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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 09:50

Ces évêques qui sont tous francs-maçons n'ont rien à faire dans l'église catholique....DEHORS....Voici la liste de ces clowns: Mgr Georges PONTIER, Archevêque de Marseille, Président, Mgr Pierre-Marie CARRÉ, Archevêque de Montpellier, Vice-président, Mgr Pascal DELANNOY, Évêque de Saint-Denis, Vice-président, Cardinal André VINGT-TROIS, Archevêque de Paris, Mgr Jean-Claude BOULANGER, Évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr François FONLUPT, Évêque de Rodez et Vabres, MgrJean-Paul JAMES, Évêque de Nantes, Mgr Hubert HERBRETEAU, Évêque d’Agen, Mgr Stanislas LALANNE, Évêque de Pontoise, Mgr Benoît RIVIÈRE, Évêque d’Autun, Chalon et Mâcon.etc..

Eglise qui est en France : Dix évêques tirent la sonnette d'alarme contre "la montée du populisme" mais restent silencieux face aux violations répétées des droits de l'homme

Une honte... Comme s'ils n'avaient que ça à faire avant de s'occuper de religion et de vocations religieuses, une dizaine d'évêques soixante huitards de l'Eglise qui est en France, dans le prêchi prêcha imbuvable si caractéristique des homélies modernistes, tirent une sonnette d'alarme contre la montée du «populisme» en France (!), mais restent curieusement silencieux face aux violations répétées des droits de l'homme et des libertés civiles dans le même pays...


 

 

Les évêques de France s'engagent contre l'extrême droite (Le Figaro)

 

À trois mois des élections municipales, la conférence des évêques tire une sonnette d'alarme contre la montée du «populisme» en France.

 

«Nous condamnons les discours populistes répandant la suspicion contre toute représentation politique». À trois mois des élections municipales, les évêques de France, ont pris position, mercredi, contre les candidats et les partis «populistes» aux prochaines échéances (23-30 mars 2014) mais ils ne nomment ni le Front National, ni aucune autre formation.

 

Ils se disent toutefois «inquiets» de la montée de «l'individualisme» qui conduit à la «perte du sens du bien commun», au «rejet de l'autre quand il est différent ou quand il vient d'ailleurs».

 

Cette «tendance», ces hommes d'Église la perçoivent sur le terrain de leurs diocèses et ne cachent pas qu'elle génère de «la peur» mais aussi de «la violence». Ou, parfois, le rejet pur et simple «de personnes qui ont le sentiment qu'elles ne sont plus accueillies là où, il y a quelques années encore, elles avaient toute leur place».

D'où cet appel épiscopal inhabituel, signé par les dix membres* du conseil permanent de la conférence des évêques de France, dont leur nouveau président, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille mais aussi le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris.

Pour les municipales, ils «encouragent» donc «fortement» des «candidatures d'hommes et de femmes soucieux de tous» qui, «forts de leur humanité» - et «s'ils en sont habités, de leur foi au Christ» - «pourront faire du nouveau, en renversant les mentalités dans le sens de l'amour et de l'Évangile» en vue de participer à «la construction d'une société fraternelle».

Plus concrètement, les évêques attendent notamment des élus municipaux qu'ils sachent «allier aspirations individuelles, justice sociale, démocratie et paix». Ils vont jusqu'à les «engager» à «mettre en œuvre, au niveau local, une vive attention à toutes formes de pauvretés et à la conduite d'action dynamique et inventives pour le meilleur de la vie ensemble».

 

 

Cet appel, marqué par les accents sociaux du Pape François cité dans le texte, s'ouvre par un «hommage» pour remercier de leur «implication» et de leur «énergie» tous les élus municipaux qui sont des hommes et femmes de «proximité». En période de crise, soulignent les évêques, ce sont eux qui animent et portent tout le poids de «la commune» devenue «souvent le premier garant du lien social» notamment dans les «petites communes rurales».

 

Une tâche rendue d'autant plus ardue que les «communes sont elles mêmes touchées» par «la crise économique, longue et coûteuse en emplois, en fermetures d'entreprises». Ce qui rend plus difficile «la recherche des subventions et des dotations» pour «les projets et les investissements municipaux» mais qui donne aussi une opportunité pour «l'intercommunalité».

 

Jusque là, les appels épiscopaux pour des élections, toujours soucieux de ne pas enfreindre la règle du jeu de la laïcité, étaient plutôt marqués par la volonté de lutter contre l'abstention mais aussi par une grande prudence dans les propos et un refus de prendre parti même si l'Église catholique s'est toujours opposée, de facto, au Front national. Ainsi, du moins, en avait-il été lors des dernières élections présidentielles.

 

Mais il semble que la tension sociale perçue au jour le jour par l'Église catholique via la capillarité de son réseau de paroisses sur le territoire, et le style sans retenue du pape François poussant les catholiques à ne plus se taire, contribuent à décomplexer l'Église de France sur le terrain politique. Les évêques se justifient, en tout cas, par ce cri du cœur: «Notre pays en vaut la peine».

 

*Les dix membres du conseil permanent de la conférence des évêques de France ayant signé cet appel épiscopal sont: Mgr Georges PONTIER, Archevêque de Marseille, Président; Mgr Pierre-Marie CARRÉ, Archevêque de Montpellier, Vice-président; Mgr Pascal DELANNOY, Évêque de Saint-Denis, Vice-président, Cardinal André VINGT-TROIS; Archevêque de Paris, Mgr Jean-Claude BOULANGER; Évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr François FONLUPT; Évêque de Rodez et Vabres, Mgr Jean-Paul JAMES; Évêque de Nantes, Mgr Hubert HERBRETEAU; Évêque d'Agen, Mgr Stanislas LALANNE; Évêque de Pontoise et Mgr Benoît RIVIÈRE Évêque d'Autun, Chalon et Mâcon.

 

Source: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/11/01016-20131211ARTFIG00482-les-eveques-de-france-s-engagent-contre-l-extreme-droite.php

 

Ils étaient où ces "dix membres du conseil permanent de la CEF" quand la France a été condamnée par le Conseil de l'Europe pour des atteintes aux "droits de l'homme" et à l'"Etat de droit" en France (résolution 13255), les "menaces pour la liberté de réunion, la liberté des médias et la liberté d'expression" (résolution 1947 2013) ? On ne les a pas entendu élever la voix...

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