Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 08:18
 LAMBERT CHRISTIAN dans JUSTICE, LA UNE, POLITIQUE

Voilà ce que les pouvoirs publics cachent soigneusement parce qu’ils sont impuissants à endiguer la montée de la violence, plus encore parce que, souvent, ils en sont les complices en mettant en œuvre une idéologie irréaliste et parfois criminelle. L’État tue la France. Je vais en administrer la preuve, tirée du livre aussi documenté et précis qu’accablant : « La France, Orange mécanique » de Lau­rent Obertone qui vient d’être publié aux éditions du Ring.

À Besançon, en 2004, une jeune étudiante, Pauline, est agressée par un nommé Zakaria. Il la saisit et la jette du haut d’un escalier. Il arrache ses vêtements, la torture, la viole à plusieurs reprises, lui écrase la main sur la bouche jusqu’à lui briser la mâchoire. Elle avale son sang. Un expert neuro-chirurgien déclare au procès que la douleur de la jeune femme fut extrême. Elle a survécu, mais paraplégique. Après 6 ans d’enquête, le violeur a enfin été condamné pour viol et barbarie. C’est un immigré noir, originaire des Comores (p. 16).

Julie, 14 ans, est violée pendant 4 jours en août 2009, par trois individus qui l’avaient séquestrée. Les criminels : Selkük, Seliman et Ishak, 37, 24 et 22 ans, sont des immigrés kurdes, précise la chaîne de télévision LCI, le 21 mars 2012 (p. 60).

Ces cas sont-ils isolés ? Non. En 2010, plus de 10 000 plaintes pour viol ont été enregistrées par la gendarmerie et la police. En fait, ces plaintes ne représentent que 10 % de la réalité. Les enquêtes de victimisation apprennent que, chaque année en France, 75 000 femmes sont victimes de viol – ce qui représente plus de 200 viols par jour. Par qui ? À cela s’ajoutent quelque 198 000 tentatives de viol commiseschaque année, toujours en France. Or, 2 % seulement des violeurs sont condamnés, le tout dans un silence médiatique et officiel assourdissant de complicité (p. 19).

En, 2010, deux Français et une jeune femme sortent du parc d’attraction Disney Land. Les passagers d’une voiture qui circulait derrière eux estiment qu’ils n’avancent pas assez vite. Pour le leur faire comprendre, les deux Français sont violemment frappés, la jeune femme est giflée, leur voiture est vandalisée. Par qui ? Par des « gens du voyage » (dites Roumains et surtout pas Tsiganes, ni Roms). Combien sont-ils en France à commettre de tels actes et à voler ? 30 000, 50 000 ? Et ils sont protégés par l’Union européenne (p. 49).

À Cugnaux, localité proche de Toulouse, le 19 janvier 2012, poursuivis par des policiers, un groupe de « jeunes » appelle à la rescousse une quinzaine d’autres voyous. Les policiers sont roués de coups. L’un d’entre eux doit être hospitalisé. Qui étaient les agresseurs ? Des Roms (dites Roumains) (p. 52)

À Nantes, en mars 2012, un homme massacre une adolescente, Marion, 14 ans, d’une quarantaine de coups de couteau. Elle est retrouvée gisant dans une mare de sang, le crâne fracassé sur la cuvette des toilettes. Un peu plus tard, le tueur poignarde un promeneur au cou. Enfin, il pénètre chez un retraité et tente de l’étrangler. Géolocalisé grâce au téléphone qu’il avait dérobé à sa première victime, le bandit est arrêté. De qui s’agit-il ? D’un Noir angolais qui, en 2005, a bénéficié de l’asile politique en France et de tous les privilèges que cela comporte (p. 78).

Le 25 novembre 2007, la fille du général Schmitt, Anne-Lorraine, est assassinée dans le RER. Par qui ? Par un Turc récidiviste qui cherchait à la violer.

En juin 2012, dans le Var, deux gendarmes sont assassinés par un individu de 30 ans, ivre, au passé particulièrement chargé. La semaine précédant le meurtre, l’assassin avait été condamné à 6 mois de prison pour violence sur sa mère. Il a un nom : Abdallah Boummezaar (p. 141).

Quelques mots sur le « gang des barbares ». Le chef de ce gang avait imaginé d’enlever un jeune juif pour l’échanger à sa « riche » communauté contre une forte rançon. C’est ainsi qu’Ilan Halimi a été enlevé et torturé pendant 3 semaines jusqu’à ce que mort s’ensuive. L’autopsie réalisée à l’hôpital d’Évry, le 14 juillet 2006, révèle des brûlures sur 80 % du corps, de multiples hématomes, une plaie à la joue faite au cutter, et deux plaies à l’arme blanche sous la gorge. Fatigué de torturer, Fofana, le chef de gang, prend la décision de le « saigner ». Il demande à ses complices de le laver à l’acide pour nettoyer toute trace d’ADN. Le malheureux et jeune Halimi est alors traîné à proximité d’une voie ferrée. Fofana le frappe d’un coup de couteau à la gorge. Il tente de lui trancher la nuque et le brûle sur place. Une fois arrêté en Côte-d’Ivoire et transféré en France, l’Ivoirien qui se dit fervent musulman, se réclame d’Al Qaïda (p. 156). Il s’est dit heureux d’avoir torturé un blanc, un Français, un juif.

Le comble, c’est la prouesse de l’Algérien Mohamed Merah en mars 2012, à Toulouse et Montauban. Deux militaires tués par balles, un troisième grièvement blessé et, à l’école juive Ozar-Hatorah de Toulouse, un professeur, deux de ses élèves, et une écolière en bas âge, sont abattus. Aussitôt, les autorités mènent l’enquête. Des crimes de cette nature ne peuvent être commis que par des néo-nazis. On recherche donc les suspects connus pour sentiments pro-nazis. Hélas, la vérité était beaucoup plus simple. Le criminel était Mohamed qui, avant d’être abattu alors qu’il tentait de fuir, se réclamait lui aussi de l’islam (p. 265). Je précise que cet Algérien était connu des services de police. En 2012, il cumulait 18 faits de vol et de violence. Sa spécialité était de montrer des vidéos d’Al Qaïda mettant en scène l’égorgement de chrétiens. Ces crimes re­mettent en mémoire ce qu’a reconnu l’Al­gérien Abou Imen : « Les moines de Tibé­hirine, on n’a pas tiré une seule balle ; on les a tous égorgés au couteau. »

Alors, on me dit, et à juste titre, que les criminels en France ne sont pas que des immigrés. C’est tout à fait vrai. Des Français de souche le sont aussi. Mais il est à croire que les autorités démocratiques françaises ont estimé qu’il n’y en avait pas assez. Ils ont donc fait appel à l’immigration, cette « chance pour la France » !

Dans un prochain article, je ferai état de statistiques tenues jusqu’ici secrètes et d’un système qui assure l’impunité des pires voyous, faisant de la France un pays de délinquance et de violence, où la criminalité est 3 fois supérieure aux chiffres officiels publiés par le gouvernement et son administration.

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : lareinfodujour93.fr
  • : Informations et rèinformations.Des conseils de lecture.
  • Contact

La république n'égalera jamais la royauté.

Recherche

information

 

    

  

      SITE "faitdiversFrance":

  http://faitdiversfrance.wordpress.com

 

Des images contre l'avortement
 

 

 

 

Texte Libre