Les socialos qui gouvernent sont devenus accros au sexe, ils sont fous. Remarquez quand on a eu comme idôle un DSK, le sexe est un totem.

1)-Transformer les adolescentes, les jeunes filles et les demoiselles en petits jouets sexuels pour leur plus grand plaisir.

Interrogé récemment par La Croix sur la pornographie chez les jeunes à propos d’un livre qu’il a coécrit sur le sujet (1), le Pr. Israël Nisand lance comme un cri… silencieux ! Parce très peu audible médiatiquement pour une fois, mais aussi parce que notoirement insuffisant. A côté de mots très justes, il en sort de plus malheureux qui étouffent en quelque sorte son alerte :

« Il est stupéfiant de voir l’absence de réaction de notre société à ce sujet. La loi de 2001 relative à l’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées n’est pas appliquée. C’est désormais la pornographie qui éduque nos enfants à la sexualité. On observe chez les adolescents une sexualité de plus en plus “trash”, violente, et une consommation addictive de pornographie très précoce…

« Les garçons disent qu’ils regardent des films pornos pour savoir ce que les “meufs” aiment. Ce que la pornographie montre, c’est que lorsque les femmes disent “non”, elles veulent dire “oui”. Ces documents fixent des normes, et construisent la sexualité des jeunes autour de l’idée qu’on peut forcer les femmes, puisque finalement, elles aimeront ça. Cette situation me pousse à poser une question citoyenne : qu’en sera-t-il des rapports hommes-femmes dans l’avenir ? C’est une véritable incitation aux viols…

« On sous-estime le problème. Je suis véritablement inquiet. Ceux qui minimisent ce phénomène et qui ne font rien pour le contrer, oublient ce qu’est le développement psychique d’un enfant. Abreuver les jeunes d’images pornographiques, c’est de la barbarie. »

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2)-Transformer les mères de famille en prostituées.

Dans une époque où l’image du sexe s’est banalisée à outrance, via la télévision et les revues visant un public de type ménagère de quarante ans, distillant dans l’inconscient collectif des gens un tabou d’hier considéré aujourd’hui comme système normatif, il est plutôt valorisant de collectionner de jeunes amants, réinterprétant d’une manière post moderne le mythe du secret de jouvence, au travers du phallus d’un minet à peine affirmé par la vie, ayant parfois l’âge d’un fils aîné.

Ainsi l’ex femme au foyer, accessoirement pondeuse, s’est trouvée un double emploi pour l’occasion, passant de la femme bourgeoise, travaillant dans l’édition journalistique, le marketing, la communication, la magistrature, la médecine ou simplement rentière, vivant sur le compte d’un mari cocufié pour l’occasion, à celui de femme cougar, prédatrice obsessionnelle spécialisée dans la revanche des sexes et profitant de son statut social pour réaffirmer son rôle de féministe désinhibée.

Car le jeu de l’offre et de la demande, dans le jeu de séduction, ne se base que sur deux critères majeurs : la beauté plastique ou le pouvoir financier.

Une belle femme d’âge mure n’aura pas besoin de mettre la main au portefeuille, étant donné que son physique suffira à ce que la cour des prétendant remplisse son office de bon à tout faire. En revanche la laideronne possédant la carte gold aura tout intérêt à raquer pour attirer ce jeune esthète au pouvoir d’achat réduit, rêvant jour et nuit de gloire et célébrité. Chacun remplissant son rôle de tremplin d’un narcissisme éphémère basé sur la visible superficialité.

Qu’on ne vienne pas me parler d’amour entre une bourgeoise d’une quarantaine d’années et un jeune homme deux fois moins âgé, quand il n’est question que d’intérêt de réciprocité.
Pavanant au bras de l’imberbe dandy, l’executive woman se met en tête d’asseoir son pouvoir de domination par l’argent tout autant que par son expérience de la vie. Situation doublement lâche s’il en est : on ne pêche pas les poissons tant qu’ils n’ont pas atteint leur taille adulte, nous diront les aficionados de la pêche.

Les hommes de leur âge potentiellement intéressant, c’est à dire de même condition sociale, ne s’intéressent qu’aux femmes juvéniles au visage de poupée de cire et à la croupe achalandé.

Ce genre de féministes ne valent guère mieux que leur homologue masculin, et se tournent de toute manière vers les pays émergeant.

Les unes iront en Polynésie pendant que les autres iront en Thaïlande, c’est de cette façon que le monde se dédouane d’un comportement de salopard intégral, connu par tout le monde, et dont l’arrangement fait parti d’un des nombreux tabou du monde occidental.

Patrick Ouk

 De toute façon pour ces dégénérés c'est pas grave puisque la contraception et  l'avortement sont gratuits !

-http://journalmetro.com/monde/179691/la-france-vote-pour-lavortement-gratuit/

-http://www.delire-des-livres.com/article-seul-6-deputes-umps-ont-vote-contre-l-infanticide-rembourse-a-100-111748432.html

-http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120216.OBS1615/la-contraception-gratuite-pour-les-mineures-divise-le-gouvernement.html