L'ignorance engendre l'indifférence et même l'ennui. Si l'on ne sait rien, comment s'intéresser ?Jean de Viguerie.
Tribune libre de Paysan Savoyard
Les patriotes et les partis qui les représentent, à commencer par le Front national, suscitent la haine. On veut les interdire. On les poursuit en justice. On veut fermer leurs sites d’information. On se félicite que leur candidate ait des difficultés à réunir des parrainages. Son temps de parole dans les médias est très inférieur à ce que représente dans l’opinion le courant qu’elle dirige. Des manifestations donnant lieu à des violences verbales et physiques sont organisées pour perturber ou empêcher ses meetings. Les responsables et les électeurs des partis patriotes sont injuriés, insultés, traités de nazis et de fascistes…
Aucun autre courant politique ne suscite une telle détestation. Les écologistes ou les gauchistes peuvent agacer ou faire sourire les partisans de la droite d’argent ; mais ils ne suscitent pas de haine. Quant aux gauchistes, leur détestation pavlovienne des riches et des patrons est sans commune mesure avec la haine qu’ils éprouvent à l’endroit du Front national et de tous ceux qui se réclament de l’identité Française.
Quelle est, au juste, la raison d’une telle haine, qui transcende et réunit tous les autres courants, de la gauche à la droite, du centre à l’extrême gauche ?»
Laissons de côté les motivations des oligarques et de leurs entourages. Pour eux le Front national est le danger prioritaire : parce qu’il se situe en dehors du « Système », qu’il entend rompre avec lui et qu’il s’efforce de dévoiler la connivence qui existe entre les pseudo-adversaires du consortium gauche-droite.
Le patronat, les journalistes, les intellectuels organiques, les responsables des partis du Système, l’ancien ministre et toujours sénateur M. Mélenchon chargé de ratisser des voix pour le compte de M. Hollande, les responsables des principaux lobbys, tous multiplient les déclarations violemment hostiles au Front national, les livres, les films et les reportages à charge : toutes ces composantes du « Système » savent que ce parti est l’adversaire privilégié de l’oligarchie ; leur acharnement à le combattre est somme toute logique et rationnel.»
Ce n’est donc pas des oligarques eux-mêmes, ni de leur entourage, de leur cour et de leur arrière-cour, dont nous voulons parler. Nous entendons ici nous intéresser plutôt à la psychologie des
électeurs de base, auxquels l’élection présidentielle donne l’occasion, dans les conversations de la vie courante, dans le milieu familial, amical, professionnel, d’exprimer la haine et la colère
qu’ils éprouvent à l’égard du Front national et plus généralement à l’égard de tous ceux qui se réclament de la patrie, des Français de souche et de l’identité Française.
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Parole de candidat : forte audience pour Marine Le Pen (màj vidéo + audiences des candidats)
Décidément, Marine Le Pen est un gage de succès pour les chaînes de télévision. Après avoir offert un bon score à France 2 le jeudi 23 février dernier dans Des paroles et des actes, la candidate du Front National permet à TF1 de redorer l’image de son émission Parole de candidat. Le programme présenté par Laurence Ferrari avait jusqu’ici du mal à trouver sa place dans le paysage audiovisuel. Pour son lancement, il y a deux semaines, la Une n’avait réuni que 2,2 millions de Français, soit 8,9% du public. François Bayrou et Eva Joly, invités ce jour-là, avaient même été au centre de la plus mauvaise audience de la chaîne depuis 1991.
Après l'aveu de Jospin sur le "théâtre de l'anti-fascisme durant les années Mitterrand ", Roland Dumas revenait à son tour en novembre 2011, sur le sujet de l'union sacrée contre le FN.
Selon lui, nul danger ne peut venir du Front National, tant celui de Jean-Marie Le Pen que de celui de sa fille. Ce qui fait peut-être plus peur dans le camp socialiste, est le peu de consistance du candidat Hollande, qui fut, rappelons-le, le plus gros défaut de Ségolène Royal selon Arnaud Montebourg...
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information disponible sur:http://www.defrancisation.com/
Voici la liste des lieux où les bêtes ne sont pas tuées selon un rite halal ou casher.
(…) La liste que « le Parisien » – « Aujourd’hui en France » dévoile aujourd’hui en exclusivité est dressée par l’Oaba — l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs —, la seule association à pouvoir visiter les abattoirs.
Elle recense les 128 établissements de métropole où l’animal est abattu de façon conventionnelle, hors des rites casher ou halal.
En regardant l’étiquette qui figure sur la viande, vous pouvez retrouver le numéro de l’abattoir et vérifier s’il se trouve sur la liste. Les 142 autres abattoirs français (qui ne figurent pas sur la liste) pratiquent à la fois l’abattage conventionnel et rituel.
Le très sérieux Journal of Medical Ethics est une revue internationale de premier plan qui reflète l’ensemble du champ de l’éthique médicale. Dans son dernier numéro, le
JME plaide pour le droit de supprimer des nouveau-nés, de la même manière que l’on peut avorter.
Deux chercheurs en bioéthique, Francesca Minerva de l’Université de Melbourne et Alberto Giubilini, de l’université de Milan affirment en effet que « le droit de tuer un
nouveau-né devrait être éthiquement permis dans toutes les mêmes circonstances que l’est l’avortement. Ces circonstances incluent les cas où les nouveau-nés […] peuvent être un risque pour le
bien-être de sa famille ». Tout en distinguant l’euthanasie (acte qui consiste à faire mourir quelqu’un dans son propre intérêt) et l’avortement post-natal (tuer dans l’intérêt
des personnes impliquées), les auteurs mettent en avant les « bonnes raisons d’avorter même si le fœtus est en bonne santé » : critères de coût social, psychologique ou économique
pour les parents.
En dehors de toute considération morale ou religieuse, l’avortement posait, dès le départ, la question de sa limite. Car s’il fut dépénalisé pour des raisons tenant tout aussi bien à la santé du fœtus qu’à celle de la mère, à sa situation économique, sociale, ou même à sa seule volonté, il s’opposait de manière fondamentale au droit de la personne humaine à vivre, sauf à postuler que l’humanité ne s’acquiert qu’à la naissance. Cette question n’a jamais été tranchée pour la simple raison qu’il n’appartient pas à la loi de rendre des arbitrages scientifiques. Qui aurait pu prendre la responsabilité de décider du commencement de la vie humaine ? Dans le doute, et pour que le temps ou l’aléa économique ne soit pas générateur d’un acte criminel, la rationalité exigeait de s’en tenir à la fécondation, l’acte qui signe l’apparition d’un être humain nouveau.
Sans s’étendre davantage sur une question qui conditionne pourtant tout le reste, le législateur avait décidé d’ériger en principe le respect de tout être humain dès le commencement de sa vie et d’autoriser l’avortement à titre dérogatoire. Mais sans jamais définir ce qu’implique le commencement de la vie et en encadrant l’interruption de grossesse dans certains délais- 12 semaines pour l’IVG et jusqu’à la fin de la grossesse pour l’IMG.
Dès lors, la proposition de Francesca Minerva et d’Alberto Giubilini, n’a rien de surprenant. Elle s’inscrit dans la logique utilitariste du législateur qui, au mépris de l’inviolabilité de toute vie humaine et du principe de précaution, a inscrit l’avortement dans une logique économique, médicale voire de « bien-être ». Ce faisant, le législateur et la société ont ouvert grand les portes aux extensions les plus réifiantes. Car si la suppression d’un enfant dans le sein de sa mère se passe de l’examen de son humanité, alors la suppression d’un enfant en dehors du sein de sa mère pourrait s’en passer aussi. Et les critères de coût social, psychologique ou économique d’un enfant in utero peuvent aisément muter ex utero.
Si le droit à vivre est subordonné à la logique de marché, alors qui interdira, dans le futur, que les personnes handicapées, les pauvres et même ceux qui ne pourraient se payer une Rolex à cinquante ans, soient considérés comme éliminables ?
Une seule société, dans l’histoire, refusa de se poser la question de l’humanité. Les Spartiates furent les seuls à éliminer à la naissance les enfants qu’ils estimaient incapables de porter les armes ou d’engendrer de futurs soldats. Or de Sparte, il ne reste rien, ni poète, ni musicien, pas même une ruine. Songeons-y.
Comme le prix de la Carpette anglaise et les Bobards d’Or, le prix Lyssenko est un prix parodique. Ce prix a été créé, par Le Club de l’Horloge en 1990, pour récompenser une personnalité qui a, par ses écrits ou par ses actes, apporté une contribution exemplaire à la désinformation en matière scientifique et historique, avec des méthodes et arguments idéologiques. Le 11 février, le prix Lyssenko 2012 a été remis à Judith Butler, Luc Chatel et Eric Fassin. La première pour avoir développé la théorie du genre ; le second pour l’avoir imposé dans les programmes de l’éducation nationale. En voici l’explication par Henry de Lesquen. Un texte dense.
lu sur:http://www.voltairenet.org/fr
La répression de Baba Amr est-elle la plus grande fiction politique depuis le 11-Septembre ? C’est ce qu’entend démontrer Thierry Meyssan dans un récit exclusif que le Réseau Voltaire publie en épisodes. Dans ce premier volet, il revient sur la prétendue évasion des journalistes occidentaux et montre que certains d’entre eux faisaient partie de l’Armée « syrienne » libre.Pour la suite.... http://www.voltairenet.org/Les-journalistes-combattants-de
Betty-Coton”. Ou la différence entre IVG et esclavage…
Posted: 07 Mar 2012 01:52 PM PST