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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 13:34

Lu ce midi sur le blogue dirigé par Jaochim Véliocas, cet article du 1er septembre traduit de l’allemand et paru dans l’hebdomadaire Focus.

« En Syrie, les chrétiens sont persécutés et assassinés. Selon des informations de FOCUS, des islamistes venus d’Allemagne participent également à des nettoyages ethniques très brutaux. Environ 100 convertis allemands à l’islam combattent dans le pays ravagé par la guerre civile. Une milice islamiste radicale, dans laquelle des Allemands convertis et des Allemands d’origine immigrée sont enrôlés, est responsable d’attaques contre des villages chrétiens aux abords de la frontière syro-turque le 6 août. Selon une information FOCUS, deux agences de presse occidentales sont arrivées à cette conclusion. Dans une récente vidéo djihadiste de propagande, l’éloge de l’épuration religieuse de villageois chrétiens est clamée en langue allemande. Plusieurs personnes ont été tuées dans l’attaque. La vidéo montre également comment les combattants islamistes souillent les cadavres des soldats syriens tombés à coups de pied à la tête. Une centaine d’islamistes allemands sont actuellement en Syrie. Selon FOCUS,  le rappeur de Berlin Denis Cuspert, alias Deso Dogg [alias Abu Malik…], a rejoint le groupe Front Al-Nusra particulièrement extrémiste. »

Source : Observatoire de l’islamisation

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 07:08

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 08:46

JT France 2 6/09/2013

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Au delà de leur violence inouïe, ces images illustrent l’extrême complexité de la situation sur le terrain en Syrie. Qui sont les rebelles, à qui François Hollande a promis du soutien même si les Etats-Unis renonçaient à intervenir? Quelle est la part d’islamistes radicaux parmi eux? Le groupe extrêmiste Jund al-Sham compte environ 300 membres et était relativement peu connu jusqu’alors. En existe-t-il beaucoup d’autres, aux méthodes similaires? Une vidéo dans laquelle un rebelle syrien mangeait le coeur d’un soldat mort avait déjà créé le même débat en avril dernier.

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 08:43

 

© leblogdejeannesmits 

Après vous avoir proposé il y a quelques jours un article de Hilary White sur la manière la plus rapide de perdre le combat contre le « mariage » homosexuel, je crois utile de traduire cette fois un autre article de cette journaliste, correspondante de LifeSite à Rome : il est fondamental pour comprendre les vrais enjeux d’une lutte qui est loin d’être finie. – J.S.
On m’a demandé récemment ce qu’est l’« homosexualisme ». C’est un terme que j’ai commencé à utiliser dans mes articles à propos de ces questions il y a quelques années, lorsqu’il est devenu évident que nous avions à faire non à un groupe de personnes, mais par une idéologie spécifique dont les tenants sont souvent des personnes qui ne sont pas homosexuelles.
Peter Tatchell lors d'une manif anti-pape
Il y a quelques jours dans le Guardian, Peter Tatchell a bien décrit non seulement les buts de cette
idéologie, mais ses origines. C’est cette idéologie politique, volontiers appelée la « théorie queer » par ses partisans dans le monde universitaire, qui est promue, désormais de manière assez ouverte, par le mouvement pour les « droits gays ». Elle vise à réécrire les concepts fondateurs de notre société tout entière. Je prédis qu’il ne faudra plus beaucoup de temps avant que la prétendue lutte pour l’« égalité » soit abandonnée : elle aura atteint son but.
Bien des gens se grattent la tête en se demandant comment nous avons tout d’un coup pu en arriver au point où deux hommes peuvent être « mariés », où une femme peut être appelée « mari » et un homme, « épouse », où les enfants ne sont plus qu’une monnaie d’échange politique dans les guerres d’adoption, alors qu’il nous semble qu’hier encore on ne parlait que d’égalité de droits. Depuis quand l’« égalité des droits » signifie-t-elle la déconstruction, le démantèlement de ces concepts sociaux fondateurs ?
Si nous les écoutons attentivement, cependant, les activistes eux-mêmes ont commencé à fournir eux-mêmes une explication en termes suffisamment clairs. Il n’a jamais été question pour eux d’obtenir « l’égalité de droits » mais la réécriture de l’ensemble de notre ordre social. Le mouvement pour les « droits gays » a toujours été, Peter Tatchell le dit lui-même, « révolutionnaire et non réformiste ».
D’autres ont mis en évidence les origines marxistes de la révolution sexuelle dans son ensemble, et il est clair que l’explosion subite de l’homosexualisme n’est que l’étape suivante logique d’un programme systématique. Proche cousin du féminisme radical, petit-enfant du marxisme, l’homosexualisme s’est développé sur le terreau du pseudo-champ politico-académique des « études du genre » – gender studies — et a été imposé depuis 30 ou 40 ans à un public qui dans l’ensemble n’en voulait pas, à travers des lois anti-discrimination ou égalitaires, grâce à une coalition de lobbyistes, d’ONG et d’hommes politiques à l’extrême gauche, et dans des cercles internationaux de plus en plus puissants.
Peter Tatchell est un homosexualiste britannique de premier plan : cela signifie qu’il est un promoteur une idéologie politique et sociale spécifique qu’il veut voir adoptée en Grande-Bretagne et ailleurs. Il est également un homme homosexuel : cela veut dire qu’il ressent une attraction sexuelle vis-à-vis d’autres hommes, une condition dont l’origine fait encore débat parmi les médecins, les psychiatres et les généticiens. Les deux choses ne sont pas identiques. C’est un fait qui tend à échapper à bien des gens qui lisent ou qui écrivent à propos des guerres culturelles, spécialement dans leur manifestation actuelle qui semble s’être focalisée totalement sur l’homosexualité. Tous les homosexuels ne sont pas des homosexualistes, et tous les homosexualistes ne sont pas des homosexuels.
L’article de Tatchell dans le Guardian rendait hommage à un document bâti en 1971 par ce qu’il décrit comme un collectif d’« anarchistes, de hippies, de gauchistes, féministes, libéraux et tenants de la contre-culture », afin de faire surgir une « révolution de l’état de conscience ». Il qualifiait le Manifeste du Gay Liberation Front de « programme pionnier en vue de la transformation sociale et personnelle » dont la première proposition affirmait que « subvertir la suprématie de la masculinité hétérosexuelle était la clef de la véritable libération ». Tatchell raconte que ce livre-là a changé sa vie.
Le Manifeste résume tout, explique-t-il, en « remettant en question (…) l’homophobie, le sexisme, le mariage, la famille nucléaire, la monogamie, le culte de la jeunesse et de la beauté, le patriarcat, le ghetto gay et les rôles de genre féminins et masculins rigides »… tout ce que charrie la révolution sexuelle.
Le Manifeste lui-même est sans ambages lorsqu’il s’agit d’identifier les principaux ennemis à abattre : « L’oppression des gens gays commence dans l’élément le plus basique de la société, la famille. »
« Elle consiste en l’homme qui la dirige, d’une esclave qui lui sert de femme, et de leurs enfants auxquels ils imposent de force leur propre image en tant que modèles idéaux. La forme même de la famille travaille contre l’homosexualité. »
De la manière la plus révélatrice, le Manifeste affirme que la « réforme », à savoir l’« égalité », ne suffira jamais ; ce qu’il faut, c’est une révolution sociale totale, un réordonnancement complet de la civilisation. La réforme, dit-il, « ne peut pas modifier l’attitude profondément ancrée chez les hétéros pour qui l’homosexualité reste au mieux inférieure à leur propre style de vie, et constitue au pire une perversion répugnante. Il faudra davantage que des réformes pour changer cette attitude, car elle est enracinée dans l’institution la plus basique de notre société : la Famille Patriarcale. »
Loin d’être « la source de notre bonheur et de notre bien-être », poursuit-il, la famille est l’« élément » oppresseur où l’« homme dominant et la femme soumise » enseignent aux enfants de « fausses croyances » sur les « rôles de genre » traditionnels « presque avant de savoir parler ».
Le concept central de l’idéologie du genre est ici exposé : il n’y a « pas de différence démontrée entre mâle et femelle, hormis les différences biologiques évidentes ». Les appareils génitaux et les systèmes reproducteurs des femmes sont différents, ainsi que certaines autres caractéristiques physiques, mais toutes les différences de tempérament, les aptitudes, etc., sont le résultat de l’éducation et de la pression sociale. Elles ne sont pas innées. »
« Les êtres humains pourraient être bien plus variés que ne le permettent nos schémas étriqués du masculin et du masculin – nous devrions avoir la liberté de nous développer avec une bien plus grande individualité. »
« Notre société tout entière », poursuit le Manifeste, « est construite autour de la famille patriarcale et sa sanctuarisation de ces rôles masculins et féminins. La religion, l’art moralisateur populaire, la littérature et le sport renforcent tous ces stéréotypes. En d’autres termes, cette société est une société sexiste, où le sexe biologique détermine quasiment tout ce que l’on fait et la manière de le faire ; une situation où les hommes sont privilégiés, où les femmes ne sont que les assistantes des hommes, de simples objets à leur usage, à la fois sur le plan sexuel et sur les autres plans. »
C’est cela qu’il s’agit de renverser, d’éradiquer entièrement, avant de pouvoir mettre en place la véritable liberté que nous méritons tous.
 On n’a pas besoin d’un diplôme en science politique pour reconnaître l’origine de ce type de langage : brisez vos chaînes, camarades ! Il suffit de fouiller un peu pour arriver aux véritables origines du Gay Liberation Manifesto dans les écrits des premiers marxistes : dans ce cas précis, Friedrich Engels, auteur d’un document qui décrit ce que la plupart d’entre nous appelons la famille traditionnelle en des termes presque identiques à ceux du Manifeste.
Engels parlait du « mariage monogame » et expliquait qu’il existe « non en tant que réconciliation de l’homme et de la femme, encore moins comme la forme la plus haute de cette réconciliation ». Bien au contraire. Le mariage monogame fait son entrée en scène comme moyen d’un sexe pour subjuguer l’autre ; il annonce une lutte entre les sexes inconnue pendant l’ensemble de la période préhistorique qui l’a précédé. »
« La première opposition de classe apparue dans l’histoire coïncide avec le développement de l’antagonisme entre l’homme et la femme au sein du mariage monogame, et la première oppression de classe coïncide avec l’oppression du sexe féminin par le masculin. »
« La famille moderne individuelle est fondée sur l’esclavage ouvert ou occulte de la femme, et la société moderne est une masse composée de ces familles individuelles qui sont ses molécules. » La solution d’Engels, bien évidemment, nous la connaissons déjà.
Le Manifeste de Libération Gay, tout comme l’œuvre d’Engels avant lui, affirme qu’une fois rejetées les antiques entraves de « l’hétérosexisme, du privilège des mâles et de la tyrannie des rôles de genre traditionnels », nous allons tous pouvoir vivre dans une glorieuse et radieuse « nouvelle démocratie sexuelle » d’où « la honte érotique et la culpabilité seraient bannies ». Cela renvoie, en pratique, plus ou moins à ce que nous avons désormais : tout le monde peut coucher avec n’importe qui, et personne n’obtient de droit sur autrui sur le long terme, que ce soit dans le mariage ou comme parents.
Maintenant que la boule de neige du « mariage gay » a démarré, les promoteurs de l’idéologie n’ont plus que quelques opérations de nettoyage à faire. La pression s’exerce déjà pour élargir la définition éclatée du mariage afin de pouvoir inclure des partenaires multiples de chaque sexe et de légaliser et d’accepter la pédophilie – en tant qu’expression des « droits » des enfants.
Mais comme pour toutes les utopies, la grande faiblesse de l’homosexualisme réside dans son incapacité à considérer la nature humaine dans sa totalité. Il propose essentiellement un état permanent d’adolescence jouisseur, et pour les adolescents jouisseurs, cela paraît valoir le coup. Mangez tous les gâteaux que vous voulez, au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner, et ne grossissez jamais.
Hélas, depuis les années 1960, la plupart d’entre nous avons été élevés dans l’idée que ce programme était au cœur du sens de la liberté et que sa mise en œuvre était tout le propos de la démocratie. Cette idéologie était déjà vantée aux enfants par la télévision quand j’étais enfant. Je me rappelle l’énorme succès d’un dessin animé télévisé en 1974 appelé « Libres d’être toi et moi » qui nous apprenait, à travers une série de sketches animés mignons, racontés par les icônes de la gauche des années 1970, Marlo Thomas et Alan Aida, que c’était mal d’accepter comme allant de soi, ou d’adopter, les rôles traditionnels des sexes. L’idéologie du genre pour les maternelles.
Pour ceux qui essaient de la mettre concrètement en pratique, cependant, il devient vite évident que les êtres humains ne sont tout simplement pas faits pour fonctionner de cette manière, et que le fait de baser la culture tout entière sur cette proposition, comme nous le faisons depuis les années 1960, entraînera un état maussade de chaos émotionnel et social, une misère, une solitude, une pauvreté et un égoïsme tels que le monde n’en avait jamais vus.
Le problème principal de la version homosexualiste du rêve marxiste est qu’il faut obtenir que tout le monde soit d’accord. Et je dis bien : tout le monde. Les théoriciens marxistes ont toujours su qu’une utopie ne fonctionne vraiment que si personne n’a le droit d’avancer une quelconque objection. Tout le monde doit être d’accord, aucune dissension ne peut être tolérée au risque de faire éclater la logique en bulle de savon de l’entreprise.
La première voix à faire taire, et de manière agressive, est donc, comme toujours, l’Eglise qui propose quelque chose de considérablement plus riche et (oups) fertile pour la destinée de l’homme que ce matérialisme et ce sensualisme faciles. Cette Eglise qui a, en outre une connaissance bien plus complète de la nature humaine, et qui sait que la licence absolue n’est en rien une recette de bonheur humain… loin s’en faut.

Hilary White

  
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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 13:35
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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 14:59

        

 

AVANT-PROPOS DE L'ÉDITEUR

Les études contenues dans ce volume ont paru sous forme d'articles dans la Critique du Libéralisme[1], mais selon un plan formé d'avance, qui leur donnait l'ordonnance régulière d'un livre.

Elles embrassent l'histoire de la politique religieuse dans ces dernières années, et constituent, grâce à leur documentation, un répertoire de rare valeur.

Le mérite de l'auteur est d'avoir admirablement pressenti les récentes directions du Saint-Siège sur la conduite que les catholiques doivent tenir et d'en avoir par avance défendu tous les principes. Ces souveraines décisions sont la confirmation éclatante des vues qu'il expose.

Aucune lecture ne nous parait plus propre à dissiper les malentendus, les équivoques, dont nous avons tant souffert, et à orienter les esprits dans une direction sûre. Et c'est pourquoi nous la proposons avec confiance à tous les hommes de bonne volonté.

 


Note :

  1.  la Critique du libéralisme religieux, politique, social, revue bi-mensuelle dirigée par l'auteur. elle commença de paraître le 13 octobre 1908, et est éditée par Desclée, 41, rue de Metz à Lille. Un an : 10 francs.
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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 13:21

L'hypocrisie de Laurent Fabius, qui en 2013 tient l'exact inverse de ce qu'il disait en 2006, hypocrisie emblématique du double discours permanent des policiens, est démasquée sur Nouvelles de France.

 

 

Lors d’une réunion socialiste à Lens en mai 2006, Laurent Fabius évoque Nicolas Sarkozy en ces termes : 

 

« Sarkozy n’est pas un Européen convaincu qui défend les intérêts de la France, il est avant tout un pro-américaniste (sic), un zélateur de Bush… Nous n’avons pas besoin, à la tête de l’État, de quelqu’un qui se fixe comme programme d’être le futur caniche du Président des États-Unis. »

 

Sans le savoir, l’ancien Premier ministre du sang contaminé décrit François Hollande en 2013…

 

Sourcehttp://www.ndf.fr/article-2/05-09-2013/video-laurent-fabius-en-2006-navons-pas-besoin-tete-letat-quelquun-se-fixe-programme-detre-futur-caniche-du-president-etats-unis

 

Photo : Un petit coucou de la famille Fabius. Montage Jack Chevalier. A Partager

Source image et commentaireshttps://fr-fr.facebook.com/Hollandouille1er/posts/585894501454377

 

 

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 13:30
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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 13:16

armée syrienne libre

SYRIE: Un village chrétien entièrement massacré par les rebelles syriens

 

Un village chrétien entièrement massacré par les rebelles syriens

 

Ce lundi (2 septembre NdCR.), les membres de l’Armée syrienne libre auraient attaqué le village d’al-Duvair à prédominance chrétienne dans la ville de Reef à la périphérie de Homs. Ils auraient massacré des civils, y compris des femmes et des enfants, avant que l’armée syrienne de Bachar al Assad intervienne en faveur des chrétiens selon les sources plus bas dans l’article.

 

Cette attaque arrive après d’intenses combats dans la ville d’al-Qusseir, ce week-end, où les forces de Bachar Al-Assad ont infligé de lourdes pertes aux rebelles. Les forces d’Assad ont lancé une offensive en Avril dans le but de couper les lignes d’approvisionnement aux rebelles et en prenant la ville et ses environs conquise depuis l’année dernière.

 

Il y a deux semaines, les forces syriennes ont atteint le centre de la ville. Le massacre de ce lundi a été favorable à Assad, car ce sont les groupes rebelles qui combattent le régime d’Assad composés de membres d’Al-Qaïda et les groupes affiliés à Al-Qaïda qui ont commis ces crimes de guerre et ces atrocités contre cette communauté.

 

Jabhat al-Nusra, la branche d’Al-Qaïda qui a combattu et tué des soldats américains et alliés en Irak, s’est positionnée en Syrie et contrôle le mouvement rebelle. Les États-Unis et d’autres gouvernements occidentaux ont reconnu la présence de djihadistes, mais disent qu’ils ne sont qu’une petite partie du mouvement rebelle.

 

En Avril, Abou Mohamad al-Joulani, le chef d’Al-Nusra, a fait allégeance à Ayman al-Zawahiri, le chef d’Al-Qaïda.

Les membres de la FSA ont admis que leur organisation respecte la charia, les rebelles ont maintenant une brigade nommée Oussama ben Laden.

 

Malgré l’évidence des rapports sur al-Qaïda, le gouvernement américain continue à soutenir la FSA.La semaine dernière, Robert Menendez-Sens et Bob Corker ont rédigé un projet de loi qui, s’il est adopté, pourrait armer directement les rebelles syriens avec des armes létales. Le gouvernement américain n’a jusqu’à présent fourni que du matériel non létales et de l’aide humanitaire.

Lundi, le sénateur John McCain a fait une visite surprise en Syrie où il a rencontré le général Salem Idris, le chef du Conseil militaire suprême de la FSA. McCain a également appelé à armer les rebelles ainsi qu’à l’intervention militaire américaine directe dans la guerre.

 

 

Sourcehttp://blogs.mediapart.fr/blog/fxavier/050613/syrie-un-village-chretien-entierement-massacre-par-les-rebelles-syriens via https://fr-fr.facebook.com/Hollandouille1er/posts/590597294317431

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 13:14
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