Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 07:55

 

Le procès de Douch,leader communiste Khmer.Dans ce pays les communistes ont supprimé deux millions d'hommes , de femmes et d'enfants,un tiers de la population cambodgienne.Un génocide de plus à mettre au compte de cete idéologie et dire qu'un parti communiste existe encore dans notre pays!Dans les yeux du bourreau

                                                                                PRIX:12,10 euros -5%

Présentation de l'éditeur

           Le procès Douch (S-21) à Phnom Penh

Dans le procès des Khmers rouges qui se déroule actuellement à Phnom Penh, les familles de victimes, invitées à y participer sans limite en tant que parties civiles – une première en droit pénal international – sont largement absentes : moins d’une centaine. Pourtant le génocide, entre 1975 et 1979, a tué près de deux millions d’hommes (un tiers de la population). Pourquoi donc les enfants et les petits-enfants des victimes fuient-ils une justice qui n’a que trop tardé ? A la fois témoin et acteur en tant qu’avocat des parties civiles, Pierre-Olivier Sur tente de décortiquer l’anatomie de leur silence et de comprendre pourquoi le banc des victimes reste à moitié vide tandis que le bourreau paraît plus fort que jamais. 
Une succession de courts chapitres raconte le procès et ses mécanismes, l’accusé et sa psychologie, la cohabitation qui s’est installée entre victimes et tortionnaires depuis 1979. Pierre-Olivier Sur raconte sa rencontre avec un homme, le fils d’une victime, qui ne reconnaît pas la légitimité du procès et refuse donc de s’y rendre. Au fur et à mesure de leurs échanges, qui constituent le fil rouge de l’ouvrage, victime et avocat finissent par ne plus faire qu’un et c’est ensemble, d’une seule voix, qu’ils conçoivent la plaidoirie finale. 
S’entremêlent dans ce récit, sur le bord du Mékong, la vérité brute des procès-verbaux d’audience et l’émotion retenue d’un peuple qui retrouve sa mémoire.

Biographie de l'auteur
Pierre-Olivier Sur, 46 ans, ancien secrétaire de la Conférence du stage, est avocat pénaliste. Il a participé aux procès du sang contaminé, Crédit Lyonnais, Elf, Erika, Pasqua-Mitterrand... et a obtenu l’acquittement de l’infirmière de Saint-Astier dans une affaire d’euthanasie. Il enseigne le droit pénal à l’Ecole du Barreau de Paris et à Sciences-Po. Il a publié aux éditions Dalloz Cours de droit et aux éditions JC Lattès Nul n’est censé ignorer la loi. Fondateur de l’association Je ne parlerai qu’en présence de mon avocat, il mène aujourd’hui un combat acharné contre la garde à vue sans avocat.
à lire également:
Le Portail
       prix:7,10 euros
Ce voyage en pays khmer, orchestré par un homme d'exception, l'ethnologue François Bizot, est un parcours quasi-initiatique. S'il fut prisonnier des révolutionnaires khmers rouges pendant trois mois en 1971, touchant du doigt l'atroce et l'innommable, Bizot fut aussi un interlocuteur privilégié de Douch, son tortionnaire cambodgien. Cet homme deviendra d'ailleurs l'un des plus terribles chefs de guerre du siècle. Trente ans après, à travers ce témoignage d'une sensibilité et d'une intelligence remarquables, l'auteur revient sur cette expérience traumatisante et met ainsi le doigt sur les paradoxes de l'être humain, sur les rapports ambigus entre victime et bourreau et sur la quête d'idéal, présente en chacun de nous et coupable des pires atrocités. Sa connaissance de l'Asie du Sud-Est et du bouddhisme fait de son ouvrage un document exemplaire, une véritable leçon de vie.

François Bizot est aussi l'auteur de deux autres ouvrages, consacrés à ses recherches en Asie Le Chemin de Lanka et La Guirlande de joyaux. --Marine Segalen

Quatrième de couverture
François Bizot, membre de l'École française d'Extrême-Orient, est fait prisonnier au Cambodge par les Khmers rouges, en 1971. Enchaîné il passe trois mois dans un camp de maquisards. Chaque jour, il est interrogé par l'un des plus grands bourreaux du vingtième siècle, futur responsable de plusieurs dizaines de milliers de morts, aujourd'hui jugé pour crimes contre l'humanité : Douch. Au moment de la chute de Phnom Penh, en 1975, François Bizot est désigné par les Khmers rouges comme l'interprète du Comité de sécurité militaire de la ville chargé des étrangers auprès des autorités françaises. Il est le témoin privilégié d'une des grandes tragédies dont certains intellectuels français ont été les complices. Pour la première fois, François Bizot raconte sa détention. Grâce à une écriture splendide et à un retour tragique sur son passé, l'auteur nous fait pénétrer au coeur du pays khmer, tout en nous dévoilant les terribles contradictions qui - dans les forêts du Cambodge comme ailleurs - habitent l'homme depuis toujours.
LIBRAIRIE DE NEUILLY-PLAISANCE
15,AVENUE FOCH
Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : lareinfodujour93.fr
  • : Informations et rèinformations.Des conseils de lecture.
  • Contact

La république n'égalera jamais la royauté.

Recherche

information

 

    

  

      SITE "faitdiversFrance":

  http://faitdiversfrance.wordpress.com

 

Des images contre l'avortement
 

 

 

 

Texte Libre