d'or et d'airain dont sont faits les boucliers qui sauvent les peuples forts. Je ne distingue plus guère d'âme chez nous. A regarder par exemple mon propre pays, la France, il me vient souvent l'impres­sion, comme dans un mauvais rêve éveillé, que bien des Français « de souche», aujourd'hui, ne sont plus que des bernard-l'ermite qui vivent dans des coquilles abandonnées par les représentants d'une espèce à présent disparue, qui s'appelait l'espèce française et n'annonçait en rien, par on ne sait quel mystère génétique, celle qui s'est en cette fin de siècle affublée de ce nom. Ils se contentent de durer. Ils assurent machinalement leur survie à la petite semaine et de plus en plus mol­lement. Sous les bannières d'une solidarité interne et «sécurisante» illusoire, ils ne sont plus solidaires de rien, ni même conscients de rien de ce qui constitue l'essentiel fond commun d'un peuple. Sur le plan pratique et matérialiste qui seul peut encore allumer une lueur d'intérêt dans leur regard envieux, ils forment une nation de tout petits bourgeois qui s'est payée et se paye encore en pleine crise, au nom d'une richesse héritée et de moins en moins méritée, des millions de domesti­ques : les immigrés. Ah ! comme ils vont trembler ! Les domestiques ont d'innombrables familles en deçà et au-delà des mers, une seule et famélique famille qui peuple toute la terre. Spartacus à l'échelle planétaire... Pour ne citer qu 'un exemple parmi cent, la population du Nigeria, en Afrique, compte près de soixante-dix millions d'habi­tants que ce pays est incapable de nourrir puisqu 'il consacre plus de cinquante pour cent de ses revenus pétroliers à l'achat d'aliments. A l'aube du troisième millénaire, il y aura cent millions de Nigérians et le pétrole sera tari.

Mais le tout petit bourgeois sourd et aveugle reste bouffon sans le savoir. Encore miraculeusement à l'aise dans ses grasses prairies d'Occident, il crie en louchant sur son plus proche voisin : «Faites payer les riches ! » Le sait-il seulement, mais enfin le sait-il! que le riche c'est précisément lui, et que ce cri de justice, ce cri de toutes les révoltes, hurlé par des milliards de voix, c'est contre lui et contre lui seul que bientôt il s'élèvera. C'est tout le thème du Camp des Saints.

Alors, que faire ? Je suis romancier. Je n 'ai pas de théorie, pas de système ni d'idéologie à proposer ou à défendre. Il me semble seulement qu 'une  alternative se prprésente à nous : apprendre le courage résigné d'être pauvres   ou retrouver l'inflexible courage d'être riches. Dans les deux cas, la charité dite chrétienne se révèlera impuissante. Ces temps-là seront cruels.

 

  Jean Raspail

 

Le Camp des Saints en video + entretient avec Jean Raspail :

http://www.youtube.com/watch?v=1qzmQjemLTA

 

http://www.youtube.com/watch?v=PKd0imQj1uE

 

http://www.youtube.com/watch?v=MiVgho24z7g

 

LIBRAIRIE-PRESSE DE NEUILLY-PLAISANCE

15, AVENUE FOCH 93360

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 18:51
 
Prix conseillé : EUR 18,95
Prix : EUR 18,00
Présentation de l'éditeur
Auteur et compositeur de plus de deux cents chansons, Jean Ferrat, disparu le 13 mars 2010 à 79 ans, était l'un des derniers géants de la chanson française. A l'aide de témoignages inédits, notamment celui de Pierre Frachet, auteur de " Ma Môme ", chanson qui lança Ferrat en 1960, Jean-Dominique Brierre retrace la vie de cet artiste aux préoccupations poétiques autant que politiques. Il évoque l'événement qui bouleversa son enfance : la déportation de son père et sa mort à Auschwitz ; ses débuts à la Colombe ; son travail d'adaptation des poèmes d'Aragon, qui lui valut quelques-uns de ses plus grands succès, dont " Aimer à perdre la raison " et " Que serais-je sans toi ? " ; sa vie à Antraigues, village de l'Ardèche dont Ferrat fut l'âme durant quatre décennies. Ce livre analyse en détail les liens de l'auteur de " Nuit et Brouillard ", " La Montagne " et " Potemkine " avec le Parti communiste, et l'étonnante popularité de cette voix synonyme d'amour, d'engagement et de fraternité.
Biographie de l'auteur
Jean-Dominique Brierre est l'auteur de biographies consacrées notamment à Barbara, Edith Piaf et Serge Reggiani.
 
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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 17:34

 

Résumé de "Le meurtre des départements d'Algerie"

 

Georges Dillinger est le pseudonyme d'un géologue, professeur dans l'enseignement supérieur, dont un des ancêtres, Albin Schneider, était soldat dans l'armée qui a débarqué à Sidi-Ferruch, le 14 juin 1830.
Il a écrit une demi-douzaine d'essais sur l'Algérie ou sur la crise de société qui affecte la France. Il n'a pas cherché à accumuler dans ce livre des détails historiques, résultats de dépouillement d'archives. Il a évoqué la succession des grands évènements jalonnant l'agonie de l'Algérie française, l'évolution des mentalités et l'implication personnelle du président de la République. La dernière partie porte sur les terribles séquelles actuelles de cette mutilation du territoire national.
La IVe République porte la responsabilité gravissime d'avoir laissé éclater la subversion et de nous avoir acculé à une guerre révolutionnaire dont personne ne sort tout à fait indemne. Le sursaut patriotique du 13 mai 1958 fut capté par des comploteurs qui l'ont fait évolué vers un putsch, le seul de notre Histoire contemporaine : celui du général De Gaulle s'emparant du pouvoir suprême en détournant, à son profit, la mutinerie de chefs prestigieux de l'Armée d'Algérie.
De Gaulle, dans sa duplicité, a couvert de son autorité les combats meurtriers du plan Challe pour rétablir la paix française et, simultanément, les pourparlers avec le FLN, deux voies parfaitement antagonistes. Dès janvier 1960, s'engage, à coté de la poursuite de la guerre contre les forces de la sécession, une véritable guerre civile franco-française. Certains diront : " Encore cette histoire vieille d'un demi-siècle.
" La réponse vient de nos adversaires. Pourquoi, si longtemps après les faits, multiplient-ils à l'envi les mensonges sur la colonisation qu'ils diabolisent, les prétendus pillages des ressources naturelles, l'exploitation des indigènes, les fabulations sur les tortures et les viols de l'Armée française ? Sinon pour nous inoculer le venin mortel de la haine de soi et la culpabilisation qui annihile nos défenses immunitaires dans les événements tragiques que vit la France chaque jour.

 

PRIX:20,00-5%=19,00

 

LIBRAIRIE-PRESSE DE NEUILLY-PLAISANCE

15,AVENUE FOCH 93360

 

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 15:51

Le dernier livre de Jean Madiran vient de sortir aux éditions Via Romana. Son titre ? Chroniques sous Benoît XVI. Il s’agit d’un recueil d’articles, qui vont du 5 avril 2005 (article sur la mort de Jean-Paul II) au 1er janvier 2010. En tout 430 pages. À lire de toute urgence et sans plus attendre.
....
Chacun prendra ce qu’il veut ou refusera ce qu’il ne veut pas sur ces questions politiques, sociales et culturelles, quoique d’une certaine manière beaucoup de choses se tiennent. Mais Jean Madiran parle beaucoup de l’Église notre mère, de la crise qui la touche, du catéchisme, de la liturgie et du Motu Pro

 

Présentation de l'éditeur

http://www.via-romana.fr/

La disparition du pape Jean-Paul II a porté sur le trône de Pierre le cardinal théologien allemand Joseph Ratzinger dont la gouvernance et les positions doctrinales bouleversent nos contemporains. Liberté de la messe tridentine, encycliques à contre-courant, levée d’excommunications d’évêques traditionalistes, réintégration de catholiques anglicans, redéfinition du dialogue interreligieux, Jean Madiran a suivi, de très près, les événements du nouveau pontificat qu’il éclaire ici d’un regard nourri de foi, d’expérience journalistique, et d’amour pour Rome, nourricière des âmes et des civilisations.
Son approche de cinq années d’actualités religieuses ne néglige pas pour autant celles, politiques ou sociales, de notre monde que l’Évangile a déserté. Et sa critique, parfois impitoyable, s’exerce aux dépens des promoteurs les plus enragés de la culture de mort destructrice des idéaux du christianisme occidental. C’est tout l’héritage de la Révélation chrétienne, des enseignements de l’Église, de la philosophie thomiste et des grands politiques chrétiens qui transparaît à travers ces pages dont l’écriture étincelante se double d’une vive intelligence de notre temps : celui de la réforme de Benoît XVI.

Depuis la fondation de la revue Itinéraires en 1956, Jean Madiran s’attache à défendre le magistère romain le plus traditionnel. Ses ripostes aux dérives liturgiques exégétiques et catéchétiques de l’après-concile en ont fait l’un des témoins les plus éminents et les plus lus de la vie de l’Église au XXe siècle.

 

PRIX:34,00 -5%=32,30

 

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15,AVENUE FOCH 93360

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 14:43

Je plante donc je suis

180 chroniques historiques, exotiques ou érotiques, du jardinier de Versailles qui anime une rubrique hebdomadaire sur France Inter, révélent les secrets des jardins ainsi que les trucs et les recettes de l'auteur.

PRIX:20,50 -5%=19,47

 

ALAIN BARATON JARDINIER A VERSAILLES

http://www.youtube.com/watch?v=jXlzC1cvUTI 

 

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15 AVENUE FOCH 93360

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 14:30

 

 

 

Adélaïde de Clermont-Tonnerre règle son compte à la bourgeoisie.

  

 

On se dit que ça sent le thé et les biscuits rances au coin du feu, avec vieilles maximes de mémé en guise de prose pincée... Préjugé ­balayé. « Fourrure » n’est pas une histoire vraie mais une vraie histoire, romanesque.

Ondine apprend la mort de sa mère dans les journaux. La grande écrivaine Zita Chalitzine a été découverte en état de décomposition avancée dans une voiture. Elle s’est suicidée alors qu’une polémique intense agitait le landerneau littéraire : servait-elle de prête-nom à Romain Kiev, auteur doué mais négligé, mort suicidé également ?

 

«Fourrure» ne se lit pas,il s'avale d'une traite

Zita a laissé un ultime manuscrit. Ce livre dans le ­livre dévoile tout : son enfance partagée entre une mère concierge avare, grasse et bête, et les Vitré, propriétaires de l’hôtel particulier, qui les hébergeaient. Veuleries, attouchements, médisances, hypocrisie, grandeur et décadence de l’aristocratie du VIIe arrondissement... « Fourrure » ne se lit pas, il s’avale d’une traite, comme un verre d’eau dans le ­désert de l’autofiction.

Adélaïde, la ­trentaine, vit dans le VIIe. La comparaison avec son roman s’arrête là. Elle a suivi des études classiques de bonne élève, hypokhâgne, khâgne, Normale. Après, ça se complique : « Je ne me voyais pas prof à 50 ans, répondant oui à un ado qui lève le doigt pour aller aux toilettes. » Le parcours devient ­bizarre : « J’ai intégré l’Institut de sciences politiques. Je n’ai pas terminé. ­Débauchée par une boîte de ­fusions-acquisitions, je me suis retrouvée dans la finance, à m’occuper de crédit à l’export pour la Société générale à Mexico. »

L’expérience tourne court. « J’ai explosé au bout d’un an. Je n’étais pas faite pour faire du fric. » Ni pour supporter les ponchos et le machisme ambiant. « Je ­pigeais le week-end pour des journaux mexicains. Cela m’amusait. » De retour en France, Adélaïde rentre à « Point de vue images du monde ». A part un ou deux, les personnages de son roman existent, se révèlent.

 

Un rebondissement suit l'autre au traversd'une écriture décomplexée, au style direct

On devine aussi une jubilation dans son écriture décomplexée, peu intellectuelle, au style direct. Un ­rebondissement suit l’autre. Quelques ficelles sont épaisses, mais le lecteur se coule parfaitement dans ces années 70, désuètes, giscardiennes, ­révolues. On pourrait même dénicher l’influence de l’écrivain Patrick Besson, ami proche. « Je le prends pour un compliment. C’est le meilleur de sa génération. Contrairement à son physique, il a une telle grâce, une légèreté d’écriture. En même temps, il sait se montrer violent, intense, précis. Je suis moins cognante, plus enrobée. Je ne voulais simplement pas d’un truc autofictionnel, prise de tête. »

« Fourrure » est donc l’accessoire indispensable de l’hiver 2010. Et des saisons futures. Les bonnes histoires, comme les beaux ­vêtements, sont indémodables.

« Fourrure », d’Adélaïde de Clermont-Tonnerre, éd. Stock, 576 pages, 23 euros -5%=21,85

 

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15 AVENUE FOCH 93360

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 07:34

Le vrai régime anti-cancer

Prix conseillé : EUR 19,50
Prix : EUR 18,53

Nos comportements alimentaires, pris au sens large, sont responsables de bon nombre de cancers.

Les études les plus récentes montrent que les fruits et légumes ne réduisent que très peu le risque de cancer. La viande rouge n’augmenterait pas forcément le risque de cancer du colon : ces études ont été réalisées aux Etats-Unis avec des viandes américaines dont la composition, la taille des portions et le mode de cuisson sont très différents de celles pratiquées en France. En France, la viande n’augmenterait pas le risque de cancer du colon.

Le poisson lui n’est pas toujours un si bon aliment anti-cancer : il faut choisir les poissons qui ne sont pas contaminés par les PCB et les métaux lourds. Les produits laitiers, quant à eux, augmenteraient bien le risque de cancer de la prostate chez l’homme lorsqu’ils sont consommés en grandes quantités.

Cet ouvrage est destiné à tous ceux qui se croient bien portants . Sur la question du rôle de l’alimentation dans le cancer,Le professeur David Khayat l’un des plus éminents cancérologues français prend ses distances avec certaines allégations et propose des régimes « anti-cancer » adaptés et établis en fonction de 7 profils différents.

 

David Khayat
David Khayat
Président, L'Institut National du Cancer

 

Né en 1956, David KHAYAT poursuit ses études de médecine  à l’Université de Nice.
Il se tourne très vite vers la cancérologie, spécialité qu’il approfondit dans les Hôpitaux de Paris où il est nommé interne puis chef de clinique. En 1985, il obtient son Doctorat d’Etat en Médecine. Parallèlement, il poursuit ses recherches en Immunologie à Villejuif puis à l’Université de Tel Aviv. En 1986, il part travailler comme visiting Professor au département de biochimie de l’Université du Mount Sinaï à New York.
En 1988, il obtient son Doctorat d’Etat en Immunologie. En 1990, il est nommé Professeur de médecine à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris VI). Puis, la même année, Médecin des Hôpitaux et Chef du Service d’Oncologie médicale du Groupe Hospitalier Pitié-Salpétrière. Il participe au comité éditorial de nombreuses revues anglo-saxonnes. Il est membre des plus prestigieuses sociétés savantes américaines (ASCO, AACR, AAI …) et a fait partie de « l’Educational Program Committee de l’American Society of Clinical Oncology » et du «Clinical Resarch Committee de l’American Association for Cancer Research ». Il est membre du Board de la « World Alliance of Cancer Research Organizations ».
Il a été Président de la Fédération Française des Oncologues Médicaux. (1997-2000)
Il est l’initiateur du Sommet Mondial contre le Cancer et de la Charte de Paris Contre le Cancer (2000).
Il est Professeur adjoint au M.D.Anderson Cancer Center à Houston au Texas depuis 2001.
Il a été membre de la Commission Nationale d’Orientation du Plan Cancer Présidentiel (2002).
Il est Conseiller Permanent d’Orientation de la Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer.
Il est Président de l’Institut National du Cancer (2004)

 

 

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 16:21

 

Prix conseillé : EUR 21,00
Prix : EUR 19,95

 

  • Les présentations des éditeurs : 17/05/2010

Elle est orpheline.
Elle a été élevée au couvent.
Elle est l'héritière d'une grande fortune et filleule de la reine de France, Marie de Médicis.
Elle s'appelle Lorenza Davanzati.

Son destin bascule lorsque son charmant fiancé, Vittorio Strozzi, est assassiné la veille du mariage au moyen d'une dague accompagnée d'un billet : quiconque prétendra épouser la jeune fille mourra de la même façon.

Lorsque la reine de France est menacée d'être répudiée par Henri IV, excédé par son affreux caractère et ses folles dépenses, elle demande l'aide de sa riche filleule. Lorenza accepte. Il faut qu'elle gagne à la cause de la reine le plus vieil ami et conseiller d'Henri IV, le marquis Hector de Sarrance. Comment ? En épousant son fils Antoine.

Mais Antoine est amoureux d'une fille d'honneur de la reine et ne veut pas épouser Lorenza. C'est donc son père qui épousera la belle Florentine puisque son fils n'est pas libre... Jusqu'au jour où Lorenza est présentée à la Cour et qu'Antoine, en la voyant, est victime d'un coup de foudre.

Alors, les passions, les intrigues et les meurtres vont se déchaîner.

Juliette Benzoni vit à Saint-Mandé. Elle s'impose aujourd'hui comme la reine du roman historique français

 

 

 

Une fois de plus, Juliette Benzoni nous propose un roman de cape et d'épée qui nous réserve de délicieux frissons ! Lorenza, bâtarde des Médicis, est envoyée de Florence à Paris pour épouser le fils d'un vieux compagnon d'Henri IV. En fait, elle est livrée au père, qui entreprend de la violer. Elle est sauvée in extremis par un poignard : une malédiction veut que tous ses prétendants soient égorgés avant de parvenir à leurs fins. Arrêtée, soumise à la question, coincée entre les Florentins machiavéliques et la justice française, Lorenza ne peut plus compter que sur la générosité proverbiale du bon roi Henri… Un superbe récit d'aventures à la cour du Vert-Galant ! 

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